Marcello (artiste)

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Marcello
Naissance
Décès
Nom de naissance
Adélaïde Nathalie Marie Hedwige Philippine d’Affry
Surnom
AdèleVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de pinceau
MarcelloVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Autres activités
Maître

Marcello, pseudonyme d'Adèle d'Affry, duchesse de Castiglione Colonna, née le à Fribourg et morte le à Castellammare di Stabia, est une artiste peintre, graveuse et sculptrice suisse.

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse[modifier | modifier le code]

Adélaïde Nathalie Marie Hedwige Philippine d’Affry naît le à Fribourg. Elle est la fille aînée du comte Louis d’Affry (1810-1841) et de Lucie de Maillardoz (1816-1897)[1]. La carrière militaire est la voie traditionnelle dans laquelle se sont illustrés les membres masculins de la famille d’Affry. Le goût des arts est une valeur transmise de génération en génération dans la famille Affry. Louis d’Affry (1743-1810), l’arrière-grand-père d’Adèle, fut le premier Landamann de la Suisse. Il s'adonnait à la gravure, et son fils Charles, qui a servi sous les ordres de Bonaparte, documente des scènes de la vie militaire à l'aquarelle[2].

Adèle a une sœur cadette, Cécile Marie Philippine Caroline (1839-1911). Leur père décède le  ; Adèle et Cécile sont élevées par leur mère. Elles partagent leur temps entre Fribourg et Givisiez durant les mois d’été et Nice ou l’Italie pendant l’hiver.

En 1853 et 1854, Adèle d’Affry reçoit l’éducation classique des jeunes filles bien nées, d'abord des leçons de dessin et d’aquarelle auprès du peintre Joseph Auguste Dietrich (1821-1863), puis des cours de modelage dans l’atelier romain du sculpteur suisse Heinrich Max Imhof (1795-1869).

Vocation à Rome[modifier | modifier le code]

Le , Adèle d’Affry épouse Carlo Colonna (1825-1856) à Rome. Ce dernier, anobli un mois plus tard, reçoit le titre de duc de Castiglione-Altibrandi. Cette union est de courte durée : Carlo Colonna meurt subitement d’une fièvre typhoïde, à Paris, le .

Adèle Colonna est obligée de rentrer à Rome en 1857 pour régler les différends qui l’opposent à la famille Colonna dans l’affaire de la succession de son époux. La duchesse trouve refuge au couvent des Dames du Sacré-Cœur, à la Trinité-des-Monts. Sa vocation artistique s’éveille progressivement à cette époque. Elle reprend ses leçons dans l’atelier d’Imhof, visite de nombreuses églises, admire les œuvres de l’Antiquité et de Michel-Ange. À l’automne, elle modèle le buste de son défunt mari. Cette première sculpture est rapidement suivie d’un autoportrait.

Une duchesse à Paris[modifier | modifier le code]

Gustave Courbet, Portrait de Marcello (1870), Reims, musée des Beaux-Arts.

Elle se rend à Paris en 1859 et loue un appartement à Léon Riesener (1808-1878), cousin d’Eugène Delacroix, au no 1 rue Bayard. Pierre Andrieu (1821-1892), familier des Riesener et assistant de Delacroix, l’aide à décorer à fresque sa salle à manger et son atelier. La duchesse commence à fréquenter la société brillante du Second Empire. Elle chaperonne sa sœur Cécile jusqu’au mariage de celle-ci, le , avec le baron Moritz von Ottenfels-Gschwind (1820-1907), diplomate autrichien. Le rang d’Adèle l’amène à fréquenter les salons légitimistes du faubourg Saint-Germain, et son goût à leur préférer le salon tenu par la comtesse de Circourt. La belle duchesse noue des amitiés durables, avec notamment Adolphe Thiers (1797-1877). Le père Gratry (1805-1872) devient son directeur de conscience.

Débuts artistiques[modifier | modifier le code]

Adèle Colonna travaille à sa première composition aboutie, La Belle Hélène (1860). Elle étudie le dessin animalier au Muséum national d’histoire naturelle sous la direction du sculpteur Antoine-Louis Barye (1795-1875), et s’exerce avec passion d’après nature et d’après l’antique, sans négliger les aspects les plus techniques et épuisants de la sculpture. L’impétueux Auguste Clésinger (1814-1883) supervise étroitement ses progrès. À partir de décembre, elle suit en toute discrétion les cours d’anatomie du professeur Sappey, dans les sous-sols de l’École pratique de médecine. Le jeudi , à l’occasion d’un dîner chez les Barbier, Adèle rencontre Eugène Delacroix. Les premiers symptômes de la maladie de poitrine qui l’emportera se manifestent.

En 1861, sa demande d’étudier à l’École des beaux-arts de Paris est rejetée. De retour à Rome, Adèle admire à la villa Médicis le groupe d’Ugolin et ses enfants, auquel travaille Jean-Baptiste Carpeaux (1827-1875), alors pensionnaire des lieux. L’amitié entre les deux artistes ne cessera qu’avec le décès du sculpteur.

« Marcello »[modifier | modifier le code]

En 1863, Adèle Colonna choisit, après bien des hésitations, d’exposer au Salon parisien sous le pseudonyme de « Marcello ». Elle présente trois bustes : Bianca Capello, le Portrait du comte G. de N…[icolaÿ] et le Portrait de Mme la duchesse de San C…[esario], une œuvre en cire. Le franc succès rencontré par sa Bianca retient l’attention de l’impératrice Eugénie qui l’invite à participer à l’un des fameux lundis des Tuileries. Adèle est désormais conviée à la cour et côtoie Napoléon III (1808-1873), auquel elle voue une grande admiration.

Durant le mois de , Marcello reçoit Jean-Baptiste Carpeaux à Givisiez, et repousse la demande en mariage que lui présente Mme Carpeaux pour son fils. La même année, à Passy, elle réalise aussi un buste en plâtre du général Antoine de Jomini, alors âgé de 85 ans[3].

À ces soucis d’artiste s’ajoutent ses préoccupations de duchesse, liées à ses devoirs de représentation. Elle reçoit ainsi une invitation aux « séries de Compiègne »[4]. Andrieu assiste en son nom à la vente après décès de Delacroix et lui achète trois esquisses.

Marcello expose La Gorgone, un buste en marbre, au Salon de 1865. Le , elle reçoit la commande officielle d’un portrait de l’impératrice Eugénie, destiné à orner la salle du trône de l’hôtel de ville de Paris. Marcello produira quatre versions différentes de ce buste.

Durant les mois de juin et , Marcello part pour Londres et surveille de près la réception de son buste de La Gorgone en bronze, exposé à la Royal Academy. Son admiration pour la reine Marie-Antoinette, qu’elle partage avec l’impératrice Eugénie, l’a conduite à réaliser les bustes de Marie-Antoinette à Versailles et Marie-Antoinette au Temple, qu’elle présente au Salon à Paris en . En novembre, son buste de l’impératrice est durement critiqué et refusé par la commission des beaux-arts de la ville de Paris, ce qui la rend furieuse. Elle craint d’être tombée en disgrâce auprès d’Eugénie. Cette affaire, malgré son issue heureuse — le préfet Haussmann prend la décision d’accepter le buste — la plonge dans un malaise persistant.

Marcello présente huit de ses œuvres, dont Hécate, commande de l’empereur Napoléon III pour les jardins de Compiègne, à l’Exposition universelle de 1867, dans la section des États pontificaux. Puis, accompagnée de sa mère, elle voyage durant les mois de mai et à travers l’Autriche, l’Allemagne et la Hongrie. À Budapest, les deux femmes assistent au couronnement de l’impératrice Élisabeth (1837-1898). À son retour à Paris, Marcello réalise un petit buste en marbre de celle-ci.

Séjour en Espagne[modifier | modifier le code]

Entre les mois de mars et d’, la duchesse parcourt le nord de l’Italie et fait halte à Rome. En cure à Cauterets, dans les Pyrénées, elle franchit la frontière et voyage en Espagne, où elle se trouve prise au piège d’une insurrection. Malgré les dangers de cette situation, elle reste à Madrid où elle travaille auprès de ses amis, les peintres Henri Regnault (1843-1871) et Georges Clairin (1843-1919). Elle fait la connaissance du général révolutionnaire Milans del Bosch, dont elle modèle le buste. Les lettres de recommandation de Prosper Mérimée (1803-1870) lui ouvrent grandes les portes du musée du Prado. Elle y admire, entre autres, les œuvres de Diego Vélasquez.

La peinture[modifier | modifier le code]

La Pythie (1870), bronze, Paris, opéra Garnier.

De retour à Rome en 1869, Marcello envoie à Paris, pour le Salon, le buste de la Bacchante fatiguée. Dans son atelier de Papa Giulio, elle compose son chef-d’œuvre, La Pythie, que Charles Garnier (1825-1898) retiendra pour orner son nouvel opéra. Alors qu’elle rencontre de nombreuses difficultés techniques dans la réalisation de sa statue, elle rêve d’abandonner la sculpture et ses lourdes contraintes matérielles pour la peinture. Elle étudie le dessin à la villa Médicis sous la direction d’Ernest Hébert (1817-1908) et partage sa passion pour la musique avec les compositeurs Charles Gounod (1818-1893) et Franz Liszt (1811-1886). Elle pratique également la peinture dans l’atelier du peintre Marià Fortuny (1838-1874), où elle a rencontré Eduardo Rosales (1836-1873).

Marcello présente sa Pythie en bronze et le buste du Chef abyssin au Salon de 1870, à Paris. Réfugiée en Suisse pendant la guerre puis la Commune, lasse des épuisements causés par la sculpture et la maladie, elle s’exerce dans l’atelier du peintre Alfred van Muyden, à Genève. À partir de 1870, luttant contre la tuberculose, et la sculpture lui demandant trop d'énergie, elle s'adonne de plus en plus à la peinture.

De retour à Paris en 1872, Marcello poursuit ses études de peinture sous la direction de Léon Bonnat.

Profondément touchée par la mort de Napoléon III en 1873, la duchesse se rend à Chislehurst en Angleterre et présente ses condoléances à l’impératrice Eugénie et au prince impérial. Marcello envisage de faire ses débuts de peintre au Salon en envoyant le Portrait de madame de Tallenay, mais décide finalement de s’abstenir. Les cinq bustes exposés à l’Exposition universelle de 1873 à Vienne, Le Chef abyssin, Bianca Capello, les Marie-Antoinette et la Pythie, lui rapportent une médaille.

Elle envoie un grand tableau, La Conjuration de Fiesque, au Salon de 1874. Le refus de cette œuvre par le jury la blesse très profondément.

Marcello peint le Portrait de Berthe Morisot en 1875, mais refuse de se laisser portraiturer par Édouard Manet. Elle pose pour son ami le peintre Édouard-Théophile Blanchard (1844-1879). Elle présente au Salon le Redemptor mundi, Phoebé et La Belle Romaine. Lors de l’inauguration de l’opéra, le , le public et la critique font un très bon accueil à La Pythie, ce qui l'étonne et la ravit.

Dernières œuvres[modifier | modifier le code]

De Fribourg, où elle réside depuis , Marcello entreprend un nouveau périple en Italie : Florence, Orvieto, Rome, Bologne, Ferrare, Ravenne, Padoue, Venise, Vérone, Milan. Le directeur de la Galerie des Offices lui commande son portrait. Son buste de La Baronne de Keffenbrinck, présenté au Salon de la même année, lui vaut une simple mention honorable qu’elle reçoit avec amertume.

En 1877, épuisée par sa toux et ses douleurs articulaires, Adèle recherche le soleil du Midi de la France et passe le mois de décembre en Italie, sur les conseils de ses médecins.

En 1878, Marcello se déplace sans cesse entre Naples, la Suisse et Paris, à la recherche du climat qui calmera ses crises d’hémoptysie. Le , une seconde version de son testament liste les sculptures qu’elle lègue à l’État de Fribourg, à la condition que soit fondé un musée consacré à son œuvre.

Installée à Castellammare di Stabia en 1879, Marcello met en ordre ses papiers, travaille à la rédaction de ses Mémoires, qu’elle laissera inachevés, et dessine abondamment. Elle meurt de la tuberculose le et non pas le 14[5]. Adolphe de Circourt, qui assiste à ses derniers moments, parle bien du 16 juillet[6],[7]. Selon sa volonté, elle est enterrée à Givisiez, près de Fribourg où elle est née.

Galerie[modifier | modifier le code]

Œuvre[modifier | modifier le code]

Analyse[modifier | modifier le code]

Collections publiques[modifier | modifier le code]

En France
En Suisse
  • Fribourg, musée d'art et d'histoire[15] :
    • Pythie, vers 1880, réduction en bronze ;
    • Ananké, 1866, marbre ;
    • Bacchante fatiguée, 1868, marbre ;
    • Gorgone, 1865, marbre ;
    • Bianca Capello, 1863, marbre ;
    • Élisabeth de Wittelsbach dite Sissi impératrice d'Autriche, 1867, marbre ;
    • Portrait du général Milans de Bosc, 1868, plâtre rose ;
    • Marie-Antoinette dauphine, 1866, marbre ;
    • Marie-Antoinette au Temple, 1866, marbre ;
    • La Marguerite de Goethe, 1866, marbre ;
    • La belle Romaine, 1866, marbre ;
    • Phoebé, 1875, marbre ;
    • Chef Abyssin, 1870, marbre ;
    • Ecce Homo, 1877, marbre ;
    • Portrait de Jean-Baptiste Carpeaux, 1875, bronze ;
    • Portrait de Berthe Morisot, 1875, huile sur toile ;
    • Portrait de la marquise de Tallenay, 1873, huile sur toile ;
    • Marchande de poissons à Naples, huile sur toile.

Gravure[modifier | modifier le code]

Marcello a produit neuf eaux-fortes originales et quelques lithographies inspirées d'Eugène Delacroix (1873). Elle s'intéresse à la gravure à partir de 1860, en fréquentant l'atelier de Marcellin Desboutin. Inédites pour la plupart, elles seront imprimées en 1980 à l'occasion d'une exposition à Fribourg[16].

Salons et expositions[modifier | modifier le code]

  • 1863 : Salon de Paris ;
  • 1864 : Salon de Paris ;
  • 1865 : The Royal Academy Exhibition, Londres ;
  • 1866 : Salon de Paris ; exposition des Beaux-arts de Lille ;
  • 1867 : exposition du cercle de l’Union artistique ; The Royal Academy exhibition, Londres ; Exposition universelle de Paris ;
  • 1869 : Salon de Paris ; Exposition internationale des Beaux-arts à Munich (-) ;
  • 1870 : Salon de Paris ;
  • 1873 : exposition chez Durand-Ruel (1er mars), Paris ; Exposition universelle à Vienne ;
  • 1874 : Salon de Paris ;
  • 1875 : Salon de Paris ;
  • 1876 : Salon de Paris ;
  • 1877 : exposition au cercle artistique, Nice, palais Christine.

Iconographie[modifier | modifier le code]

Hommages[modifier | modifier le code]

La Fondation Marcello, créée en 1963 à Fribourg en Suisse, a pour but de conserver et promouvoir sa mémoire et son œuvre. En 1996, la cinéaste Jacqueline Veuve lui a consacré un épisode de la série Ma rue raconte, co-produite par la télévision suisse.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Lucie de Maillardoz, dont Jean-Baptiste Carpeaux a sculpté le buste (« French Sculpture Census: French sculpture 1500-1960 in North American public collections »
  2. Service pour la promotion de l'égalité entre homme et femme, Pionnières et créatrices en Suisse romande XIXe et XXe siècles, Genève, Service pour la promotion de l'égalité entre homme et femme et éditions Slatkine, , 406 p. (ISBN 2-8321-0152-6), p. 13.
  3. L'original est conservé au Musée d'art et d'histoire de Fribourg et une copie en bronze a été donnée en 2017 au musée de Payerne : 24 Heures, 8 septembre 2017.
  4. Réceptions au palais de Compiègne organisées pour la cour.
  5. Tatiana Silvestri, « Biographie » dans Mina 2014, p. 115-119.
  6. Comte Nigra, Le comte de Cavour et la comtesse de Circourt, lettres inédites, Turin, L. Roux et Cie éditeurs, (lire en ligne), p. 177
  7. Marianne Rolle, « Dictionnaire historique de la Suisse », sur Dictionnaire historique de la Suisse, DHS, (consulté le )
  8. Notice no 000SC033404, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
  9. Notice no 000SC033405, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
  10. Notice no 000SC025410, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
  11. Bessis 1980, p. 129-130.
  12. « Groupe sculpté : Hécate et Cerbère », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
  13. « Femme transtévérine », notice no 000SC033404, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
  14. « La Marquise de Talenay », notice no 000SC011117, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
  15. fr.ch/mahf/fr
  16. « Marcello », in: Janine Bailly-Herzberg, Dictionnaire de l'estampe 1830-1950, AMG-Flammarion, 1985, p. 213.

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Dictionnaire Bénézit
  • Odette d'Alcantara, Marcello : Adèle d'Affry, duchesse Castiglione-Colonna, 1836–1879, sa vie, son œuvre, sa pensée et ses amis, Genève, Éditions générales,
  • Henriette Bessis, Marcello sculpteur, Fribourg, Musée d'art et d'histoire de Fribourg,
  • Ghislain de Diesbach, La double vie de la duchesse Colonna, Pregny-Genève, Editions de Penthes, coll. « Suisses dans le monde », (1re éd. 1988 (dans la collection « Terres des femmes » de la Librairie académique Perrin à Paris))
  • (en) Caterina Y. Pierre, « Genius has no sex » : The sculpture of Marcello (1836-1879), Pregny-Genève et Gollion, éditions de Penthes et Infoclio,
  • Gianna A. Mina (dir.), Marcello, Adèle d'Affry (1836-1879), duchesse de Castiglione Colonna (catalogue d'exposition (Fribourg, Musée d'art et d'histoire (MAHF), 7 novembre 2014 – 22 février 2015 ; Ligornetto, Museo Vela, 26 avril – 30 août 2015 ; Musées nationaux du Palais de Compiègne, 16 octobre 2015 – 1er février 2016 ; Pregny-Genève, Musée des Suisses dans le monde, 9 mars – 4 juin 2016, sous le titre : Marcello, femme artiste entre cour et bohème)), Milan, édition 5 Continents,
  • Adèle d'Affry "Marcello" (édité par Mélanie Kaeser et Michel Viegnes), Écrits de fiction : nouvelles, théâtre, récits, Fribourg, Presses Littéraires de Fribourg,
  • Simone de Reyff (dir.) et Fabien Python (dir.), Les Cahiers d'Adèle, Société d'histoire du canton de Fribourg, coll. « Archives de la Société d'histoire du canton de Fribourg / nouvelle série » (no 17),

Liens externes[modifier | modifier le code]

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