Léogeats

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Léogeats
Léogeats
La mairie (sept. 2010).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Sud Gironde
Maire
Mandat
Cédric Pujol
2020-2026
Code postal 33210
Code commune 33237
Démographie
Gentilé Léogeatais
Population
municipale
858 hab. (2021 en augmentation de 7,25 % par rapport à 2015)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 30′ 46″ nord, 0° 21′ 56″ ouest
Altitude Min. 15 m
Max. 102 m
Superficie 19,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Gironde
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Léogeats
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Léogeats
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Voir sur la carte topographique de la Gironde
Léogeats
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Léogeats
Liens
Site web www.leogeats.fr/

Léogeats est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

À l’extrémité sud-ouest du canton de Langon, arrosé par le ruisseau du Moulin et le Loujat et situé sur la rive droite du Ciron, le village de Léogeats est composé de divers gros hameaux, Le Bourg, Brouquet, La Bernède, Cameillac, La Citadelle, La Herrade, Laulan, Les Levrauts.

La commune se trouve, par la route, à 46 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 12 km au sud-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et de canton[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes en sont Sauternes au nord, Fargues au nord-est sur à peine plus d'un kilomètre, Roaillan à l'est, Le Nizan au sud-est, en quadripoint (point de la surface de la Terre où quatre frontières différentes se rejoignent), Noaillan au sud, Balizac à l'ouest également sur à peine plus d'un kilomètre et Budos au nord-ouest.

Communes limitrophes de Léogeats
Budos Sauternes Fargues
Balizac Léogeats Roaillan

Noaillan
(quadripoint)                                             
Le Nizan

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 865 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sauternes à 3 km à vol d'oiseau[5], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 859,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Léogeats est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (81,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (77,8 %), prairies (7,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,1 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), zones urbanisées (2,1 %), cultures permanentes (1,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est traversé par la route départementale D 8 qui mène à Langon via Fargues vers le nord et à Villandraut via Noaillan vers le sud. La petite route départementale D 8e5 qui prend naissance sur cette D 8 mène vers l'ouest au bourg et continue vers le nord et les vignobles du Sauternais.

L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 3, dit de Langon, distant de 12 km vers le nord-est.

L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 17 km vers le sud-est.

La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 13 km vers le nord-est, de Langon sur la Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Léogeats est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1995, 1999, 2009 et 2020[17],[15].

Léogeats est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[18]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[19],[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Léogeats.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 80,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 390 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 351 sont en aléa moyen ou fort, soit 90 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

On trouve, selon les périodes et les documents écrits, différentes graphies : Leujatz au XIIIe siècle, puis Leujats, Laugeat au XVIIe siècle, et enfin Léogeats depuis le XIXe siècle.

L'absence de formes anciennes suffisamment caractérisées ne permet pas de définir avec certitude l'origine de ce toponyme.

Albert Dauzat et Charles Rostaing l'expliquent par la terminaison -at(s) en tant que variante de -ac, issu du suffixe gallo-roman -acum, précédé du nom de personne germanique Liudo[23]. Ils comparent avec Léojac, village de Tarn-et-Garonne.

Ernest Nègre suggère l'occitan leuge « chêne liège », suivi du suffixe augmentatif -at[24].

Selon Miquèu Audoièr, dans le n° 269 de la revue País Gascons[25], il s'agit en réalité du nom *Leujac au pluriel, avec valeur de collectif : gascon *Leujacs prononcé comme Leujats, avec le sens de « les habitants de Leujac », puis confusion avec le nom du village lui-même. En effet, cette adaptation phonétique, -ts pour -cs, présente dans plusieurs régions occitanes, est attestée pour la Gironde dans les œuvres de Meste Verdié. En même temps, est confirmée l'identité du nom originel avec celui du village du Tarn-et-Garonne cité par Dauzat et Rostaing. Cette explication à un problème qui n'avait pas trouvé jusque-là de solution satisfaisante a l'avantage de convenir pour la plupart des noms en -ats de la Gironde (sauf quelques cas comme Saucats, où il pourrait s'agir du suffixe -at). et même pour certains en -as. Cependant, il n'y a pas de trace de formes anciennes initiales en *-acs. En effet, l'usage des scribes était souvent de laisser, comme c'est le cas ici, telle quelle la forme orale en -ats, avec son adaptation phonétique vraisemblablement très ancienne du groupe cs en ts, ou bien de l'interpréter, parfois à tort (voir Coutras, avec une hypercorrection qui illustre cette habitude) comme représentant -ac, en rétablissant ce qu'ils estimaient être la forme d'origine débarrassée du pluriel dont ils connaissaient le sens.

En gascon, le nom de la commune est Leujats, qu'on pourrait peut-être écrire Leujacs (voir plus haut).

Ses habitants sont appelés les Léogeatais[26].

Histoire[modifier | modifier le code]

Dans les Archives départementales de la Gironde relatives aux comptes de l'Archevêché de Bordeaux[27], on trouve trace au XIIIe siècle de deux paroisses : Sanctus Laurencius de Camelhac (Saint Laurent de Cameillac) et Sanctus Christoforus de Leujatz (Saint Christophe de Léogeats).

Cameillac (graphie occitane Camelhac), lieu-dit situé à un km au sud du bourg, était un domaine d’époque gallo-romaine (IIIe siècle environ), nom provenant sans doute d'un résident gallo-romain en Novempopulanie, « Camilius ». Ce bourg fut détruit soit au cours des incursions des Wisigoths au Ve siècle, des Francs au VIe, des Vascons au VIIe, des Maures au VIIIe, des Vikings au IXe, ou des Plantagenêt au XIIe.

Tribus celtes et vasconnes

On trouve mention de Léogeats, paroisse Saint-Christophe, en 1314, à propos de biens relevant de la famille d’Albret. Léogeats a pu, à l’origine, être une seigneurie à part, mais au XVIe siècle, les archives du château de Suduiraut à Preignac (Georges Guillot de Suduiraut était propriétaire du château de Noaillan au début du XXe siècle) donnent quelques indications : elle dépend de la seigneurie de Noaillan (Jean de La Motte) ; au XVIIIe siècle, elle y est complètement intégrée.

Pour plus d'information sur la situation de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[28].

À la Révolution, la paroisse Saint-Christophe de Léogeats forme la commune de Léogeats[29].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1965 René Lalanne    
1965 1983 André Dubernet    
1983 1995 André Lavie    
1995 2001 Alain Dulou    
mars 2001 En cours
(au 9 décembre 2014)
Cédric Pujol[30]   Ouvrier

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Le , la communauté de communes du Pays de Langon ayant été supprimée, la commune de Léogeats s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Sud Gironde siégeant à Mazères.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 858 habitants[Note 3], en augmentation de 7,25 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0239489319919871 0341 0011 0421 033
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
995955938874850796785736666
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
677664627576546506507451464
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
445390358401454547652683779
2018 2021 - - - - - - -
809858-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Le coteau du Tucau produit un excellent vin d’appellation Graves, rouge et blanc.

À la fin du XIXe siècle de nombreux métiers, artisans et commerces existaient encore au village : berger, boucher, boulanger, cafetier, charbonnier, charcutier, charpentier, charron, coiffeur, épicier, horloger, laboureur, laitier, marchand de bestiaux, maréchal-ferrant, menuisier, meunier (Ruisseau du Moulin), muletier, résinier, sabotier.

On dénombrait ainsi à Léogeats en 1898 pas moins de huit sabotiers, sept bistrots, cinq épiciers, cinq laitiers, trois boulangers, deux bureaux de tabac, un boucher et un charcutier. Aujourd’hui les seuls commerces originels subsistants sont une épicerie et l'auberge de Brouquet.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Entourée de son petit cimetière et située à l'extrémité d'un éperon rocheux dominant la vallée du Ciron, l'église Saint-Christophe, d'architecture romane, a été initialement construite au XIIe siècle puis transformée au XVIe siècle. La présence d'un hourd surmontant le portail ouest permet de supposer qu'elle a pu servir d'ouvrage de défense. Elle est inscrite au titre des Monuments historiques depuis 1925[35], ainsi qu'une partie de son mobilier et a servi de décor, dans les années 1960, pour le tournage du film Thérèse Desqueyroux tiré du roman éponyme de François Mauriac ainsi qu'en 1980, à l'adaptation télévisée du roman de Mauriac Le Baiser au lépreux.
  • À trois cents mètres à l'ouest de l'église, se trouve une fortification en ruine, la Tourasse qui fut étudiée par Léo Drouyn au XIXe siècle. Constituée d’une tour rectangulaire de 20 mètres sur 13 à trois étages et aux murailles d’un mètre d’épaisseur, il s'agissait vraisemblablement d'une maison forte.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • François Mauriac (1885-1970) a eu l'occasion d'apprécier le charme bucolique du village et y fait référence dans plusieurs de ses ouvrages.
  • Joël Dumé, arbitre international de rugby, réside dans la commune.
  • Guillaume-Léonce Duprat psycho-sociologue naît en 1872 dans la commune.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 40,4 km pour Bordeaux et 10,3 km pour Langon. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 4 juillet 2011.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Léogeats et Sauternes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Sauternes » (commune de Sauternes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Sauternes » (commune de Sauternes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Léogeats », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Léogeats », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Lib. Guénégaud, 1978, p. 396.
  24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Lib. Droz, 1991, p. 1251.
  25. Miquèu Audoièr, Ua solucion unica a un problèma doble : lo grop -ts, País Gascons, édition 2013.
  26. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 4 juillet 2011.
  27. Liève des quartières de l'Archevêché, et Pouillé des Bénéfices de la France (registre administratif des biens et bénéfices ecclésiastiques) de 1420, 1546, et 1648 (manuscrits Monteil rédigé en latin).
  28. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 6.VI, pages 238-240 et page 132
  29. Historique des communes, p. 29, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 7 avril 2013.
  30. Commune de Léogeats sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 4 juillet 2011.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Inscription MH de l'église Saint-Christophe », notice no PA00083589, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 1er novembre 2010.