Lycée Hoche

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Lycée Hoche

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La cour principale du lycée ; au centre, sa chapelle dessinée par Richard Mique, anciennement église du couvent de la Reine.
Histoire et statut
Fondation 1807
Type École publique
Protection Logo monument historique Classé MH (1926)
Logo monument historique Inscrit MH (1969)
Administration
Composante Île-de-France
Académie Versailles
Proviseur Guy Seguin
Proviseur adjoint Guillaume Ryo
Proviseure adjointe Anne-Laure Gueury
Études
Niveaux délivrés Bac, post-Bac
Formation Bac ES, S et SSI CPGE
Localisation
Ville Versailles
Pays France
Site web http://www.lyc-hoche-versailles.ac-versailles.fr
Coordonnées 48° 48′ 25″ nord, 2° 08′ 14″ est
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Lycée Hoche
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
(Voir situation sur carte : Yvelines)
Lycée Hoche

Le lycée Hoche est un établissement public français d'enseignement secondaire et supérieur, situé au 73, avenue de Saint-Cloud dans le quartier Notre-Dame à Versailles, dans les Yvelines. Lycée napoléonien créé en 1803, il a été nommé lycée Hoche en 1888 en hommage à Lazare Hoche, général français né à Versailles. La chapelle est classée monument historique depuis 1926, le reste des bâtiments conventuels est inscrit monument historique depuis 1969[1]. Le proviseur actuel est Guy Seguin.

Il est réputé pour ses excellents résultats au baccalauréat et aux concours d'entrée aux grandes écoles, plus particulièrement scientifiques (Écoles normales supérieures, Polytechnique, Mines de Paris, CentraleSupélec, École des Ponts) et commerciales (HEC Paris).

Histoire du lycée Hoche[modifier | modifier le code]

Librairie papeterie Maréchal et façade du lycée Hoche sur l'avenue de Saint-Cloud (carte postale du début du XXe siècle).
L'entrée du lycée Hoche (carte postale du début du XXe siècle).
Le petit collège, photographié par Jules David, ca. 1880-1900.
Le parloir, photographié par Jules David, ca. 1880-1900.

Le lycée s'est vu attribuer, après la nationalisation des biens du clergé au cours de la Révolution française, les bâtiments du couvent de la Reine à Versailles.

Construit entre 1767 et 1772 sous la direction de l’architecte Richard Mique, ce couvent de chanoinesses de Saint-Augustin avait déjà une mission d’enseignement, puisque les religieuses y prenaient en charge l’éducation des jeunes filles issues des familles des serviteurs de la cour.

La rentrée des premières pensionnaires s’effectue le 1er janvier 1773. Le couvent héberge en permanence 80 pensionnaires, 383 pensionnaires passeront par l’institution de 1772 à 1789. La qualité de l’enseignement en fait pour l’époque un succès considérable. Les religieuses devront cependant constamment résister pour conserver la volonté de la fondatrice et accueilleront peu de jeunes filles de la grande noblesse.

Le succès de l’établissement prend fin après vingt années, avec le départ de Versailles de la famille royale en octobre 1789.

  • Un inventaire des biens est ordonné en 1790, après la mise à disposition de la Nation des biens du clergé.
  • La congrégation abandonne définitivement le couvent en 1792.
  • En 1793, la chapelle est occupée par la 2e section de la section versaillaise de la Société des Droits de l’Homme.
  • En 1794, elle devient hôpital militaire.
  • De 1795 à 1800, l’établissement reste inoccupé et sert d’entrepôt à grains et à fourrages.
  • En 1800, elle redevient un hôpital militaire succursale des Invalides.
  • En 1801, après la fermeture de l’École centrale du département, la ville de Versailles souhaite la création d’un lycée pour offrir des facilités scolaires aux riches familles étrangères habitantes.
  • Le consulat crée 30 lycées en France le 22 novembre 1802.
  • Par décret consulaire du 1er vendémiaire an XII (24 septembre 1803), l’ancien couvent devient un lycée.
  • Le 23 octobre 1804, le préfet de Versailles obtient l’ouverture du lycée.
  • Son premier proviseur, Dieudonné Thiébault, est chargé de remettre en état les bâtiments dévastés. Trois années sont nécessaires pour mener à bien cette tâche.
  • Par décret impérial de Posen (aujourd’hui Poznań, en Pologne) du 7 mai 1806, le lycée devient lycée impérial. Le 15 décembre 1806 sont nommés les treize premiers professeurs et les 150 premiers élèves.
  • Le 2 mai 1807, a lieu l’inauguration officielle de l’établissement, avec l’ouverture aux premiers lycéens.
  • En 1809, par le décret impérial de Schönbrunn (Vienne), le lycée de Versailles devient l’un des huit lycées de première classe de l’Empire. Cette reconnaissance témoigne des premiers succès scolaires des élèves, deux d’entre eux étant entrés cette année-là à Polytechnique.
  • En 1819, le lycée de Versailles, assimilé aux lycées parisiens, peut participer au concours général.

Le lycée compte plus de 500 élèves sous le provisorat de M. Théry[2], et est intégré aux Collèges Royaux de Paris qui développent des classes préparatoires aux grandes écoles en 1819.

En 1848-1849, Ernest Renan vient suppléer en philosophie le professeur Ernest Bersot[3].

En 1888, le lycée est appelé lycée Hoche, en mémoire du général révolutionnaire Lazare Hoche, né à Versailles.

Entre 1914 et 1919, le petit lycée Hoche est un hôpital militaire géré par la Croix-Rouge[4].

En 2003, plusieurs hommes politiques et entrepreneurs du bâtiment furent condamnés par la cour d'appel de Versailles pour avoir truqué des marchés publics portant sur le lycée Hoche. Cette condamnation fut confirmée en 2004 par la Cour de cassation[5]. En 2011, l'intendante du lycée fut condamnée pour harcèlement moral sur quatre des employées du lycée, ainsi qu'à 11 000 € d'amende[6].

Surnom populaire[modifier | modifier le code]

Le lycée était traditionnellement surnommé « Baz Hoche » par ses élèves de classes préparatoires[7]. Ce nom figurait notamment sur le khâlot fièrement arboré par les élèves. Cette tradition tend à disparaître[réf. nécessaire].

Le lycée au XXe siècle[modifier | modifier le code]

Initiatives pédagogiques et technologiques[modifier | modifier le code]

Années 1970[modifier | modifier le code]

En 1974, dans un objectif novateur d'initiation à l'informatique des élèves et enseignants intéressés, le lycée Hoche de Versailles a fait partie de l'opération ministérielle dite « Expérience des 58 lycées »[8] : utilisation de logiciels et enseignement du langage de programmation LSE[9], en club informatique de lycée[10], pour 58 établissements de l’enseignement secondaire[11], en France. À cet effet, dans une première phase, quelques professeurs du lycée, enseignants de diverses disciplines, furent préalablement formés de manière lourde à la programmation informatique. L'établissement fut alors doté, dans une seconde phase, d'un ensemble informatique en temps partagé comprenant initialement : un mini-ordinateur français Télémécanique T1600[12] avec disque dur, un lecteur de disquettes 8 pouces, plusieurs terminaux écrans claviers Sintra TTE, un téléimprimeur Teletype ASR-33 (en) et le langage LSE implémenté[13] ; tous ces moyens ayant permis la mise en œuvre de cette démarche expérimentale sur le terrain, avec du matériel informatique ultra-moderne pour l'époque.

Le lycée aujourd'hui[modifier | modifier le code]

Le lycée accueille des élèves du collège aux classes préparatoires. Il offre à ses élèves du lycée une filière générale avec toutes les spécialités, à l'exception de : Littérature, Langues et Cultures de l'Antiquité et Langues, Littératures et Cultures étrangères. Il propose aussi à ses étudiants de classes préparatoires deux filières : Scientifique (spécialisation MP, PSI, PC ou BCPST) ou Économique et Commerciale (spécialisation ECE ou ECS).

Aujourd'hui le lycée Hoche de Versailles assure des cours pour les collégiens du secteur, les lycéens admis sur dossier et les prépas. Les locaux du lycée, entièrement rénovés, représentent la richesse culturelle de Versailles avec les bâtiments conventuels et la chapelle restitués dans la disposition voulue initialement par Richard Mique. Cette dernière conserve la peinture La Crucifixion (1626) d'Aubin Vouet.

Classement du lycée[modifier | modifier le code]

En 2022, le lycée se classe 45e sur 193 au niveau académique et 412e sur 2315 au niveau national selon L'Étudiant[14]. Ces classements ont, d'après l'émetteur, été établis sur cinq critères : le taux de réussite au bac, la capacité à faire progresser les élèves, la capacité à conserver les élèves, le taux de mention et la capacité à faire briller les élèves.

En 2018, le lycée se classe 3e sur 53 au niveau départemental en termes de qualité d'enseignement, et 20e sur 2277 au niveau national selon L'Express[15]. Ces classements sont établis sur trois critères : le taux de réussite au bac, la proportion d'élèves de première qui obtiennent le baccalauréat en ayant fait les deux dernières années de leur scolarité dans l'établissement, et la valeur ajoutée (calculée à partir de l'origine sociale des élèves, de leur âge et de leurs résultats au diplôme national du brevet)[16].

Un autre classement datant de 2015 le place 1er sur 1501 au niveau national[17], ex-æquo avec le lycée Henri-IV et le lycée Louis-le-Grand. Ce classement est établi sur quatre critères : le taux de réussite au bac, la capacité à faire progresser les élèves, le taux d'accès de la première à la terminale, et la stabilité du lycée dans les classements des deux années précédentes. Tout lycée présentant moins de 60 % d’élèves en série générale ou 50 élèves a été exclu de ce classement (soit 800 lycées au niveau national).

Bâtiments[modifier | modifier le code]

Il existe quatre bâtiments distincts :

  • Le bâtiment S (bâtiment des sciences) où se trouvent les salles de cours et de TP de sciences de la vie et de la Terre, de sciences physiques et de chimie pour les classes du collège, du lycée et des CPGE. Dans ce bâtiment, il y a aussi au sous-sol une salle de gymnastique, d'acrosport, de tennis de table et de danse ainsi qu'un grand gymnase multi-sport (volley, basket, badminton…).
  • Le bâtiment C (ancien couvent de la Reine) loge les salles de français, de langues vivantes et de mathématiques du collège et du lycée. Au sein de ce batiment, se trouve aussi le CDI du collège et les permanences du collège et du lycée. Il y a les bureaux des vies scolaires du collège et lycée, le bureau de la CPE collège et de la CPE 1re S et terminale, ainsi que le secrétariat du Proviseur. Enfin, il y a l'intendance. Au sous-sol, se trouvent une salle informatique, une salle de musculation ainsi que deux serveurs informatiques protégés.
  • Le bâtiment D qui loge les cours d'histoire, de géographie, d'éducation morale et civique, de sciences économiques et sociales, l'internat et les salles de classe des CPGE. Dans le bâtiment D, on trouve aussi le réfectoire du lycée Hoche, le CDI du lycée et des CPGE, l'infirmerie, le bureau des CPE de seconde, 1re ES et classes préparatoires ainsi que des salles d'examens.
  • Le bâtiment B (bâtiment des arts) qui renferme les salles d'arts plastiques, de musique et du club informatique du lycée.

Collège Hoche[modifier | modifier le code]

Le collège Hoche accueille cinq classes de sixième, de quatrième et de troisième, ainsi que six classes en cinquième. Ouvert aux secteurs avoisinants, il n’y a plus de sélection pour y entrer. Le taux de réussite au diplôme national du brevet (DNB) y était de 91,5 % en 2009 avec 11 élèves refusés sur 130.

Lycée Hoche[modifier | modifier le code]

Le lycée Hoche recrute ses élèves sur dossier dès l'entrée en seconde. Il propose une filière générale avec toutes les spécialités à l'exception : Littérature, Langues et Cultures de l'Antiquité et Langues, Littératures et Cultures étrangères. Pour arriver à ce niveau, il faut faire partie du meilleur quart d'élèves d'une classe de troisième à Hoche, et des trois meilleurs d'une classe d'un autre collège (à Versailles autant qu'à Marseille).

Classes préparatoires aux grandes écoles[modifier | modifier le code]

Le lycée Hoche accueille des classes préparatoires scientifiques (MP, PC, PSI et BCPST), et économiques et commerciales (ECG, anciennement ECE et ECS). Un internat est disponible pour une partie des élèves.

Classements des CPGE

Le classement national des classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) se fait en fonction du taux d'admission des élèves dans les grandes écoles. En 2018, L'Étudiant donnait le classement suivant pour les concours de 2017 :

Filière Élèves admis dans
une grande école*
Taux
d'admission*
Taux moyen
sur 5 ans
Classement
national
Évolution
sur un an
ECE [18] 11 / 44 élèves 25 % 19 % 12e
sur 105
en augmentation 10
ECS [19] 24 / 47 élèves 51 % 54 % 8e
sur 91
en diminution 1
MP / MP* [20] 44 / 78 élèves 56 % 54 % 4e
sur 113
en diminution 1
PC / PC* [21] 36 / 73 élèves 49 % 48 % 5e
sur 106
=
PSI / PSI* [22] 36 / 42 élèves 86 % 89 % 2e
sur 118
en diminution 1
BCPST [23] 59 / 93 élèves 63 % 64 % 9e
sur 54
en diminution 4
Source : Classement 2018 des prépas - L'Étudiant (Concours de 2017).
* le taux d'admission dépend des grandes écoles retenues par l'étude. En filières ECE et ECS,
ce sont HEC, ESSEC, et l'ESCP. Pour les khâgnes, ce sont l'ENSAE, l'ENC, les 4 ENS, et 5 écoles
de commerce (HEC, ESSEC, ESCP, EM Lyon et EDHEC). En filières scientifiques, ce sont un panier
de 11 à 17 écoles d'ingénieurs qui ont été retenus selon la filière (MP, PC, PSI, PT ou BCPST).

Associations et activités[modifier | modifier le code]

Foyer socio-éducatif (FSE)[modifier | modifier le code]

Le foyer socio-éducatif est une association administrée par des élèves, des parents d'élèves et l'administration du lycée. Il donne lieu à de nombreuses activités scientifiques, culturelles et artistiques. Il favorise l'apprentissage de la vie civique et de la prise de responsabilité.

Il est possible de noter par exemple la présence du club info qui a donné lieu à un projet de jeu « Virtual Hoche » qui reprend le concept de jeux comme Myst ou Versailles à l'intérieur du lycée Hoche.

Le foyer socio-éducatif du lycée Hoche donne lieu régulièrement à des réalisations remarquées, dont certaines sont primées au niveau national (voir infra le site du foyer socio-éducatif). En 2020, il est remplacé par la MDL (Maison des lycéens).

Club informatique du lycée Hoche (CIH)[modifier | modifier le code]

Créé dans les années 1990, le club informatique de ce lycée est géré par un président et un vice-président, nommé tous les ans par les anciens détenteurs du rôle. Cette association est financée par le biais de la Maison des lycées. On peut y trouver du matériel informatique et des ordinateurs, accessibles en libre accès, pour faire des tâches de construction ou de programmation[24].

Interact Hoche[modifier | modifier le code]

Créée en 2014 avec l'aide du Rotary et du Rotaract de Versailles, Interact Hoche est une association du Lycée Hoche. Elle est ouverte à tous les élèves de la Seconde à la Terminale. Cette association humanitaire organise des actions qui ont pour but d'aider les personnes qui ont besoin d'aide que ce soit pour des raisons médicales, de logement, migratoires… L'association et ses 40 membres permanents organise donc tout au long de l'année scolaire des actions. Interact Hoche fait surtout deux types d'actions :

  • Le premier type d'action consiste à récolter des fonds qui sont reversés à de plus grandes associations comme la Croix-Rouge, SOS Méditerranée, L'ordre de Malte, L'étoile de Martin qui pourront directement aider des personnes du monde entier… Ces actions sont souvent des ventes de gâteaux, de croissants…
  • Le deuxième genre d'action est plus direct, des membres de l’association se rendent sur le terrain pour aider les personnes. Par exemple, chaque semaine, des membres d'Interact Hoche se rendent à l'Hôpital Gérontologique et Médico-Social de Plaisir dans le but de distraire les personnes âgées, en jouant de la musique, en étant à leur côté.

Association sportive, Hoche Athletic Club[modifier | modifier le code]

Comme la plupart des établissements secondaires, le lycée possède une association sportive pour les collégiens et lycéens, dans divers sports. Cette association sportive hérite du Hoche Athletic Club, créé dans les années 1950-1960, qui s'est rapidement hissé à un bon niveau académique dans plusieurs disciplines athlétiques.

Personnalités liées au lycée[modifier | modifier le code]

L'Association amicale des anciens élèves du collège et du lycée de Versailles a été fondée au milieu du XIXe siècle et reconnue d'utilité publique par décret impérial du 1er février 1868. Tout ancien élève du lycée Hoche peut faire partie de cette association. En plus de sa mission d'entretien de relations amicales et solidaires, de sa contribution à la prospérité du lycée, l'amicale entretient le souvenir de ses anciens les plus illustres.

Élèves[modifier | modifier le code]

Professeurs[modifier | modifier le code]

Liste des proviseurs[modifier | modifier le code]

  • 1733-1807 : Dieudonné Thiébault
  • 1756-1826 : Pierre-Antoine Robert de Saint-Vincent (auparavant proviseur du lycée de Caen de 1810 à 1812)
  • 1864-1865 : Fleury
  • 1902-1905 : Suerus
  • 1905-1919 : Gustave Friteau
  • 1937-1938 : Chattelun
  • 1974-1979 : M. Pouessel
  • 2008-2016 : Loïc Toussaint de Quiévrecourt
  • 2016-2017 : Isabelle Bourhis
  • 2017 : Stéphane François
  • Depuis 2017 : Guy Seguin

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Notice no PA00087671, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. Marie-Louise Mercier-Jouve, Le lycée Hoche de Versailles , deux cents ans d'histoire, Paris, Patrice du Puy, , 344 p., p. 78
  3. Marie-Louise Mercier-Jouve, Le lycée Hoche, deux cents ans d'histoire, Paris, Partrice du Puy éditeur, , 344 p. (ISBN 9782908004526), p. 99
  4. Marie-Louise Mercier-Jouve, Un exemple de lycée-hôpital de guerre, le lycée Hoche de Versailles (1914-1919), suivi de Les Poilus du lycée Hoche, Versailles, auto-édition, , 222 p. (ISBN 979-10-699-4173-1)
  5. Cour de Cassation, 15 décembre 2004, 03-83474, Juricaf.org
  6. http://www.leparisien.fr/yvelines-78/l-intendante-du-lycee-hoche-condamnee-15-11-2011-1720583.php
  7. « À modifier - slogan », sur lyc-hoche.net (consulté le ).
  8. Jacques Baudé, « L’expérience des « 58 lycées » », « 1024 » : bulletin de la Société informatique de France, Société informatique de France, no 4,‎ , p. 105-115 (DOI 10.48556/SIF.1024.4.105)
  9. Jacques Baudé, « Le système LSE », « 1024 » : bulletin de la Société informatique de France, Société informatique de France, no 7,‎ , p. 41-56 (DOI 10.48556/SIF.1024.7.41)
  10. Daniel Caous, « Témoignage d'un ancien élève sur l'ambiance d'un club informatique « 58 lycées » des années 1975 », EPInet : la revue électronique de l'EPI Association, Association Enseignement public & informatique (EPI), no 231,‎ (ISSN 2429-3067, lire en ligne, consulté le )
  11. EPI Association, « Liste des 58 lycées », sur epi.asso.fr, Enseignement public et informatique, (consulté le )
  12. Association pour un conservatoire de l'informatique et de la télématique, « Collection ACONIT, les mini-ordinateurs français Télémécanique T1600 et CII Mitra 15 », sur db.aconit.org (consulté le )
  13. Daniel Caous et Jacques Baudé, « Les mini-ordinateurs « Éducation nationale » de la décennie 1970 », « 1024 » : bulletin de la Société informatique de France, Société informatique de France, no 19,‎ , p. 41-48 (DOI 10.48556/SIF.1024.19.41, lire en ligne [PDF], consulté le )
  14. L'Etudiant, « Classement des lycées français en 2022 » Accès libre (consulté le ).
  15. Classement Départemental et National des lycées français
  16. Méthodologie du classement national des lycées français
  17. Palmarès national des lycées Figaro 2015
  18. Classement 2018 des prépas ECE
  19. Classement 2018 des prépas ECS
  20. Classement 2018 des prépas MP
  21. Classement 2018 des prépas PC
  22. Classement 2018 des prépas PSI
  23. Classement 2018 des prépas BCPST
  24. « Site du Club Informatique du Lycée » Accès libre, (consulté le ).
  25. Biographie de M. Said Aidi, 30 janvier 2011, Tunisie Focus.
  26. Fonds Charles Andler, Collège de France. Consulté le 1er février 2017.
  27. a b c et d Un livre sur le lycée Hoche, 13 septembre 2010, Le Parisien.
  28. Philippe-Georges Capelle, In Memoriam : Jean-Paul Béchat, 28 novembre 2014, site officiel des Anciens du lycée Hoche.
  29. a b c d e f g h i j k l m n et o Lycée Hoche, Le Parisien. Consulté le 26 janvier 2017.
  30. Toute la communauté de Hoche pleure la disparition de Cabu, un ancien du Lycée que nous n’oublierons pas, 8 janvier 2015, site officiel des Anciens de Hoche.
  31. Jacques Chevalier, Entretiens avec Bergson, 1959.
  32. a et b Le lycée Hoche célèbre son bicentenaire, 17 mars 2010, Le Parisien.
  33. Luc Le Vaillant , Corine Blue, 42 ans, « coach » d'acteurs. Fut l'amante de Cyril Collard, mort du sida, et l'accoucheuse des « Nuits fauves ». La fauvette, Libération, 11 mai 1999.
  34. Notice « Comolli, Jean-Dominique, Daniel » (né en 1948), page 584 in Who’s Who in France : Dictionnaire biographique de personnalités françaises vivant en France et à l’étranger, et de personnalités étrangères résidant en France, 44e édition pour 2013 éditée en 2012, 2371 p., 31 cm (ISBN 978-2-85784-053-4).
  35. Tanguy de Lamotte : “Je ne suis pas un skipper mais un architecte et un aventurier”, L'Étudiant, 21 mai 2007.
  36. Le Maire : François de Mazières, site officiel de la ville de Versailles. Consulté le 1er février 2017.
  37. Conférence de Michel de Rosen, directeur général d’Eutelsat, 31 mai 2012, site officiel des Anciens de Hoche.
  38. Christophe Ferré, Polars Pourpres. Consulté le 01/02/2017.
  39. La chapelle du lycée Hoche à Versailles, Église catholique des Yvelines. Consulté le 1er février 2017.
  40. [PDF] Jean-Yves Lallemand, Hommage à Marc Julia, 9 octobre 2012, Académie des Sciences.
  41. G. Lacombe, ancien élève de Hoche, site du Lycée Hoche - Académie de Versailles. Consulté le 1er février 2017.
  42. Sébastien Lapaque, Ariane Bavelier, Claire Bommelaer et Thierry Hilleriteau, Versailles, l'invitée surprise, 9 décembre 2009, Le Figaro.
  43. Jacques Leprette, Who’s Who in France.
  44. Sébastien Lapaque, Mort du peintre Georges Mathieu, 12 juin 2012, Le Figaro.
  45. Avant-propos , André Mazon Revue des études slaves, 1961
  46. Phoenix - Biographie, site d'Universal. Consulté le 1er février 2017.
  47. Expliquez-nous… le général Piquemal, France Info. Consulté le 1er février 2017.
  48. Une exposition consacrée au cinéaste, 26 juin 2009, Le Parisien
  49. « Jean-Luc Pouliquen », lepetitvehicule.com, consulté le 28 avril 2021.
  50. Antoine Silber, Le Silence de ma mère, 2011, Éditions Denoël.
  51. Jean-Cyril Spinetta, chahuteur mais pas meneur, 7 janvier 2009, Journal du Net.
  52. Marie-Laure Delaporte, Maïthé Vallès-Bled et Itzhak Goldberg, Valtat, indépendant et précurseur, 2011, Beaux Arts Éditions.
  53. Martine Betti-Cusso, Wendelin Werner : la formule savante en toute simplicité, 10 août 2007, Le Figaro.
  54. (es) Galeria de Acaldes de Managua, Manfut. Consulté le 1er février 2017.
  55. CV au Collège de France. Consulté le 5 Janvier 2024.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]