Luc-en-Diois

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Luc-en-Diois
Luc-en-Diois
Mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Diois
Maire
Mandat
Jérôme Mellet
2020-2026
Code postal 26310
Code commune 26167
Démographie
Gentilé Lucois, Lucoises
Population
municipale
565 hab. (2021 en augmentation de 25,28 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 36′ 56″ nord, 5° 27′ 12″ est
Altitude Min. 501 m
Max. 1 245 m
Superficie 23,49 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Die
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Diois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Luc-en-Diois

Luc-en-Diois est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située à 84 km au sud-est de Valence, à 53 km à l'est de Crest et à 18 km au sud de Die.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Sites particuliers :

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 952 mm, avec 7,6 jours de précipitations en janvier et 5,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Bellegarde-en-Diois à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 016,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Luc-en-Diois est une commune rurale (car elle fait partie des communes peu ou très peu denses) au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Die dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,5 %), zones agricoles hétérogènes (11,5 %), terres arables (8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,2 %), prairies (4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,9 %), zones urbanisées (1,7 %), cultures permanentes (1,3 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[13] :

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Viaduc du Claps.

La commune est traversée par la route départementale 93 (axe de Valence à Gap) et possède une gare sur la ligne de Livron à Aspres-sur-Buëch.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

  • 77 : Lucus Augusti (Pline l'Ancien, Naturalis Historia, III, 37)[14],[15].
  • 106-109 : Lucus municipium Vocontiorum est (Tacite, Historiae, I, 66)[14],[15].
  • 333 : mansio Luco (Anonyme de Bordeaux).
  • Ve siècle : Lucus (Table de Peutinger)[14].
  • 1159 : castrum de Luco et castellum quod appellatur Luc (cartulaire de Die, 17)[14].
  • 1165 : castrum de Luc (cartulaire de Die, 6)[14].
  • 1178 : mention du mandement : mandamentum de Luco (cartulaire de Die, 1)[14].
  • 1201 : castrum Luci (Valbonnais, I, 122)[14].
  • XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus de Luco (pouillé de Die)[14].
  • XVIe siècle : mention de la paroisse : capella de Luco (pouillé de Die)[14].
  • 1509 : mention de l'église : ecclesia parrochialis Beate Marie de Luco (visites épiscopales)[14].
  • 1516 : mention de la paroisse : cura de Luco (pouillé de Die)[14].
  • 1788 : Luc (Alman. du Dauphiné)[14].
  • 1891 : Luc-en-Diois, chef-lieu de canton de l'arrondissement de Die[14].

Étymologie[modifier | modifier le code]

Plusieurs hypothèses :

  • Lucus serait le mot latin pour désigner un bois sacré : Lucus Augusti (« Bois sacré d'Auguste »).

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité : les Gallo-romains[modifier | modifier le code]

Luc-en-Diois et Vaison-la-Romaine sont les deux capitales de la cité de la tribu gauloise des Voconces.

Les fouilles ont révélé les restes d'un grand temple, construit sur le même modèle que le temple d'Auguste et de Livie de Vienne. Un bras de statue monumentale (plus de 4 m de haut) et de nombreuses inscriptions sont visibles au musée de Die et du Diois.

Vestiges romains : autel octogonal orné, murs gallo-romains, monnaies[16].

Pour des raisons inconnues, la capitale des Voconces est transférée vers Die au début du IIe siècle.

Peu à peu, la ville va se dépeupler. L'itinéraire appelé l'Anonyme de Bordeaux la cite en 333 comme mansio Luco sur la voie romaine. Un fortin est installé à la même époque au sommet du pic de Luc[17], afin de surveiller la voie stratégique passant par la vallée de la Drôme, entre la Durance et le Rhône. Cette voie est la plus praticable en hiver pour relier Milan à Cologne sur le Rhin où combattent les armées romaines.

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie[14] :

  • Au point de vue féodal, Luc-en-Diois était une terre (ou seigneurie) du patrimoine des anciens comtes de Diois.
  • Dès le XIIe siècle : elle est hommagée aux évêques de Die.
  • Vers 1225 : la terre passe (par mariage) aux Agoult.
  • XVIe siècle : elle est appelée baronnie.
  • 1540 : elle passe aux Lhère de Glandage.
  • Elle passe (par mariage) aux La Baume-Suze.
  • 1705 : la terre appartient aux Gilbert de Sallières.
  • La moitié passe (par mariage) aux Morard.
  • Les Morard acquièrent l'autre moitié. Ils sont les derniers seigneurs.
Claps de Luc, lithographie de Alexandre Debelle (1805-1897).

En 1442, une partie du Pic de Luc, la montagne dominant le village, se détache du flanc opposé au village et se brise en blocs énormes, barrant la Drôme en amont de l'agglomération. L'amas rocheux reçut le nom de Claps[18]. Ainsi se formèrent deux lacs, l'un — le Grand Lac (5 km de long environ, 300 hectares de surface) — en amont de la montagne, et l'autre au pied du Pic de Luc, le Petit Lac (6 hectares)[réf. nécessaire].

L'assèchement du Grand Lac par le percement du « saut de la Drôme », commencé avant la Révolution et continué après, provoqua plusieurs procès entre les chartreux, propriétaires des terres, et les habitants qui utilisaient les atterrissements (zones du lac naturellement comblées par la Drôme) comme pâturages et pour s'approvisionner en saules et broussailles[19].

Avant 1790, Luc-en-Diois était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die. Elle formait une paroisse du diocèse de Die dont l'église, dédiée à la Vierge Marie, était celle d'un prieuré de bénédictins de la filiation d'Aurillac, connu dès le XIVe siècle, et dont le titulaire avait la collation de la cure et les dîmes[14].

Le mandement de Luc-en-Diois comprenait la commune de ce nom et peut-être celle de Miscon[14].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, Luc-en-Diois devient le chef-lieu d'un canton comprenant les municipalités de Barnave, Jansac, Luc-en-Diois, Miscon, Montlaur, Montmaur, Pennes, Poyols et Recoubeau. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) distrait de ce canton la commune de Montlaur mais y adjoint en retour onze communes (Aucelon, la Bâtie-Cramezin, la Bâtie-des-Fonts, Beaurières, Beaumont, Charens, Fourcinet, Jonchères, Lesches, le Pilhon et les Prés)[14].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 ?    
1989 1995 Léonce Mirouse[20] DVD  
1995 2001 Raymond Parent DVD  
2001 2008 Raymond Parent    
2008 2014 Raymond Parent    
2014 2020 Jacques Sauvan (sans étiquette)  
2020 En cours
(au 23 février 2023)
Jérôme Mellet[21][source insuffisante]    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Luc-en-Diois était le chef-lieu du canton. À la suite du redécoupage des cantons du département, la commune fait désormais partie du canton du Diois[22].

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

En 2021 en augmentation de 25,28 % par rapport à 2015, la commune de Luc-en-Diois comptait 565 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres chiffres sont des estimations.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
468483503547697745800906922
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0261 0461 0059099321 0421 1411 1241 015
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
920869785705716712679673577
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
545518452450478490526532422
2017 2021 - - - - - - -
527565-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • École primaire / crêche

Santé[modifier | modifier le code]

  • Maison de santé, pharmacie, osthéopathe

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête : troisième dimanche de juillet[16].

Loisirs[modifier | modifier le code]

  • Pêche[16].Camping Piscine Tennis Jardin public Boulodrome

Sports[modifier | modifier le code]

  • Luc-en-Diois est un des plus anciens sites d'envol pour le parapente. Le championnat de France 1991 se déroula sur le site du Clamontard du 25 au [25].
  • Une via ferrata : « le Claps »[26].

Médias[modifier | modifier le code]

  • RDWA studio radio107.1FM/Espace de vie sociale

Cultes[modifier | modifier le code]

  • Protestant
  • Catholique

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : vignes (vins AOC Châtillon-en-Diois et Clairette de Die), pâturages, lavande, noix[16].

  • Foire mensuelle sauf en juillet et août[16].

Hydroélectricité[modifier | modifier le code]

Une microcentrale hydroélectrique est implantée sur le cours de la Drôme au débouché du Claps. Elle est construite entre 1922 et 1924[27]. Sa production annuelle varie du simple au triple en fonction du débit de la rivière.

Production de la microcentrale du Claps (2014-2021)[27]
Année Production (MW/h)
2014 2366
2015 1413,5
2016 1016
2017 1256
2018 3421
2019 1909
2020 1473
2021 1673,5

Artisanat d'art[modifier | modifier le code]

  • Poterie[16].Artisan du vitrail / Galerie d art

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Station climatique d'été[16].
  • Station verte[16].Musée de la bourrellerie. Collection de fossiles de l abbé Froment.
  • Parcours photographique et historique du village

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

  • Salle des fêtes des Voconces : salle polyvalente de 200 places
  • Petit théâtre datant de 1927
  • Bibliothèque municipale
  • Atelier de bourrellerie

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • Le Claps, éboulement de roches barrant la Drôme (site inscrit)[16].
  • Le Saut de la Drôme : deux cascades[16].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Luc-en-Diois possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Luc-en-Diois et Bellegarde-en-Diois », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Bellegarde-en-Diois », sur la commune de Bellegarde-en-Diois - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Bellegarde-en-Diois », sur la commune de Bellegarde-en-Diois - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  14. a b c d e f g h i j k l m n o p et q J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 199 (Luc-en-Diois).
  15. a et b « Lucus - Dictionnaire Gaffiot français-latin - Page 925 », sur www.lexilogos.com (consulté le ).
  16. a b c d e f g h i j et k Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Luc-en-Diois.
  17. J. Planchon, Y. Teyssonneyre, Deux exemples de fortifications romaines dans les Alpes occidentales, Dialogues d'Histoire Ancienne, no 37/1, 2011, p. 61-91.
  18. Terme occitan clap ou clapas, « bloc de rocher ». La même origine se retrouve dans le mot provençal « clapier » : amoncellement de débris rocheux au pied d'une paroi; éboulis, tas de pierres.
  19. Roger Pierre, « Libertés et contraintes des communautés villageoises dans les pays de la Drôme à la veille de la Révolution », Études drômoises, no 64, mars 1985, p. 20.
  20. Parrainages d'Edouard Balladur - https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000370850&dateTexte=&categorieLien=id
  21. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  22. Décret no 2014-191 du 20 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Drôme
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Classement du championnat 1991.
  26. Via ferrata « le Claps » - Récits de passionnés (Impressions, conseils, topo et photos).
  27. a et b « Microcentrale du Claps », Le Lucois, bulletin municipal no 6, Hiver 2022, p. 4.