Liorac-sur-Louyre

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Liorac-sur-Louyre
Liorac-sur-Louyre
Le bourg de Liorac-sur-Louyre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Jean-Claude Monteil
2020-2026
Code postal 24520
Code commune 24242
Démographie
Gentilé Lioracois
Population
municipale
260 hab. (2021 en augmentation de 10,17 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 53′ 51″ nord, 0° 38′ 36″ est
Altitude Min. 63 m
Max. 177 m
Superficie 20,27 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lalinde
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Liorac-sur-Louyre
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Liorac-sur-Louyre
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Liorac-sur-Louyre
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Liorac-sur-Louyre
Liens
Site web www.liorac-sur-louyre.fr

Liorac-sur-Louyre, précédemment nommée Liorac jusqu'en 1967, est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Commune située dans l'aire urbaine de Bergerac.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de Liorac-sur-Louyre et des communes avoisinantes.

Liorac-sur-Louyre est limitrophe de sept autres communes dont Saint-Sauveur au sud-ouest sur moins de 200 mètres.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Liorac-sur-Louyre est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 806 - Bergerac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

Carte géologique de Liorac-sur-Louyre.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 63 m et 177 m[5],[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[9].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 20,27 km2[5],[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 20,69 km2[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par la Louyre, le Caudeau, la Sérouze, le ruisseau de Barbeyrol, et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 11,5 km de longueur totale[14],[Carte 1].

Le Caudeau, d'une longueur totale de 38,47 km, prend sa source dans la commune de Veyrines-de-Vergt et se jette dans la Dordogne en rive droite à Bergerac, juste en aval du barrage de Bergerac[15]. Il marque la limite communale au nord-ouest sur deux kilomètres, face à Saint-Georges-de-Montclard.

La Louyre, d'une longueur totale de 25,51 km, prend sa source dans la commune de Val de Louyre et Caudeau (territoire de l'ancienne commune de Cendrieux) et se jette dans le Caudeau en rive gauche sur la commune de Lamonzie-Montastruc[16]. Elle traverse la commune du nord-est à l'ouest sur quatre kilomètres et demi.

Deux de ses affluents de rive gauche baignent l'est du territoire communal : le ruisseau de Barbeyrol sur près de 300 mètres dont 170 mètres en limite de Saint-Félix-de-Villadeix, et la Sérouze sur 850 mètres dont 530 mètres en limite de Saint-Marcel-du-Périgord.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[19]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[20].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 884 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[21]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bergerac à 14 km à vol d'oiseau[22], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,9 mm[23],[24]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[25].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Liorac-sur-Louyre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[26],[27],[28].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[29],[30].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63 %), prairies (21,6 %), terres arables (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %), mines, décharges et chantiers (1,9 %)[31]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Liorac-sur-Louyre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Caudeau et la Louyre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[34],[32]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée du Caudeau », couvrant 14 communes et approuvé le , pour les crues du Caudeau[35],[36].

Liorac-sur-Louyre est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[37]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[38],[39].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Liorac-sur-Louyre.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[40]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[41]. 55,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[42].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[32].

Toponymie[modifier | modifier le code]

En occitan, la commune porte le nom de Lieurac de Loira[43].

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1967, la commune de Liorac devient Liorac-sur-Louyre.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune de Liorac a, dès 1790, été rattachée au canton de Liorac qui dépendait du district de Bergerac. En 1800, le canton de Liorac est supprimé, de même que les districts, et la commune est rattachée au canton de Lalinde dépendant de l'arrondissement de Bergerac[5].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

En 2002, Liorac-sur-Louyre intègre la communauté de communes Entre Dordogne et Louyre. Cette structure intercommunale fusionne avec quatre autres pour former au la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[44],[45].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie en 2016.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1792 1799 Henry Meynardie    
1799 1801 Pierre Bordier Delarue    
         
mars 2001 mars 2008 Alain Gipoulou    
mars 2008[46]
(réélu en mai 2020)
En cours Jean-Claude Monteil SE[47] Retraité exploitant agricole

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Liorac-sur-Louyre relève[48] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[50].

En 2021, la commune comptait 260 habitants[Note 6], en augmentation de 10,17 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
671529591603622715697705705
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
702658671627627648645607541
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
543512465425363346335317282
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
273231217212270247225219236
2018 2021 - - - - - - -
250260-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête annuelle début septembre[52]

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2015[53], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 103 personnes, soit 43,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (dix) a légèrement augmenté par rapport à 2010 (neuf) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,7 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte trente établissements[54], dont treize au niveau des commerces, transports ou services, sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, cinq dans l'industrie, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et deux dans la construction[55].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Au sud, près de la moitié du territoire communal se situe en forêt de Liorac, une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II, refuge de la grande faune[60],[61].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Liorac-sur-Louyre » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Liorac-sur-Louyre » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Liorac-sur-Louyre », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 806 - Bergerac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Liorac-sur-Louyre », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  13. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  14. « Fiche communale de Liorac-sur-Louyre », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  15. Sandre, « le Caudeau »
  16. Sandre, « la Louyre »
  17. « SAGE Dordogne Atlantique », sur gesteau.fr (consulté le ).
  18. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  20. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  21. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  22. « Orthodromie entre Liorac-sur-Louyre et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  23. « Station Météo-France « Bergerac-Roumanière » (commune de Bergerac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  24. « Station Météo-France « Bergerac-Roumanière » (commune de Bergerac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  25. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  26. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  28. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  29. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  32. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Liorac-sur-Louyre », sur Géorisques (consulté le ).
  33. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  34. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  35. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), liste des risques par communes, pages 111-133.
  36. [PDF]« Plan de prévention du risque inondation de la « vallée du Caudeau » », sur le site de la préfecture de la Dorodgne, (consulté le ).
  37. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  38. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  39. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
  40. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  41. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  42. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  43. Le nom occitan des communes du Périgord - Lieurac de Loira sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  44. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 5 septembre 2020.
  45. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 30 octobre 2020.
  46. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 21 août 2014.
  47. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 12.
  48. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  52. « Deux jours de fête », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 21.
  53. Dossier complet - Commune de Liorac-sur-Louyre (24242) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 28 novembre 2018.
  54. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  55. Dossier complet - Commune de Liorac-sur-Louyre (24242) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 28 novembre 2018.
  56. « Château de Garraube », notice no PA00083103, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, onsultée le 26 février 2020.
  57. « Château de Genthial », notice no PA00082617, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 26 février 2020.
  58. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 161, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X).
  59. « Église de Liorac-sur-Louyre », notice no PA00082618, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 26 février 2020.
  60. Forêt de Liorac, sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 mars 2017.
  61. Carte de localisation de la Forêt de Liorac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 mars 2017. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».