Lignières-Sonneville

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Lignières-Sonneville
Lignières-Sonneville
Le château de Lignières et mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Statut commune déléguée
Maire délégué Dominique Mercier
Code postal 16130
Code commune 16186
Démographie
Gentilé Lignerois
Population 568 hab. (2018 en diminution de 8,39 % par rapport à 2012)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 33′ 35″ nord, 0° 10′ 54″ ouest
Altitude Min. 40 m
Max. 143 m
Superficie 16,36 km2
Élections
Départementales Canton de Charente-Champagne
Législatives Deuxième circonscription
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Lignières-Ambleville
Localisation
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Lignières-Sonneville
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Lignières-Sonneville

Lignières-Sonneville est une ancienne commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Depuis le , elle est une commune déléguée de la commune nouvelle de Lignières-Ambleville[1].

Lignières-Sonneville résulte de la fusion de Lignières et de Sonneville en 1845[2].

Ses habitants sont les Lignerois et les Ligneroises[3].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Lignières-Sonneville est une commune de l'ouest du département de la Charente, située à 7 km au sud de Segonzac, chef-lieu de son ancien canton, et 28 km au sud-ouest d'Angoulême.

Lignières est aussi à 10 km au nord de Barbezieux, 10 km au nord-est d'Archiac, 11 km à l'ouest de Châteauneuf-sur-Charente, 19 km au sud-est de Cognac, 24 km de Jonzac, 28 km de Pons[4].

La D 699 d'Angoulême à Jonzac par Châteauneuf et Archiac traverse la commune d'est en ouest et dessert le bourg. La D 1 de Barbezieux à Segonzac traverse l'est de la commune du nord au sud[5].

La gare la plus proche est celle de Châteauneuf, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Comme dans de nombreuses communes charentaises, Lignières-Sonneville possède un habitat dispersé et compte une cinquantaine de hameaux et fermes[6]. Les principaux sont les Abels au sud et Chez Piet au nord-est, les autres sont Maine Bois, Chez Guillon, Chez Ballet, Sonneville, Hauteneuve, le May, etc.[5].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est occupée par le Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux, qui occupe une grande partie du Sud Charente. Quelques petites zones d'argile sableuse datant du Tertiaire occupent les sommets des plateaux au nord et au nord-est de la commune[7],[8],[9].

La commune a un relief assez vallonné, typique de la Champagne. Deux vallées de direction est-ouest traversent la commune, celle de Sonneville au nord et celle de Lignières au sud. Le point culminant de la commune est à une altitude de 143 m, situé à l'extrémité nord-est au Canton Marceau. Le Puy du Mont, au nord-est, culmine à 127 m, mais d'autres sommets dépassant les 120 m se trouvent en limite nord de la commune. Le point le plus bas est à 40 m, situé en limite ouest près d'Ambleville. Le bourg est à environ 55 m d'altitude[5].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Collinaud qui prend sa source à Bonneuil et se jette dans le , affluent de la Charente, traverse la commune d'est en ouest et passe au bourg. La vallée de Sonneville est parcourue par un ruisseau temporaire, les Boulots, qui rejoint le Collinaud à Ambleville. On trouve aussi quelques fontaines comme celle de Galand au nord-est, ou la Font Gireau près de Sonneville[5].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lignières-Sonneville est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (71,3 %), zones agricoles hétérogènes (11,6 %), forêts (7,2 %), prairies (5,8 %), terres arables (4,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Lignières est attesté sous les formes latinisées Linerias (sans date), Lineriis au XIIIe siècle[16]. Il s'agit d'un terme issu du gallo-roman LINARIU, LINARIAS « terre où l'on cultive le lin », comme les différents Lignières, Lignères du nord de la France. La graphie moderne est inspirée de celle du mot « ligne »[17].

Sonneville est mentionné sous la forme Sonovilla en 1151[18],[Note 2]. Nom médiéval en -ville au sens ancien de « domaine rural », précédé du nom de personne germanique Sunno[19]. Le même anthroponyme se retrouve dans les Soncourt, Sonchamp (de Sunocampo 1202)[20] et peut-être Senneville-sur-Fécamp (Sonevilla 1025 [?]) au nord de la Loire.

Les noms en -ville en Charente, fréquents entre Barbezieux et Châteauneuf, seraient issus des implantations franques après le VIe siècle en Aquitaine, comme au sud-est de Toulouse[21].

Lignières a absorbé Sonneville en 1845[2].

Histoire[modifier | modifier le code]

Un fossé circulaire protohistorique a été trouvé aux Combes et un enclos rectangulaire Chez Piet[22].

Au Moyen Âge, la terre de Lignières était une des plus belles possessions de la famille d'Archiac, elle-même une des plus remarquables de la Saintonge.

En 1410, Pierre Borselle, écuyer, capitaine du château de Bouteville possède cette terre, qui passe par alliance en 1445 à Henri Poussard, chevalier, seigneur de Meursay. La famille Poussard possèdera Lignières jusqu'en 1719.

Au XVIe siècle, Charles Poussard était aussi seigneur de Saint-Brice, Saint-Trojan et autres lieux. Il fut gouverneur de Dieppe et vice-amiral des côtes de Normandie. Son fils, aussi nommé Charles, fut élevé comme enfant d'honneur de Jeanne d'Albret, reine de Navarre, et devint ensuite gentilhomme de la Chambre du Roi, Henri IV.

En 1719, Lignières passa à la famille de Plas jusqu'à la Révolution[23],[24].

Les registres de l'état civil remontent à 1600.

Au début du XXe siècle, des foires mensuelles se tenaient encore au bourg de Lignières, chaque deuxième jeudi.

Sonneville formait une petite paroisse à part, érigée en commune en 1793, puis absorbée en 1845[23],[2].

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2001 Yves Alibé   Retraité
2001 2008 Jean-Luc Frumholtz DVD  
2008 2014 Patrick Vigneron-Larosa SE Retraité commandant marine marchande
2014 En cours Dominique Mercier    

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

La commune a reçu en 2015 le label « pierre et vignes », et en 2016 « terre saine ».

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

En 2018, la commune comptait 568 habitants[Note 3], en diminution de 8,39 % par rapport à 2012 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
517567542434611930903958909
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 0291 005908940831770719708751
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
804722773751777751734737705
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
701615597603613609586606606
2018 - - - - - - - -
568--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 36 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 273 hommes pour 295 femmes, soit un taux de 51,94 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
3,0 
90 ou +
8,2 
10,9 
75-89 ans
17,1 
17,8 
60-74 ans
14,7 
23,8 
45-59 ans
21,0 
15,9 
30-44 ans
16,8 
13,2 
15-29 ans
10,1 
15,5 
0-14 ans
12,2 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarques[modifier | modifier le code]

Lignières a absorbé Sonneville en 1845[2].

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Le vignoble à Lignières-Sonneville.

La viticulture est la principale ressource de Lignières-Sonneville, qui est située dans la zone d'appellation d'origine contrôlée cognac, en Grande Champagne, premier cru classé du cognac[30].

Certains producteurs vendent cognac, pineau des Charentes et vin de pays à la propriété.

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Ambleville, Lignières-Sonneville et Criteuil-la-Magdeleine. Lignières accueille l'école maternelle, avec deux classes, et Ambleville et Criteuil-la-Magdeleine les écoles élémentaires. Le secteur du collège est Segonzac[31].

Associations et vie culturelle[modifier | modifier le code]

  • La Petite Maison du lin, association pour la culture et patrimoine de la commune, et connaissance de la culture du lin en Grande Champagne[32].
  • Le Foyer rural, association paramunicipale, est chargé d'activités culturelles et touristique comme la gestion d'une bibliothèque de prêt, ainsi que l'atelier du peintre Daniel de Linière (1925-2014) de la seconde École de Paris qui présente un ensemble de toiles, d'aquarelles et de tapisseries[33].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Le temple de Chez Piet a été aménagé dans une grange en 1757 après la destruction en 1685 du temple de Sonneville[37].

Le cimetière, localisé à 300 m au nord du bourg de Lignières, est partagé en deux parties, une pour les catholiques, une pour les protestants, avec deux portails d'entrée, un pour chaque confession[38].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • Des maisons sont datées de 1749 et de 1753 :
  • Châteaux et logis :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean Fougerat (1863-1932), pharmacien, viticulteur et bienfaiteur, a acquis et replanté des vignes entre 1898 et 1901 à Bois Barit[41].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Voir aussi Sonneville près de Rouillac.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Arrêté portant création de la commune nouvelle de Lignières-Ambleville », sur Préfecture de la Charente,
  2. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
  4. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  5. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  6. Jean-Louis Berthet, Les Reflets de la Charente, Cognac, Monti, , 101 p.
  7. Carte du BRGM sous Géoportail
  8. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  9. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
  10. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 238
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 403.
  18. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 176
  19. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne), p. 960.
  20. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 660.
  21. Michel Rouche, L'Aquitaine des Wisigoths aux Arabes (418-781), t. 2, Jean Touzot, , 776 p. (présentation en ligne), p. 135-136, fig.18
  22. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 204
  23. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 216-217
  24. Jean-Marie Ouvrard, « Famille Poussard, blasons des Charentes » (consulté le )
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lignières-Sonneville (16186) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  30. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le )
  31. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
  32. « La petite maison du lin », (consulté le )
  33. Cathy Rabiller, « Une commune nouvelle en 2017 ? », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le )
  34. « Église Notre-Dame-de-Lignières », notice no PA00104394, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  35. « Église de Sonneville », notice no PA00104395, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  36. « Église de Saint-Palais-des-Combes », notice no PA00104396, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  37. « Temple », notice no IA00042200, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  38. « Cimetière de catholiques, de protestants », notice no IA00042213, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. « Château de Lignières », notice no PA00104393, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  40. « Maison », notice no PA00104397, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  41. Gilles Bernard, Le cognac, à la conquête du monde, Presses universitaires de Bordeaux, , 414 p. (ISBN 9791030008890), p. 242

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]