Ligier

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Ligier
Discipline Formule 1
Localisation Drapeau de la France Magny-Cours, France
Dirigeants et pilotes
Président Drapeau de la France Guy Ligier
Directeur Drapeau du Royaume-Uni Tom Walkinshaw
Directeur technique Drapeau de la France Gérard Ducarouge
Drapeau du Royaume-Uni Frank Dernie
Pilotes Drapeau de la France Jacques Laffite
Drapeau de la France Patrick Depailler
Drapeau de la France Didier Pironi
Drapeau des États-Unis Eddie Cheever
Drapeau de la France Philippe Streiff
Drapeau du Royaume-Uni Martin Brundle
Drapeau du Royaume-Uni Mark Blundell
Drapeau de la France Olivier Panis
Drapeau de la France Éric Bernard
Caractéristiques techniques
Châssis Ligier
Moteurs Matra, Ford-Cosworth, Renault, Alfa Romeo, Megatron, Judd, Lamborghini, Mugen-Honda
Pneumatiques Goodyear, Michelin
Pirelli
Résultats
Début Grand Prix du Brésil 1976
Dernière course Grand Prix du Japon 1996
Courses disputées 326
Points marqués 388
Titres constructeurs 0
Titres pilotes 0
Victoires 9
Podiums 50
Pole positions 9
Meilleurs tours en course 9

Ligier est un constructeur automobile français. Aujourd'hui spécialisé dans la construction de voiturettes, Ligier est surtout connu pour son implication dans le championnat du monde de Formule 1 entre 1976 et 1996.

En collaboration avec Automobiles Martini, l'entité Ligier-Martini propose des Sport-Prototypes utilisés en endurance ou en course de côte (groupe CN). Après l'annonce de la création de la nouvelle catégorie LMP3 par l'ACO, Ligier et Martini s'associent avec Onroak Automotive, le département constructeur de OAK Racing pour offrir une gamme complète de prototypes (CN, LMP3, LMP2 et LMP1).

Histoire

Ligier a été fondé par Guy Ligier, pilote automobile qui a disputé douze Grands Prix de Formule 1 entre 1966 et 1967. Il a auparavant créé, avec d'autres associés, une entreprise de travaux publics à Vichy. L'entreprise Ligier Travaux Publics a décroché de nombreux marchés de travaux autoroutiers, ponts, barrages et aménagements.

En 1969, il fonde sa marque destinée à engager des voitures en Endurance. Toutes les Ligier de course auront comme nom de code un nombre précédé des initiales « JS », en hommage au pilote Jo Schlesser, grand ami de Guy Ligier tragiquement disparu lors du Grand Prix de France 1968. Après quelques succès en endurance, Ligier s'engage en Formule 1 à partir de la saison 1976 et y restera près de 20 ans.

Parallèlement à son engagement en sport automobile, la marque automobile se fait connaître par la conception de voiturettes ne nécessitant pas le permis de conduire. À partir de 1992, Guy Ligier a progressivement revendu la majorité puis la totalité de ses parts de son écurie qui est devenue Prost Grand Prix en 1997.

En 2004, Guy Ligier est devenu actionnaire majoritaire des Automobiles Martini et l'année suivante la marque Ligier a effectué un retour à la compétition avec la JS49[1], prototype de course répondant à la règlementation du championnat d'endurance VdeV. Ligier a également conçu une Formule 3, mais cette dernière n'est jamais apparue en course.

Après l'annonce de la création de la nouvelle catégorie LMP3 par l'ACO[2], Onroak Automotive, le département constructeur de OAK Racing, s'associe avec Ligier pour offrir une gamme complète de prototypes : CN, LMP3, LMP2 et LMP1[3].

Ligier et les courses d'endurances

La Ligier JS2 de 1975 (présentée ici à Goodwood en 2009).

L'écurie participe aux 24 Heures du Mans de 1970 à 1975 (remportant au passage le Tour de France automobile 1974 sur Ligier JS2 avec Gérard Larrousse, Jean-Pierre Nicolas et Johnny Rives).

En 1970, elle engage une JS1 dotée d'un moteur Ford Cosworth FVC d'1,8 L, et en 1971, une barquette JS3 à moteur V8 Cosworth de F1, conçue par Michel Tétu[4].

De 1972 à 1975 une dizaine de JS2 sera engagée au Mans, d'abord propulsées par des moteurs Maserati V6 de 3 L de cylindrée puis par un Ford Cosworth V8 de 3 L en 1975[4].

24 Heures du Mans

Sport-Prototypes Groupe CN

La Ligier JS49 remporte le Championnat VdeV en 2008 avec Julien Schell et David Caussanel.

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Ligier et la Formule 1

Les débuts (1976 - 1978)

Guy Ligier engage sa marque en Formule 1 à partir de 1976 avec le soutien de la SEITA et du motoriste Matra Sports[4]. Si Jean-Pierre Beltoise effectue les premiers essais et les réglages de base, Jacques Laffite est finalement retenu comme pilote. Les premiers résultats sont encourageants puisque l'écurie « bleu de France » décroche grâce à Laffite plusieurs podiums dès 1976.

En 1977, la jeune équipe peine à confirmer les résultats de la saison précédente et enchaîne les contre-performances jusqu’au Grand Prix de Suède où, parti dans l’anonymat du peloton, Laffite décroche la première victoire des « Bleus » au terme d’une remontée inespérée. Ce succès est la seule performance notable de l'année.

La saison 1978 n’étant guère meilleure, Matra quitte la Formule 1, ce qui oblige Ligier à se tourner vers le moteur Ford-Cosworth pour 1979.

Les grandes années Ligier (1979 - 1981)

la Ligier JS11 de Jacques Laffite (présentée ici à Goodwood en 2008).

1979 marque le début de la plus belle période de l'histoire Ligier grâce à un châssis de qualité. La JS11 dessinée par l’ingénieur Gérard Ducarouge a parfaitement intégré le principe de l’effet de sol si bien exploité l'année précédente par la Lotus 79. Grâce à l'efficace duo de pilotes Jacques Laffite-Patrick Depailler, Ligier fait main basse sur le début de championnat et remporte trois des cinq premières manches de la saison.

Cette domination ne dure pourtant pas. Réputé pour ses qualités de mise au point, Depailler se blesse grièvement dans un accident de deltaplane peu avant la mi-saison. Combiné à des ressources budgétaires limitées, cet accident perturbe le développement de la JS11, inexorablement débordée par les Ferrari et les Williams F1 Team au fil de l'année. L'écurie française termine à la troisième place du championnat, avec 61 points.

En 1980, Ligier et le duo Jacques Laffite-Didier Pironi confirme son bel état de forme avec deux nouvelles victoires et une présence constante aux avant-postes, sans pouvoir toutefois se mêler à la lutte pour le titre mondial. Elle termine vice-championne du monde derrière Williams, ce qui est, et restera, son meilleur classement en Formule 1.

En 1981, l’équipe, qui bénéficie de l’implication du groupe PSA Peugeot Citroën via Talbot-Matra, connaît un début de saison très moyen. Les résultats décollent à partir de la fin du printemps quand Laffite enchaîne les places d’honneur et remporte deux victoires qui le relancent de manière inespérée dans la lutte pour le titre mondial. À la veille du dernier Grand Prix de la saison à Las Vegas, il est troisième du championnat avec une réelle chance mathématique d’être titré. Mais il doit finalement se contenter de la quatrième place au classement général.

Sur la pente descendante

Andrea de Cesaris sur Ligier JS23 en 1984 à Dallas

La saison 1982 marque le début de la chute de Ligier. Les voitures ne marquent des points qu'à cinq reprises dans l'année. Eddie Cheever prend le dessus sur Laffite avec trois podiums contre un. L'équipe termine huitième du championnat et subit les départs de Laffite vers Williams et de Cheever vers Renault, ainsi que la fin du soutien de Peugeot : Ligier n'aura pas de moteur turbo, solution technique devenue indispensable, à cette époque, pour réussir.

En 1983, avec un V8 Cosworth, Jean-Pierre Jarier et Raul Boesel ne marquent aucun point ; c'est la pire saison de l'histoire de Ligier. En 1984, l’équipe bénéficie enfin d’un moteur V6 turbocompressé Renault mais ne parvient pas à l'utiliser efficacement. Avec seulement trois points glanés en début de saison, Ligier se classe dixième du championnat du monde.

En 1985, Laffite revient et l'équipe progresse. Les deuxième et troisième places décrochées au dernier Grand Prix en Australie permettent à Ligier de décrocher la sixième place au championnat. En 1986, les « Bleus de France » confirment leur retour aux avant-postes. Après le Grand Prix national, ils sont quatrième du championnat avec notamment deux podiums. Mais à Brands Hatch, Laffite est victime d'un grave accident qui met un terme à sa carrière. Philippe Alliot et René Arnoux ne marquent que six points. Ligier termine cinquième du championnat mais est victime d'un nouveau coup dur puisque Renault quitte la Formule 1 à la fin de la saison.

En 1987, Ligier pense avoir trouvé une solution de rechange intéressante avec Alfa Romeo, mais le rachat d'Alfa par FIAT, déjà présent via Ferrari, change la donne. Prétextant des déclarations maladroites de René Arnoux à la presse italienne, Alfa abandonne Ligier à quelques jours du début de la saison 1987, obligeant l’écurie française à se tourner in-extremis vers Megatron qui développe les anciens blocs BMW turbo. Ligier poursuit sur le rythme de la fin de saison dernière, ne marquant qu'un seul point en Belgique pour se classer onzième du championnat.

En 1988, Ligier est contraint de passer au moteur Judd, qui n'est pas performant. La voiture ne compense pas les carences du bloc britannique et Ligier ne marque aucun point. En 1989, les moteurs turbo sont interdits et Ligier n'est plus aussi désavantagé avec son bloc Cosworth. L'équipe ne parvient pourtant à marquer que trois points au Canada et en France, terminant quatorzième du championnat.

En 1990 et en 1991, avec le Cosworth puis le moteur Lamborghini, les bleus ne marquent aucun point. Les JS33B, JS35 et JS35B ne sont pas performantes, les voitures partent en fond de grille et ne parviennent pas à remonter en course.

Nouveaux propriétaires

La Ligier JS43 de 1996

En 1992, Ligier bénéficie de l’apport du meilleur moteur du plateau, le V10 Renault. Pourtant, alors que Williams F1 Team domine le championnat avec ce bloc, les Ligier n'ont marqué que six points à la mi-saison et ce jusqu'à la manche finale. Guy Ligier revend la majorité de ses parts à l’entrepreneur Cyril de Rouvre déjà vu en Formule 1 en tant que propriétaire de l'écurie AGS de 1989 à 1991. Celui-ci profite de l'intérêt de Benetton Formula et McLaren pour le moteur Renault pour négocier une aide technique et financière de Williams afin de conserver son moteur et ne pas renforcer la concurrence.

Profitant de l'antipatinage fourni par Williams, Ligier retrouve un nouveau souffle et la saison 1993 marque le retour des voitures bleues qui marquent des points régulièrement avec notamment trois podiums et terminent le championnat à la cinquième place, le meilleur résultat depuis 1986. Mais de Rouvre quitte l'écurie à l'issue de la saison en raison d'ennuis judiciaires.

En 1994, les aides au pilotage sont interdites et le moteur Renault ne suffit pas à masquer les carences de la voiture qui n'a marqué aucun point à mi-saison. Au printemps, Flavio Briatore, patron de Benetton rachète Ligier : plus rien ne s'oppose désormais au transfert du moteur Renault chez Benetton pour 1995. Briatore installe Tom Walkinshaw à la tête de Ligier et la saison 1994 n'est sauvée qu'au Grand Prix d'Allemagne où les voitures terminent deuxième et troisième après un carambolage au premier virage. Les nouveaux points inscrits en Hongrie et en Australie permettent à l'équipe de terminer sixième du championnat.

En 1995, Ligier perd le moteur Renault qui est remplacé par un bloc Mugen-Honda, mais bénéficie d'une étroite collaboration technique avec Benetton qui vient de remporter le titre avec Michael Schumacher. L'équipe reproduit ses bonnes performances de 1993 avec deux podiums en Belgique et en Australie et termine cinquième du championnat constructeur. Au cours de l'intersaison, Tom Walkinshaw tente de racheter Ligier mais le tollé médiatique provoqué en France par un tel projet (un déménagement en Angleterre est évoqué) le pousse à quitter l’écurie début 1996.

En 1996, Briatore délaisse totalement l'écurie. Pour équilibrer le budget, le pilote payant Pedro Diniz est recruté pour épauler Panis. Le début de saison est difficile, Panis ne parvenant à marquer qu'un seul point sous le déluge brésilien. À la surprise générale, Panis remporte le Grand Prix de Monaco alors qu'il partait quatorzième. Si la fin de saison n'est pas aussi fructueuse avec quatre points supplémentaires, cette victoire relance l'intérêt médiatique en France. Alain Prost qui avait déjà tenté de racheter l'écurie en 1992 et 1995, y parvient le 14 février 1997, un mois avant le début de la saison 1997 : Prost Grand Prix est né.

Résultats en championnat du monde de Formule 1

Résultats de l'écurie Ligier en championnat du monde de Formule 1
Saison Écurie Châssis Moteur Pneus Pilotes Grands Prix disputés Points inscrits Classement
1976 Ligier Gitanes Ligier JS5 Matra V12 Goodyear Drapeau de la France Jacques Laffite 16 20 6e
1977 Ligier Gitanes Ligier JS7 Matra V12 Goodyear Drapeau de la France Jacques Laffite
Drapeau de la France Jean-Pierre Jarier
17 18 8e
1978 Ligier Gitanes Ligier JS7
Ligier JS9
Matra V12 Goodyear Drapeau de la France Jacques Laffite 16 19 6e
1979 Ligier Gitanes Ligier JS11 Ford-Cosworth V8 Goodyear Drapeau de la France Jacques Laffite
Drapeau de la France Patrick Depailler
Drapeau de la Belgique Jacky Ickx
15 61 3e
1980 Équipe Ligier Gitanes Ligier JS11/15 Ford-Cosworth V8 Goodyear Drapeau de la France Jacques Laffite
Drapeau de la France Didier Pironi
14 66 2e
1981 Équipe Talbot Gitanes Ligier JS17 Matra V12 Michelin Drapeau de la France Jacques Laffite
Drapeau de la France Jean-Pierre Jarier
Drapeau de la France Patrick Tambay
Drapeau de la France Jean-Pierre Jabouille
15 44 4e
1982 Équipe Talbot Gitanes Ligier JS17
Ligier JS17B
Ligier JS19
Matra V12 Michelin Drapeau de la France Jacques Laffite
Drapeau des États-Unis Eddie Cheever
15 20 8e
1983 Équipe Ligier Gitanes Ligier JS21 Ford-Cosworth V8 Michelin Drapeau de la France Jean-Pierre Jarier
Drapeau du Brésil Raul Boesel
15 0 Non classé
1984 Ligier Loto Ligier JS23 Renault V6 turbo Michelin Drapeau de la France François Hesnault
Drapeau de l'Italie Andrea de Cesaris
16 3 10e
1985 Équipe Ligier Ligier JS25 Renault V6 turbo Pirelli Drapeau de la France Jacques Laffite
Drapeau de l'Italie Andrea de Cesaris
Drapeau de la France Philippe Streiff
15 23 6e
1986 Équipe Ligier Ligier JS27 Renault V6 turbo Pirelli Drapeau de la France Jacques Laffite
Drapeau de la France René Arnoux
Drapeau de la France Philippe Alliot
16 29 5e
1987 Ligier Loto Ligier JS29B
Ligier JS29C
Megatron 4 en ligne turbo Goodyear Drapeau de la France René Arnoux
Drapeau de l'Italie Piercarlo Ghinzani
15 1 11e
1988 Ligier Loto Ligier JS31 Judd V8 Goodyear Drapeau de la France René Arnoux
Drapeau de la Suède Stefan Johansson
14 0 Non classé
1989 Ligier Loto Ligier JS33 Ford-Cosworth V8 Goodyear Drapeau de la France René Arnoux
Drapeau de la France Olivier Grouillard
14 3 13e
1990 Ligier Gitanes Ligier JS33B Ford-Cosworth V8 Goodyear Drapeau de la France Philippe Alliot
Drapeau de l'Italie Nicola Larini
16 0 Non classé
1991 Ligier Gitanes Ligier JS35
Ligier JS35B
Lamborghini V12 Goodyear Drapeau de la France Érik Comas
Drapeau de la Belgique Thierry Boutsen
16 0 Non classé
1992 Ligier Gitanes Blondes Ligier JS37 Renault V10 Goodyear Drapeau de la France Érik Comas
Drapeau de la Belgique Thierry Boutsen
16 6 7e
1993 Ligier Gitanes Blondes Ligier JS39 Renault V10 Goodyear Drapeau du Royaume-Uni Martin Brundle
Drapeau du Royaume-Uni Mark Blundell
16 23 5e
1994 Ligier Gitanes Blondes Ligier JS39B Renault V10 Goodyear Drapeau de la France Éric Bernard
Drapeau de la France Olivier Panis
Drapeau de la France Franck Lagorce
Drapeau du Royaume-Uni Johnny Herbert
16 13 6e
1995 Ligier Gitanes Blondes Ligier JS41 Mugen-Honda V10 Goodyear Drapeau de la France Olivier Panis
Drapeau du Japon Aguri Suzuki
Drapeau du Royaume-Uni Martin Brundle
17 24 5e
1996 Équipe Ligier Gauloises Blondes Ligier JS43 Mugen-Honda V10 Goodyear Drapeau de la France Olivier Panis
Drapeau du Brésil Pedro Diniz
16 15 6e

Palmarès des pilotes de Ligier

Palmarès des pilotes de l'écurie Ligier en championnat du monde de Formule 1
Pilotes Grand Prix disputés Victoires Podiums Points inscrits Pole positions Meilleur tour en course
Drapeau de la France Jacques Laffite 132 6 31 206 7 6
Drapeau de la France René Arnoux 53 0 0 17 0 0
Drapeau de la France Olivier Panis 49 1 3 38 0 0
Drapeau de la Belgique Thierry Boutsen 32 0 0 2 0 0
Drapeau de la France Érik Comas 28 0 0 4 0 0
Drapeau du Royaume-Uni Martin Brundle 27 0 2 20 0 0
Drapeau de l'Italie Andrea de Cesaris 27 0 0 6 0 0
Drapeau de la France Philippe Alliot 21 0 0 1 0 0
Drapeau de la France Jean-Pierre Jarier 18 0 0 0 0 0
Drapeau du Royaume-Uni Mark Blundell 16 0 2 10 0 0
Drapeau du Brésil Pedro Diniz 16 0 0 2 0 0
Drapeau de l'Italie Nicola Larini 16 0 0 0 0 0
Drapeau de la France François Hesnault 15 0 0 0 0 0
Drapeau de la France Didier Pironi 14 1 5 32 2 2
Drapeau des États-Unis Eddie Cheever 14 0 3 15 0 0
Drapeau de l'Italie Piercarlo Ghinzani 14 0 0 0 0 0
Drapeau de la France Éric Bernard 13 0 1 4 0 0
Drapeau du Brésil Raul Boesel 13 0 0 0 0 0
Drapeau de la France Olivier Grouillard 12 0 0 1 0 0
Drapeau de la Suède Stefan Johansson 10 0 0 0 0 0
Drapeau de la Belgique Jacky Ickx 8 0 0 3 0 0
Drapeau de la France Patrick Tambay 8 0 0 0 0 0
Drapeau de la France Patrick Depailler 7 1 2 22 0 1
Drapeau du Japon Aguri Suzuki 5 0 0 1 0 0
Drapeau de la France Philippe Streiff 4 0 1 4 0 0
Drapeau de la France Jean-Pierre Jabouille 3 0 0 0 0 0
Drapeau de la France Franck Lagorce 2 0 0 0 0 0
Drapeau du Royaume-Uni Johnny Herbert 1 0 0 0 0 0

Ligier automobiles

Par ailleurs, la marque a proposé quelques modèles de voitures grand public, et commercialisa un coupé qui connut un certain impact dans les années 1970, la Ligier JS2, avant de connaître le succès avec une ligne de voiturettes, à conduire sans permis.

Ligier et les voiturettes

Cette catégorie est divisée en 2 filiales : Ligier VSP et Ligier Professionnal

Liste de voiturettes


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Notes et références

Annexes

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