Les Hôpitaux-Neufs

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Les Hôpitaux-Neufs
De haut en bas et de gauche à droite: Panorama du bourg depuis le Chemin des Ravières; l'église Sainte-Geneviève (inscrite MH); la mairie; l'ancienne gare de la ligne de Pontarlier à Vallorbe; la place du monument.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Doubs
Arrondissement Pontarlier
Intercommunalité Communauté de communes des Lacs et Montagnes du Haut-Doubs
Maire
Mandat
Xavier Boireau
2020-2026
Code postal 25370
Code commune 25307
Démographie
Population
municipale
927 hab. (2021 en augmentation de 9,19 % par rapport à 2015)
Densité 141 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 46′ 38″ nord, 6° 22′ 25″ est
Altitude Min. 970 m
Max. 1 290 m
Superficie 6,56 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Frasne
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Les Hôpitaux-Neufs
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Les Hôpitaux-Neufs

Les Hôpitaux-Neufs est une commune française située dans le département du Doubs, région de Bourgogne-Franche-Comté, appartenant au canton et à l'arrondissement de Pontarlier.

Elle est située à 18 km au sud de cette dernière ville, sur la RN 57 qui mène à la frontière suisse à Vallorbe, et au croisement avec la route départementale 9 qui mène à Métabief et au-delà.

Ses habitants sont les Trouille-Bourreaux[1],[2],[3].

Géographie[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Opital ou finage de Joigne en 1282[4].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Touillon-et-Loutelet Les Hôpitaux-Vieux Rose des vents
N
O    Les Hôpitaux-Neufs    E
S
Métabief Jougne

D'une superficie de 6,56 km2, la commune est située à une altitude moyenne de 1 000 m, dans un paysage du Haut-Doubs caractérisé par une succession de moyens sommets souvent couverts de forêts, de vallées sèches ou humides et de cluses, ainsi que de prairies et alpages.

Au sud de la commune se trouve le Morond situé sur la commune de Métabief, d'une altitude de 1 419 m, et au-delà le Mont d'Or situé en limite des communes de Longevilles-Mont-d'Or et de Jougne, d'une altitude de 1 463 m. Sur la commune voisine des Hôpitaux-Vieux, immédiatement au nord, se trouve la montagne de l'Herba, qui culmine à 1 303 m. Enfin, immédiatement à l'est, mais en Suisse, le Suchet (1 588 m) domine le paysage de son double sommet particulièrement reconnaissable.

Le sentier de grande randonnée GR 5 traverse la commune du nord au sud, venant de la mer du Nord à Berg-op-Zoom aux Pays-Bas pour rejoindre la mer Méditerranée à Nice, totalisant 2 600 km de distance.

De la même façon, la Grande Traversée du Jura, couramment désignée par son sigle GTJ, traverse également la commune. Circuit de randonnée de 400 km pour l'itinéraire pédestre, de 380 pour l'itinéraire VTT, de 360 pour le vélo et de 175 km pour le parcours à ski, la GTJ traverse le Jura du nord au sud en passant dans trois départements (Ain, Doubs, Jura), en reliant Mandeure dans le Doubs à Culoz dans l'Ain[5].

Le chemin de Compostelle passait aux Hôpitaux-Neufs, il est désigné par le coquillage, sculpté sur le linteau de la porte de l'église, entrée côté route de Pontarlier.

Panorama du village avec le Morond en arrière plan.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 6,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 812 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 11,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Labergement », sur la commune de Labergement-Sainte-Marie à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 8,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 459,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 36,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −33 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Les Hôpitaux-Neufs est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (73,7 %), zones urbanisées (13,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Dès l'antiquité romaine, une importante voie de communication naturelle à travers le Jura, via la cluse de Pontarlier, est attestée sur la table de Peutinger et l'itinéraire d'Antonin : il s'agissait de la voie romaine reliant Lausanne et Orbe à Pontarlier (Ariolica) et Besançon (Vesontio).

Le Moyen Âge, avec le développement commercial notamment des XIIe et XIIIe siècles, voit croître l'importance de cette voie qui relie la Flandre et la Champagne à l'Italie du nord via le col du Grand-Saint-Bernard. Les comtes de Chalon vont ainsi organiser son développement, et notamment créer divers hospices et instituer des péages. C'est ainsi que, en 1282, Jean Ier de Chalon-Arlay fils de Jean Ier de Chalon (dit Jean de Bourgogne, Jean l'Antique ou Jean le Sage) crée un hospice, classiquement pour soigner les voyageurs malades et lutter contre les maladies de l'époque, telles la lèpre et la peste.

Dans la charte de franchises accordée le par Jean III de Chalon-Arlay aux Hôpitaux et à Métabief[19], il est pour la première fois cité l'Hôpital-Viel et l'Hôpital-Neuf, première apparition des deux noms distincts.

Au cours de la guerre de Dix Ans, épisode comtois de la guerre de Trente Ans, le village des Hôpitaux-Vieux est entièrement détruit en 1639 par les Suédois, nom donné à l'époque aux mercenaires mi-allemands mi-suédois de Bernard de Saxe-Weimar, destruction à laquelle échappe les Hôpitaux-Neufs.

L'année 1780 voit un incendie ravager une partie du village, la partie non détruite prenant alors officiellement le nom les Hôpitaux-Vieux[20].

Le péage de Jougne, instauré depuis plusieurs siècles, est supprimé en cette même année 1780.

En 1871, une partie de l'armée de Bourbaki, en retraite vers la Suisse, traverse le village pour gagner la frontière à Vallorbe.

L'arrivée du chemin de fer, en 1875, ouvre une nouvelle ère de développement pour Les Hôpitaux-Neufs et les villages des alentours. À cause de la déviation de la ligne Frasne-Vallorbe par le tunnel du Mont-d'Or en 1915, le trafic voyageurs est interrompu sur la ligne passant par Jougne le , puis, dans la nuit du 17 au , le tunnel de Jougne est partiellement détruit par l'armée française, empêchant définitivement tout trafic avec la Suisse.

Dans la soirée du , c'est de la gare des Hôpitaux-Neufs - Jougne que le maréchal Pétain, qui s'était constitué prisonnier au poste frontière franco-suisse de Vallorbe quelques heures plus tôt, monta dans le train spécial qui devait le ramener à Paris, escorté par le général Koenig[21].

L'exploitation ferroviaire du tronçon Pontarlier - Les Hôpitaux-Neufs cesse alors définitivement en 1969.

C'est enfin à partir des années 1950-1960 que le développement des sports d'hiver autour de la station de Métabief donne aux Hôpitaux son visage actuel, complété à partir des années 1990 par le développement du VTT.

Économie[modifier | modifier le code]

En 2009, elle est la commune la plus riche du département au vu du la médiane du revenu fiscal des ménages par unité de consommation avec une médiane de 29 394 euros.[réf. nécessaire]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs de 1792 à 2001[22]
Période Identité
1792-1794 Antoine Damase Paquette
1794-1808 Pierre Joseph Paquette
1809-1824 Philippe Robbe
1824-1835 François Florian Paquette
1835-1840 Auguste Séraphin Paquette
1841-1842 François Flavien Robbe
1844-1862 François Florian Paquette
1862-1863 Auguste Constant Thomet
1864-1877 François Florian Paquette
1878-1897 Amédée Paquette
1898-1903 Jules Martinet
1903-1912 Charles Robbe
1913-1919 Eugène Perret
1920-1945 Antoine Frédéric Maire (1881-1957)
1945-1958 André Ernest Robbe
1958-1965 Charles Henri Faivre
1965-1977 Pierre Pinel
1977-1989 Robert Regard
1989-2001 Claude Jeannin


Liste des maires successifs depuis 2001
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Jacqueline Salvi    
mars 2008 2020 Florent Paquette[23] DVD Agriculteur
2020 En cours Xavier Boireau [24]   Artisan
Les données manquantes sont à compléter.

Les Hôpitaux-Neufs faisait partie de la Communauté de communes du Mont d'Or et des deux Lacs[25] qui associe 19 communes et 8 500 habitants et dont le siège se trouve dans la commune voisine des Hôpitaux-Vieux.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 927 habitants[Note 3], en augmentation de 9,19 % par rapport à 2015 (Doubs : +1,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
169172162171189208182173180
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
183160168350232260279272260
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
244243231200217205230202225
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
248285295265369508683708787
2017 2021 - - - - - - -
921927-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Intérieur de l'église: vidéo sonore
  • L'église paroissiale Sainte-Catherine, d'architecture romane. Sa fondation remonterait à 1368. Elle a été profondément transformée au XVIIe siècle dans un style renaissance italienne. Son mobilier intérieur de grande qualité est d'inspiration baroque. L'église est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1939.
  • Le monument aux morts, situé à l'intersection de la rue de la Sablière et de la route de la Poste (RD 9).
  • Quelques rares anciennes fermes, désormais utilisées uniquement pour l'habitation, appartiennent encore au style des fermes du Haut-Doubs. Deux d'entre elles datent de la fin du XVIIe siècle, comme en témoignent les dates gravées dans la pierre au-dessus de la porte de la grange. Ces portes, cloutées, rappellent par ailleurs qu'une clouterie existait autrefois au village.
  • Depuis 1993, l'Association du chemin de fer touristique Pontarlier-Vallorbe (CFTPV) exploite un train touristique sous le nom de Coni'fer avec ses bénévoles. Après avoir reposé des rails sur une partie de l'ancienne plate-forme, elle exploite la section les Hôpitaux-Neufs-Jougne - Fontaine-Ronde longue de 8 km avec des trains tractés notamment par une locomotive à vapeur 030 T Tigerli construite en 1915 par SLM Winterthur[30].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Paul Robbe (1884-1944), originaire des Hôpitaux-Neufs, architecte à Pontarlier, devenu maire de la ville (1929-1935), résistant, mort en déportation le . Il est notamment l'auteur du monument aux morts de Jougne.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. La Route des communes — Doubs (préf. Claude Jeannerot), C'Prim Édition, , 388 p. (ISBN 978-2-915193-14-5 et 2-915193-14-2).
  2. http://www.hautecomte.com/hopitauxvieux/bm11.08.pdf
  3. « Services publics Les Hôpitaux-Vieux », sur habitants.fr (consulté le ).
  4. Jean Courtieu, Dictionnaire des communes du département du Doubs, t. 4, Besançon, Cêtre, .
  5. Site de l'association La Grande Traversée du Jura.
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Les Hôpitaux-Neufs et Labergement-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Labergement », sur la commune de Labergement-Sainte-Marie - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Labergement », sur la commune de Labergement-Sainte-Marie - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. Répertoire des archives départementales du Doubs postérieures à 1789, publié en 1883.
  20. Eric Coulon et Marc Paygnard, Bourgs et villages du Doubs, Yens, Editions Cabedita, , 171 p. (ISBN 978-2-88295-428-2).
  21. Roger Maudhuy, Vichy, les procès de la collaboration, Bruxelles, Ixelles éditions, , 416 p. (ISBN 978-2-87515-379-1, books.google.fr/books?id=1HCeEVmlIIYC&pg=PT285&dq=Pétain+%2B+fort+de+Montrouge&hl=fr&sa=X&ei=Dn9mU_LjCKaw0QWQ7oHgBQ&ved=0CD0Q6AEwAg#v=onepage&q=Pétain %2B fort de Montrouge&f=false).
  22. Source : De plume en échos…, bulletin municipal hors série no 1 de .
  23. Site officiel de la préfecture du Doubs, liste des maires.
  24. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  25. Site de la communauté de communes.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Voir le site officiel de l'association

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Claire Lemoine, Rémy Toulouse, Jean-Luc Flohic, Anita Six, Le patrimoine des communes du Doubs, Paris, Flohic éditions, (ISBN 978-2-84234-087-2), p. 970.
  • Eric Coulon, Marc Paygnard, Bourgs et villages du Doubs, Yens, Editions Cabedita, , 171 p. (ISBN 978-2-88295-428-2), p. 83.
  • Paul Laurens, Annuaire départemental du Doubs pour 1845, préfecture du Doubs, Besançon, , p. 151.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]