Le Teilleul (commune déléguée)
Le Teilleul | |
L'église Saint-Patrice. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Avranches |
Intercommunalité | Communauté de communes du Mortainais |
Maire Mandat |
Véronique Kunkel 2014-2020 |
Code postal | 50640 |
Code commune | 50591 |
Démographie | |
Gentilé | Teilleulais |
Population municipale |
1 178 hab. (2020) |
Densité | 39 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 32′ 21″ nord, 0° 52′ 20″ ouest |
Altitude | Min. 103 m Max. 222 m |
Superficie | 30,45 km2 |
Élections | |
Départementales | Le Teilleul (chef-lieu) |
Localisation | |
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Le Teilleul est une commune française, située dans le département de la Manche en région Basse-Normandie, peuplée de 1 178 habitants[Note 1] (les Teilleulais).
Géographie
La commune est au sud-est de l'Avranchin historique, au sud du Mortainais, près de la limite administrative entre la Basse-Normandie, les Pays de la Loire en Bretagne. Son bourg est à 14 km au sud de Mortain, à 16 km au nord de Gorron, à 18 km à l'est de Saint-Hilaire-du-Harcouët et à 19 km à l'ouest de Domfront[1].
Le territoire est situé sur la ligne de partage des eaux de la mer de la Manche et de l'océan Atlantique. Sur le versant nord les ruisseaux et rivières vont se jeter dans la Sélune alors que ceux sur versant sud, vont rejoindre le ruisseau de la Morette, affluent de la Mayenne pour finir dans la Loire. L'étang de Morette est sur la limite avec Mantilly, commune du département de l'Orne. Morette vient du nom hébreu Mareth.
Hydrologie
La commune se trouve sur la limite de partages des eaux entre l'océan atlantique et la mer de la Manche. Sur la commune se trouvent des ruisseaux dont certains y prennent leurs sources :
Bassin versant de la Sélune
- Ruisseau des Gués, prenant sa source au lieu-dit la Gasneraie, devenant ruisseau du Marignon, au passage de la D184, limite avec la commune de Sainte-Marie-du-Bois, pour y entrer ensuite.
- Ruisseau du Moulin de Pontorsier, prenant sa source au lieu-dit la Palière, devenant rivière dite du Moulin de Chevrier au lieu-dit la Chaloisière, limite avec la commune de Husson, pour y entrer ensuite.
- Ruisseau du Gués des Ferrières prenant sa source au lieu-dit la Fouquerie, limite avec la commune de Notre-Dame-du-Touchet, pour y entrer ensuite.
- Ruisseau de Mesnelle, devenant ruisseau du Gués des Ferrières à la Fouquerie, limite avec la commune de Notre-Dame-du-Touchet.
- Rivière de la Francière, prenant sa source au lieu-dit la Tressinière, limite avec la commune de Saint-Cyr-du-Bailleul, pour y rentrer.
- Ruisseau de la Roussarière, prenant sa source au lieu-dit la Roussardière, limite avec la commune de Sainte-Marie-du-Bois pour y entrer ensuite.
Bassin versant de la Loire
- Ruisseau de Longuèves, prenant sa source au lieu-dit la Gortière, limite communale avec Heussé, pour y entrer ensuite.
- Ruisseau de Morette, prenant sa source au lieu-dit la Boulangerie, formant durant son passage l'étang de Morette, limite avec la commune de Mantilly, se jetant dans le ruisseau de Longuèves au lieu-dit Nantrais.
- Ruisseau dite de la Menillière, prenant sa source au lieu-dit Beauchamps, limite avec la commune de Saint-Cyr-du-Bailleul, pour ensuite entrer dans la commune de Saint-Mars-d'Égrenne.
Transport
Transport ferroviaire
Le Teilleul avait en commun, avec Barenton une station ferroviaire, dénommée Barenton - Le Teilleul, située sur la ligne Domfront - Avranches.
Axes routiers
Le bourg se trouve au croisement de la D 976 (ancienne route nationale 176) et de la D 32 qui mène de Gorron vers Mortain (route construite au XIe siècle[2]).
Transport inter-urbain
Le bourg est desservi par le transport en commun départemental par bus (Manéo) via les lignes 119 (Le Teilleul - Saint-Hilaire-du-Harcouët - Avranches) et 305 (Le Teilleul - Saint-Hilaire-du-Harcouët - Avranches - Coutances, ligne scolaire).
Communes limitrophes
Toponymie
Forme ancienne Telliolum[4].
Issu du latin tilia, le tilleul était désigné en ancien français til ou teil[5]. Le toponyme semble formé à partir de ce dernier terme.
Histoire
La châtellenie du Teilleul remonte au Xe siècle et semble n'avoir vécu que deux siècles[2]. La première trace écrite d'une souveraineté au Teilleul apparait avec Unsfrield, dit le Danois (Unfred le Danois ou Unfrid le Danois), terre donnée par Guillaume Longue-Épée pour le zèle de ces preux chevaliers (933). Ces terres furent érigées en baronnie[2].
C'est à partir de ce moment que la ville se fortifie[6] : Massif formidable de tours, de contreforts, de fort et de créneaux, dominant la vallée et présentant le flanc au tertre de Montécot. L'une des issues des remparts est nommée « la Basse-Porte ».
Robert du Teilleul donna aux moines d'Ouches l'église du Teilleul et plusieurs fiefs : Terra in quaest templum Sancti Petri quom Robertus de Rodeland (Ruddlam) olamabat ad Teiland[7].
Alors seigneurie d'Omfroy-du-Teilleul, son château-fort fut l'un des quatre pris par Geoffroy, comte d'Anjou courant XIIe siècle.
En 1169 et 1173[8], la ville fut brûlée par des rebelles[9] dans les guerres entre Matthieu comte de Boulogne Hascouet de Saint Hilaire[10] et les troupes de Henri II, roi d'Angleterre, sous les ordres de Robert de Fougères : Castrum Tellioli traditit incendio. Robert-du-Mont dit que ce fut ce dernier qui incendia Le Teilleul.
Une tempête s'abat le , renversant bon nombre d'arbres et de demeures[2]
- [11] : le bourg est de nouveau incendié : quelques centaines de Chouans ont mettent le feu aux maisons afin de faire sortir les gardes nationaux et volontaires réfugiés dans des maisons. Ce qui met 300 personnes sans abri[12]
- [13], 15 h : une météorite, d'un poids de 0,8 kg, de type achondrite howardite AHOW, tombe à la Vivionère[14]
- En 1801, la commune fait partie de l'arrondissement de Mortain. En 1926, elle passe sous celui d'Avranches.
Seigneurs d'Oissey
La sergenterie d'Ouessey était un demi-fief de Haubert, la charte de Navarre 1401 dit : Un demi-fief, le fief d'Ouessey, le chef, assis au Teilleul, appartenant à Jéhan d'Ouessey, écuyer, tenu de Guillaume le Gotherel, écuyer, à cause de la barronerie des Biard, vault le renvenue de C livres.
En 1418, Jean d'Ouessey se soumet au roi anglais ce que ne fait pas Geffroy d'Ouessey, époux de Catherine d'Harcourt, ses biens sont confisquées et donnés à Nicolas Burdet.
Le château de la Rouérie-Benusson
Son appareil défensif rappelle la violence extrême des guerres de religion dans le Mortainais.
Le manoir est construit à la fin du XVIe siècle par Martin Davy, écuyer, frère cadet du seigneur de Vezins.
Le château des Louvellières
Ce manoir porte la date de 1658. Au milieu du XIXe siècle, son propriétaire, M. Ferré de Ferris fait transférer et remonter des éléments provenant de l'abbaye de Savigny.
Le château de la Basse-Porte
Centre de secours jusqu'en 1981.
Le château des Conches
Le château de la Durandière
Me Siméon-Léonard Séquard (1713-1786), prêtre et chapelain du château de la Durandière, fils de Estienne Séquard (1678-1742) seigneur des Gués et de La Bergeottière et de Barbe Cousin de Jarrosay[15].
Au XVIIIe siècle, la Durandière et la vavassorerie de la Buissonnière appartenait aux De Vaufleury[16].
Étienne de Vaufleury (d'azur au sautoir d'or cantonné de quatre rose de même), écuyer, procureur du Roi à Mortain, anobli par l'édit du Canada en 1628[17], seigneur de La Durandière et du Bouet (Jeanne apporta en dot le fief de La Nocherie), époux de Anne de Jumilly ;
Jean de Vaufleury (° 1632, - Le Teilleul) (d'azur à une croix d'argent), sieur de la Durandière et de Pouey, fils d'Étienne, écuyer ;
Henry de Vaufleury (° 1675 - , Le Teilleul), écuyer, seigneur de Pouay, de la Durandière et de la Rivière, fils de Jean ;
Joseph de Vaufleury (° Le Teilleul - ), sieur de la Durandière, de la Buissonière, de la Rivière et de Montfoucault, fils de Henry, époux d'Antoinette Bourget ;
Henry François de Vaufleury (° Le Teilleul), seigneur de Pouey et de la Durandière, fils de Henry et frère de Joseph, quitta la région pour s'installer dans la Mayenne et y continuer la seigneurie de la Durandière ;
Henri Antoine de Vaufleury (° Le Teilleul, Mortain), seigneur de la Durandière, de la Rivière et de Montfoucault, fils de Joseph.
Louis Couture de Toismonts y naquis le 16 mai 1811 [18] et y fut le châtelin
Les manoirs
On retrouve sur la commune, ainsi que sur celles limitrophes, des manoirs, grandes maisons bâties de pierre et souvent associés à un corps de ferme attenant mais indépendant et détaché de la maison en elle-même.
L'église Saint-Patrice
La paroisse de Saint-Patrice, existant avant la construction du château, remonte à l'évangélisation du pays vers le VIe ou VIIe siècle. L'église primitive est détruite lors de l'invasion des Normands et est reconstruite à la même place. L'église de Saint-Patrice et ses dépendances sont données par la suite à l'abbaye de Savigny.
L'église baptismale fut construite à l'actuel lieu-dit Saint-Patrice après accord de l'abbé de Savigny (vers 1204-1212). Un cimetière se situa au château pour y enterrer ses morts[19]. Il ne reste de cette église que deux piliers de la porte d'entrée. Le presbytère de cette église se situait au lieu-dit actuel : La Chérulière[20]. Elle était construite en arête de poisson (opus spicatum)[2]
Ce fief ecclésiastique gardera son siège jusqu'en 1851. C'est aussi cette année qu'elle est détruite et dépouillée lors de la révolution.
Héraldique
Les armes de la commune du Teilleul se blasonnent ainsi : |
Politique et administration
Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[31].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33],[Note 2].
En 2020, la commune comptait 1 178 habitants, en diminution de −3,44 % par rapport à 2015 (Manche : 0,44 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Enseignement
Écoles
- École publique Antoine de Saint-Exupéry.
- École primaire privée Saint-Patrice fermée depuis juin 1993.
Collège
- Juin 2010: fermeture du collège public Pierre-Mottier.
Économie
Les grandes entreprises situées sur la commune :
- ZA la Pommeraie
- Jacky Leduc : fabrication et fumage d'andouille de Vire (avec appellation AOC),
- Kunkel : fabrication de palettes en bois,
- MBS : fabrication de meubles d'agencement.
- Lieu-dit "La Pierre Blanche"
- Mongodin : entreprise travaux publics.
- Lieu-dit "Le Bois Badon"
- Blanchard : vente et réparation matériel agricole,
- D2N : Commerce de gros de céréales, de semences et d'aliments pour le bétail.
Monuments et bâtiments publics
Monuments religieux
- : Charles-François de Vieuville, abbé commendataire de Savigny
- Guillaume Tarot
- Richard Tarot
- : Jean Séquard
- Claude Pillet
- 1658 : Jean Blin, curé de Saint-Théobald de Rosay-Gastebled
- 1709 : Jean-Baptiste Pontaud
- : Guillaume Jéhan : prête du diocèse
- : Gilles Bouillon, curé de Barenton
- Pierre Cousin
- : Charles Pasturel prêtre du diocèse
- : Julien Thébault († , vicaire du Teilleul
- : François-Auguste Santerre
- : Gilles-Louis de Vauflery
- : Étienne-Jacques Breillot (° , Le Teilleul - )
- 1791 : M. Breillot
- Jean-Noël Joubin
- 1804 : Jean-Baptise-François Bouvet
- Père Michel Seigneur
- : Père Philippe Navet
Église Saint-Patrice
- L'église abrite la statuette de saint Patrice le saint patron de cette église inscrite aux Monuments historiques le [36]. Les fonts baptismaux et leur couvercle sont classés à titre d'objet[37].
Chapelle Sainte-Catherine d'Ouessey
Chapelle domestique du logis d'Ouessey, en 1670, elle avait un titulaire, mais n'en avait plus en 1752. Elle est de construction gothique. Elle y est encore présente.
Chapelle de la Durandière
Elle était la chapelle domestique du château de la Durandière. Elle fut épargnée pendant la révolution, mais depuis n'existe plus.
Chapelle Saint-Aubert de Languèves
Chapelle domestique du manoir de Languèves, le dernier titulaire de cette chapelle était Jean Rivière, prêtre de Heussey (actuellement Heussé) le .
Chapelle Saint-Senier
Petit oratoire près du lieu-dit Gué-de-Cassour.
Chapelle Notre-Dame-de-Pitié
Chapelle du cimetière de Saint-Patrice fondée et dotée par les seigneurs de la Campionnière. En 1752, Siméon Séquard, prêtre du Teilleul, en était titulaire.
Elle était située entre l'emplacement de l'église et l'entrée du cimetière.
Chapelle de la maladrerie de la Madeleine
Elle fut construite vers l'époque de la mort de Louis VIII, et dès 1336, elle n'avait guère de lépreux, un trésorier refusait à la maladrerie ce qu'auparavant elle pouvait réclamer[2], elle était en ruine en 1609 et fut détruite avant 1790.
Une croix au carrefour de la route de Domfront et de Mantilly rappelle en ce lieu la présence d'une chapelle liée à la maladrerie plantée par la famille Ferré-des-Ferris.
Autres bâtiments
- La maison de retraite publique.
- Le centre multimédia permet d'utiliser les équipements informatiques de la médiathèque.
Activité et manifestations
Jumelages
Le Teilleul est jumelé avec :
- Saint-Jean (Jersey).
Manifestations
- Foire de la Saint-George, fête annuelle de la commune, un titre de 1609 la mentionne.
- Tous les jeudis matin : marché, place du champ de foire. Ce marché est mis en place suite à une demande des habitants en 1573[38].
- Tous les premiers samedis de mois : marché des produits locaux et artisanaux.
Personnalités liées à la commune
Seigneurs et barons
- Unfrid le Danois, seigneur du Teilleul[39], déjà baron d'Hiesmese devint baron du Teilleul, il fit construire le château du Teilleul et fit entouré la ville du murs.
- Onfroy du Teilleul[40] ; Adelise de Grentemesnil, sa femme.
- Robert du Teilleul, fils de Onfroy et Adelise, baron du Teilleul.
- Robert du Teilleul, fils de Robert du Teilleul.
- Robin et Alexandre du Teilleul (1198), fils de Robert du Teilleul.
- Gilles de vaufleury, seigneur d'Ossé au Teilleul.
- Othon du teilleul.
- Jean Juhé (XVe siècle).
- Jéhan du Teilleul (1365).
- Jacques Cochards (1577-1600) (de gueules à trois fasces d'argent), sieur de la Cochardière, fut maître des Eaux et Forêts à Mortain.
Autres
- Guillaume Morel, (1505-1564) imprimeur et érudit.
- Jean Morel (1541-1559), frère du précédent, martyr protestant.
- Fédéric Morel (1558-1639), fils de Guillaume, imprimeur du roi.
- Jean Le Bigot (1549- ????), écrivain.
- Émile Malon (1888-1940), député de La Manche.
- Émile Bizet (1920-1983), homme politique.
- Jean Bizet (1947-), homme politique.
Voir aussi
Sources et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : Le Teilleul sur le site de l'Institut géographique national (archive Wikiwix).
- Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
- Extrait des mémoires sur le Teilleul, par Émile Dubois, vicaire de Husson, 1883
- « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
- Laurence Echard, M. Vosgien (trad. Laurence Echard), Dictionnaire géographique portatif, Didot, (lire en ligne), p. 528
- René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, (ISBN 2-86253247-9), p. 103
- Panorama pittoresque de la France, Didot and Firmin,
- Domesday Book in Hist. Angl. Script. III 759 G.Gale
- plusieurs sources différentes donnent deux dates, mais une majorité d'entre elles avancent celles vers 1173, et deux autres sources donnent ces deux dates, un document confirmerait que la ville fut bien brûlée deux fois
- Louis Dubouis, Recherches archéologiques, historiques, biographiques et littéraires sur la Normandie (lire en ligne), p. 159
- N.-R. Potin de La Mairie, Recherches sur les possessions des Sires normands de Gournay, le Bray normand et le Bray picard et sur toutes les communes de l'arrondissement de Neufchâtel, (lire en ligne), p. 153
- Cette année, aucun registre d'état civil n'existe et seul un acte notarié annonce cette date
- Léon de La Sicotière, Louis de Frotté et les insurrections normandes, Adamant Media Corporation (ISBN 9780543963109), p. 351
- . Académie des sciences (France), Comptes-rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences., t. LXXXVIII, Bachelier (Paris), , p. 544
- (en) Monica M. Grady, Andrew Graham, Robert Hutchinson,, Catalogue of Meteorites- With Special Reference to Those Represented in the Collection of the..., Cambridge University Press (ISBN 0521663032), p. 301
- Revue départementale de la Manche,
- Jean ?
- Annuaire administratif, statistique et historique du département de l'Eure, (lire en ligne), p. 176
- Hippolyte Sauvage, Louis Couture de Troismonts, , p. 12
- Annuaire du département de la Manche, 25e année publié par Julien Gilles Travers en 1853, p. 85
- Sauvage Hippolyte, Mortain pendant la terreur…, Impr. de J. Durand (Avranches)
- Maire à la Révolution
- Annuaire du département de la Manche, 1830 et 1831, p. 353
- Annuaire du département de la Manche, , p. 112
- Annuaire du département de la Manche, , p. 388
- 1806-1888
- (° - )
- Charles de L'Escalopier, Catalogue de la bibliothèque de M. le Cte Charles de L'Escalopier, , p. 391
- Père d'Émile Malon, maire de 1938 à 1940
- Fils d'Émile Malon, maire de 1888 à 1912
- 1er adjoint, par interim
- « Le Teilleul (50640) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
- « Église Saint-Patrice », notice no PA50000044, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fonts baptismaux et leur couvercle », notice no PM50001173, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Mémoires de la Société d'archéologie, de littérature, sciences et arts d'Avranches, t. 6, E. Tostain (Avranches), 1842-1902 éd. (ISSN 17706106[à vérifier : ISSN invalide]), p. 82
- Jean Jacques Desroches, Histoire du Mont Saint-Michel et de l'ancien diocèse d'Avranches, (lire en ligne), p. 164
- Petit-fils de Unfred le Danois, fils de Ansfrild, dit Gotz ( - 1035)