Le Plessier-Rozainvillers

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Le Plessier (Somme))

Le Plessier-Rozainvillers
Le Plessier-Rozainvillers
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité CC Avre Luce Noye
Maire
Mandat
André Lescureux
2020-2026
Code postal 80110
Code commune 80628
Démographie
Population
municipale
778 hab. (2021 en augmentation de 4,71 % par rapport à 2015)
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 45′ 03″ nord, 2° 33′ 14″ est
Altitude Min. 53 m
Max. 109 m
Superficie 10,17 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Le Plessier-Rozainvillers
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Le Plessier-Rozainvillers
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Le Plessier-Rozainvillers
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Le Plessier-Rozainvillers
Liens
Site web https://plessier-rozainvillers.fr/

Le Plessier-Rozainvillers est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Le village est situé à environ 25 km au sud-est d'Amiens, en bordure du plateau du Santerre. Il est limitrophe du chef-lieu de canton, Moreuil, à l'ouest, où vallons et coteaux boisés prédominent. Côté est, c'est le domaine de la plaine agricole.

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 45, Moreuil - Montdidier et ligne no 60, Davenescourt - Moreuil - Amiens)[1]. Fin XIXe siècle, quatre puits d'une profondeur moyenne de 75 mètres alimentent le village en eau potable, très chargée en calcaire[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 717 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Plessier-Rozainvillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91 %), zones urbanisées (6,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %), forêts (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Plessier, Plessis, Plaisiez sont mentionnés dès 1142, Plessy Radulfi Vetulfi est trouvé en 1146 et Plessis de Rosinville en 1547[2].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Établis dans les forteresses d'Hangest et d'Arvillers, les Anglo-Bourguignons dévastent le village en 1416[2], lors de la guerre de Cent Ans.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Un hameau, Saint-Aubin-en-Harponval a complètement disparu mais son église existait encore au XVIIIe siècle[2].

En 1692, le village a déjà son école[2].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

La commune de Le Plessier, instituée par la Révolution française, absorbe entre 1790 et 1794, celle de Rozainvillers. Elle est désormais dénommée Le Plessier-Rozainvilliers[15].

Une importante fabrique de bonneterie a été complètement détruite par un incendie en [2].

À la fin de l'épopée napoléonienne, en 1814 et 1815, le village a eu à supporter les Cosaques.

Lors de la guerre franco-allemande de 1870, de lourdes contributions ont été réclamées aux villageois[2].

Après avoir occupé 500 à 600 ouvriers au XVIIIe siècle, l'industrie de la laine a pratiquement disparu à la fin XIXe siècle, mais environ 80 ouvriers sont occupés à l'industrie de la chaussure en 1899[2].

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le village est situé dans un premier temps à l'arrière du front, notamment lors de la bataille de la Somme[16], puis est dans la zone des combats lors de l'Offensive du Printemps de 1918.

En , un biplan allemand Aviatik no 8.558 est obligé d’atterrir sur le territoire communal. Il est capturé par les Français[17],[18],[19].

L'armée française réalisa pendant le conflit une ligne de chemin de fer militaire à écartement de 0,60m. du système Péchot près du village afin d'alimenter le front[20]. Elle a été utilisée pour la mise en station de pièces de l'artillerie lourde sur voie ferrée[21],[22],[23] et un train de matériel et d'artillerie allemand capturé y fut exhibé[24],[25]. Cette ligne existait encore fin 1920 et était utilisée pour les besoins de la Reconstruction[20].

À la fin de la guerre, le village, largement détruit[20],[26], a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [27].

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Plaque mémorielle sur le mur de l'église.

Lors de la Bataille de France de la Seconde Guerre mondiale, le , le bombardier LéO 45 no 56 du Groupe de bombardement GB I/11, est abattu par la chasse allemande au dessus du village. Il était en mission pour attaquer des colonnes ennemies progressant sur l'axe Abbeville-Amiens. Aucun des quatre appareils de la mission n'est revenu[28].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle fait partie depuis 1793 du canton de Moreuil[15], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du canton de Moreuil, créée par un arrêté préfectoral du et renommée communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du .

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[29], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[30],[31]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[32] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [33] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [34], qui prend effet le .

La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[35]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1994 mars 2001 Bernard Daigny    
mars 2001 mars 2008 Pierre Viltart    
mars 2008[36] 2014 Bernard Daigny   Vice-président de la CCALM ( ? → 2016)
Vice-président de la CCALN (2017 → )
mars 2014[37] mai 2020 Patrick Goret    
mai 2020[38] En cours
(au 5 juin 2020)
André Lescureux    

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Un parc de huit éoliennes est édifié par le groupe Valorem en 2016-2017 sur les communes du Plessier-Rozainvillers, d’Hangest-en-Santerre et de Mézières-en-Santerre, après un financement participatif ouvert notamment aux riverains[39].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[41].

En 2021, la commune comptait 778 habitants[Note 3], en augmentation de 4,71 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
777760797784799851876880882
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
863848855841814788781752729
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
729694684526550507490552553
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
576632624577582566604609706
2017 2021 - - - - - - -
755778-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Une quatrième classe de l'école primaire[43] a ouvert à la rentrée de , nécessitée par la croissance des effectifs, induite par un lotissement réalisé quelque temps auparavant. La municipalité agrandit en 2017 l'équipement par la création d'une salle multifonctions à ossature bois[44].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Ancienne chapelle Notre-Dame-de-Miséricorde, du XIXe siècle[60].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Abbé Marchand, Histoire du Plessier-Rozainvillers[60].

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  2. a b c d e f g et h Notice Historique et géographique rédigée par l'instituteur, M. Saguez, vers 1899, Archives départementales, Amiens
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Le Plessier-Rozainvillers et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duAmiens », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Cliché : capitaine d'Hauteserre, Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers (près et en avant). Organisations défensives », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  17. Cliché Darnault, Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers (près). Biplan allemand obligé d'atterrir dans nos lignes et capturé », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  18. Cliché Darnault, Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers (près). Biplan allemand obligé d'atterrir dans nos lignes et capturé », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  19. Cliché Darnault, Section photographique de l'armée, « Photo : Plateau de Santerre près Plessier-Rozainvillers (Somme). Aviatik ayant atterri sur le plateau de Santerre près Plessier-Rozainvillers », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  20. a b et c Carte spéciale des régions dévastées,document mentionné en liens externes, 1920.
  21. Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers (route de Mézières à). Train de pièces de 190 », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  22. Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers (route de Mézières à). Train de pièces de 190 ; les pièces et les tourelles blindées », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  23. Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers (route de Mézières à). Train de pièces de 190 ; les pièces et les tourelles blindées », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  24. Cliché Moreau, Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers. Train de matériel allemand capturé », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  25. Cliché Moreau, Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers. Train de matériel allemand capturé », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  26. Cliché : Lebe-Gigun, Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers. Une rue ; au premier plan convois », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  27. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
  28. « Crash du LeO 45/451 - type 451 s/n 56 », sur francecrashes39-45.net, (consulté le ).
  29. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  30. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  31. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  32. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  33. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  34. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  35. « Les maires de Plessier-Rozainvillers (Le) », sur francegenweb.org (consulté le ).
  36. « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  37. « Extrait du registre des délibérations du conseil municipal - Séance du 29 mars 2014 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Délibérations, sur plessier80110.com (consulté le ).
  38. « Un nouveau maire au Plessier-Rozainvillers », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « André Lescureux a remplacé Patrick Goret à la tête de Le-Plessier-Rozainvillers. ».
  39. Carole Legris, « Dernière ligne droite pour les éoliennes de Santerre Énergies : Le chantier du parc éolien de Santerre Énergies touche à sa fin. Le levage des huit éoliennes sera terminé fin mars et la production commencera en avril », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. Le site de l'école du Plessier-Rozainvillers.
  44. Carole Legris, « L’école du Plessier-Rozainvillers est en pleine croissance : Les travaux d’agrandissement de l’école avancent : les bambins bénéficieront d’une nouvelle salle d’activités dès le mois de mai. Elle sera notamment dévolue aux répétitions de leur chorale », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. Section photographique de l'armée, « Photo : Le Plessier-Rozainvillers. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  46. « Statue : La Vierge », notice no PM80001064, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  47. « statue : Saint Aubin évêque », notice no PM80001065, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  48. « bas-relief : Le Christ au Jardin des Oliviers », notice no PM80001063, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  49. « verrière décorative », notice no IM80000749, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  50. « verrière décorative », notice no IM80000748, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  51. « verrière décorative », notice no IM80000747, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  52. « verrière décorative », notice no IM80000746, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  53. « verrière décorative », notice no IM80000745, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  54. « verrière décorative », notice no IM80000752, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  55. « verrière décorative », notice no IM80000751, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  56. « verrière décorative », notice no IM80000750, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  57. « verrière décorative », notice no IM80000744, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  58. « verrière décorative », notice no IM80000743, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  59. « verrière décorative », notice no IM80000742, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  60. a et b André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 224 (ASIN B000WR15W8).