Le Peyrat

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Le Peyrat
Le Peyrat
Blason de Le Peyrat
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Pamiers
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Mirepoix
Maire
Mandat
Alain Boulbes
2020-2026
Code postal 09600
Code commune 09229
Démographie
Gentilé Peyratais
Population
municipale
486 hab. (2021 en augmentation de 1,25 % par rapport à 2015)
Densité 79 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 57′ 27″ nord, 1° 55′ 17″ est
Altitude Min. 406 m
Max. 763 m
Superficie 6,13 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Lavelanet
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mirepoix
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Le Peyrat
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Le Peyrat

Le Peyrat (Le Peirat en occitan languedocien, et prononcé localement [lepɛːjʁat]) est une commune française située dans l'est du département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays d'Olmes, haut lieu de la tragédie cathare alliant des paysages d'une extrême diversité.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Hers-Vif et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste ») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Le Peyrat est une commune rurale qui compte 486 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lavelanet. Ses habitants sont appelés les Peyratiens ou Peyratiennes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune du Peyrat se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 26 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, à 31 km de Pamiers[2], sous-préfecture, et à 15 km de Mirepoix[3], bureau centralisateur du canton de Mirepoix dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lavelanet[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : La Bastide-sur-l'Hers (1,0 km), Lesparrou (3,2 km), Léran (3,7 km), Sainte-Colombe-sur-l'Hers (3,7 km), Laroque-d'Olmes (4,2 km), Régat (4,5 km), L'Aiguillon (4,7 km), Montbel (5,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Le Peyrat fait partie du pays d'Olmes, haut lieu de la tragédie cathare alliant des paysages d'une extrême diversité[5]. Les communes limitrophes sont La Bastide-sur-l'Hers, Léran, Lesparrou, Montbel et Sainte-Colombe-sur-l'Hers.

Derrière le lac de Montbel, le hameau de Mireval sur fond de Mont Fourcat.

Commune du piémont pyrénéen située entre Laroque-d'Olmes et le barrage-réservoir de Montbel. La commune est bordée au sud par le massif du Plantaurel. C'est une commune limitrophe avec le département de l'Aude. Son bâti est contigu à celui du bourg voisin de La Bastide-sur-l'Hers.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le Bassin aquitain, le deuxième plus grand bassin sédimentaire de la France après le Bassin parisien. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1076 - Lavelanet » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[7],[8] et sa notice associée[9].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 6,13 km2[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 6,22 km2[8]. Son relief est relativement accidenté puisque la dénivelée maximale atteint 357 mètres. L'altitude du territoire varie entre 406 m et 763 m[13].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier du Peyrat.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par l'Hers-Vif, un bras de l'Hers et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[15],[16].

L'Hers-Vif, d'une longueur totale de 134,9 km, prend sa source dans la commune de Prades et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Cintegabelle, après avoir traversé 41 communes[17].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Pyrénées orientales » et « Pyrénées centrales »0[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 894 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Léran à 4 km à vol d'oiseau[20], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,2 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[25], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs, avec des zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[26].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[27] :

  • le « cours de l'Hers » (891 ha), couvrant 41 communes dont 32 dans l'Ariège, 7 dans l'Aude et 2 dans la Haute-Garonne[28] ;
  • le « lac de Montbel et partie orientale du bas pays d'Olmes » (7 200 ha), couvrant 38 communes dont 30 dans l'Ariège et 8 dans l'Aude[29],
  • « le Plantaurel oriental » (3 272 ha), couvrant 11 communes dont 9 dans l'Ariège et 2 dans l'Aude[30] ;

et trois ZNIEFF de type 2[Note 5],[27] :

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Peyrat est une commune rurale[Note 6],[34]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[35].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lavelanet, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 28 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,3 %), forêts (25,2 %), prairies (13,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,1 %), terres arables (9,5 %), zones urbanisées (6,1 %)[36]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 273, alors qu'il était de 261 en 2013 et de 237 en 2008[I 5].

Parmi ces logements, 79,2 % étaient des résidences principales, 13,1 % des résidences secondaires et 7,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,8 % des appartements[I 5].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Peyrat en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (13,1 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 75,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,1 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 6].

Le logement au Le Peyrat en 2018.
Typologie Le Peyrat[I 5] Ariège[I 7] France entière[I 8]
Résidences principales (en %) 79,2 65,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 13,1 24,6 9,7
Logements vacants (en %) 7,7 9,7 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée d'est en ouest par la RD 620, qui est l'ancienne route nationale 620.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune du Peyrat.

Le territoire de la commune du Peyrat est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[37],[38].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[39].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune du Peyrat[40]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[41].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Le Peyrat fut incendiée par les Grandes compagnies en 1424.

Sur la ligne de Moulin-Neuf à Lavelanet, la commune disposait d'une gare partagée avec La Bastide-sur-l'Hers du 25 août 1903 au 18 avril 1939. Une réouverture temporaire du service voyageur eut cependant lieu du 5 mai 1941 au 6 mai 1946, du fait de la pénurie de transports routiers : une voiture était ajoutée au train de marchandises subsistant. Le service marchandise fut à son tour fermé le 16 décembre 1973 en même temps que la ligne, la voie étant déposée peu après.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune du Peyrat est membre de la communauté de communes du Pays de Mirepoix[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Mirepoix. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[42].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Pamiers, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Mirepoix pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[43].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1965 1995 Pierre Pibouleau PS maire
1995 2014 Jean Taurine   maire
2014 En cours Alain Boulbes SE Retraité Fonction publique
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[45]. En 2021, la commune comptait 486 habitants[Note 8], en augmentation de 1,25 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
475400422384302417439460498
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
468498458465516522549542558
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
574547561466438413374360393
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
390373353410401456478481479
2021 - - - - - - - -
486--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 217 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 472 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 740 [I 10] (19 820  dans le département[I 11]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 12] 9 % 9,3 % 12,8 %
Département[I 13] 8,9 % 11,1 % 11,2 %
France entière[I 14] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 254 personnes, parmi lesquelles on compte 67 % d'actifs (54,2 % ayant un emploi et 12,8 % de chômeurs) et 33 % d'inactifs[Note 10],[I 12]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lavelanet, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 15]. Elle compte 44 emplois en 2018, contre 30 en 2013 et 47 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 139, soit un indicateur de concentration d'emploi de 31,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 43,3 %[I 16].

Sur ces 139 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 24 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 17]. Pour se rendre au travail, 94,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 0,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 18].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

28 établissements[Note 11] sont implantés au Peyrat au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 19]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,6 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 28 entreprises implantées au Le Peyrat), contre 27,5 % au niveau départemental[I 20].

Agriculture[modifier | modifier le code]

1988 2000 2010
Exploitations 6 4 1
Superficie agricole utilisée (ha) 270 130 192

La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Coteaux de l'Ariège »[48]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et le polyélevage[49]. Une seule exploitation agricole ayant son siège dans la commune est recensée lors du recensement agricole[Note 14] de 2010 (six en 1988). La superficie agricole utilisée est de 192 ha[49].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
De gueules au triangle d'argent[51].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[50].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune du Peyrat » (consulté le ).
  2. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a b et c « Chiffres-clés - Logement en 2018 au Le Peyrat - Section LOG T2 » (consulté le ).
  6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 au Le Peyrat - Section LOG T7 » (consulté le ).
  7. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
  8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
  9. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune duPeyrat » (consulté le ).
  10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 au Peyrat » (consulté le ).
  11. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 en Ariège » (consulté le ).
  12. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 au Peyrat » (consulté le ).
  13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
  14. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  16. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 au Peyrat » (consulté le ).
  17. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  18. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  19. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 au Peyrat » (consulté le ).
  20. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 en Ariège » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Le Peyrat et Foix », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Le Peyrat et Pamiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Le Peyrat et Mirepoix », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches du Le Peyrat », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 348-349.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Carte géologique du Peyrat » sur Géoportail (consulté le 22 avril 2022).
  8. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune du Peyrat », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  9. « Notice associée à la feuille n°1076 - Lavelanet de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune du Peyrat », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  13. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  14. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale du Peyrat », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
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