Le Hobbit : Un voyage inattendu

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Le Hobbit :
Un voyage inattendu
Titre québécois Hobbit : Un voyage inattendu
Titre original The Hobbit: An Unexpected Journey
Réalisation Peter Jackson
Scénario Peter Jackson
Guillermo del Toro
Fran Walsh
Philippa Boyens
Acteurs principaux
Sociétés de production Metro-Goldwyn-Mayer
New Line Cinema
WingNut Films
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Drapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande
Genre Fantasy
Durée 169 minutes
182 minutes (version longue)
Sortie 2012

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Le Hobbit : Un voyage inattendu (The Hobbit: An Unexpected Journey) est le premier film de la trilogie Le Hobbit de Peter Jackson. Cette série est adaptée du roman de J. R. R. Tolkien Le Hobbit, qui décrit les aventures de Bilbon Sacquet avec treize nains et le magicien Gandalf le Gris, pour récupérer un des Royaumes des nains et tuer le dragon Smaug.

Il est sorti le en Nouvelle-Zélande et le en France et en Belgique. Il est suivi des films Le Hobbit : La Désolation de Smaug, sorti le , et Le Hobbit : La Bataille des Cinq Armées sorti le .

C'est le tout premier film à être tourné en HFR 3D, c'est-à-dire avec une fréquence de 48 images par seconde[1] (au lieu des 24 habituelles) avec une caméra RED Epic, dotée d'une résolution de 5K[2]. Ces choix permettent au film de sortir en même temps en format standard (2D), 3D et IMAX 3D.

Résumé

Alors que ses amis hobbits de la Comté s'apprêtent à fêter son cent-onzième anniversaire, Bilbon Sacquet entame le récit de ses aventures dans un livre destiné à son neveu Frodon.

Il narre comment, dans un passé lointain, les nains ont établi un royaume dirigé par Thrór à Erebor, la Montagne Solitaire, riche et prospère grâce à l'or et autres minerais précieux collectés en son sein. Mais cette richesse provoque les convoitises du dragon Smaug qui détruit le royaume, et s'installe dans la montagne où il garde précieusement le trésor, forçant les nains à l'exil. Des années plus tard, Thrór et son armée de nains affrontent les orques lors de la bataille d'Azanulbizar se déroulant devant la porte est de la Moria, et le roi nain est tué par le chef ennemi, l'orque géant Azog. Le petit-fils de Thrór, Thorin, combat alors Azog, utilisant comme bouclier de fortune une bûche de chêne, d'où son surnom « écu de chêne », et coupe le bras d'Azog, le laissant pour mort et remportant alors la bataille.

Un matin, à Hobbitebourg, Bilbon reçoit la visite de Gandalf qui lui propose de se joindre à une aventure. Bilbon décline l'offre du vieux magicien, qui grave néanmoins sur la porte du hobbit, à l'aide de son bâton, une mystérieuse inscription. Dans la soirée, Bilbon reçoit la visite de treize nains, dont leur chef Thorin. Les nains s’apprêtent, avec l'aide de Gandalf, à partir vers la Montagne Solitaire afin d'y reconquérir leur or des griffes du dragon, et Bilbon a été choisi pour les accompagner en tant que « cambrioleur », compte tenu de la réputation d'agilité et de discrétion des hobbits, et du fait que Smaug ne connaisse pas l'odeur des Hobbits. D'abord réticent, Bilbon change d'avis le lendemain et rejoint la troupe de nains pour l'aventure.

En chemin, alors que Gandalf est parti explorer les environs, la troupe est capturée par trois trolls. Grâce à la malice de Bilbon qui les conseille sur la meilleure façon de les cuisiner, les trolls se disputent jusqu'à l'aube quand revient Gandalf qui fend alors le rocher qui protégeait les trolls de la lumière du soleil, et les rayons solaires les pétrifient. La compagnie découvre dans la grotte des trolls plusieurs trésors, dont deux grandes épées elfiques, Orcrist qui deviendra l'épée de Thorin, et Glamdring, qui sera utilisée par Gandalf. Ce dernier apporte également à Bilbon un couteau elfique, qui fait office d'épée à sa taille.

La compagnie se remet ensuite en route vers l'est, lorsqu'ils croisent le magicien Radagast le Brun qui leur apprend qu'une puissance maléfique, un nécromancien, s'est emparée de la Forêt Noire, depuis la forteresse de Dol Guldur, ressuscitant les esprits des morts qui s'y trouvent. Radagast en a affronté un avant de s'enfuir. Lorsque la compagnie est poursuivie par des orques montant des Wargs, envoyés par Azog, Radagast fait diversion et le groupe se réfugie dans une crevasse, avant de voir les orques abattus par des cavaliers elfes. Ils rejoignent la cité elfique de Fondcombe, où ils sont accueillis par le maitre des lieux, Elrond, qui les aide à déchiffrer la carte de la montagne solitaire que Thorin possède.

À Fondcombe, le Conseil Blanc composé pour l'occasion de Gandalf, Saroumane, Elrond et Galadriel se réunit pour discuter de l'expédition des nains et du nécromancien. Seul Gandalf y est favorable, mais alors qu'ils sont en pleine discussion, ils apprennent que les nains et Bilbon ont quitté Fondcombe pendant la nuit, en direction des montagnes de l'est. Galadriel comprend que Gandalf s'y était préparé et qu'il compte bien rejoindre l'expédition.

Dans les montagnes, lors d'un violent orage, les géants des montagnes se réveillent et combattent, changeant violemment la topographie du chemin et provoquant des éboulements qui manquent à plusieurs reprises d'emporter la compagnie. Celle-ci finit par trouver refuge dans une grotte, où Thorin manifeste une fois de plus son agacement envers le hobbit qu'il voit comme un poids mort. Pendant la nuit, alors que Bilbon s'apprête à abandonner discrètement la compagnie, le sol de la grotte s'ouvre telle une trappe, et tous sont capturés par des gobelins. Ils sont conduits dans la ville souterraine gobeline, mais Bilbon réussi à s'évader en catimini. Il tombe néanmoins sur un gobelin qu'il combat mais ils chutent tous deux dans une crevasse.

Les nains sont amenés devant le roi des gobelins qui, après les avoir interrogés, comprend qu'il a affaire à Thorin et fait porter un message à Azog pour l'informer. Mais Gandalf vient les secourir et la compagnie parvient à s'échapper des grottes vers la lumière du jour, après avoir massacré de nombreux gobelins, dont leur roi.

Entre temps, dissimulé dans la crevasse où il est tombé, Bilbon voit arriver la créature Gollum qui achève le gobelin pour s'en nourrir. Mais Gollum perd un anneau d'or pendant le combat. Une fois la créature partie, Bilbon récupère l'anneau et suit sa trace pour chercher une sortie. Cependant, Gollum remarque Bilbon et lui propose alors un jeu d'énigmes : si Bilbon gagne, Gollum lui montrera la sortie, et s'il perd, Gollum le mangera. Après un concours d'énigmes, Bilbon finit par l'emporter en demandant ce qu'il a dans sa poche, ce que Gollum ne parvient pas à deviner. Fou de rage, il décide de renier sa parole et d'utiliser son anneau pour devenir invisible et attaquer sans risque le hobbit. Il réalise à ce moment qu'il l'a perdu, et comprend que c'est l'objet que Bilbon avait dans sa poche. Il pourchasse Bilbon qui s'enfuit dans les tunnels, mais le hobbit trébuche et enfile accidentellement l'anneau, devenant invisible. Il voit alors Gollum passer devant lui sans le remarquer. Bilbon suit Gollum jusqu'à la sortie, par où il voit tous ses compagnons s'enfuir, mais Gollum, caché, lui bloque le passage. Il s'apprête à tuer la créature, mais sa pitié l'emporte, et il décide de l'épargner. Il le bouscule pour atteindre la sortie de la grotte et rejoindre Gandalf et la troupe de nains à l'extérieur, laissant Gollum fou de rage et d'impuissance.

À l'extérieur, Thorin se plaint à nouveau du fardeau que représente Bilbon avant que ce dernier se montre sans expliquer comment il s'en est sorti. Leur discussion est interrompue lorsqu'ils sont attaqués par Azog, que Thorin croyait mort, et une troupe d'orques montés sur des Wargs. Poursuivie jusqu'au bord d'un précipice, la compagnie n'a d'autre choix que de chercher refuge dans les arbres et de bombarder les assaillants à l'aide de pommes de pin enflammées. Pendant ce temps, Thorin décide d'affronter Azog. Alors qu'il se trouve en mauvaise posture, Bilbon intervient et lui sauve la vie, suivi par quelques nains ayant pu s'extirper de leur arbre, qui chargent alors les orques. La bataille s'interrompt grâce à l'arrivée d'aigles géants qui emmènent la compagnie dans la montagne, d'où ils aperçoivent la Forêt Noire, et la Montagne solitaire à l'horizon. Thorin reconnait enfin la valeur de Bilbon et le remercie.

Au même moment, sur la Montagne solitaire, une grive brise une coquille d'escargot contre une paroi, ce qui crée un écho au cœur du massif. À l'intérieur, parmi les grandes richesses d'Erebor, un souffle se fait entendre, et le dragon Smaug, enfoui sous son trésor, ouvre un œil.

Fiche technique

Distribution

Décor installé à l'extérieur de l'Embassy Theatre de Wellington pour la première mondiale du film.

Version longue uniquement:

Sources et légende : version française (VF) sur AlloDoublage[6]

Bande originale

Le 1er novembre 2012, la liste des titres présents sur la bande originale du film a été révélée[7]. Elle est disponible depuis le [7] en version standard et en édition spéciale.

The Hobbit : An Unexpected Journey
Original Motion Picture Soundtrack

Album de Howard Shore
Sortie
Enregistré Studios Abbey Road
Durée 1h 47min 42s (Édition standard)
2h 07min 03s (Édition spéciale)
Genre Bande originale de film
Format CD
Compositeur Howard Shore
Producteur Howard Shore
Label Reprise Records
Édition standard
Disque 1
No Titre Durée
1. My Dear Frodo 8:04
2. Old Friends 4:29
3. An Unexpected Party 3:52
4. Axe or Sword? 5:57
5. Misty Mountains (intérprétée par Richard Armitage et The Dwarf Cast) 1:42
6. The Adventure Begins 2:04
7. The World is Ahead 2:19
8. An Ancient Enemy 4:58
9. Radagast the Brown 4:54
10. Roast Mutton 4:02
11. A Troll-hoard 2:39
12. The Hill of Sorcery 3:50
13. Warg-scouts 3:02
Disque 2
No Titre Durée
1. The Hidden Valley 3:50
2. Moon Runes 3:20
3. The Defiler 1:13
4. The White Council 7:19
5. Over Hill 3:43
6. A Thunder Battle 3:55
7. Under Hill 1:55
8. Riddles in the Dark 5:21
9. Brass Buttons 7:37
10. Out of the Frying-Pan 5:54
11. A Good Omen 5:46
12. Song of the Lonely Mountain (intérprétée par Neil Finn[8]) 4:09
13. Dreaming of Bag End 1:49
Édition spéciale

Accueil

Box-office

Le Hobbit a commencé fort au box-office aux États-Unis : le week-end de sa sortie, du vendredi 14 au dimanche 16 décembre, le film a rapporté 84,6 millions de dollars. Le 20 décembre, le film a atteint les 113 millions. En moins d'une semaine, le film a donc dépassé la barre des 100 millions. Pour Noël, le film a atteint les 150 000 000 $[9]. Le , Le Hobbit surpasse les recettes de la La Communauté de l'anneau (871 530 324 $) puis le il dépasse les recettes des Deux Tours (926 047 111 $), devenant ainsi le deuxième plus gros succès de la saga derrière Le Retour du roi (1 119 929 521 $). Le Le Hobbit devient le quinzième film ayant dépassé le milliard de dollars de recettes au box-office.

Le film a rapporté au total 1 017 003 568 $ au box-office mondial, dont 303 003 568 $ aux États-Unis et au Canada[10]. Cela le place au 4e rang des films sortis en 2012 ayant réalisé le plus de recettes, derrière Avengers, Skyfall et The Dark Knight Rises[11]. Il a réalisé 4 505 525 entrées en France[12]. Voici un tableau résumant les principaux résultats enregistrés au box-office par le film[13] :

Box-office mondial par pays du film Le Hobbit : Un voyage inattendu (par ordre décroissant)
Pays Box-office Pays Box-office Pays Box-office
Drapeau des États-Unis États-Unis + Drapeau du Canada Canada 303 003 568 $ Drapeau de la Corée du Sud Corée du Sud 21 688 449 $ Drapeau de l'Autriche Autriche 8 566 403 $
Drapeau de l'Allemagne Allemagne 88 849 559 $ Drapeau du Japon Japon 19 213 976 $ Drapeau de l'Argentine Argentine 7 350 369 $
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 78 662 475 $ Drapeau du Mexique Mexique 19 184 330 $ Drapeau de la Turquie Turquie 6 480 745 $
Drapeau de la République populaire de Chine Chine 49 730 000 $ Drapeau du Brésil Brésil 18 123 942 $ Drapeau de la Finlande Finlande 6 067 291 $
Drapeau de l'Australie Australie 43 972 634 $ Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas 15 996 488 $ Drapeau de la Tchéquie République tchèque 5 047 195 $
Drapeau de la Russie Russie 43 849 722 $ Drapeau de la Pologne Pologne 13 575 296 $ Drapeau du Venezuela Venezuela 4 966 787 $
Drapeau de la France France 41 354 505 $ Drapeau du Danemark Danemark 13 546 216 $ Drapeau de la Malaisie Malaisie 4 865 381 $
Drapeau de l'Espagne Espagne 30 138 682 $ Drapeau de la Norvège Norvège 11 907 713 $ Drapeau de Hong Kong Hong Kong 4 827 606 $
Drapeau de la Suède Suède 22 751 112 $ Drapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande 9 208 549 $ Drapeau de Singapour Singapour 4 319 103 $
Drapeau de l'Italie Italie 22 378 313 $ Drapeau de la Belgique Belgique 8 863 535 $ Drapeau de la Grèce Grèce 4 275 344 $

Réception critique

Le film a reçu un accueil critique mitigé, recueillant 65 % de critiques favorables, avec un score moyen de 6.510 et sur la base de 267 critiques collectées, sur le site Rotten Tomatoes[14]. Sur le site Metacritic, il obtient un score de 58100, sur la base de 40 critiques collectées[15].

Parmi les critiques positives, Rodrigo Perez, de The Playlist, trouve que le film est « aussi épique, grandiose et émotionnellement captivant que les films précédents, […] c’est un voyage palpitant qui est l’un des blockbusters les plus agréables, excitants et engageants de l’année »[16]. Lisa Schwartzbaum, d'Entertainment Weekly, estime que Peter Jackson s'est surpassé dans « l'intensité de la réalisation » pour narrer cette histoire « plus simple, plus picaresque » que le Seigneur des anneaux, dont le « point culminant » est la confrontation entre Gollum et Bilbon[17]. Dan Jolin, de Empire, lui donne 4 étoiles sur 5, évoquant un film « plus léger » que ceux de la première trilogie, fortifié par sa « fidélité » envers le roman et l’interprétation de Martin Freeman et qui laisse espérer que cette nouvelle « trilogie pourra se mesurer à l'ancienne »[18]. James Berardinelli, de Reelviews, lui donne 3 étoiles sur 4, affirmant que « la magie [de la première trilogie] a disparu » mais que le film demeure « un effort compétent et divertissant », « du cinéma grand spectacle de qualité »[19].

Parmi les critiques mitigées ou négatives, Peter Debruge, de Variety, regrette que Peter Jackson ait eu besoin « de développer le monde de la précédente trilogie avec des scènes qu’il vaudrait mieux réserver à une version longue en DVD »[16]. Edward Douglas, de ComingSoon, compare quant à lui le film à Star Wars, épisode I : La Menace fantôme et craint les deux autres films à venir (« Dieu nous vienne en aide si les deux prochains films ne sont pas meilleurs que celui-ci »[16]). IGN Movie déplore que Le Hobbit : Un voyage inattendu ne retrouve pas « la grandeur, l’impact émotionnel ou le charme de la trilogie du Seigneur des anneaux », bien « qu'il reste quand même suffisamment de choses à aimer dans Le Hobbit »[16]. Richard Corliss, de Time Magazine, trouve que le film « manque de majesté », « grand par moment, il est trop souvent grandiloquent et sa longueur est indéfendable »[20].

En France, le film obtient une moyenne de 3,2 étoiles sur 5 sur la revue de presse d'AlloCiné[21], mais de 4,5 étoiles sur 5 chez les spectateurs[22]. Du côté des critiques franchement ou plutôt positives, Charlotte Moreau, du Parisien, évoque une « splendeur visuelle peuplée de créatures et de décors époustouflants, prouesse technique autant que film d'atmosphère en parfaite cohésion avec les précédents »[21]. Pour Christophe Chadefaud, de Studio Ciné Live, c'est une « aventure moins épique mais plus humaine que le Seigneur des anneaux » qui « laisse [une] impression d'une version longue aux scènes étirées. Parfois justifiées, parfois moins » mais « l'immersion est immédiate. La technique toujours aussi renversante »[23]. Éric Libiot, de L'Express, estime que « Jackson prouve qu'il n'a rien perdu de son savoir-faire », accordant que « c'est un peu long à démarrer, certaines scènes d'actions ressemblent à un jeu vidéo, Jackson prend son temps » mais que « Quand le genre continue à être porté à ce niveau, quand ce type de film renvoie à la poubelle les avatars du genre, il faut dire bravo. Et merci »[24]. Cécile Mury, de Télérama, regrette la longueur de la mise en place mais ajoute que « dès que la quête commence vraiment, les morceaux de bravoure abondent, d'une bataille homérique entre deux géants de pierre à l'intrigante rencontre entre Bilbo et Gollum »[25].

Du côté des critiques négatives, Romain Blondeau, des Inrockuptibles, évoque « une machine puissante, sinon dévastatrice, un spectacle pyrotechnique total, un torrent d’images hypergraphiques au milieu duquel coule un tout petit film, ridicule, corseté dans son académisme et pris de vertiges d’esthétisme new age »[26]. Pour Vincent Ostria, de L'Humanité, c'est « un défilé permanent de gargouilles et un filmage dégoulinant, que ne compense pas une mécanique guerrière archi déjà vue »[21].

Distinctions

Récompenses

Nominations

Notes et références

  1. 48 Frames Per Second
  2. Peter Jackson reveals the Red Epic secrets behind The Hobbit (vidéo)
  3. (en) « The Hobbit: An Unexpected Journey », sur The Numbers (consulté le )
  4. Dates de sortie de la première partie - Internet Movie Database
  5. (en) « 'Hobbit: An Unexpected Journey' To Premiere In New Zealand On Nov. 28 », sur www.deadline.com, Deadline, (consulté le )
  6. Fiche du film sur Allo Doublage, consulté le 9 décembre 2014
  7. a et b Liste des pistes révélée par WaterTower Music, consultée le 1er novembre 2012.
  8. (en) Peter Holslin, « 'The Hobbit: An Unexpected Journey' Soundtrack Honors the Dwarves », Rolling Stone, (consulté le )
  9. (en) « The Hobbit: An Unexpected Journey », Box Office Mojo
  10. (en) « The Hobbit: An Unexpected Journey », Box Office Mojo (consulté le )
  11. (en) « 2012 Worldwide Grosses », Box Office Mojo (consulté le )
  12. « Le Hobbit : Un voyage inattendu », JP's Box-Office (consulté le )
  13. (en) « The Hobbit: An Unexpected Journey Foreign », Box Office Mojo (consulté le )
  14. (en) « The Hobbit: An Unexpected Journey », sur Rotten Tomatoes (consulté le )
  15. (en) « The Hobbit: An Unexpected Journey », sur Metacritic (consulté le )
  16. a b c et d The Hobbit : la revue de presse US - AlloCiné, 6 décembre 2012
  17. (en) Lisa Schwartzbaum, « The Hobbit: An Unexpected Journey », Entertainment Weekly (consulté le )
  18. (en) Dan Jolin, « The Hobbit: An Unexpected Journey », Empire (consulté le )
  19. (en) James Berardinelli, « The Hobbit: An Unexpected Journey », sur Reelviews (consulté le )
  20. (en) Richard Corliss, « The Hobbit: Why Go There and Back Again? », sur Time Magazine (consulté le )
  21. a b et c « Le Hobbit : Un voyage inattendu - Critiques presse », sur AlloCiné (consulté le )
  22. « Le Hobbit : Un voyage inattendu - Critiques spectateurs », sur Allociné (consulté le )
  23. Christophe Chadefaud, « Le Hobbit: un voyage inattendu, la Menace fantôme de la trilogie », sur Studio Ciné Live (consulté le )
  24. Éric Libiot, « Le Hobbit: Peter Jackson voit des nains partout », sur L'Express (consulté le )
  25. Cécile Mury, « Le Hobbit : Un voyage inattendu », sur Télérama (consulté le )
  26. Romain Blondeau, « Le Hobbit : répétitif et disgracieux », sur Les Inrockuptibles (consulté le )

Liens externes