Le Fief-Sauvin

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Le Fief-Sauvin
Le Fief-Sauvin
Le bourg du Fief-Sauvin et son église XXe.
Blason de Le Fief-Sauvin
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Cholet
Commune Montrevault-sur-Èvre
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Dominique Audoin
2020-2026
Code postal 49600
Code commune 49137
Démographie
Gentilé Silvanois
Population 1 666 hab. (2013)
Densité 55 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 13′ 19″ nord, 1° 02′ 25″ ouest
Altitude 85 m
Min. 28 m
Max. 109 m
Superficie 30,29 km2
Élections
Départementales Beaupréau
Historique
Fusion 15 décembre 2015
Commune(s) d'intégration Montrevault-sur-Èvre
Localisation
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Le Fief-Sauvin
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Le Fief-Sauvin est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Montrevault-sur-Èvre[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune angevine des Mauges, Le Fief-Sauvin se situe au nord-ouest de Beaupréau, sur les routes D 80, Beaupréau, et D 146, La Chapelle du Genêt[2].

Le territoire des Mauges est la petite région qui couvre la partie sud-ouest du Maine-et-Loire, délimitée au nord par la Loire (fleuve) et à l'est par le Layon (rivière)[3].

Aux alentours[modifier | modifier le code]

Les communes aux alentours sont Beaupréau (4 km), Montrevault (4 km), La Chapelle-du-Genêt (5 km), Saint-Pierre-Montlimart (6 km), Le Puiset-Doré (6 km), La Salle-et-Chapelle-Aubry (6 km), Saint-Rémy-en-Mauges (6 km), Gesté (7 km), Saint-Philbert-en-Mauges (8 km) et La Chaussaire (8 km)[4].

Topographie, géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie de 28 à 109 mètres[5], pour une altitude moyenne de 85 mètres.

Son territoire s'étend sur plus de 30 km2 (3 029 hectares)[5]. Il se situe sur l'unité paysagère du Plateau des Mauges[6].

Plusieurs sites naturels comportent une inscription :

  • Forêt de Leppo, zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), forêt mixte de feuillus (chênes) et résineux (pins maritimes) sur sol argileux, zone s’étendant sur les communes du Fief-Sauvin, Le Puiset-Doré et Saint-Rémy-en-Mauges[7] ;
  • Vallée de l'Èvre, zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), vallée sinueuse alternant prairies humides, coteaux secs, éboulis rocheux, formations boisées, landes, et s'étendant sur douze communes, dont Le Fief-Sauvin[7] ;
  • Méandre abandonné de la Maison Neuve, site présélectionné à l'Inventaire national du patrimoine géologique (INPG), dont le paysage permet de deviner l’ancien méandre emprunté par l’Èvre et limité par les collines adjacentes[7],[8].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La rivière l'Èvre longe la partie Est de son territoire[2].

Climat[modifier | modifier le code]

Son climat est tempéré, de type océanique. Le climat angevin est particulièrement doux, du fait de sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Morphologie urbaine : Le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.

En 2011 on trouvait 669 logements sur la commune du Fief-Sauvin, dont 95 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 83 % des ménages en étaient propriétaires[10].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Village du Fief-Sauvin[modifier | modifier le code]

Formes anciennes du nom : Failum vers 1130, Fadilum vers 1055-1083, Failliacrum vers 1103[11], Le Fief Sauvin en 1793, et Le Fief-Sauvin et Villeneuve en 1801, puis Le Fief-Sauvin[12].

Son nom aurait pour origine fail, dérivé du latin fagus (hêtre)[11], et de silvanum, dérivé du latin silva (bois, forêt), Le Fief-Sauvin signifiant « la forêt des hêtres »[13].

Village de Villeneuve[modifier | modifier le code]

Formes anciennes du nom : capella sancte Marie de Villa Nova en 1060, Paochia de Villa Nova in Castellamia Montis Rebellis en 1240, L'iglise de Ville Nove en 1299, Villeneuve-en-Mauges au XVIIe siècle[14] puis Ville-neuve-en-Mauges[15] et Villeneuve[16].

Gentilé[modifier | modifier le code]

Nom des habitants : Silvanois[17], ou Ferfléens, Flaviens[13].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Le territoire du Fief-Sauvin se situe au cœur d'un emplacement d'habitat préhistorique, sur lequel on a trouvé un menhir, le menhir de Bréau (ou de Brandt, de Brault), des haches de pierre polie, des plaquettes de pierre perforées, etc[18],[19],[20].

On y trouve La Ségourie, comprenant un oppidum gaulois puis Segora, ancienne station romaine se trouvant sur la voie de Poitiers à Nantes[21].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La paroisse du Fief-Sauvin relève au Moyen Âge de la seigneurie de Bohardy[18].

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Au XVIIIe siècle la paroisse dépend du diocèse d'Angers, du doyenné des Mauges et de l'élection d'Angers[18].

Révolution[modifier | modifier le code]

À la réorganisation administrative qui suit la Révolution, Le Fief-Sauvin et Villeneuve sont rattachées en 1790 au canton de Beaupreau (en 1801 au canton de Montrevault) et au district de Saint-Florent-le-Vieil, puis en 1800 l'arrondissement de Beaupreau et à sa disparition en 1857 à l'arrondissement de Cholet[12].

Après la Révolution éclate une insurrection royaliste et en 1793 celle de la guerre de Vendée. Tout l'Anjou sera concerné par ces événements.

Le bourg est incendié par les colonnes infernales à la fin [18]. Le , environ cinquante habitants du Fief-Sauvin et de Villeneuve (dont quinze enfants), très probablement massacrés par les colonnes infernales alors présentes dans le bois de Leppo, sont inhumées soit dans les cimetières soit directement sur les lieux de leur mort[22]. Au total, environ 107 habitants de Villeneuve et 235 du Fief-Sauvin sont tués, sans distinction d'âge ni de sexe, sur le passage de cette neuvième colonne incendiaire[22] commandée par Cordellier et Crouzat.

Le Fief-Sauvin absorbe Villeneuve entre 1790 et 1794[12]. La paroisse de Villeneuve est supprimée en 1809 (ordonnance épiscopale du ) et réunie à celle du Fief-Sauvin[15].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

À la fin du XIXe et le début du XXe siècle, la ligne Nantes-Cholet du Petit Anjou, réseau de chemin de fer secondaire, traverse le territoire du Fief-Sauvin, arrivant de Montrevault pour se diriger ensuite vers Beaupréau[23],[24]. Une halte se situait sur cette ligne, à 5 km du bourg, à l'angle de la route de la Roche Thierry et de celle de Saint-Pierre-Beaupréau[25].

En 2014, un projet de fusion de l'ensemble des communes de l'intercommunalité se dessine. L'année suivante un projet de rapprochement des communes de l'intercommunalité est discuté[26],[27],[28],[29]. Parallèlement, un projet de création d'une intercommunalité à l'échelle des Mauges est également discuté[29]. Le , les conseils municipaux de l'ensemble des communes du territoire communautaire votent la création d'une commune nouvelle baptisée Montrevault-sur-Èvre pour le [30], dont la création a été officialisée par arrêté préfectoral du [1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Administration actuelle[modifier | modifier le code]

Depuis le , Le Fief-Sauvin constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Montrevault-sur-Èvre et dispose d'un maire délégué[1].

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
15 décembre 2015 mai 2020 Denis Raimbault[31] SE  
mai 2020   Dominique Audoin[32]    
Les données manquantes sont à compléter.

Administration ancienne[modifier | modifier le code]

Les communes du Fief-Sauvin et de Villeneuve sont créées à la Révolution[12],[16].

Liste des maires successifs[17],[33]
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1959 Victor Piou    
1959 1977 Jean Gardey de Soos[Note 2]    
1977 1989 Marie Toublanc    
1989 2001 Jean-Marie Reveau    
2001 mars 2008 Louis Renault    
mars 2008 14 décembre 2015 Denis Raimbault[34]    

Jumelages[modifier | modifier le code]

Entre 2005 et 2013, la commune était jumelée avec Ruynes-en-Margeride située dans le Cantal[35],[36],[37]. Un comité de jumelage gère ensuite la recherche d'un nouveau partenariat[38], qui se concrétise en 2015 avec la commune de Thésée (Loir-et-Cher)[39],[40].

Ancienne situation administrative[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était intégrée à la communauté de communes du Montrevault Communauté, qui regroupait onze communes, dont Saint-Pierre-Montlimart et Le Puiset-Doré[41],[42]. La communauté de communes était adhérente du syndicat mixte Pays des Mauges, structure administrative d'aménagement du territoire.

La communauté de communes Montrevault Communauté cesse d'exister le et ses compétences sont transférées à la commune nouvelle de Montrevault-sur-Èvre[1].

Autres circonscriptions[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 2014, Le Fief-Sauvin fait partie du canton de Montrevault et de l'arrondissement de Cholet[43]. Ce canton comporte alors les onze même communes que l'intercommunalité. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Beaupréau, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[44].

La commune fait partie de la sixième circonscription de Maine-et-Loire, composée de six cantons dont Champtoceaux, Montrevault et Saint-Florent-le-Vieil. Cette circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.

Population et société[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[46],[Note 3].

En 2013, la commune comptait 1 666 habitants, en augmentation de 4,78 % par rapport à 2008 (Maine-et-Loire : 3,2 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5547871 3691 6401 7691 7491 7201 7771 773
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8311 8771 9071 9351 9011 8801 8571 7921 684
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6161 5641 4891 3371 3111 3261 3251 3181 416
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2013
1 5361 5811 5041 5961 5071 4551 4131 6421 666
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16,9 %) est en effet inférieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (53 % contre 48,7 % au niveau national et 48,9 % au niveau départemental).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

  • 53 % d’hommes (0 à 14 ans = 23,9 %, 15 à 29 ans = 20,8 %, 30 à 44 ans = 20,6 %, 45 à 59 ans = 20,8 %, plus de 60 ans = 13,9 %) ;
  • 47 % de femmes (0 à 14 ans = 22,8 %, 15 à 29 ans = 17,6 %, 30 à 44 ans = 20,2 %, 45 à 59 ans = 19,2 %, plus de 60 ans = 20,1 %).
Pyramide des âges à Le Fief-Sauvin en 2008 en pourcentage[49]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90  ans ou +
0,1 
4,3 
75 à 89 ans
8,0 
9,4 
60 à 74 ans
12,0 
20,8 
45 à 59 ans
19,2 
20,6 
30 à 44 ans
20,2 
20,8 
15 à 29 ans
17,6 
23,9 
0 à 14 ans
22,8 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2008 en pourcentage[50].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90  ans ou +
1,1 
6,3 
75 à 89 ans
9,5 
12,1 
60 à 74 ans
13,1 
20,0 
45 à 59 ans
19,4 
20,3 
30 à 44 ans
19,3 
20,2 
15 à 29 ans
18,9 
20,7 
0 à 14 ans
18,7 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Située dans l'académie de Nantes, on ne trouve sur la commune du Fief-Sauvin qu'une seule école, l'école primaire privée Notre-Dame[51].

Services publics[modifier | modifier le code]

On trouve aussi une bibliothèque (Espace intergénérations)[41]. Il faut se rendre à Montrevault, siège de la communauté de communes, pour trouver d'autres structures[52] : petite enfance, enfance, jeunesse, etc[41].

Un service de ramassage des ordures ménagères (collecte sélective) est assuré par le SIRDOMDI de Beaupréau. Créé en 1976, ce syndicat mixte assure la collecte et le traitement des ordures ménagères de cinquante-cinq communes de la région[53].

Santé[modifier | modifier le code]

Les structures de santé se trouvent à Montrevault, Saint-Pierre-Montlimart ou Beaupréau, comme la Maison de retraite médicalisée EHPAD Les Troënes (Saint-Pierre-Montlimart), l'établissement EHPAD MR Saint Martin (Beaupréau), le foyer de Vie Le Point du Jour (Beaupréau) ou l’hôpital Saint Martin (Beaupréau)[54].

Économie[modifier | modifier le code]

Tissu économique[modifier | modifier le code]

Champs de blé au Fief-Sauvin.
Champs de blé au Fief-Sauvin.

L'agriculture est la principale activité que l'on trouve sur la commune. Dans les années 1970, on y trouve 403 exploitations (polyculture et viticulture) et une fabrique de chaussures employant 130 ouvriers[55].

En 2010, sur les 127 établissements présents sur la commune, 54 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 2 % du secteur de l'industrie, 12 % du secteur de la construction, 28 % de celui du commerce et des services et 4 % du secteur de l'administration et de la santé[56]. Deux ans plus tard, en 2012, sur 133 établissements présents, 51 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 15 % sur le département), 2 % du secteur de l'industrie, 12 % du secteur de la construction, 30 % de celui du commerce et des services et 5 % du secteur de l'administration et de la santé[10].

Tourisme[modifier | modifier le code]

L'office de tourisme intercommunautaire se trouve dans les années 2010 sur la commune du Fuilet[57].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Sites classés[modifier | modifier le code]

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Croix aux 56 victimes puiset-doréennes.
Croix aux 56 victimes puiset-doréennes des colonnes infernales, forêt de Leppo.
  • Grotte de la Gabardière, datant de 1910, réalisée à l’image de celle de Lourdes[58].
  • Monument aux morts inauguré en 1924, sur l'emplacement de l'ancien moulin à vent des Moulinards[55].

La commune comporte deux anciennes paroisses, l’une au bourg et l'autre à Villeneuve[55],[15] :

  • Église Notre-Dame du Fief-Sauvin, église initialement bâtie au XVe siècle, reconstruite en 1874[55], puis à nouveau en 1997, église contemporaine dont il ne reste de la précédente que le chœur et les vitraux[58] ;
  • Église Notre-Dame de Villeneuve, construite en 1876, détruite par une tornade le , reconstruite en 1981 et dont il ne reste aujourd'hui que le clocher[15],[58].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876) (BNF 34649310, lire en ligne) (Le Fief-Sauvin).
  • Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : S-Z, t. 4, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376, lire en ligne), p. 790-791 (Villeneuve).
  • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 2 (D-M), Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd., p. 148-150 (Le Fief-Sauvin).
  • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 3 (N-Z), Angers, Lachèse & Dolbeau libraires, , 1re éd., p. 731-732 (Villeneuve).
  • Dominique Lambert de La Douasnerie, Paroisses et soldats de l'armée vendéenne — Le Fief-Sauvin et Villeneuve, Angers, D. Lambert de La Douasnerie, , 2 vol. 111 (BNF 36961257)
  • Jules Chéné, Ségora : l'antique mansion romaine enfin révélée par le cadastre du Fief-Sauvin, Beaupréau, IPA, , 2e éd., 94 p. (ISBN 2-9525226-0-X, BNF 40136781)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Jean Simon, maire : L'édition 1978 du Célestin Port (op. cit.), indique « démissionnaire en juin 1869 », alors que la commune indique, de 1843 à 1865, Jean Simon, et de 1865 à 1871, Louis Appert.
  2. Gardey de Soos, maire : L'édition 1978 du Célestin Port (op. cit.), p. 147 indique par erreur Gardey de Voos.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Arrêté no DRCL-NCL-2015-59 en date du 5 octobre 2015 portant création de la commune nouvelle de Montrevault-sur-Èvre », Recueil spécial des actes administratifs de la préfecture de Maine-et-Loire, no 74,‎ (lire en ligne [PDF]).
  2. a et b IGN et BRGM, Géoportail Le Fief-Sauvin (49), consulté le 2 septembre 2012.
  3. Louis Poirier, « Essai sur la morphologie de l'Anjou méridional (Mauges et Saumurois) », Annales de Géographie, t. 44, no 251,‎ , p. 474 (DOI https://doi.org/10.3406/geo.1935.11159) — Voir Mauges.
  4. Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir du Fief-Sauvin (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 3 mai 2013 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  5. a et b IGN, Répertoire géographique des communes (RGC 2011), consulté le 3 mai 2013 — Données consultables sur WikiAnjou.
  6. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 190.
  7. a b et c Dreal Pays de la Loire, Base communale, Commune de Le Fief-Sauvin (49137, consulté le 4 mai 2013.
  8. Inventaire national du patrimoine naturel, Vallée de l'Èvre, document du 16 février 2015.
  9. Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Le climat de Maine-et-Loire », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011.
  10. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de Le Fief-Sauvin (49), consultées le 18 janvier 2015.
  11. a et b Célestin Port 1978, p. 145-147 (Le Fief-Sauvin).
  12. a b c et d EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui : Notice communale de Le Fief-Sauvin, consultée le 4 mai 2013 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l’ensemble du territoire français de l’époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
  13. a et b Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 80.
  14. Registres BMS XVIIe siècle de la paroisse de Villeneuve sur le site des Archives départementales de Maine-et-Loire.
  15. a b c et d Célestin Port 1996, p. 790-791 (Villeneuve).
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Villeneuve », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  17. a et b Mairie du Fief-Sauvin, Un peu d'histoire, consulté le 23 janvier 2014.
  18. a b c et d Célestin Port 1978, p. 146.
  19. a et b « Menhir de Breau », notice no PA00109428, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  20. Michel Gruet (actualisation de Charles-Tanguy Le Roux), Mégalithes en Anjou, Le Coudray-Macouard, Cheminements, , 37 p. (ISBN 2-84478-397-X, lire en ligne), p. 312.
  21. Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : S-Z, t. 4, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376), p. 358-359 (La Ségourie).
  22. a et b Lechat de la voisine, Massacres du Fief-Sauvin et Villeneuve, avec pour sources les registres BMS du Fief-Sauvin et de Villeneuve (Archives départementales de Maine-et-Loire), consulté le 9 septembre 2016.
  23. Michel Harouy et Michel Raclin, L'étoile ferroviaire de Beaupréau, Dossiers de l'AAPA no 23, Édition AAPA 1999.
  24. Association des Amis du Petit Anjou (AAPA), Le réseau, consulté le 18 mai 2015.
  25. Carte du réseau dans l'ouvrage L'étoile ferroviaire de Beaupréau de Michel Harouy et Michel Raclin (op. cit.).
  26. Mairie du Fief-Sauvin, Réunions publiques - Vers la commune nouvelle, consulté le 18 mai 2015.
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