Langouet

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Langouet
Langouet
L'église Saint-Armel.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Communauté de communes du Val d'Ille-Aubigné
Maire
Mandat
Jean-Luc Dubois
2020-2026
Code postal 35630
Code commune 35146
Démographie
Gentilé Langouëtiens
Population
municipale
617 hab. (2021 en augmentation de 2,83 % par rapport à 2015)
Densité 88 hab./km2
Population
agglomération
18 579 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 14′ 59″ nord, 1° 49′ 23″ ouest
Altitude Min. 71 m
Max. 121 m
Superficie 6,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Melesse
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Langouet
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Langouet
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Langouet
Liens
Site web www.langouet.fr

Langouet[1] [lɑ̃ɡwɛt], localement orthographiée Langouët[2], est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 617 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Langouet est située à 20 kilomètres au nord de Rennes.

Carte de la commune.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie entre 71 et 121 mètres. La superficie est de 699 hectares[3].

Langouet se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[6]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est  », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 788 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Feins à 16 km à vol d'oiseau[8], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 816,2 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Langouet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,5 %), zones agricoles hétérogènes (29,4 %), prairies (13,2 %), forêts (5,7 %), zones urbanisées (0,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat[modifier | modifier le code]

« La prairie Madame »[modifier | modifier le code]

La première réalisation communale a été la réalisation de maisons basse consommation en bois. Le projet a démarré en 2005[18].

La commune était propriétaire du terrain, à côté du bourg. Elle a réalisé le lotissement en régie, pour optimiser les coûts et garantir la qualité architecturale et paysagère du projet. Le lotissement communal La Prairie Madame a été réservé aux primo-accédants avec des revenus bas et moyens.

Pour ce projet, parpaings et PVC étaient interdits. L’architecte chargé du suivi du projet a proposé deux types de maisons, bois ou bois et monomur, avec poêle à granulés et énergie solaire. Les toitures devaient être en ardoise, et en acier gris pour les garages. Les eaux de toitures sont récupérées et réutilisées.

Les terrains font en moyenne 350 m2. Il y a un ensemble de 6 maisons et 6 garages groupés, et un de 3 maisons et 3 garages groupés. Certaines maisons sont accolées, d’autre sont isolées. Toutes bénéficient de principes bioclimatiques.

Un aménagement paysager des jardins a été fait. Les clôtures sont en piquets de châtaignier et fil à mouton, ou en tressage de saule, les portillons métalliques. Une liaison douce traverse le projet. Les plantations sont d’essences locales, un verger a été planté, des noues accompagnent la voirie, étroite. On retrouve la couleur du bois au niveau des candélabres. Une passerelle permet d’accéder à une zone humide, voisine du projet[19].

« La pelousière »[modifier | modifier le code]

L'opération « La pelousière » est la deuxième opération portée par la commune. Le projet est constitué de 12 maisons (T5) et 6 appartements (4 T3 et 2 T2) au sein d'un petit collectif. Il a bénéficié d’une démarche « ADOU » (équivalent d’une approche environnementale de l'urbanisme dans le Pays de Rennes), et de l’aide du conseil local de l’énergie. Les objectifs étaient la densité, une place de la voiture limitée, des stationnements séparés des maisons (pas de garage mais des carports végétalisés). La commune s’était associée à un architecte avec comme objectif une approche globale, à la fois sur l’eau, l’énergie, la luminosité, le confort et la santé des habitants…

Chaque logement est équipé de solaire thermique. Les toitures sont en zinc. Le collectif consomme entre 30 et 35 kWh/m²/an[réf. nécessaire] ; le chauffage est fait par une pompe à chaleur. Les maisons et le collectifs sont au niveau BBC[20]. Des séchoirs en poteaux bois ont été installés dans tous les jardins, pour inciter les ménages à ne pas utiliser de sèche-linge et diminuer la consommation énergétique.

Des noues ont été intégrées au sein de l'opération pour la gestion des eaux pluviales. Elles débouchent sur une zone de jeu et de tampon naturel.

Dans le cahier de cession de terrain, il était demandé 3 jours de travaux à chaque adulte futur habitant pour les murets et les appentis, soit un total de 30 jours de participation. Une clause de solidarité était incluse pour ceux qui ne pouvaient participer aux travaux. L’accompagnement de ce projet a été mené par des compagnons bâtisseurs[19].

« Les Marivoles »[modifier | modifier le code]

Sur un terrain de 4 000 m2, en face du hameau de La Pelousière, la municipalité souhaite réaliser 7 maisons individuelles construites dans une démarche biosourcée et circulaire, avec production photovoltaïque et récupération d’eau de pluie[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont : Langoait (1407), Langoet (XVe siècle), Langouet (XVIe siècle)[22].

L'expression "lan" en breton ancien signifie "lieu consacré"[23]. Les noms en Lan- se rattachent à des fondations monastiques ou à des saints qui y vécurent en ermites, et ici, comme tant d'autres exemples Bretons, la similitude avec le pays de Galles est évidente (comme à Langolen [29] et son homonyme gallois Llangollen, avec un Saint Gollen dont on ne sait quasiment rien)[24].

L'expression "coat" relève du moyen breton, sa source est "coet" (vieux breton, plus connu à l'époque moderne sous la forme koad), signifiant "le bois".

De sa traduction littérale, fusion des deux expressions bretonnes "lan" et "coet", il en résulte "le lieu honoré au bois" [25].

Il est plausible que la traduction de cette notion révèle une résurgence forte de la notion de "bois sacré" ou encore une réminiscence ancestrale signifiant « L'ermitage, le monastère du bois »[26] ou à tout le moins : « Le bois du monastère / de l'ermitage ».

En outre, un lieu-dit très ancien, vient appuyer l'hypothèse de l'emploi du breton sur ce territoire et l'installation d'un ermitage : Penabat, de Penn et Abad, soit littéralement le "Chef / Sommet ou Pointe des Abbés »[réf. nécessaire].

Langoed est la forme bretonne proposée par l'OPLB[22]. Le nom de la commune en gallo est Lan.wèt[27].

Histoire[modifier | modifier le code]

Pendant la Seconde Guerre mondiale, cette petite commune était très active : elle possédait un vendeur de tissus, un maréchal-ferrant, un boulanger et autres petits commerces aujourd'hui disparus.

Le , un référendum est organisé pour un rattachement de Langouet à Vignoc ou à Gévezé. Les Langouëtiens votent contre le rattachement de Langouet à l'une ou l'autre des deux communes[28].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
décembre 1919[29] ? M. Richard   Cultivateur
Les données manquantes sont à compléter.
Maire en 1968[30] ? Pierre Ory   Menuisier
mars 1971 mars 1983 Louis Guérin   Exploitant agricole, maire honoraire
mars 1983 juin 1995 Marcel Harnois   Conducteur de travaux
juin 1995 juin 1999 Philippe Robin PS Maçon
juin 1999 3 juillet 2020 Daniel Cueff DVE puis [31] Maître de conférences
Conseiller régional de Bretagne (2010 → 2015)
3 juillet 2020 En cours Jean-Luc Dubois[32]   Ingénieur dans le secteur bancaire
Les données manquantes sont à compléter.

Aux élections municipales du 15 mars 2020 avec une participation de plus de 80%, la liste soutenue par Daniel Cueff, le maire anti pesticides (qui ne se représentait pas) est battue[33].

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

La commune a décidé en 2003 de se passer des énergies fossiles. En 2014, les panneaux photovoltaïques produisaient plus d'électricité que celle consommée par la ville. La cantine scolaire est bio depuis 2003[34],[35].

En 2017, Langouet a lancé un programme d’habitat social 100 % circulaire pour un coût de 25 000 Euros financé par un prêt souscrit par 42 investisseurs. Ce projet a débouché sur :

En 2014, la commune reçoit le 1er prix des communes bio et sans pesticides dans sa catégorie, prix national organisé par un collectif d'associations citoyennes[37].

Le , un arrêté municipal interdit l’usage de produits phytosanitaires à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d’habitation ou professionnel[38]. L’élu de Langouet est convoqué au tribunal administratif de Rennes à la demande de la préfecture, qui souhaite l’annulation de son arrêté. Un rassemblement de soutien a été organisé, et des jeunes bretons ont organisé un voyage à vélo pour rejoindre Langouet. plusieurs personnalités politiques ont réagi (Corinne Lepage, Yannick Jadot...) et l'affaire est relayée dans les médias locaux et nationaux[39].

Le , le tribunal administratif de Rouen a annulé l'arrêté limitant l'usage des pesticides au motif que seul le ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation a autorité pour encadrer l'utilisation des pesticides[40].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[42].

En 2021, la commune comptait 617 habitants[Note 4], en augmentation de 2,83 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
504516502489564523515498525
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
504514536490509480455492519
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
507467436375401395378352285
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
257278317418454537543545596
2018 2021 - - - - - - -
601617-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[3] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école du village a été rénovée et agrandie au début des années 2000, et équipée d'énergies renouvelables.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Il n’y a pas de monuments historiques à Langouet. On trouve cependant plusieurs édifices présentant un intérêt patrimonial[44], notamment l'église Saint-Armel dont certaines parties remonteraient au XVe siècle[45].

Langouët possède plusieurs chênes pluri-centenaires situés dans les champs, ils sont classés au patrimoine des arbres remarquables d'Ille-et-Vilaine[46].

Équipements culturels[modifier | modifier le code]

Langouet est pourvu d'une bibliothèque et d'un bar associatif La Cambuse[47].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Adolphe Julien Fouéré, aussi appelé « l'Ermite de Rothéneuf » séjourna à Langouet, en qualité de curé, de 1889 à 1893 avant de démissionner des ordres et de rejoindre la ville de Rothéneuf où il sculpta des rochers durant 16 ans[48].
  • Commandant Dieudonné de Laubier, aviateur mort à Sedan le 14 mai 1940 en héros lors de la Seconde Guerre mondiale à l'âge de 42 ans. Né le 17 juin 1897 à Saint Méloir des Ondes[49], il a vécu ses jeunes années sur la commune, domicilié alors au lieu-dit Le Coudray acheté par son père en 1886[50]. Des anciens combattants de l'aviation souhaitent rappeler le souvenir de cet enfant de Langouet, commandant en 1940 du Groupe de bombardement de nuit GB 34/II qui a pris la place d'un de ses subordonnés pour accompagner son groupe lors de la mission de sacrifice du ayant pour objectif de détruire le pont de bateaux sur lequel passait la 1re Panzer du général Guderian (commandant le XIXe corps d'armée)[51].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Langouet, dans le code officiel géographique
  2. Site officiel de la commune
  3. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  4. Plan séisme
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Langouet et Feins », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Feins Sa » (commune de Feins) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Feins Sa » (commune de Feins) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Lotissement La Prairie Madame à Langouët (35) », sur Bruded, (consulté le ).
  19. a et b Compte-rendu de visite par le PNR des Caps et Marais d'Opale, 2012.
  20. « Lotissement La Pelousière à Langouët (35) », sur Bruded, (consulté le ).
  21. « Les Marivoles, le nouveau lotissement biosourcé, à énergie passive en économie circulaire à Langouët (35) », sur Bruded, (consulté le ).
  22. a et b Résultats concernant « Langouet » dans la base KerOfis de l’office public de la langue bretonne.
  23. « Les noms de lieux Bretons et leur histoire - Office Public de la Langue Bretonne », sur fr.brezhoneg.bzh (consulté le ).
  24. « Aperçu des noms de lieux de Bretagne : l'impact de l'histoire sur la toponymie bretonne », sur Becedia, (consulté le ).
  25. « Savoir traduire le nom de votre village breton », sur Port d'Attache, (consulté le ).
  26. Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 77, Editions Jean-paul Gisserot » (ISBN 2877474828, consulté le ).
  27. « ChubEndret — Dictionnaire de noms de lieux en gallo - institu Chubri - Du galo pourr astourr », sur chubri-galo.bzh (consulté le ).
  28. « Bretagne à cinq départements. Une votation à Langouët ce dimanche », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
  29. Les élections des maires : arrondissement de Rennes, L'Ouest-Éclair du 11 décembre 1919, no 7269 (lire en ligne).
  30. Il fut suppléant du député Jacques Cressard.
  31. Lors des régionales de 2010, Daniel Cueff a été élu conseiller régional sous l’étiquette « Bretagne Écologie » sur la liste menée par le socialiste Jean-Yves Le Drian. Source : Philippe Boissonnat, « La nouvelle carte électorale d'Ille-et-Vilaine », sur rennes.maville.com, Ouest-France, (consulté le ).
  32. « Municipales à Langouët. Jean-Luc Dubois est le nouveau maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  33. Serge POIROT, « Municipales. Les électeurs de Langouët tournent la page Daniel Cueff, le maire antipesticides », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
  34. Martin Cadoret, « Langouët, la commune bretonne qui a dit non aux énergies fossiles », sur reporterre.net, Reporterre, (consulté le ).
  35. Eléa Pommiers, « Daniel Cueff, le maire breton qui invente le village de l’après-pétrole », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  36. « Permaculture et autonomie alimentaire pour tous », sur app.collecticity.fr, collecticity (consulté le ).
  37. « Prix national « zéro phyto 100 % bio! » pour Bouvron, Langouët et Guipel », sur Bruded, (consulté le ).
  38. Axel Leclercq, « Le maire de Langouët interdit les pesticides à proximité des habitations », sur reporterre.net, Reporterre, (consulté le ).
  39. Camille Michel pour Le Monde, « Un maire convoqué devant le tribunal pour avoir interdit l’usage des pesticides près des habitations », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. Laurent Radisson, « Pesticides : la justice administrative annule l'emblématique arrêté de Langouët », sur Actu-Environnement.com, Environnement et Technique, (consulté le ).
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. Présentation de la commune de Langouet, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  45. Notice no IA00130863, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « Vélo Promenade no 1 : Entre bief et bocage », sur paysderennes.fr (consulté le ).
  47. La Cambuse
  48. Frédéric Altmann, L'ermite de Rothéneuf", Nice, Éditions A.M., , 128 p., p. 27.
  49. (en) « Family tree of "Émile" Marie Jean Joseph de LAUBIER », sur Geneanet (consulté le ).
  50. « Château du Coudray (Langouët) - Inventaire Général du Patrimoine Culturel », sur patrimoine.bzh (consulté le ).
  51. Un site internet lui est dédié : http://commandantdelaubier.info/.