Lagarde-Paréol

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Lagarde-Paréol
Lagarde-Paréol
Château Fonsalette,
un des plus prestigieux domaines
des Côtes du Rhône.
Blason de Lagarde-Paréol
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Carpentras
Intercommunalité Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence
Maire
Mandat
Fabrice Leaune
2020-2026
Code postal 84290
Code commune 84061
Démographie
Gentilé Paréolais, Paréolaises
Population
municipale
322 hab. (2021 en augmentation de 3,21 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 13′ 44″ nord, 4° 51′ 06″ est
Altitude 125 m
Min. 84 m
Max. 253 m
Superficie 9,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Orange
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bollène
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Lagarde-Paréol
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Lagarde-Paréol

Lagarde-Paréol est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Situées à l'est du massif d'Uchaux, en bordure de la vallée de l'Aygues, les terres de la commune sont une alternance de bois et de vignes. La viticulture joue d'ailleurs un rôle important dans l'économie locale.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune de Lagarde-Paréol est une commune de Nord Vaucluse, située à la limite de la Drôme, la commune est à proximité de la ville de Bollène (au nord) et la ville d'Orange plus au sud.

Communes limitrophes de Lagarde-Paréol
Rochegude
Drôme
Uchaux Lagarde-Paréol Sainte-Cécile-les-Vignes
Sérignan-du-Comtat

Accès[modifier | modifier le code]

La route départementale 65 traverse la commune et le bourg sur un axe nord-sud (petite déviation au nord vers Rochegude à l'ouest). La route départementale 168 en provenance de la commune voisine de Sainte-Cécile-les-Vignes la rejoint au nord du bourg.

L'autoroute la plus proche est l'autoroute A7, à un peu moins d'une vingtaine de kilomètres à l'ouest.

Relief[modifier | modifier le code]

Vue depuis le sommet du village.

Le village est construit sur un pic rocheux faisant face au massif d'Uchaux.

Le point le plus bas, à 84 mètres d'altitude, se situe au sud-est de la commune. Le point le plus haut, à 253 mètres d'altitude, se situe à l'ouest du village, à proximité du sommet de la Roquette (284 mètres d'altitude, commune voisine de Uchaux).

Géologie[modifier | modifier le code]

Le massif d'Uchaux constitue une unité anticlinale dissymétrique axée est-ouest, à cœur crétacé, avec deux synclinaux, l'un au sud et l'autre au nord. Les sols de la partie ouest de la commune, au bord est du massif, sont principalement composés de calcaires quartzeux, ainsi que des formations résiduelles ou faiblement remaniées, indifférenciées. Les sols de la partie est de la commune sont quant à eux composés d'alluvions ainsi que quelques sables et grès jaunes[1].

Fontaine publique.

Sismicité[modifier | modifier le code]

Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Plusieurs fontaines publiques récupèrent les eaux d'une source du massif qui se situe au lieudit de Volonge, où les anciens ont construit un canal souterrain en pierre pour amener l'eau par gravité jusqu'au village pour ensuite alimenter les fontaines et les lavoirs.

La commune est traversée sur un axe nord-sud, à l'est du village, par le Béal et la Ruade, deux ruisseaux affluents de l'Eygues.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 752 mm, avec 5,6 jours de précipitations en janvier et 3,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Orange », sur la commune d'Orange à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 14,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 719,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14,5 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Un oppidum romain somme le haut du village, les fouilles ont permis de mettre au jour sépultures et poteries. Aujourd'hui appelé Castellas, ce fut à l'origine un poste de garde surveillant les vallées du Lez et de l'Eygues[10].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Territoire des domaines du comte de Toulouse, il fut donné en fief, en 1237, à la maison des Baux. Il resta dans cette famille jusqu'en 1398[10].

Le prieuré bénédictin fondé en 960, et devenu église paroissiale, sous l'invocation de saint Marti, fut gravement endommagée lors des guerres de religion. Sa seule chapelle subsistante fut démolie peu avant 1789. L'actuelle église paroissiale Saint-Antoine fut édifiée au cours du XVIe siècle, puis remaniée au XVIIIe siècle[11].

À partir du , cette seigneurie eut pour Dame foncière la Révérende Chambre Apostolique d'Avignon, qui possédait un quart du fief, et des barons de Sérignan-du-Comtat, l'autre quart. La moitié restante était partagée en huit coseigneuries[12].

Période moderne[modifier | modifier le code]

Ruth ou Rus, seigneurie possédée au XVIIe siècle par la famille de Rafélis et Françoise de Soissan de La Bédosse, la fameuse dame de Rus, est sur le territoire de la commune.

Le fut créé le département du Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.

Vignoble sur le terroir de Fonsalette.

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1937, une partie du vignoble de la commune obtient l’appellation côtes-du-rhône. Ce terroir est aujourd'hui classé en Massif-d'uchaux, appellation Côtes-du-rhône-villages. En dépit de cette appellation, le château Fonsalette, appartenant à la même famille qui possède Château Rayas, à Châteauneuf-du-Pape, commercialise toujours ses vins en côtes-du-rhône. Ce vin prestigieux, est considéré à l'égal de son cousin châteaunevois[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Cité en 1137 « Guarda » et en 1281 « Castrum Garde Pareoli »[12], le nom de la commune dérive de pareriorum (parioù en provençal) qui a donné pariers en vieux français, puis pairs, terme désignant des seigneurs possédant un lieu en commun où le partage de l'autorité se faisait équitablement[10].

Mais le nom pourrait aussi venir du poste de garde (castellas) qui a donné Lagarde, ce poste était gardé par le dieux Éole, dieu du vent et en particulier du mistral qui a donné Paréol.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Lagarde-Paréol

Les armes peuvent se blasonner ainsi :

D'azur à la clef d'or et à la clef d'argent passées en sautoir, au chef cousu de sable chargé d'une étoile de seize rais aussi d'argent.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 ? Yves Arnaud PS  
mars 2001 En cours
(au 26 juin 2020)
Fabrice Leaune [14]
Réélu pour le mandat 2020-2026
   
Les données manquantes sont à compléter.

Fiscalité[modifier | modifier le code]

L'imposition des ménages et des entreprises à Lagarde-Paréol en 2009[15]
Taxe Part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 9,51 % 0,00 % 7,55 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 17,95 % 0,00 % 10,20 % 2,36 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 59,70 % 0,00 % 28,96 % 8,85 %
Taxe professionnelle (TP) 21,88 %* 0,00 % 21,51 % 3,84 %

La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[16]).

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lagarde-Paréol est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[17],[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orange, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

L'habitat est peu diffus.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (56,5 %), forêts (40,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune ne semble pas être une commune jumelée.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 322 habitants[Note 4], en augmentation de 3,21 % par rapport à 2015 (Vaucluse : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
211185219239222213221241265
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
280283278234227233223192165
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
160164151151126124116115105
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
116130135255279297274274304
2015 2020 2021 - - - - - -
312325322------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'économie de la commune s'articule principalement autour de deux pôles, la vigne et le tourisme.

Vignoble et oliveraie, sur la commune de Lagarde, séparés par un chemin pédestre.

Tourisme[modifier | modifier le code]

Tourisme viticole (plusieurs caves de dégustation) et tourisme de randonnées (plusieurs circuits pédestres et vélo à proximité), le village est traversé par le GR4. On trouve sur la commune plusieurs gîtes et chambres d'hôtes qui permettent l'accueil des touristes[27].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Le vignoble produit des vins classés en Côtes-du-rhône et côtes-du-rhône villages avec nom géographique. Les vignes classées en appellation Massif d'Uchaux se trouvent sur un sol très caillouteux, sont positionnées en coteaux, banquettes et sur de petits plateaux, la taille des parcelles est donc minime (<1 ha - 2 ha). Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label vin de pays de la Principauté d'Orange.

Équipements ou Services[modifier | modifier le code]

La commune propose les services d'une bibliothèque municipale[28].

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune possède une école primaire publique[28]. Par la suite, les élèves vont au collège Victor-Schœlcher à Sainte-Cécile-les-Vignes[29].

Sports[modifier | modifier le code]

Le Centre socio-culturel propose des cours de yoga et de danse de salon, un club de tennis de table. On trouve aussi sur la commune un club de randonnées[30].

Santé[modifier | modifier le code]

Les services médicaux et paramédicaux les plus proches se trouvent sur la commune de Sérignan.

Vie locale[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

L'église et le calvaire.

La paroisse catholique fait partie de l'archidiocèse d'Avignon, doyenné d'Orange Bollène[31]. Église paroissiale Saint-Antoine[28], située au sommet du rocher sur lequel est construit le village.

Environnement[modifier | modifier le code]

Entre autres, la communauté de communes a des missions de gestion de l'assainissement collectif, la collecte et le traitement des déchets des ménages et déchets assimilés, la lutte contre les nuisances sonores, le contrôle de la qualité de l'air et la protection, et la mise en valeur de l'environnement.

La déchèterie intercommunale est située à Camaret sur Aigues[28].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Antoine et calvaire au sommet du village.
  • Le château de Fontsalette au nord du village.
  • Le château Saint-Pierre à l'est du village.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. [PDF] Ministère de l'Industrie et de l'aménagement du territoire - étude préliminaire d'un gisement de sable dans le massif d'Uchaux (Vaucluse).
  2. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Lagarde-Paréol et Orange », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Orange », sur la commune d'Orange - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Orange », sur la commune d'Orange - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. a b et c Robert Bailly, op. cit., p. 225.
  11. Robert Bailly, op. cit., p. 226.
  12. a et b Jules Courtet, op. cit., p. 176.
  13. Château Fonsalette
  14. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
  15. « Impôts locaux à Lagarde-Paréol », taxes.com.
  16. Loi no 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
  17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Orange », sur insee.fr (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. tourisme sur le site de la commune.
  28. a b c et d Vie locale sur le site de la commune
  29. Éducation en Vaucluse
  30. animations sur le site de la commune
  31. doyenné d'Orange-Bollène

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, A. Barthélemy, Avignon, 1986, , 475 p. (ISBN 2-903044-27-9)
  • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, , 400 p. (lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]