La Rochette (Charente)

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La Rochette
La Rochette (Charente)
L'église de la Rochette.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes La Rochefoucauld - Porte du Périgord
Maire
Mandat
Vincent Ringeade
2020-2026
Code postal 16110
Code commune 16282
Démographie
Gentilé Rocheteaux
Population
municipale
530 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 48′ 07″ nord, 0° 18′ 53″ est
Altitude Min. 66 m
Max. 115 m
Superficie 10,99 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Val de Tardoire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Rochette
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La Rochette

La Rochette (La Rocheta en marchois, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Rocheteaux[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

La Rochette est une commune située à 9 km au nord-ouest de la Rochefoucauld et 21 km au nord-est d'Angoulême. Elle est traversée par la Tardoire et bordée au sud par la forêt de la Braconne.

Le bourg de La Rochette est aussi à 6 km au sud de Saint-Angeau et 13 km au sud-est de Mansle[2].

À l'écart des grands axes, la commune est principalement traversée par la D 6, route de La Rochefoucauld à Mansle, qui passe sur la rive droite de la Tardoire. Le bourg est desservi par la D 40, l'itinéraire parallèle sur la rive gauche entre Agris et Coulgens. La D 11, de Chasseneuil à Jauldes et Rouillac, traverse le sud de la commune dans la forêt. La D 45, ancienne voie romaine de Saintes à Lyon, borde la commune au nord[3].

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

L'habitat est surtout regroupé autour du bourg et le long de la D 40, et les hameaux sont nombreux : les Pitres, les Gots, le Roc, Villebreton, Villemalet, le Coq, etc. On trouve trois hameaux sur la rive droite de la Tardoire : les Basses Écures, Fourlière et Lagerie[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de La Rochette
Coulgens Val-de-Bonnieure
Jauldes La Rochette Les Pins
Agris

Géologie[modifier | modifier le code]

Le nom de La Rochette signifie petite roche. La commune est sur un plateau calcaire datant du Jurassique supérieur (Oxfordien terminal, Kimméridgien), qui fait partie du plateau de la Boixe et de la Braconne, de nature karstique. Le sol de la vallée est composé d'alluvions sous forme de sables appelés localement grèze[4].

La commune est située sur le karst de La Rochefoucauld, terrain calcaire creusé de galeries et dans lequel s'engouffrent les ruisseaux[5],[6],[7].

Le relief est celui d'un bas plateau d'une altitude moyenne de 90 m descendant en pente douce vers la large vallée de la Tardoire qui traverse la commune du sud-est au nord-ouest. Le point culminant de la commune est à une altitude de 115 m, situé au nord sur la D.45 en limite avec Sainte-Colombe. Au sud-ouest aussi, dans la forêt de la Braconne, les altitudes dépassent les 100 m. Le point le plus bas est à 66 m, situé à l'ouest en limite avec Coulgens (lit de la Tardoire). Le bourg est à environ 80 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par la Tardoire, de[9],[Carte 1].

La Tardoire, sous-affluent de la Charente, traverse la commune, mais à cause du sol karstique, elle est à sec une partie de l'année.

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Rochette est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,4 %), forêts (27,3 %), zones agricoles hétérogènes (21,2 %), zones urbanisées (3,6 %), mines, décharges et chantiers (2,3 %), prairies (2,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de La Rochette est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Tardoire. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993 et 1999[20],[18].

La Rochette est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire des forêts domaniales de Bois Blanc et de la Braconne. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016[21]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 3],[21],[22],[23].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Rochette.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[24]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 42,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 276 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 174 sont en aléa moyen ou fort, soit 63 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Rocheta, Rotcheta au XIIIe siècle[27].

Le nom de La Rochette signifie « petite roche », et veut dire dans le contexte régional « le petit château », en faisant allusion à La Rochefoucauld (La Roche), tout proche[28],[29].

Limite dialectale[modifier | modifier le code]

La commune est dans le domaine marchois, dialecte occitan, et marque la limite avec la langue d'oïl (au sud-ouest, à Jauldes). Au sud-est (Agris), le dialecte occitan est limousin[30]. Elle se nomme La Rocheta en occitan[31].

Histoire[modifier | modifier le code]

Quelques vestiges de l'antiquité sont à signaler dans la commune. Au lieu-dit Trou Amiaud, en 1974, des objets de l'âge du bronze et du début de l'âge du fer (un vase) ont été trouvés, suivis par des monnaies romaines des IIIe et IVe siècles. Près de Villemalet un sarcophage, tête à l'ouest, avec bulle en terre cuite a été trouvé, avec trois autres sépultures ; il pourrait s'agir d'une nécropole romaine[32].

Au Moyen Âge, principalement aux XIIe et XIIIe siècles, La Rochette se trouvait sur une variante nord-sud de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait par Nanteuil-en-Vallée, Lichères, Saint-Angeau, Angoulême, Mouthiers, Blanzac et Aubeterre[33].

Les premiers registres de l'état civil remontent à 1610.

La Rochette était le siège d'un fief appartenant à une famille Rousseau ou Rousselet de La Rochette. Ce fief est passé successivement entre les mains des Tizon[34], des de Paris (seigneur du Courret) en 1726, Souc de La Planche (seigneur de la Garélie, dit de La Garelli) en 1756, Guitard de Ribérolle, puis Cousans jusqu'en 1946. Le premier château datant des XIVe et XVe siècles étant assez délabré, les Tizon (branche Frotier-Tizon) en édifièrent un nouveau vers 1580[35].

Vers 1660, lorsque l'infante d'Espagne Marie-Thérèse se rendit en France pour épouser Louis XIV, elle fut reçue au château de La Rochefoucauld, tandis que sa suite était hébergée au château de La Rochette[36].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1867 1894 Jean Bonnaud    
1894 1904 Eugène Bonnaud    
1904 1928 Eutrope lairet    
1928 1944 Gabriel Blanchier    
1944 1947 Louis Fontroubade    
1947 1981 Robert Gagnaire PCF Instituteur
1981 1983 François Hernandez SE  
1983 1989 Renée Rainaud SE Institutrice
1989 2008 Francis Chagnaud    
2008 2014 Laurent Banicic SE Clerc de notaire
2014 En cours Vincent Ringeade SE  

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[37].

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].

En 2021, la commune comptait 530 habitants[Note 4], en stagnation par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856 1861
767748742864801805851765760
1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
793654636631638595609575529
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
549501480440500391393398401
1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
422436445442514540556535534
2021 - - - - - - - -
530--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,5 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 267 hommes pour 267 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,1 
8,2 
75-89 ans
9,4 
18,0 
60-74 ans
21,7 
24,3 
45-59 ans
21,7 
18,4 
30-44 ans
19,5 
16,1 
15-29 ans
14,6 
14,6 
0-14 ans
12,0 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[44].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un RPI entre Agris et La Rochette. Agris accueille l'école primaire et La Rochette seulement l'école élémentaire, avec deux classes. Le secteur du collège est La Rochefoucauld[46].

Vie locale[modifier | modifier le code]

L'association du Foyer Rural de La Rochette a été fondée en 1948 par Robert Gagnaire, instituteur qui deviendra maire de La Rochette[47]. Elle organise la fête annuelle du village avec frairie (fête foraine), le 2e week-end de septembre (vide-grenier le samedi) et le dimanche le grand concours du lancer de charentaises, avec un marché de pays et repas. Le président actuel du comité des fêtes est Mickaël Rassat[48].

L'association a fait la renommée de la commune par ses bals toutes les trois semaines, dans le château et cela sur deux étages dans les années 1960-1980 avec de superbes orchestres. Elle a ou organise encore des repas entrecôte, fruits de mer... Elle a été organisatrice d'un circuit cycliste ffc et ufolep pendant de très nombreuses années. Elle organise des randonnées mensuelles. En 2008, un livre souvenir sur les 70 ans d'animations a été réalisé retraçant toutes les activités de cette association.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Sébastien est romane. Construite en 1180, elle a remplacé un premier édifice charpenté du XIe siècle. Son architecture est simple : nef unique, faux carré du transept et abside semi-circulaire. Sa façade comporte un portail central à trois voussures nues et deux arcades latérales abritant chacune un petit tympan sculpté[49]. Le toit, récemment restauré, est couvert de lauzes, dallettes calcaires caractéristiques des environs. Elle est classée monument historique depuis 1932[50].

Son autel en bois sculpté et doré datant du XVIIIe siècle et représentant des scènes du Nouveau Testament a été restauré. Il est classé monument historique au titre objet depuis 1980[51].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le château.

Le château de la Rochette, propriété de la commune, a été construit à la fin du XVIe siècle remanié en 1617 puis au XVIIIe siècle. Les toitures ont été arasées et l'ensemble est très modifié. Restent la cuisine voûtée et la porte de d'entrée de la chapelle disparue. Les murs ont été inscrits monument historique le [52].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de la Rochette » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper.
  3. a b et c Carte IGN sous Géoportail.
  4. charente.free.fr, « La Rochette », (consulté le ).
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM.
  6. Carte du BRGM sous Géoportail.
  7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le ).
  8. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  9. « Fiche communale de la Rochette », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  10. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de La Rochette », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  21. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Arrêté portant classement de massifs forestiers et obligation de débroussaillement. », sur charente.gouv.fr, (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  25. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de La Rochette », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  27. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 93,123,281.
  28. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  29. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 571..
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  31. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
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  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  50. « Église de La Rochette », notice no PA00104472, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. « Autel de l'église paroissiale », notice no PM16000238, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  52. « Château de La Rochette », notice no PA00104586, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

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