La Neuville-Sire-Bernard

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La Neuville-Sire-Bernard
La Neuville-Sire-Bernard
L'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité CC Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Philippe Darcis
2020-2026
Code postal 80110
Code commune 80595
Démographie
Population
municipale
295 hab. (2021 en augmentation de 6,12 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 44′ 33″ nord, 2° 30′ 57″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 104 m
Superficie 4,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Liens
Site web http://mairie.neuville-sire-bernard.pagesperso-orange.fr/

La Neuville-Sire-Bernard est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Moreuil Le Plessier-Rozainvillers Rose des vents
N
O    La Neuville-Sire-Bernard    E
S
Braches Contoire

Nature du sol et du sous-sol[modifier | modifier le code]

Le sol de la commune est tourbeux à l'ouest, majoritairement limoneux et crayeux sur le reste du territoire.

Relief, paysage, végétation[modifier | modifier le code]

Le relief de la commune est celui d'une vallée prolongée à l'ouest par un plateau.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est limitée à l'ouest par l'Avre, principal affluent en rive gauche de la Somme. Des étangs sont dispersés en fond de vallée.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 688 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 14 km à vol d'oiseau[3], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Neuville-Sire-Bernard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,7 %), zones urbanisées (7,1 %), forêts (7 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %), zones humides intérieures (2,3 %), eaux continentales[Note 3] (1,8 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat[modifier | modifier le code]

La commune est constituée de trois hameaux :

  • le chef-lieu, La Neuville ;
  • Quiry-le-Vert ;
  • et une partie importante de Saint-Aubin-en-Harponval, abandonné en 1715[13].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Situé à 4 km au sud de Moreuil et 12 km au nord de Montdidier, le village est aisément accessible par l'ancien itinéraire de l'ex-route nationale 35 (actuelle RD 935) reliant Compiègne à Amiens et Abbeville.

Le sentier de grande randonnée 123 passe dans la commune.

Toponymie[modifier | modifier le code]

En 1146, sous l'épiscopat de Theodericus (Thierry), évêque d'Amiens, le village est désigné sous la forme latinisée Novavilla (Cf. Gallia Christiana)[14] ; Dans un pouillé, Neuville est relevé dès 1301. En 1513, les coutumes de la châtellenie de Moreuil mentionnent Neuville messire Bernard, confirmé en 1567 par Neufville-Messire-Bernard dans les coutumes de Montdidier. G. Delisle cite La Neuville-sire-Bernard en 1733[15].

C'est un toponyme très répandu désignant une ville nouvelle (« neuve ville »). De l'adjectif de la langue d'oïl neuve et ville « village »[16].

La commune doit le complément Sire Bernard accolé au nom primitif, à Bernard IV de Moreuil qui acquit la seigneurie de La Neuville en 1229.

Durant la Révolution française, la commune porta un temps le nom de La Neuville-le-Vert. Elle reprit, par la suite, son nom actuel[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 1851, on découvrit un cimetière mérovingien au lieu-dit la Capelle. Les artéfacts sont déposés au musée de Picardie à Amiens[18].

La seigneurie, possession de Jean de Chaumont, relevait de l'abbaye de Corbie. Elle fut vendue en 1229 à Bernard IV de Moreuil, maréchal de France qui se distingua aux côtés du roi Louis IX (Saint-Louis) pendant la Guerre de Saintonge, en 1242[13]. La seigneurie de La Neuville resta en possession de la Famille de Moreuil-Soissons jusqu'à la fin du Moyen Âge.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

La seigneurie de La Neuville passa à la Famille de Créquy par le mariage de Jossine de Soissons Moreuil avec Jean VII de Créquy en 1497.

En 1715, un vaste incendie réduisit en cendres Saint-Aubin-en-Harponval où il ne resta plus que l'église. La localité fut abandonnée par ses habitants. Le vestige d'un ancien monastère fort important fut démoli ensuite.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

L'église éprouvée par la Première Guerre mondiale.

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Au XIXe siècle, on comptait au village trois moulins à eau : un pour l’huile, le second pour la farine et le troisième pour la fabrication du tissu[19].

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Jusqu'au début de 1918, le village est à l'arrière du front[20] et accueille un hôpital d'évacuation de l'armée française (ambulance 1/9[21]), ainsi qu'un parc d’artillerie[22],[23],[24].

Il se trouve dans la zone des combats de l'offensive du Printemps de 1918. La commune fut libérée le [25].

« A 8 heures, deux divisions contournent le bois de Moreuil par le nord-est et par le sud-ouest. Sur l'Avre, une autre division s'empare de Morisel, tandis qu'au sud de Moreuil un bataillon traverse la rivière. Ainsi Moreuil, tourné par le nord et par le sud, tombe ; au sud de Moreuil, deux nouvelles divisions s'engagent alors, forcent le passage de l'Avre à hauteur de Braches et ouvrent la voie aux unités qui auront à mener la lutte sur les plateaux. En fin de journée, les troupes françaises, progressant de 8 kilomètres environ, ont atteint la ligne Braches, la Neuville-Sire-Bernard, donnant la main aux Britanniques aux environs de Mézières. »

Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

À la fin de la Grande Guerre, le village, considéré comme totalement détruit[26], a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [27].

La reconstruction s'est déroulée dans les années 1920.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme.

Elle fait partie depuis 1793 du canton de Moreuil[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Moreuil

Pour l'élection des séputés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle fait partie depuis 1793 du canton de Moreuil[17], modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du canton de Moreuil, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créée par un arrêté préfectoral du et renommée communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du .

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[28], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye  », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[29],[30]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[31] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [32] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [33], qui prend effet le .

La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
décembre 1969 mai 2020[34] Jacques Bertrand   Agriculteur
Ancien président du Syndicat de l'Avre et du SIAEP de Pierrepont-sur-Avre
mai 2020[35] En cours
(au 3 juin 2020)
Philippe Darcis    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

En 2021, la commune comptait 295 habitants[Note 4], en augmentation de 6,12 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
249217241222258247301290284
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
283292315302294273253232208
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1821811658310596928694
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
105123119157219267271271276
2017 2021 - - - - - - -
285295-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Activités économiques et de services[modifier | modifier le code]

L'activité dominante de la commune reste l'agriculture.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • La vallée de l'Avre et ses plans d'eau.
La vallée de l'Avre bordure le territoire à l'ouest.
  • Église de l'Assomption-de-la-Sainte-Vierge[39]. Tout en brique, l'édifice a été reconstruit après les destructions de la Première Guerre mondiale.
  • Chapelle dédiée à la Vierge, bâtie sur un cimetière mérovingien[18].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Liste de seigneurs de La Neuville-Sire-Bernard[13]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre La Neuville-Sire-Bernard et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c James Virth, « Page d'histoire locale », sur mairie.neuville-sire-bernard.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
  14. « mairie.neuville-sire-bernard.p… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  15. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, tome 2, p. 108, lire en ligne sur le site des Archives départementales de la Somme, Amiens , vue 57/267.
  16. Toponymie générale de la France, Genéve, Droz, , p. 1426.
  17. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. a et b André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 224 (ASIN B000WR15W8).
  19. « La Neuville-Sire-Bernard, un village chargé d’histoires : Près de Moreuil, La Neuville-Sire-Bernard est un petit village d’environ 200 habitants, dont l’histoire a marqué les habitants », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. Section photographique de l'armée, « Photo : La Neuville-Sire-Bernard (près). Boucherie militaire », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  21. « Localisation des formations sanitaires de la zone des armées (1914-1918) », sur hopitauxmilitairesguerre1418.overblog.com, (consulté le ).
  22. Images Défense, « La Neuville-Sire-Bernard, parc d'artillerie. » (consulté le ).
  23. « Photo d’Édouard Brissy : Chargement sur camion d'un canon 155 Saint-Chamond à La Neuville-Sire-Bernard (mars 1917) », notice no APD0003507, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  24. « Photo d’Édouard Brissy : Visite de la Mission russe : parc d'équipage du GAN (groupe d'armée du Nord) ouvriers tourneurs (27 février 1917) », notice no APD0003425, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  25. Les Batailles de Picardie : Itinéraire. Amiens, Montdidier, Compiègne, Michelin, , 128 p. (lire en ligne), p. 96-97, lire en ligne sur Gallica.
  26. Carte spéciale des régions dévastées,document mentionné en liens externes, 1920.
  27. Journal officiel du 6 novembre 1920, p. 17584.
  28. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  29. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  30. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  31. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  32. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  33. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  34. « Qui succédera à Jacques Bertrand, maire de La-Neuville-Sire-Bernard pendant un demi-siècle? Réponse samedi 23 mai », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jacques Bertrand a été élu adjoint en mars 1965 puis maire en décembre 1969 ».
  35. « Philippe Darcis, nouveau maire », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3606,‎ , p. 28.
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de la Neuville-Sire-Bernard, d'après nature, 14 juin 1876 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).