La Méaugon

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La Méaugon
La Méaugon
Église Saint-Méaugon.
Blason de La Méaugon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saint-Brieuc Armor Agglomération
Maire
Mandat
Jean-Marc Labbé
2020-2026
Code postal 22440
Code commune 22144
Démographie
Gentilé Méaugonnais
Population
municipale
1 332 hab. (2021 en augmentation de 4,14 % par rapport à 2015)
Densité 196 hab./km2
Population
agglomération
170 779 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 29′ 58″ nord, 2° 50′ 14″ ouest
Altitude 150 m
Min. 39 m
Max. 155 m
Superficie 6,78 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Brieuc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ploufragan
Législatives Première circonscription
Localisation
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La Méaugon
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Liens
Site web Site officiel de la commune

La Méaugon [la meogɔ̃] est une commune française située près de Saint-Brieuc dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune se situe près de la rivière du Gouët.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur  », exposée à un climat médian, à dominante océanique[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 802 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Trémuson à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La Méaugon est relié au reste de l'agglomération du lundi au samedi grâce à la ligne 80 des Transports urbains briochins (TUB).

Elle possède une gare SNCF qui est une halte TER entre Saint-Brieuc et Guingamp.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Méaugon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Brieuc, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[11] et 95 528 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Brieuc, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 51 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Carte de la commune.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (65,8 %), terres arables (14,9 %), forêts (11,1 %), zones urbanisées (5,9 %), eaux continentales[Note 3] (2,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

La ville regroupe au centre la majeure partie de la population. Plusieurs hameaux sont dispersés dans la campagne.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Lameaugon au XVe siècle[17].

Le nom de la commune provient de la francisation du mot breton lann qui signifie « ermitage » et de saint Méaugon[17], plus connu en Bretagne occidentale sous le nom de saint Maeoc, qui procéda à l'évangélisation des habitants au Ve siècle[18].

Le nom breton de la commune est Lanveogon. « Le nom français [La Méaugon] provient d'une fausse coupe

»[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Des traces d'une motte féodale existent au Châtel[réf. nécessaire].

L'essentiel de la paroisse, qui faisait partie de l'évêché de Saint-Brieuc, a longtemps dépendu de la seigneurie de Chemillé Kermartin au moins depuis 1566, une autre partie dépendant des ducs de Rohan qui étaient seigneurs de la paroisse avant la Révolution française. La Méaugon dépendait également du comté du Goëlo[réf. nécessaire].

La paroisse toutefois n'a été créée qu'au XVe siècle[18] par démembrement tardif de la paroisse de l'Armorique primitive de Plerneuf[19].

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

Les guerres du XXe siècle[modifier | modifier le code]

Le monument aux Morts porte les noms de 31 soldats morts pour la Patrie[20] :

  • 25 sont morts durant la Première Guerre mondiale.
  • 4 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.
  • 2 sont morts durant la Guerre d'Indochine.

L'Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Des carrières de granite ont été exploitées au XVIIIe siècle et au XIXe siècle dans la vallée du Gouët[réf. nécessaire].

Le pardon de saint Blaise attirait alors des milliers de pèlerins, mais le remplacement de la statue ancienne du saint, jugée vétuste, par une nouvelle au début du XXe siècle provoqua une désaffection des fidèles, qui préférèrent aller prier la statue ancienne, donnée au recteur de Plélo et depuis exposée dans la chapelle Saint-Gouesnou dans cette paroisse[21].

En 1978 est construit le barrage de Saint-Barthélémy.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Mairie
Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 ? Jean-Paul Liberge PS  
mars 2001 26 mai 2020 Armelle Bothorel PS Conseillère pédagogique
26 mai 2020 En cours Jean-Marc Labbé[23]   Enseignant
Les données manquantes sont à compléter.

Finances locales[modifier | modifier le code]

Cette sous-section présente la situation des finances communales de La Méaugon[Note 4].

Pour l'exercice 2013, le compte administratif du budget municipal de La Méaugon s'établit à 1 383 000  en dépenses et 1 837 000  en recettes[A2 1] :

En 2013, la section de fonctionnement[Note 5] se répartit en 870 000  de charges (649  par habitant) pour 976 000  de produits (728  par habitant), soit un solde de 106 000  (79  par habitant)[A2 1],[A2 2] :

  • le principal pôle de dépenses de fonctionnement est celui des charges de personnels[Note 6] pour 425 000  (49 %), soit 317  par habitant, ratio supérieur de 28 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (248  par habitant). En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 278  par habitant en 2011 et un maximum de 317  par habitant en 2013 ;
  • la plus grande part des recettes est constituée des impôts locaux[Note 7] pour une somme de 363 000  (37 %), soit 270  par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Sur les 5 dernières années, ce ratio augmente de façon continue de 235  à 270  par habitant.

Les taux des taxes ci-dessous sont votés par la municipalité de La Méaugon[A2 3]. Ils ont varié de la façon suivante par rapport à 2012[A2 3] :

La section investissement[Note 8] se répartit en emplois et ressources. Pour 2013, les emplois comprennent par ordre d'importance[A2 4] :

  • des dépenses d'équipement[Note 9] pour une somme de 443 000  (86 %), soit 331  par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Depuis 5 ans, ce ratio fluctue et présente un minimum de 217  par habitant en 2009 et un maximum de 501  par habitant en 2011 ;
  • des remboursements d'emprunts[Note 10] pour une valeur de 70 000  (14 %), soit 52  par habitant, ratio inférieur de 16 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (62  par habitant).

Les ressources en investissement de La Méaugon se répartissent principalement en[A2 4] :

  • nouvelles dettes pour une valeur de 250 000  (29 %), soit 186  par habitant, ratio supérieur de 162 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (71  par habitant). Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 0  par habitant en 2012 et un maximum de 301  par habitant en 2011 ;
  • subventions reçues pour 235 000  (27 %), soit 175  par habitant, ratio supérieur de 116 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (81  par habitant).

L'endettement de La Méaugon au peut s'évaluer à partir de trois critères : l'encours de la dette[Note 11], l'annuité de la dette[Note 12] et sa capacité de désendettement[Note 13] :

  • l'encours de la dette pour une valeur de 1 037 000 , soit 773  par habitant, ratio supérieur de 29 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (601  par habitant). Pour la période allant de 2009 à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 429  par habitant en 2010 et un maximum de 773  par habitant en 2013[A2 5] ;
  • l'annuité de la dette pour un montant de 110 000 , soit 82  par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Sur les 5 dernières années, ce ratio fluctue et présente un minimum de 55  par habitant en 2011 et un maximum de 82  par habitant en 2013[A2 5] ;
  • la capacité d'autofinancement (CAF) pour une somme de 111 000 , soit 83  par habitant, ratio inférieur de 47 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (156  par habitant). En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de −21  par habitant en 2011 et un maximum de 117  par habitant en 2009[A2 6]. La capacité de désendettement est d'environ 9 années en 2013. Sur une période de 14 années, ce ratio présente un minimum d'environ un an en 2007 et un maximum très élevé, de plus de 50 années en 2011.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Méaugonnais.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 1 332 habitants[Note 14], en augmentation de 4,14 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8407818469641 0011 0149191 044930
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
950968969865827757712725734
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
678634576540556585518515570
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
5535505727859931 1221 2561 2951 292
2018 2021 - - - - - - -
1 2991 332-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Bus Mercedes-Benz Citaro

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Activités économiques[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Fontaine Saint-Blaise
  • L'église paroissiale Saint-Méaugon : date des XVIe siècle (la chapelle Saint-Blaise) et XVIIIe siècle, fut restaurée en 1850 après avoir été endommagée par la foudre ; son clocher date de 1703, mais fut restauré en 1755[19].
  • La fontaine Saint-Blaise : sur le parking de l’église, date du XVIIe siècle.
  • La fontaine des Vergers : de Saint-Nicolas ou du Vau-Briend, XVIIe siècle.
  • L’ancien presbytère : XVIIe siècle.
  • Le manoir de la Garenne : XVIIe siècle.
  • Les croix du bourg et de l’ancien cimetière : XVIIe siècle.
  • Le Viaduc de La Méaugon : sur la retenue d'eau créée par le barrage de Saint-Barthélémy.

L'église de la Méaugon au clocher recouvert d'ardoises date, en partie du XVIe siècle comme la fontaine Saint-Blaise faisant face au blason de la commune. Les croyances populaires accordent beaucoup de vertus à cette fontaine puisque "Saint-Blaise tout mal apaise". Abondamment fleurie, cette place est un lieu idéal de pique-nique. En plus de la fontaine, nous y trouvons le blason de la commune réalisé avec des fleurs et une commémoration de l'appel du 18 Juin.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D’azur au pont droit de trois arches et deux piles d’argent mouvant des flancs, sommé d’un chef d’or chargé d’un cœur de gueules senestré d’une branche de houx feuillée de trois pièces de sinople et fruitée de gueules, le dit pont soutenu d’une champagne aussi d’or ployée abaissée à dextre et haussé à senestre, le tout flanqué en pal à dextre de gueules aux trois mâcles d’or l’une sur l’autre.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Cette sous-section Finances locales est issue d'une synthèse des données du site alize2.finances.gouv.fr du ministère de l'Économie et des Finances. Elle est présentée de façon standardisée pour toutes les communes et ne concerne que le périmètre municipal. Pour constituer cette partie, l'outil Finances locales version 1.2.1 : Yin Yang Kappa Logo de l'outil Finances localesLettre grecque Kappa en majuscule et minuscule a effectué la synthèse des 98 pages du site alize2.finances.gouv.fr concernant La Méaugon. Finances locales est un logiciel libre distribué en copyleft sous licence GNU GPL version 3.
  5. La « section de fonctionnement » est constituée des dépenses courantes et récurrentes nécessaires au bon fonctionnement des services municipaux et à la mise en œuvre des actions décidées par les élus, mais sans influence sur la consistance du patrimoine de la commune.
  6. Les « charges de personnel » regroupent les frais de rémunération des employés par la commune.
  7. Les « impôts locaux » désignent les impôts prélevés par les collectivités territoriales comme les communes pour alimenter leur budget. Ils regroupent les impôts fonciers, la taxe d'habitation ou encore, pour les entreprises, les cotisations foncières ou sur la valeur ajoutée.
  8. La section « investissement » concerne essentiellement les opérations visant à acquérir des équipements d’envergure et aussi au remboursement du capital de la dette.
  9. Les « dépenses d’équipement » servent à financer des projets d’envergure ayant pour objet d’augmenter la valeur du patrimoine de la commune et d’améliorer la qualité des équipements municipaux, voire d’en créer de nouveaux.
  10. Les « remboursements d'emprunts » représentent les sommes affectées par la commune au remboursement du capital de la dette.
  11. L'« encours de la dette » représente la somme que la commune doit aux banques au de l'année considérée
  12. L'« annuité de la dette » équivaut à la somme des intérêts d'emprunts de la commune et du montant de remboursement du capital au cours de l'année
  13. La « capacité de désendettement » est basée sur le ratio suivant défini par la formule : ratio = encours de la dettecapacité d'autofinancement. Ce ratio montre, à un instant donné, le nombre d'années qui seraient nécessaires au remboursement des dettes en considérant les ressources de La Méaugon.
  14. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Base de données du ministère du Budget, relative aux comptes des communes[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Les comptes des communes - La Méaugon : chiffres clés » (consulté le ).
  2. « Les comptes des communes - La Méaugon : opérations de fonctionnement » (consulté le ).
  3. a et b « Les comptes des communes - La Méaugon : fiche détaillée » (consulté le ).
  4. a et b « Les comptes des communes - La Méaugon : opérations d'investissement » (consulté le ).
  5. a et b « Les comptes des communes - La Méaugon : endettement » (consulté le ).
  6. « Les comptes des communes - La Méaugon : autofinancement » (consulté le ).

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  4. « Orthodromie entre La Méaugon et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Brieuc » (commune de Trémuson) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Saint-Brieuc » (commune de Trémuson) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Saint-Brieuc », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Paris, Jean-Paul Gisserot, , 126 p. (ISBN 978-2-87747-482-5 et 2-87747-482-8, lire en ligne), p. 83.
  18. a et b « Histoire et patrimoine »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de La Méaugon (consulté le ).
  19. a et b « La Méaugon », sur Infobretagne.
  20. « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  21. « Église Saint-Méaugon », sur topic-topos.com via Wikiwix (consulté le ).
  22. Archives Départementales des Côtes-d'Armor.
  23. « Municipales à La Méaugon. Jean-Marc Labbé succède à Armelle Bothorel à la tête de la commune », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.