La Mazière-aux-Bons-Hommes

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La Mazière-aux-Bons-Hommes
La Mazière-aux-Bons-Hommes
Mairie de La Mazière-aux-Bons-Hommes.
Blason de La Mazière-aux-Bons-Hommes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Communauté de communes Marche et Combraille en Aquitaine
Maire
Mandat
Frédéric Perrier
2020-2026
Code postal 23260
Code commune 23129
Démographie
Population
municipale
60 hab. (2021 en diminution de 11,76 % par rapport à 2015)
Densité 5,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 53′ 05″ nord, 2° 26′ 29″ est
Altitude Min. 692 m
Max. 802 m
Superficie 10,24 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Auzances
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Liens
Site web la-maziere-aux-bons-hommes.fr

La Mazière-aux-Bons-Hommes est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de La Mazière-aux-Bons-Hommes
Saint-Bard Lioux-les-Monges
La Villeneuve La Mazière-aux-Bons-Hommes Mérinchal
Basville La Celle

Du point de vue géomorphologique, la commune a un relief de moyenne montagne constitué par des plateaux granitiques collineux de transition entre les reliefs alvéolaires du plateau de Millevaches et les étendues plus planes des plateaux des Combrailles. Plus concrètement, elle se trouve entre la commune de Basville, localement dernière commune adhérente du Parc Naturel Régional de Millevaches dans sa partie Nord Ouest, et la commune de Mérinchal, considérée comme porte des Combrailles en ayant sur son territoire la source du Cher.

Le point le plus haut de la commune est à 794 m d'altitude, sur une butte en limite de la commune au nord du lieu-dit Le Chalard. On trouve ensuite deux collines qui atteignent 789 m d'altitude :

  • à l'ouest du hameau La Mazière, chef lieu de la commune, une colline qui le domine, au lieu-dit La Garde.
  • au nord de la commune au sommet de la colline qui surplombe le village de Lascaux-Fauchez, où ont été implantés un pylône qui sert d'antenne-relai de téléphone mobile et un château d'eau pour la distribution d'eau.

La commune a relevé des régions historiques de la Haute Marche et de l'Auvergne suivant les variations dans le temps de leurs limites, elle a fait également partie du Franc-Alleu[réf. souhaitée].

Le territoire de la commune est riches de sources qui alimentent rus et ruisseaux, qui alimentent eux-mêmes des étangs locaux notables, tel le ruisseau de Ruelle qui prend ses sources aux Fourches, aux Vergnes et à la Grande Naute avant de se jeter dans l'étang de Létrade pour en prendre le nom. Une source aux Rudoux alimente un ruisseau qui se jette à l'étang de Tyx, pour former le ruisseau de Tyx par la suite. Les eaux de ces deux ruisseaux font partie du bassin hydrographique de la Sioule, affluent de l'Allier.

Sur la commune également se trouve l'une des sources de la rivière de la Tardes, près du lieu-dit Le Chalard, qui est un affluent du Cher. Le nord de la commune correspond au bassin versant de la rivière Roudeau qui se jette dans la Tardes à La Taverne de Saint-Silvain-Bellegarde.

On a donc sur la commune la ligne de partage des eaux entre deux bassins versants de deux affluents majeurs de la Loire, le Cher par la Tardes, et l'Allier par le Sioulet et la Sioule, eaux qui mettront plus de 200 km pour se rejoindre dans la Loire ensuite entre Nevers et Tours.

Villages de cette commune[modifier | modifier le code]

La Mazière, chef-lieu
Le Sibioux
Neuvialle
La Rebeyrolle
Le Cherbaudy
Lacaux-Faucher
Le Chalard
Font Razé

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 025 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lupersat à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 934,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Mazière-aux-Bons-Hommes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54,2 %), forêts (41,9 %), zones agricoles hétérogènes (4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de La Mazière-aux-Bons-Hommes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Mazière-aux-Bons-Hommes.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 41,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 53 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 27 sont en aléa moyen ou fort, soit 51 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de La Mazière-aux-Bons-Hommes est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

L'occupation humaine sur la commune remonte à l'Antiquité : en effet, le , une sépulture gallo-romaine a été découverte dans une plaine à 150 m du bourg. L'enveloppe en granit, formée de deux pierres, renfermait une urne en poterie dans laquelle se trouvaient des débris d'ossements et une lame de poignard en fer. Autour ont été trouvés du charbon, de la cendre et des clous en fer. La commune a abrité autrefois un monastère au château de Cherbaudy. Les anciens moines de Grandmont qui l'habitaient vivaient d'aumônes, et les partageaient avec les malheureux, c'est pourquoi on les appelait les « Bonshommes ». C'est ce qui explique le qualificatif de aux Bons-Hommes donné à cette commune.

Selon la légende, la recette du gâteau « Le Creusois » serait issue d'un parchemin découvert dans cet ancien monastère.

En 1942, la commune a failli être fusionnée avec celle de Basville : le de cette année, le préfet de la Creuse de l'époque avait émis une circulaire qui le proposait, mais la population et ses représentants ont refusé cette fusion. Il semble bien que le "creusois" soit une affaire publicitaire du XXe siècle, peut-être une légende mais sans aucun lien avec l'abbaye de Grandmont dans la Marche et aucune trace dans les archives grandmontaines ni en haute-Vienne ni en Creuse. La liste des dépendances (prieurés et celles- cellae) de Grandmont est bien connue, elle se trouve dans les archives de la Haute-Vienne I Sem 83 f° 85-89 ou dans Jean LEVESQUE, Annales ordinis grandimontis, Troyes 1662, p. 270... Il n'existe qu'une seule dépendance de Grandmont dans le département actuel de la Creuse, Jayat (Bord-Saint-Georges), Grandmont Châtaignier commune d'Orsennes (Indre) était en zone frontière, très proche. Le terme boni homines (bonnes gens, ou prud'hommes) s'applique à tous religieux à l'époque médiévale (dans ce cas l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem et la commanderie de Tortebesse qui avait des droits y compris à Cherbaudy)Léopold NIEPCE, "le Grand prieuré d'Auvergne", Lyon, 1883p. 334; L.A. VAYSSIERE, l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte, p. 144.J.-M. ALLARD, Hospitaliers et Templiers dans la Creuse Etudes creusoises n°28, 2021, p. 171. Cela s'applique aussi aux "jurés" des consulats des bonnes villes[19].

Les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de Tortebesse possédaient l'église paroissiale de la Mazière, trois étangs, une métairie, ils y exerçaient la justice haute, moyenne et basse et percevaient également des rentes et des cens[20]. L'étendue de leur seigneurie comprenait les villages de Lascaux Fauchez, La Rebeyrolle, La Villatte (paroisse de Saint-Alard), Le Cherbaudy, Le Sibioux et Tralesprat (paroisse de Mérinchal)[21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2014 En cours Frédéric Perrier SE Ingénieur
2014 Jean-Louis Giraud

Artisan peintre à la retraite

Jean-Louis Desseauve Agriculteur
Roger Chevalier Agriculteur
Joseph Bouchon Réélu le et le , mort le
Léon Reuge Réélu le , le , et le , mort le
Eugène Sabouret Président du Conseil de Libération le , élu le , réélu le , le et le
Docteur Rigaud Médecin au Montel-de-Gelat (63), nommé maire de la commune par l'arrêté du préfet de la Creuse du
[mai 1942 Louis Reuge
mai 1942 Clément Chapal Réélu le , le
1925 Jean Prugnit
M. Petit
M. Majoux Conseiller délégué, remplaçant le maire décédé
M. Banet Mobilisé en , mort en
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

En 2021, la commune comptait 60 habitants[Note 2], en diminution de 11,76 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
289224287356403431484496495
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
446371376346332325281280266
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
265258255191190160167162156
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
13411096999673636170
2017 2021 - - - - - - -
6560-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie locale[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de La Mazière-aux-Bons-Hommes Blason
Écartelé : au 1er de gueules à la croix de Malte d'argent, au 2e d'or au gonfanon de gueules frangé et bouclé de sinople, au 3e d'hermine plain, au 4e d'azur au buste de moine d'or[27].
Détails
Le 1er évoque le fait que l'ancien monastère de la commune était une annexe de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Le 2e et 3e renvoient respectivement à l'appartenance de la commune à l'ancien comté d'Auvergne et à la région du Limousin. Le dernier représente les moines de l'ancien monastère local, appelés les « Bonshommes », qui donna le qualificatif de aux Bons-Hommes à la commune.

Blason utilisé par la commune.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Jean-Luc Lefebvre, "Prud'hommes et bonnes gens" Le Moyen Age 2002/2 (Tome CVIII), pages 253 à 300 https://www.cairn.info/revue-le-moyen-age-2002-2-page-253.htm#no9

  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre La Mazière-aux-Bons-Hommes et Lupersat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lupersat_sapc » (commune de Lupersat) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Lupersat_sapc » (commune de Lupersat) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de La Mazière-aux-Bons-Hommes », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de La Mazière-aux-Bons-Hommes », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  19. Jean-Luc Lefebvre "Prud'hommes et bonnes gens", Le Moyen Age 2002/2 (Tome CVIII), pages 253 à 300 Jean-Luc Lefebvre, Le Moyen Age 2002/2 (Tome CVIII)
  20. a et b Louis-Augustin Vayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges », Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze,‎ , p. 143-144, lire en ligne sur Gallica.
  21. Adrien Rivet et Louis Lacrocq, « Séance du 25 juillet 1935 et séance du 27 février 1936 : Liève de la Mazière », Mémoires de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, t. 26,‎ , p. LXX, XCIII, lire en ligne sur Gallica.
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « Eglise paroissiale Saint-Jean-Baptiste », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  27. « 23129 La Mazière-aux-Bons-Hommes (Creuse) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Léopold NIEPCE, "le Grand prieuré d'Auvergne", Lyon, 1883, p. 334; L.A. VAYSSIERE, l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte,Tulle-Limoges 1884, p. 144. J.-M. ALLARD, Hospitaliers et Templiers dans la Creuse Etudes creusoises n°28, 2021,

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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