La Fare-les-Oliviers

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La Fare-les-Oliviers
La Fare-les-Oliviers
Mairie de la Fare.
Blason de La Fare-les-Oliviers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Bouches-du-Rhône
Arrondissement Aix-en-Provence
Intercommunalité Métropole d'Aix-Marseille-Provence
Maire
Mandat
Jérôme Marciliac
2024-2026
Code postal 13580
Code commune 13037
Démographie
Gentilé Farenques, Farencs ou Farennes, Farens
Population
municipale
8 867 hab. (2021 en augmentation de 9,51 % par rapport à 2015)
Densité 634 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 33′ 09″ nord, 5° 11′ 44″ est
Altitude 53 m
Min. 27 m
Max. 223 m
Superficie 13,98 km2
Unité urbaine La Fare-les-Oliviers
(ville isolée)
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Berre-l'Étang
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Liens
Site web La Fare les Oliviers

La Fare-les-Oliviers est une commune française située dans le département des Bouches-du-Rhône, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle fait partie de la métropole Aix-Marseille-Provence. Ses habitants sont appelés soit les Farencs / Farenques, soit les Farens / Farennes. Elle possède deux écoles primaires, deux maternelles et un collège.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La Fare-les-Oliviers est située en Provence dans le département des Bouches du Rhône. Elle est localisée entre Coudoux à l'est, Lançon-de-Provence au nord et à l'ouest, Berre-l'Étang au sud ouest et Velaux au sud-est. Construite à flanc de colline sur le massif du Mauribas sur la rive droite de l'Arc, de part et d'autre de l'ancienne départementale 10. Elle est limitée à l'est par Berre l'étang, au-delà de la départementale 113 et à l'ouest par l'autoroute 7 (vallon de la Vautubière) qui la sépare de Coudoux, au sud par l'Arc et au nord par la plaine de la Vautade. Elle est surplombée par le Castellas et le Pas du Renarde.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 594 mm, avec 5,6 jours de précipitations en janvier et 1,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Salon-de-Provence », sur la commune de Salon-de-Provence à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 14,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 594,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 43,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18,5 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Fare-les-Oliviers est une commune urbaine[Note 2],[9]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Fare-les-Oliviers, une unité urbaine monocommunale[12] de 8 867 habitants en 2021, constituant une ville isolée[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (38,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (41,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (37,6 %), zones urbanisées (24,7 %), cultures permanentes (21,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), mines, décharges et chantiers (4,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,6 %), forêts (1,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %), terres arables (0,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Des aménagements ont été effectués récemment, notamment, pour soulager le flux routier à La Fare :

  • La déviation, demandée pendant près de 30 ans, a été mise en circulation le après 5 ans de travaux. Des fouilles archéologiques ont été entreprises au début des travaux. Avant son ouverture, plus de 11000 véhicules par jour, dont 500 poids lourds, traversaient quotidiennement la commune. Ce nouvel axe routier permet aux véhicules en transit de contourner le village. Les véhicules en provenance de la D 113 peuvent ainsi rejoindre la RD 10 en direction d’Aix-en-Provence et l’A8 directement et inversement. Le tracé de 4,2 km traverse les communes de La Fare-les-Oliviers, Berre-l’Étang et Velaux. Un viaduc de 130 m franchit l’Arc. Le coût de la déviation s’élève à 26 millions d’euros, entièrement financés par le Conseil général[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de La Fare est une francisation du provençal Faro.

Pour le site Rhône médiéval, ce dernier serait dérivé de du latin « farossium » qui a également donné « farot » feu servant à signaler les dangers[19].

Une autre étymologie est donnée par le Petit dictionnaire des lieux-dits en Provence qui indique une origine germanique à La Fare  : « la famille / le domaine de cette famille »[20].

La précision « des oliviers » date du XIXe siècle, époque où la culture de l'olive et d'huile était importante. Au XXIe siècle, malgré une production d'olive et d'huile résiduelle, l'essentiel des cultures est occupé par de la vigne.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Durant la préhistoire, la commune était majoritairement ensevelie sous l'eau.

La zone a été fréquentée à l'âge du bronze et à l'âge du fer[21].

Antiquité[modifier | modifier le code]

La rive gauche de l'Arc, au sud du centre-ville contemporain, était occupée au Ier siècle par un « vaste établissement », une « villa maritime » orientée vers l'étang de Berre et occupant plus de 7 000 m2[21], et qui incluait une zone monumentale où des mosaïques ont été mises au jour[21].

L'occupation de ces bâtiments semble s'être arrêtée après le IVe siècle, période après laquelle ils sont détruits[21].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La première mention du Castrum de la Fare remonte au dans un testament de Raymond des Baux[22]

Le , à Brantes, au pied du Ventoux, en présence de son épouse Alix des Baux, Odon de Villars fit donation à son neveu Philippe de Lévis des fiefs de Brantes, Plaisians et leurs dépendances, des seigneuries de Saint-Marcel, Roquefort, le Castellet, Cassis et Port-Miou, dépendantes de la baronnie d’Aubagne, ainsi que de La Fare-les-Oliviers, et Éguilles. Son neveu, en contrepartie devait lui servir de caution vis-à-vis de Raymond de Turenne dans l’observation d’un accord passé entre le vicomte, lui et son épouse Alix. En cas de non-respect de la part d’Alix et d’Odon, ces derniers devraient payer 50 000 florins à Raymond de Turenne[23],[24].

Période moderne[modifier | modifier le code]

Tableau de Joseph Garibaldi : vue depuis les hauteurs de La Fare-les-Oliviers en direction du pilon du Roi.

Seigneurie des Baux et des Forbin (1503-1721), puis des Roux (1721-1789). Marquisat érigé en 1768 en faveur de Pierre-Joseph-Hilarion de Roux de Bonneval de La Fare, chevalier de Saint-Louis.

Pour ceux qui n'avaient pas d'olivettes, la tentation d'entrer et de se fournir dans le verger d'autrui avant la récolte était chose courante. Le Conseil de Ville de La Fare-les-Oliviers, le , dut prendre un arrêté pour tenter de mettre fin à cette pratique, en interdisant « d'aller glaner des olives dans toute l'étendue du terroir de La Fare jusqu’à ce que les récoltes des olives soient entièrement finies, qu'à la diligence des sieurs maire et consuls, il sera mis un garde pendant tout le courant des dites récoltes, qui dénoncera toutes les personnes qu'il trouvera glaner, lesquelles payeront chacun de contrevenants dix livres d'amende pour chaque contravention applicable aux pauvres de ce dit lieu et que les personnes qui seront trouvées voler des olives seront poursuivies criminellement à la diligence desdits sieurs maire, consuls et communauté et que la présente délibération sera homologuée par nos seigneurs du Parlement de ce pays de Provence »[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1959 mars 1971 Émile Richard   Directeur d'école
mars 1971 juin 1995 Bernard Charrel DVD  
juin 1995 mars 2008 André Campagne[26] DVG Directeur commercial
Vice-président de l'Agglopole Provence
Maire de Marignac (Haute-Garonne) (2020 → )
mars 2008 janvier 2024[27],[28]
(décès)
Olivier Guirou PS[29] puis DVG Technicien de laboratoire retraité
Premier adjoint au maire (2001 → 2008)
Vice-président de l'Agglopole Provence
1er vice-président du conseil de territoire du Pays salonais
février 2024[30] En cours
(au 8 février 2024)
Jérôme Marciliac   Cadre de la fonction publique, ancien adjoint au maire

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2008[31].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

En 2021, la commune comptait 8 867 habitants[Note 4], en augmentation de 9,51 % par rapport à 2015 (Bouches-du-Rhône : +2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9801 0691 1291 2089091 2931 2601 3161 308
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3291 3801 3721 2721 1761 1291 1931 0801 084
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0661 0229548879511 1491 1601 3291 680
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2 3702 7473 5265 0436 0956 3346 4766 5267 980
2018 2021 - - - - - - -
8 6668 867-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Course pédestre Les Chemins de Sainte Rosalie : chaque année en avril
  • Fête de la Sainte-Rosalie : environ une semaine chaque année fin août
  • Fête de l'Olive et du Vin : chaque année en octobre

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • Ecole / centre de loisirs de la Pomme de Pin : l'école primaire de Saint-Exupéry, étant considérée comme vétuste, a été fermée à la suite de la construction de la nouvelle école de la Pomme de Pin qui a ouvert ses portes en septembre 2015. Cette nouvelle construction, innovatrice en matière de développement durable, a obtenu la reconnaissance « or » Bâtiment Durable Méditerranéen (BDM) L'école de Saint-Exupéry a été détruite durant l'été 2018 et sera remplacée par un écoquartier fin 2020, début 2021.

Économie[modifier | modifier le code]

Parmi les principales entreprises situées sur la commune, on peut citer :

  • Société Provençale d'Aromathérapie : fabrication de produits d'aromathérapie et de phytothérapie ;
  • Probionat Provence : fabrication de produits cosmétiques  ;
  • Les Vignerons du Castellas : coopérative vinicole ;
  • Le Moulin à huile de La Fare-les-Oliviers : fabrication d'huile d'olive.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Forteresse médiévale juchée sur un piton rocheux non loin du village, le « Castellas » est un des attraits pittoresques de la commune.

Érigé aux alentours du Xe siècle, il contrôlait une passe stratégique près de l'étang de Berre pour la famille des Baux de Provence. Occupé jusqu'au XVIIIe siècle, il fit l'objet d'incessants remodelages, avant d'être abandonné au profit d'une résidence construite dans le village, Le Pavillon (classé Monument historique). L'église jouxtant le château fut quant à elle utilisée comme église paroissiale quelque temps jusqu'à la construction d'une nouvelle église dans le village au cours du XVIIIe siècle ; le site a été laissé à l'abandon depuis jusqu'à l'ouverture d'un chantier archéologique en arrêté en 2005.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de La Fare-les-Oliviers

Les armes peuvent se blasonner ainsi[36] :

D'azur à une main dextre de carnation, parée d'argent, mouvant du flanc senestre et tenant un cierge de gueules allumé d'or
.

Les branches d'olivier entourant le blason ont été rajoutées en 1870, précédent de près de cinquante ans l'ajout officiel de « les Oliviers » au nom de la commune[37].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Carte de Velaux », sur Géoportail.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre La Fare-les-Oliviers et Salon-de-Provence », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Salon-de-Provence », sur la commune de Salon-de-Provence - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Salon-de-Provence », sur la commune de Salon-de-Provence - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de La Fare-les-Oliviers », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Déviation - La Fare les Oliviers », La Fare les Oliviers,‎ (lire en ligne, consulté le )
  19. (en) « Bienvenue sur Rhône Médiéval », sur rhone-medieval.fr (consulté le ).
  20. Philippe Blanchet, Petit dictionnaire des lieux-dits en Provence, Montfaucon, Librairie contemporaine, 2003 (ISBN 2-905405-22-8), p. 18
  21. a b c et d « La Fare-les-Oliviers (13) - RD10 Nouvelle Déviation Berre La Garanne », sur chronoterre.fr via Internet Archive (consulté le ).
  22. « lafarelesoliviers.com/index.ph… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  23. Robert Bailly, Dictionnaire des communes de Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1985, p. 101.
  24. Louis Barthélemy, Inventaire chronologique et analytique des chartes de la maison des Baux, Marseille, 1882, Charte 1692.
  25. L'arrêté sur le glanage des olives à La Fare-les-Oliviers, le 8 novembre 1788
  26. [1]
  27. « Décès brutal du maire de la Fare-les-Oliviers : un dernier hommage lui sera rendu ce vendredi 26 janvier », La Provence,‎ (lire en ligne).
  28. Christina Nils, « Carnet : le décès d’Olivier Guirou, maire de La-Fare-les-Oliviers », sur Gomet', (consulté le ).
  29. Adhérent du Parti socialiste jusqu'en 2013.
  30. S.R., « Jérôme Marciliac élu nouveau maire de La Fare-les-Oliviers », La Provence,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. FICHE | Agenda 21 de Territoires - La Fare-les-Oliviers, consultée le 26 octobre 2017
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Louis J. S. de Bresc, Armorial des communes de Provence, Planche J, Librairie Bachelin-Deflorenne, Paris, (lire en ligne).
  37. « La Fare-les-Oliviers », sur Armorial de France (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]