La Chapelle-d'Andaine

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La Chapelle-d'Andaine
La Chapelle-d'Andaine
L'église Sainte-Marie-Madeleine.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Arrondissement d'Alençon
Intercommunalité Communauté de communes Andaine-Passais
Maire délégué Chantal Dumaine
Code postal 61140
Code commune 61096
Démographie
Gentilé Chapellois
Population 1 460 hab. (2019)
Densité 94 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 31′ 59″ nord, 0° 28′ 42″ ouest
Altitude Min. 118 m
Max. 258 m
Superficie 15,50 km2
Élections
Départementales Bagnoles-de-l'Orne
Historique
Commune(s) d'intégration Rives d'Andaine
Localisation
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La Chapelle-d’Andaine (La Chapelle-Moche jusqu'en 1961) est une ancienne commune française, située dans le département de l’Orne en région Normandie, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Rives d’Andaine[1].

Elle est peuplée de 1 460 habitants[Note 1].

La commune a la particularité de faire partie à la fois des provinces historiques du Maine et de la Normandie. Commune mixte située pour moitié dans l'Orne, pour moitié en Mayenne après la Révolution, elle est finalement entièrement rattachée à l'Orne en 1831[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

La Chapelle-d’Andaine, située dans le pays d’Andaine dans le pays de Passais, au sud-est du Bocage normand, fait partie du parc naturel régional Normandie-Maine. La commune est bordée au nord par la forêt d’Andaine (4 120 ha), à l’est par Bagnoles-de-l’Orne et Tessé-Froulay, au sud par Haleine et Geneslay et à l’ouest par Juvigny-sous-Andaine, son chef-lieu de canton.

La Chapelle-d’Andaine est constituée de 85 lieux-dits, neuf rues, cinq résidences, deux allées, deux chemins et deux routes.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Jusqu’en 1961, le village s’appelait La Chapelle-Moche[3].

Le déterminatif traditionnel Moche était un nom de famille, encore existant dans la contrée[4].
Du fait que le nom n’était plus compris de personne, les habitants qui percevaient moche comme péjoratif, ont demandé le changement officiel du nom[réf. incomplète][5].

Le déterminatif actuel est emprunté au nom de la forêt d’Andaine.

Le gentilé est Chapellois.

Histoire[modifier | modifier le code]

Ce bourg fut un centre d’extraction d’argile pour la fabrication de brique et de poterie[6].

En 1159, Guillaume de Passavant, évêque du Mans, confirme les droits des moines de Lonlay à percevoir des dîmes de l’église Sainte-Marie-des-Châtaigniers et de ses dépendances, construite entre Juvigny et Haleine, lesquels droits leur avaient été accordés en 1017 par une charte de Guillaume Talvas, seigneur de Domfront. Certains situent cette église au village de la Prise. À cette époque, le marécage où se trouve le bourg actuel n’était encore ni asséché, ni défriché, et la vie se concentrait autour du château du seigneur du Bois Motté, entre les villages du Passoir, de la Renardière et de la Valette, au nord du territoire communal actuel.

En mars 1271, on trouve pour la première fois la dénomination Chapelle Moche dans une bulle du pape Grégoire X, qui reconnaît aux moines de Lonlay les dîmes qu’ils percevaient dans cette paroisse. De ces documents disponibles aux archives départementales, il ressort qu’autour de l’an 1000, une communauté humaine est suffisamment structurée pour être redevable de dîmes, et qu’en 1271, elle porte le nom qui sera le sien jusqu’au XXe siècle.

Le premier curé connu est Guillaume Bernard, chapelain de l’évêché du Mans comme le mentionne un document de la bibliothèque du Mans daté de 1315. En 1728 disparaît l’ermitage des Châtaigniers[7].

1726, le 19 octobre : Aurore boréale : « Le dix neuvième jour d’octobre 1726, un samedi la nuit, il parût de tous côtés des flammes de feu en l’air ce qui fit trembler tout le monde et du côté de l’occident il paraissait une contrée rouge comme sang et les flammes cessèrent vers minuit. »[8]

Jusqu’en 1832, la limite provinciale traversait le milieu de la paroisse, la séparant en deux parties distinctes. Au plan civil, certains dépendaient du bailliage de Domfront, d’autres du marquisat de Lassay. Sur le plan ecclésiastique, les deux parties étaient sous la juridiction de l’évêque du Mans avec chacun son patron : saint Julien et sainte Marie-Madeleine. C’est par la loi du qui fixe les nouvelles limites entre l’Orne et la Mayenne, et l’ordonnance du que la commune, comme Céaucé et Saint-Fraimbault-sur-Pisse, sont unies dans l’Orne[9]. C’est en 1887 qu’un décret fusionna les deux parties de la paroisse.

Sur un croquis à vol d’oiseau réalisé vers 1820, on aperçoit l’église avec son ancienne et sa nouvelle tour, et le cimetière l’entourant. Face à l’église se trouvait l’enclos du presbytère et l’école. Un nouveau cimetière dit « grand cimetière » existe depuis les années 1730 à la sortie du bourg, vers Bagnoles-de-l’Orne. En 1737, une chapelle Notre-Dame-de-Pitié est construite, remplacée en 1864 par l’actuelle. Une place du marché se trouvait face à la route de Domfront, à l’emplacement de l’actuel carrefour principal de la commune. La route d’Alençon n’a été construite qu’après.

Selon le rapport des architectes, dressé en 1885, l’église de l’époque avait la charpente et certaines maçonneries des XVe-XVIe siècles. L’édifice de plan cruciforme, comme à Geneslay, avec un clocher couvert d’un toit à bâtière, est agrandie de deux bas-côtés, probablement à la fin du XVIIIe siècle. En 1858, on remplace le vieux clocher par une tour surmontée d’une flèche. À la suite du rapport, le choix est fait de détruire l’ancienne église et d’en construire une nouvelle. Un conflit entre le maire et le curé retarde de huit ans les travaux. Finalement en 1893, les travaux sont engagés pour se terminer en 1897-1898 avec l’inauguration de l’église Sainte-Marie-Madeleine.


Première Guerre mondiale : Defais Julien, Georges né le 16 août 1893 à la Ch.-Moche, grade : soldat, unité : 4e section d’infirmiers militaires, matricule au recrutement : 561, lieu de décès : Hôpital complémentaire no 45, Mention : Mort pour la France

En 1946, Roland Fléchard lance son entreprise qui prospèrera au cours des ans.

Le 16 novembre 1961, une modification administrative transforme le nom de La Chapelle-Moche en La Chapelle-d’Andaine, du nom de la forêt d’Andaine.


Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1806 1814 André Bignon    
1814 1815 Denis Lamy    
1815 1816 Jean Baptiste Gabriel Bricqueville    
1816 1831 Gabriel Hélie    
1831 1834 Jean Le Mercier    
1850 1874 François Pillais (1816-1874)    
1874 1911 Jean-Baptiste Monsallier (1822-1911)   Président du conseil d'arrondissement
1911 1921 Julien Monsallier (1866-1925)   Vice-président du conseil d'arrondissement, officier du mérite agricole
1937   Louis Derouet    
    Raymond Lambert (1905-1976)   Vendeur de cycles ; quincaillier
    Jean-Michel Hairie   Pharmacien
1977 1995 Roland Fléchard (1920-1996)   Industriel
1995[10] mars 2008 Pierre Grossi   Pâtissier
mars 2008[11] En cours Jean-Claude Fourquet[12] (1959-)   Professeur des écoles
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

En 2019, la commune comptait 1 460 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2006, 2011, 2016, etc. pour La Chapelle-d'Andaine[13]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 2].

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4271 3261 3231 3521 1862 9042 5982 5532 630
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 5142 4132 3242 1692 0691 9511 9261 9201 937
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8741 9051 8151 4591 4111 3451 3341 2821 260
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 3581 3211 4171 3901 5461 6001 5441 5091 467
2019 - - - - - - - -
1 460--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
Histogramme de l'évolution démographique

Associations[modifier | modifier le code]

Musicales[modifier | modifier le code]

Deux associations interviennent dans ce domaine sur la commune : la batterie fanfare La Chapelloise et Zazatmosphère, organisant des concerts en milieu rural.


Sportives[modifier | modifier le code]

  • Le Judo club d’Andaine, environ 70 licenciés.
  • L’US Andaine, football.
  • L’AS chapelloise, tennis de table.
  • Le BBF (Basket Ball Fertois) dispense des entrainements de basket le jeudi soir.

Économie[modifier | modifier le code]

Industries[modifier | modifier le code]

  • La Société normande de volailles (SNV) : 870 salariés, chiffre d’affaires de 200 M€. Chaînes : abattage, découpe, transformation et conditionnement (environ 60 000 tonnes par an). Marques : Autour de Lise.
  • SARL Établissements Gilbert
  • Laiterie du Pont-Morin : Ets Fléchard
  • Laiterie Solano (M. Pommel), Claudel puis Besnier. (61 E)
  • Laiterie Bottreau C. (1935-1938)
  • Fromagerie du Lindron : Bérenger, Rigaud et Cie (61 X)

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L’église Sainte-Marie-Madeleine-et Saint-Julien[modifier | modifier le code]

L’église Sainte-Madeleine de style néo-gothique en granit date de la fin du XIXe siècle, construite entre 1893 et 1898 à l’emplacement de l’ancienne église et conserve le symbolisme liturgique de l’orientation vers le soleil levant.

Les vitraux ont été réalisés en 1899 par les ateliers Lorin de Chartres, ils sont inscrits à l’inventaire général du patrimoine culturel[16],[17],[18]. Ces vitraux portent en bas à droite le nom des familles qui les ont offerts.

Le chœur[modifier | modifier le code]
  • La croix suspendue à la voûte. Cette croix triomphale, don anonyme, a été bénite solennellement le 19 octobre 1913 à la cérémonie des vêpres par l’abbé Join, doyen de Juvigny-sous-Andaine et délégué de Monseigneur. Ce fut l’occasion d’une grande fête au cours de laquelle les jeunes gens la portèrent en procession dans les rues du bourg. Elle est mobile. Elle est traditionnellement descendue le Vendredi saint pour être présentée à l’Adoration.
  • L’autel de marbre (maître-autel), dans le style 1900, a été offert par la famille Druet. Un bas-relief montre Jésus bénissant les enfants : « Laissez venir à moi les petits enfants ».
  • De chaque côté du tabernacle, les quatre évangélistes que la liturgie de la Messe donne en nourriture la parole de Dieu en même temps que le corps du Christ. Les vitraux du chœur illustrent l’évangélisation locale.
Les chapelles latérales[modifier | modifier le code]

La chapelle de gauche est dédiée à sainte Marie et la chapelle de droite à saint Joseph. Autrefois, les hommes se plaçaient dans l’église du côté de la chapelle Saint-Joseph et les femmes du côté de la chapelle Sainte-Marie.

La nef[modifier | modifier le code]

Les murs de la grande nef reposent sur 12 piliers : symbolisant les 12 apôtres. Les piliers sont en granit et d’un seul bloc. Les vitraux de la nef représentent les 12 apôtres.

Les bas-côtés[modifier | modifier le code]

Les vitraux des bas-côtés, possèdent trois médaillons.

Mobiliers et divers[modifier | modifier le code]

L’orgue est « d’occasion » et offert par madame Hébert. Inauguration des orgues le 9 juin 1927.

Chemin de croix et statues furent peints en blanc vers 1950 et cachent hélas des polychromes. Le Chemin de croix est composé de 14 stations rappelant la mort du Seigneur.

Monument « À la mémoire des enfants de la paroisse morts pour la France ». Nous lisons sur le monument les noms de 63 soldats morts à la guerre 1914-1918 et 4 soldats morts à la guerre 1939-1945. Au centre du monument figure une pietà.

Cloches[modifier | modifier le code]

De l’ancienne église, on a conservé le clocher-porche (érigé en 1858) surmonté d’une flèche avec ses cloches fondues à Villedieu-les-Poêles et bénites en 1860 par l’abbé Mousset, doyen de Juvigny-sous-Andaine. Sur chaque cloche, sont moulés dans la masse leurs noms, ceux des parrains et marraines, celui du curé, ainsi que quelques autres inscriptions.


Autres monuments[modifier | modifier le code]

  • Chapelle Notre-Dame de Pitié (1864) dans le cimetière avec une pietà du XVIIIe siècle.
  • Monument aux morts : inauguré le 24 septembre 1922.
  • Manoirs de la Haize, du Bois-Motté (propriétés privées).
  • La chapelle des Fourmis.
  • La chapelle Sainte-Rita.
  • La chapelle Notre-Dame-de-la-Salette.
  • La chapelle de la Chiennerie.
  • La maison de retraite (hospice)[Note 3].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Personnalités diverses (par ordre alphabétique)[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2019, légale en 2022.
  2. Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.
  3. Ses bienfaiteurs ont pour nom Landais, Jarry, Laigle et Prodhomme. Il y a cent cinquante ans, ces Chapellois se sont unis pour doter la commune de La Chapelle-Moche d'un hospice, d'une école de filles et d'une chapelle.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « recueil des actes administratifs »
  2. « Les communes mixtes de l'Orne et de la Mayenne », dans Claude Motte, Isabelle Séguy et Christine Théré avec la collaboration de Dominique Tixié-Basse, Communes d'hier, communes d'aujourd'hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001 — Dictionnaire d'histoire administrative, Paris, Institut national d'études démographiques, coll. « Classiques de l'économie et de la population / Études et enquêtes historiques », , VIII-406 p., 27 cm (ISBN 978-2-7332-1028-4 et 2-7332-1028-9, OCLC 691900402, BNF 39063370, présentation en ligne), p. 151
  3. « lepublicateurlibre.fr/2011/06/… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  4. Jean Adigard des Gautries et Fernand Lechanteur, Les noms des communes de Normandie (suite), vol. 2, Annales de Normandie, , p. 4.
  5. Source: Lepelley 1999.
  6. Karl Dubost, « La Chapelle-d'Andaine », sur normandieweb.org (consulté le ).
  7. Abbé Pierre-Dominique Bernier, Essai Sur Le Tiers-État Rural Ou Les Paysans de Basse-Normandie, Bibliolife, 2009.
  8. Acte paroissial de la Chapelle-Moche
  9. Claude Motte, Isabelle Séguy et Christine Théré, Communes d'hier, communes d'aujourd'hui: les communes de la France métropolitaine, 1801-2001 : dictionnaire d'histoire administrative, Institut national d'études démographiques, Paris, 2003, lire sur Google Livres
  10. « Pierre Grossi a décidé de ne pas repartir », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
  11. « https://www.ouest-france.fr/jean-claude-fourquet-succede-pierre-grossi-153886 », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
  12. Réélection 2014 : « La Chapelle-d'Andaine (61140) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
  13. Date du prochain recensement à La Chapelle-d'Andaine, sur le-recensement-et-moi.fr, site spécifique de l'Insee.
  14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
  16. « Ensemble de 14 verrières hagiographiques : sainte Radegonde, saint Ortaire, saint Chrodegand de Sées, sainte Opportune, saint Pierre, saint Paul, saint Jean l'Evangéliste, saint Jude, saint Jacques le Majeur, saint Simon, saint André, saint Jacques le Mineur, saint Philippe, saint Matthieu l'Evangéliste, saint Thomas, saint Barthélémy. », notice no IM61004198, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  17. « Ensemble de 3 verrières hagiographiques : Vie de saint Julien, sainte Madeleine débarquant à Marseille, Apparition à sainte Madeleine, Jésus chez Marthe et Marie. », notice no IM61004197, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  18. « Ensemble de 16 verrières (hagiographiques et décoratives) : Vierge à l’Enfant, Esther, Joseph intendant du Pharaon, saint Joseph et l'Enfant Jésus, David, Assomption, Notre-Dame des Champs, Arbre de Jessé, Mort de saint Joseph, sainte Véronique, Remise des clés à saint Pierre, Noces de Cana, Apparition de la Vierge à sainte Bernadette, Sainte Famille, saint Isidore le Laboureur, Jésus bénissant les enfants, Nativité, Notre-Dame de la Salette, Judith décapitant Holopherne, Jésus au milieu des docteurs, saint Fiacre, Résurrection de Lazare, Visitation, Apparition de la Vierge à saint Dominique de Guzman, Abigaïl intercédant auprès de David, Fuite en Egypte, saint Eloi, Transfiguration, Annonciation, Notre-Dame des Victoires, Marie la Prophétesse, Adoration des Mages, saint Marin, Miracle du Christ, Présentation de la Vierge au Temple, Notre-Dame du Carmel, Mariage de la Vierge, sainte Barbe, Samaritaine au puits », notice no IM61004196, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  19. « La Hardy family dans la course », sur sportbreizh.com,

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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