La Bâtie-Neuve

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La Bâtie-Neuve
La Bâtie-Neuve
Blason de La Bâtie-Neuve
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Hautes-Alpes
Arrondissement Gap
Intercommunalité Communauté de communes Serre-Ponçon Val d'Avance
(siège)
Maire
Mandat
Joël Bonnaffoux
2020-2026
Code postal 05230
Code commune 05017
Démographie
Gentilé Bastidons
Population
municipale
2 595 hab. (2021 en augmentation de 4,34 % par rapport à 2015)
Densité 93 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 34′ 03″ nord, 6° 11′ 47″ est
Altitude Min. 824 m
Max. 2 420 m
Superficie 27,99 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Gap
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chorges
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web commune-la-batie-neuve.fr

La Bâtie-Neuve est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Bastidons.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La Bâtie-Neuve est située au sud du massif des Écrins, sur le versant sud d'une arête montagneuse qui s'étend du sommet du Piolit (alt. 2 464 mètres) jusqu'au belvédère de la tour Saint-Philippe. Le village est établi dans la plaine, sur un seuil peu marqué qui sépare le bassin de la Luye et celui de l'Avance.

La Bâtie-Neuve est à 10 kilomètres de Gap, et à une quinzaine de kilomètres du lac de Serre-Ponçon.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 022 mm, avec 7,2 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gap », sur la commune de Gap à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 863,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de −15,3 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée d'ouest en est par la route nationale 94 reliant Gap à Embrun, Briançon et la frontière italienne (Montgenèvre), axe de circulation important depuis l'antiquité romaine (l'ancienne Via Domitia). Primitivement, la route traversait le vieux village ; puis elle a été retracée le long du rempart nord ; aujourd'hui une déviation contourne le village par le sud.

En direction du nord-est, la D 14 monte vers La Rochette et le col de Manse, et rejoint à Brutinel la route nationale 85 vers Grenoble. Cet itinéraire secondaire, au tracé difficile, permet d'éviter la traversée de Gap.

La voie ferrée Gap - Briançon traverse aussi la commune, mais l'ancienne gare de la Bâtie-Neuve - le Laus est fermée à tout trafic. Les gares les plus proches sont celles de Gap et de Chorges.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Bâtie-Neuve est une commune rurale[Note 2],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gap, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (32,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,7 %), zones agricoles hétérogènes (18,1 %), terres arables (15 %), zones urbanisées (5,1 %), prairies (3,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,1 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attestée en 953 et se retrouve dans une bulle papale du pape Agapet II conservée aux archives vaticanes. Le lieu " Locus sanctus Sebastianus, parrochia" est consacré et placé sous la protection de saint Sébastien. La construction du château, neuf par rapport à celui de la Bâtie-Vieille, verra l'apparition du toponyme " Bâtie-Neuve". Ce nouveau toponyme est attesté en 1225 sous sa forme vivaro-alpine.

Histoire[modifier | modifier le code]

  • La commune a été habitée dès la Préhistoire et ses habitants avaient édifié un dolmen à 500 m au sud-ouest du hameau de Saint Pancrace. Découvert en 1938, alors que les carriers avaient déjà commencé à l'exploiter, il fut fouillé peu de temps après et donna lieu à une publication dans l"Illustration" du 12 novembre 1938. Seule sa dalle de couverture en grès est visible aujourd'hui (Informations gracieusement communiquées par le conservateur du Musée de Gap).
  • En 1152 une bulle papale confirme aux moines italiens de Bréma l'église de Monte Rovoreo, aujourd'hui Montreviol, hameau de la Bâtie-Neuve.

La paroisse de la Bâtie-Neuve, sous le vocable de saint Pancrace, remonte au moins au XIIIe siècle. En 1516 il y avait, non loin du village, une chapelle de Saint-Pancrace, but de pèlerinage pour les populations environnantes.

En 1616 elle existait encore et, en outre, on avait fondé dans cette église une chapelle de Sainte-Marie-Madeleine.

En 1708 nous en trouvons quatre nouvelles, celles de Notre-Dame-de-Consolation, de Notre-Dame-de-Confort, de Sainte-Catherine, et une dernière fondée par Marguerite Argence.

Il existait autrefois, dans cette paroisse, un prieuré de Notre-Dame-de-Tournefort. Ruiné pendant les guerres de religion, il fut réduit en simple chapellenie et uni à la cure (1616).

L'évêque de Gap était collateur de la cure et principal décimateur de la paroisse. Jusqu'en 1516 la Bâtie-Neuve avait fait partie de l'archiprêtré du Champsaur; avant l576 il fut uni pour toujours à celui du Gapençais.

Jusqu'au XVe siècle, la Bâtie-Neuve dépendit de la châtellenie du Champsaur et du bailliage du Graisivaudan; en 1463 on l'avait joint à celui de Gap. L'évêque prétendait, à cette époque, que le hameau de Montreviol devait également dépendre du Gapençais, et il eut, en définitive, gain de cause contre les officiers delphinaux, qui voulaient le rattacher au Champsaur. Ce prélat avait à la Bâtie une juridiction seigneuriale qu'il exerçait par le juge des châteaux épiscopaux, résidant à Gap au XVIIe siècle, et dont les jugements pouvaient être portés en appel au vibailliage delphinal. La Bâtie-Neuve dépendait de l'élection et de la subdélégation de Gap.

L'évêque de Gap était, depuis une époque fort ancienne, seigneur de la Bâtie; en 1591 il fut obligé de le vendre à Étienne de Bonne d'Auriac, pour payer les dettes contractées pendant les guerres de religion.

  • La Fai͏̈encerie de La Bâtie-Neuve : La première tentative pour substituer une industrie locale à l'industrie étrangère émane de M. César d'Agoult, conseiller au parlement et seigneur de La Bâtie-Neuve. En 1755, il fit venir un potier de Moustiers, l'installa dans le château même de La Bâtie, obtint une subvention de l'intendant du Dauphiné et se mit à fabriquer de la faïence.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
ca. 1859   Hippolyte Davin   Propriétaire, juge de paix à Ribiers
Conseiller général de La Bâtie-Neuve (1852 → 1867)
? ? Joseph Escallier fils (1868-1948) RG Notaire
Conseiller général de La Bâtie-Neuve (1910 → 1937)
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 mars 2008 Yves Hernandez PS[14]  
mars 2008 En cours
(au 23 mai 2020)
Joël Bonnaffoux[15],[16] PS puis
LREM-RE
Cadre retraité
Conseiller départemental de Chorges (2015 → )
Conseiller général de La Bâtie-Neuve (1998 → 2015)
Président de la CC Serre-Ponçon Val d'Avance (2017 → )
Président de la CC de la Vallée de l'Avance (2014 → 2016)
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La Bâtie-Neuve fait partie :

Jumelage[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].

En 2021, la commune comptait 2 595 habitants[Note 4], en augmentation de 4,34 % par rapport à 2015 (Hautes-Alpes : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
808794851716855821830905851
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
840767798766773947820752694
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
656623620554608573638518474
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
5285106278371 3271 6871 9762 4312 506
2021 - - - - - - - -
2 595--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La Bâtie-Neuve dépend de l'académie d'Aix-Marseille. L'école élémentaire communale[22] compte plus de 300 enfants (maternelle + primaire). Depuis , le collège de la Bâtie-Neuve[23] accueille plus de 350 collégiens de tout le canton et la commune de Chorges[24].

Santé[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

La paroisse catholique de la Bâtie-Neuve fait partie du diocèse de Gap et d'Embrun. Pour la pastorale, elle est regroupée avec les paroisses de Chorges, Montgardin, La Rochette-Pont-Sarrazin, Saint-Apollinaire et Prunières[25]. Les messes dominicales sont célébrées dans les divers lieux de culte de ce regroupement selon un calendrier évolutif. Lorsqu'une messe doit être célébrée à La Bâtie-Neuve, elle l'est actuellement à la chapelle Saint-Pancrace, dans l'attente de la réouverture de l'église paroissiale.

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La tour.
Chapelle saint-Pancrace
Chapelle saint-Pancrace
  • Le vieux village fortifié ; la tour, vestige de l'ancien château.
  • L'église paroissiale Notre-Dame-de-Consolation des XVIe et XVIIe siècles, en cours de restauration, est actuellement fermée : la charpente et les voûtes ont été reconstituées, les aménagements intérieurs sont en cours[25]. Le maître-autel, classé au titre des Monuments historiques, est également en cours de réfection. La chapelle Saint-Joseph est accessible par le presbytère.
  • La chapelle Saint-Pancrace, ancienne église paroissiale du premier village, proche du cimetière. Entièrement restaurée en 2008[25].
  • Le dolmen découvert près de Saint Pancrace au début du vingtième siècle. Sa dalle de couverture est encore visible aujourd'hui.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Bâtie-Neuve (La) Blason
D'azur à un château à deux tourelles ajouré et maçonné de sable, à la herse du même et ouvert du champ et à un clocheton d’or sommé d'un pennon de gueules[28].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre La Bâtie-Neuve et Gap », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Gap », sur la commune de Gap - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Gap », sur la commune de Gap - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Annuaire des Mairies des Hautes Alpes (05), 82 p. (ISBN 978-2-35258-104-8, lire en ligne), p. 36.
  15. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le )
  16. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
  17. Direction des libertés publiques et des collectivités locales, « Création de la communauté de communes Serre-ponçon Val d'Avance par fusion des communautés de communes du Pays de Serre-ponçon et de la Vallée de l'Avance » [PDF], Recueil des actes administratifs no 05-2016-014, Préfecture des Hautes-Alpes, (consulté le ).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. La Bâtie-Neuve sur le site education.gouv.fr
  23. Le collège de la Bâtie-Neuve sur le site de l'Académie d'Aix-Marseille
  24. Site officiel de la commune
  25. a b et c Nos paroisses sur le site paroissesdelavance.fr
  26. « La commune a accueilli le Père Charles Troesch », sur le site de la mairie de La Batie-Neuve (consulté le ).
  27. « Messe d’accueil pour le Père Charles Troesch », sur le site de la mairie de La Batie-Neuve (consulté le ).
  28. « La Bâtie-Neuve », sur labatieneuve.fr (consulté le ).