L'Hôme-Chamondot

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L'Hôme-Chamondot
L'Hôme-Chamondot
L'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Mortagne-au-Perche
Intercommunalité Communauté de communes des Hauts du Perche
Maire
Mandat
Patrice Michel-Flandin
2020-2026
Code postal 61290
Code commune 61206
Démographie
Gentilé Ulmois
Population
municipale
255 hab. (2021 en diminution de 5,2 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 35′ 24″ nord, 0° 42′ 57″ est
Altitude Min. 205 m
Max. 268 m
Superficie 15,92 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tourouvre au Perche
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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L'Hôme-Chamondot est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 255 habitants[Note 1] (les Ulmois[1]).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans le Perche au sud-est du département de l'Orne, et appartient au Perche ornais, non loin de la limite du département avec celui d'Eure-et-Loir.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Le tracé de la nationale 12 qui relie Paris à Brest longe le territoire communal au NO (les Chauffetières) et marque la limite de la commune avec le territoire de la commune de La Poterie-au-Perche. Le maillage routier structurant de la commune est également assuré par la D 291 sur un axe SO-NO allant de Malétable à Saint-Maurice-lès-Charencey et par la D 243 sur un axe WE desservant les communes de La Ventrouze et de Marchainville.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Deux lignes du réseau inter urbain Cap'Orne organisées par le conseil départemental passe aux alentours de la commune :

Équipement automobile des ménages[modifier | modifier le code]

94,6 % des 95 ménages ulmois possèdent au moins une voiture en 2009[3]. 44,6 % de ceux-ci ne possèdent qu'une voiture et 50 % deux voitures ou plus. 96,7 % des ménages disposent d'au moins un emplacement réservé au stationnement.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[5]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d'Ouche et au Perche et bénéficiant d’un caractère continental affirmé avec des précipitations atténuées et des amplitudes thermiques fortes[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 790 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Tourouvre au Perche à 5 km à vol d'oiseau[7], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 749,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

L'Hôme-Chamondot est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Le territoire communal essentiellement agricole et forestier comprend le bourg ainsi que différents hameaux et écarts dont les principaux sont : les Chauffetières, les Grands Herbages, la Cellerie, le Mont-Huchet, l'Onglée ou encore Brotz.

En 2009, la commune compte 162 logements dont 58,64 % constituent la résidence principale de leurs occupants. Les autres logements correspondent à des résidences secondaires, des logements occasionnels ou vacants[16]. Les types de logements sont à 97,4 % des maisons et 1,9 % des appartements[17].

Parmi les 95 logements qui sont qualifiés de résidence principale, 32,6 % comptent cinq pièces et plus, 35,9 % quatre pièces, 23,9 % trois pièces, 5,4 % deux pièces et 2,2 % une seule pièce. Seuls le nombre de logements de deux pièces sont en diminution par rapport à 1999[18]. Le nombre moyen de pièces des résidences principales est de 4,3 pour les maisons[19].

Les données qui concernent le statut d'occupation des résidences principales indiquent que 87 % des Ulmois sont propriétaires tandis que 12 % sont locataires ou logés gratuitement[20]. L'ancienneté d'emménagement dans la résidence principale est de dix ans et plus pour 65,2 % des Ulmois. Néanmoins, 18,5 % ont emménagé entre cinq et neuf ans, 9,8 % entre deux et quatre ans et 6,5 % depuis moins de deux ans[21].

Les données liées au confort des résidences principales indiquent que 96,7 % sont équipées de salle de bains avec baignoire ou douche. Les données liées au chauffage de ces résidences montrent que 51,1 % bénéficient d'un chauffage central individuel et 9,8 d'un chauffage individuel « tout électrique »[22].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,6 %), prairies (28,3 %), terres arables (17,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,3 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Ulmus vers 1272[24], Losme en 1793, L'Hosme en 1801[25].

Hôme est ici une altération du latin ulmus, « orme »[26],[27].
Pour Chamondot, René Lepelley émet l'hypothèse d'un nom de personne[28].

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1812, L'Hôme-Chamondot (374 habitants en 1806[25]) absorbe la commune de Brotz (65 habitants[29]) à l'est de son territoire.

Le , le capitaine François Bouilhac, chef du secteur d'Alençon, est assassiné avec quatre autres responsables FFI (Jean Moreau, Fernand Chasseguet, Alfred Frémiot et Jean Mazeline[30]) au château de Brotz[31].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politique et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1861[32] 1869 Auguste Bourgeois nc Entrepreneur verrier
1875[33] 1879 Auguste Bourgeois (fils ? ) nc ?
1992[34] avril 2014 Didier Collin SE Agriculteur
avril 2014[35] En cours Patrice Michel-Flandin[36] SE Entrepreneur de vente
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[36].

Canton[modifier | modifier le code]

Depuis la réforme de 2014 mise en application aux élections départementales de 2015, la commune appartient au nouveau canton de Tourouvre qui est compris dans l'arrondissement de Mortagne-au-Perche.

Intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la communauté de communes des Hauts du Perche depuis 2017 et de ce fait entre dans le périmètre du pays du Perche ornais, le pendant ornais du pays du Perche d'Eure-et-Loir.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

La commune appartient à une région où l'immigration vers le Canada a été importante. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

En 2021, la commune comptait 255 habitants[Note 3], en diminution de 5,2 % par rapport à 2015 (Orne : −3,37 %, France hors Mayotte : +1,84 %).L'Hôme-Chamondot a compté jusqu'à 653 habitants en 1876.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
410314374463563640535651637
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
617650606653652424416406343
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
330308285316268281271310335
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
237176195182203213216264251
2021 - - - - - - - -
255--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique de Brotz avant 1812
1793 1800 1806
696965
(Sources : EHESS[29])

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune appartient à l'académie de Caen et dépend de la circonscription de Mortagne-au-Perche de l'inspection académique de l'Orne (DSDEN).

Santé[modifier | modifier le code]

Sport[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

La commune entre dans la zone de diffusion du journal hebdomadaire Le Perche du groupe Publihebdos.

Culte[modifier | modifier le code]

La commune dépend du diocèse de Séez et appartient à la paroisse Sainte-Anne-du-Perche (relais de Longny-au-Perche) qui comprend les communes du nouveau canton de Tourouvre, ainsi que quatre communes du département de l’Eure.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2009, la commune comptait 132 foyers fiscaux. Le revenu net déclaré moyen s'établissait à 19 676  et l'impôt sur le revenu moyen s'élevait à 404 . Dans le détail, 50,8 % des foyers fiscaux étaient imposables avec un revenu déclaré moyen qui s'établissait à 29 099  et 49,2 % des foyers fiscaux[40] ne l'étaient pas avec un revenu déclaré moyen de 9 963 .

Emploi, population active[modifier | modifier le code]

En 2009, la population active représente 71,0 % des 136 individus de 15 à 64 ans[41]. La même année, le taux de chômage des 15-64 ans s'élève à 15,1 % soit 15 personnes contre 12 en 1999 (14,3 %). En 2009, il touche principalement les femmes avec un taux de 20 % contre 11,3 % pour les hommes. Néanmoins, le chômage des femmes est en recul sur 1999 (23,1 %) mais en augmentation pour les hommes (6,7 %)[42].

Sur les 82 actifs de la commune en 2009 possédant un emploi, 63,3 % sont salariés et 36,7 % non salariés. Les emplois salariés à temps partiel représentent 14 % des emplois et sont occupés à 48 % par des femmes. 27,6 % des femmes actives[43] possédant un emploi sont non salariées.

Le taux d'emploi salarié s'élève à 75 % chez les femmes contre 55,3 % pour les hommes. 65,6 % d'entre elles sont titulaires de la fonction publique ou de contrats à durée indéterminée contre 51,1 % pour les hommes. Le taux d'emploi non salarié s'élève en revanche à 44,7 % chez les hommes contre 25 % chez les femmes[44]. Sur les 82 actifs possédant un emploi, 34,2 % travaillent dans la commune et 65,8 % dans une autre commune[45].

Passé industriel[modifier | modifier le code]

Dans le passé, la commune abritait sur son territoire différentes industries :

  • Verrerie de la Cellerie (hameau de la commune) exploitée par M. Bourgeois[46] à partir de 1835[47] produisant des cristaux pour éclairage, gobeletterie unie et moulée, etc.[48].
  • Le hameau des Chauffetières, sur la commune, abritait l'une des plus importantes tuileries-briqueteries du département de l'Orne[49] qui était doté d'un four semi-continu[50]. La briqueterie des Chauffetières existe depuis 1760 et était la propriété du marquis de Gontaud-Biron avant de passer dans les mains de la famille Fontaine en 1890. L'argile était extraite sur place et la fabrication de briques moulées à la main pouvait atteindre environ 1 000 briques par jour. La capacité du four était de 17 000 briques. Les briques flammées produites aux Chauffetières sont essentiellement destinées aux chantiers de restauration des Monuments historiques.

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Ruines du château de Gannes inscrites au titre des monuments historiques depuis le [51]. La tradition locale dit qu'il a été brûlé par les Anglais[52] en 1428. Quesnay de Beaurepaire, dans La Normandie monumentale, op. cit., p. 211-218, a rapporté longuement le siège et la destruction de ce château et l'existence de la Dame blanche de Gannes[53]. Élevé sur une motte et défendu par des marécages qui l'isolaient, le château, qui d'après la légende était imprenable, dut sa destruction à la félonie de la fille du châtelain : éperdue d'amour pour un capitaine anglais, trahissant les siens, la « Dame blanche » ouvrit la poterne à l'ennemi.
  • Château de Miserai.
  • Briqueterie des Chauffetières. Les deux pièces de séchage, ainsi que le four subsistant, font l'objet d'une inscription au titre des Monuments historiques depuis le [54].
  • Église Saint-Martin d'origine romane, reconstruite au XVIIIe siècle. Un aigle-lutrin du XVIIIe siècle est classé à titre d'objet[55].
  • Chapelle de Brotz, du XVe siècle.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean-René-Joseph Le Boulleur, seigneur de Brotz, conseiller du roi, maître particulier de la maîtrise des eaux et forêts du Perche à Mortagne[56] (1714- 1774). Il épouse le Anne-Catherine Angélique Nicole du Plessis[57].
  • M. Le François, ancien curé de la paroisse, député du clergé du Perche aux États généraux, membre de la Légion d'honneur, mort curé à la basilique Notre-Dame d'Alençon le [58].
  • Auguste Bourgeois, 1789-1872, né à Hodeng-au-Bosc (Seine-Inférieure), mort le à la Cellerie[59]. Maire de la commune de 1861 à 1869, propriétaire de la verrerie Bourgeois à la Cellerie.
  • Théodomir Geslin, né à l'Hôme-Chamondot le [60], huissier à Sées. Il a publié La Littérature contemporaine en province, portraits biographiques et littéraires, mouvement littéraire en 1873 puis réédité en 1876; Voix perdues d'un paysan (poésie) en 1878 ; Sans honneur (roman) en 1890; Maternité cruelle (étude de mœurs contemporaines).
  • Jean Mazeline (1920 - 1944 à l'Hôme-Chamondot), résistant français, responsable départemental des FFI.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de L'Hôme-Chamondot Blason
D'or à la fasce crénelée de sable maçonnée du champ, adextrée en chef d'une croisette partie de gueules et du second, et senestrée d'une feuille d'orme de sinople posée en bande ; la fasce soutenue de trois flammes de gueules en pointe.
Détails
Armoiries adoptées par la municipalité le 13 octobre 2011.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  • Altitudes, coordonnées, superficie : IGN[61].
  1. « Ouest-france.fr - Mairie de L'Hôme-Chamondot » (consulté le ).
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  3. LOG T9 - Équipement automobile des ménages - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  7. « Orthodromie entre L'Hôme-Chamondot et Tourouvre au Perche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Tourouvre_sapc » (commune de Tourouvre au Perche) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Tourouvre_sapc » (commune de Tourouvre au Perche) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie - Insee, RP1968 à 1990 dénombrements - RP1999 et RP2009 exploitations principales
  17. LOG T2 - Catégories et types de logements - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
  18. LOG T3 - Résidences principales selon le nombre de pièces - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
  19. LOG T4 - Nombre moyen de pièces des résidences principales - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
  20. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
  21. LOG T6 - Ancienneté d'emménagement dans la résidence principale en 2009 - Insee, RP2009 exploitation principale
  22. LOG T8M - Confort des résidences principales - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes ; formations dialectales, Droz, , p. 1252.
  25. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  27. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 199.
  28. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 148.
  29. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Brotz », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  30. Le Pays bas-normand - Numéros 249 à 256 - Page 196.
  31. Le Prix de la liberté, par Raymond Ruffin, p. 145.
  32. Annuaire des cinq départements de la Normandie publié par l'Association normande de 1861 à 1869
  33. Annuaire des cinq départements de la Normandie publié par l'Association normande 1875, 1876, 1877, 1878, 1879
  34. « Patrice Michel-Flandin nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  35. « L'Hôme-Chamondot (61290) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  36. a et b Réélection 2020 : « Municipales 2020 à L’Hôme-Chamondot. Patrice Michel-Flandin réélu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux - DGFiP, Impôt sur le revenu des personnes physiques
  41. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
  42. EMP T4 - Chômage (au sens du recensement) des 15-64 ans - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
  43. ACT T1 - Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2009 - Insee, RP2009 exploitation principale
  44. ACT T2 - Statut et condition d'emploi des 15 ans ou plus selon le sexe en 2009 - Insee, RP2009 exploitation principale.
  45. ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
  46. Les verreries de la Normandie, les gentilshommes & artistes verriers… par O. Le Vaillant, p. 265.
  47. Les verreries de la Normandie, les gentilshommes & artistes verriers, par O. Le Vaillant, p. 376.
  48. Dictionnaire topographique, statistique et postal de la France… par A. Peigné, p. 411.
  49. Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne.
  50. Les arts du feu en Normandie : actes du 39e congrès, par Jean-Paul Hervieu, Éric Barré, Gilles Désiré, p. 112.
  51. « Ruines du château de Gannes », notice no PA00110823, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. Le département de l'Orne archéologique et pittoresque, par Léon de La Sicotière.
  53. Trésor des légendes du Perche, Marie-Rose Simoni-Aurembou, Corinne Widmaier-Bouillin, Association des amis du Perche, page 101.
  54. « la Tuilerie des Chauffetières », notice no PA00135522, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  55. « Aigle-lutrin », notice no PM61000392, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  56. Grands notables du Premier Empire : Orne par Louis Bergès, Guy Chaussinand-Nogaret p. 92.
  57. Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, volume 121, numéros 1 à 4, p. 33.
  58. Le département de l'Orne archéologique et pittoresque, par Léon de La Sicotière, p. 187.
  59. Les Patrons du Second Empire : Anjou, Normandie, Maine par Dominique Barjot, p. 197.
  60. Livre d'or de Rémy Belleau par Belleau, Rémi, p. 23.
  61. « L'Hôme-Chamondot sur le site de l'Institut géographique national » [archive du ] (archive Wikiwix)

Liens externes[modifier | modifier le code]

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