Jean-Gérard Fleury
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| Nom de naissance |
Jean Fénelon Marie Gérard Fleury |
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Jean-Gérard Fleury, né à Inchy le et mort à Rio de Janeiro le [1], est un homme d'affaires, aviateur, journaliste et écrivain français.
Biographie[modifier | modifier le code]
Issu d’une famille d’agriculteur du Nord de la France, Fleury sort diplômé de l’Institut d’Études Politiques et il devient avocat et journaliste à Paris[2]. En 1931, il part réaliser un reportage sur la ligne aérienne Toulouse-Santiago du Chili[2]. Passionné d'aviation et de l’Aéropostale, il fait la rencontre de pilotes comme Antoine de Saint-Exupéry, Marcel Reine, Henri Guillaumet ou bien Jean Mermoz[2]. Ce dernier lui fera passer son brevet de pilote. Il entre comme responsable de la rubrique aéronautique à Paris-Soir dont il sera correspondant permanent au Brésil[2]. Fleury y commence une carrière d'administrateur de sociétés et travaille, entre 1945 et 1978, pour différentes sociétés Hachette, Société Louis Breguet et Sud-Aviation correspondant du quotidien France-Soir[2]. Il se mariera, le , avec Nalige de Souza Leão avec laquelle il aura deux enfants. Il meurt le à Rio de Janeiro[2].
Jean-Gérard Fleury reçoit le Prix Albert-Londres en 1938[3].
Œuvres[modifier | modifier le code]
- Chemins du Ciel (préf. J. Kessel, Lettre de l'aviateur Jean Mermoz), Paris, Nouvelles Éditions latines, , 204 p.
- Un Homme Libre chez les Soviets, Paris, Les Éditions de France, , 259 p.
- La Ligne (de Mermoz, Guillaumet, Saint-Exupéry et de leurs compagnons), Gallimard, 1939
- Getulio Vargas, président des États-Unis du Brésil, Plon, Paris, 1940
- Sud Amérique, Éditions de la Maison Française, New York, 1943
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Relevé des fichiers de l'Insee
- Une « dictature démocratique » : Getúlio Vargas, raconté par Jean-Gérard Fleury publié sur le site de amnis.revues.org. Consulté le 5 janvier 2013.
- Lauréats sur le site prixalbertlondres.com. Consulté le 5 janvier 2013.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Jean Cormier, « L'ami de Saint-Ex et Mermoz raconte... », ?, , p. 27 (lire en ligne, consulté le ).
Liens externes[modifier | modifier le code]
