John Franklin Jameson

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John Franklin Jameson
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  • Bibliothèque du Congrès
  • Louis Round Wilson Library de l'université de Caroline du Nord à Chapel Hill

John Franklin Jameson connu également sous le nom de J. Franklin Jameson, né le à Somerville dans l'État du Massachusetts et mort le à Washington (district de Columbia) est un historien et historiographe américain, et éditeur de la revue historique The American Historical Review de la Société américaine d'histoire et de l'Original Narratives of Early American History en 18 volumes et du Dictionary of American Biography en 20 volumes.

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse et formation[modifier | modifier le code]

John Franklin Jameson est le fils de John Jameson, un instituteur, un receveur des postes et un juriste, et de Mariette Thompson[1],[2].

John William Burgess.

Après avoir achevé ses études secondaires à la Roxbury Latin School (en) dans le quartier Roxbury de Boston, J. Franklin Jameson est accepté à l'université Harvard en  ; mais ses parents déménageant à Amherst il est contraint d'entrer au Amherst College en 1875. Il y obtient son baccalauréat universitaire (licence) en 1879 avec la mention de Valedictorian[1],[2],[3],[4],[5].

Anson D. Morse.

J. Franklin Jameson attire l'attention de son professeur de science politique John Burgess (universitaire) ainsi que celle de son professeur d'histoire Anson D. Morse qui le soutiendront pour sa carrière et aussi de Herbert Baxter Adams qui parallèlement établit un département d'histoire à l'université John-Hopkins[1],[2],[3],[5].

Carrière[modifier | modifier le code]

Les difficultés[modifier | modifier le code]

Herbert Baxter Adams.

Malgré le soutien de ses enseignants, J. Franklin Jameson ne peut pas continuer ses études universitaires pour des raisons financières. Aussi décroche-t-il un poste de professeur de littérature latine et d'histoire dans un établissement d'enseignement secondaire à Worcester dans le Massachusetts. Au d'une année grâce à l'appui de Herbert Baxter Adams, il est admis à l'université Johns-Hopkins[1],[2],[5].

L’enseignant à l'université Johns-Hopkins[modifier | modifier le code]

J. Franklin Jameson bénéficie d'une bourse d'études et d'un poste de chargé de travaux dirigés qui lui permettent de pourvoir ses études. En 1883, il est promu au grade de professeur associé, il soutient sa thèse de doctorat (Ph.D.) en 1883, le titre de sa thèse est Montauk and the Common Lands of Easthampton (« Montauk et les terres communales d’Easthampton ») qui fait la suite d'une essai The Origin and Development of the Municipal Government of New York City (« L’origine et le développement du gouvernement municipal de New York »), dont les parties avaient été publiées au sein de la revue le Magazine of American History (en) en 1882. Il ajoute en 1887, une bibliographie sur Willem Usselincx qui est également publiée par le Magazine of American History en 1887. Ces diverses publications le font accéder à la notoriété en tant que spécialiste de l'histoire des institutions européennes, de l'histoire de la Nouvelle Angleterre et de ses institutions qui sont comme une extension une prolongation des institutions européennes. C'est également durant cette période qu'il s'attache à la prise en compte des documents et des archives historiques du gouvernement sises à Washington et la nécessité de les préserver, qui est une motivation de son désir de créer un site destiné aux archives nationales[1],[2],[3],[5].

Le professeur de l'université Brown[modifier | modifier le code]

E. Benjamin Andrews.
Ezekiel_Robinson.

Daniel Coit Gilman, le président de l'université Johns-Hopkins annonce à J. Franklin Jameson qu'il ne sera jamais titularisé. Ayant appris la nouvelle, Ezekiel Robinson (en)[6], président de l'université Brown propose un poste de professeur d'histoire à J. Franklin Jameson, offre qu'il accepte et prend ses fonctions en 1888. Sa nomination est confirmée en 1889 par le nouveau président Elisha Benjamin Andrews (en) et par la suite il est nommé comme directeur du département d'histoire[7],[1],[2],[5].

J. Franklin Jameson organise et anime des séminaires d'histoire sur le modèle de l'université Johns-Hopkins , de nombreuses personnalités qui deviendront célèbres dans le monde universitaire participent à ces séminaires comme Mary Emma Whoolley, présidente du Mount Holyoke College de 1901 à 1937, le britannique Harold Dexter Hazeltine (en)[8] professeur de droit à l'université de Cambridge, Edmund C. Burnett qui a collecté et édité les lettres des membres du Congrès continental[9], l’historien Carl Russell Fish (en) professeur à l'université du Wisconsin à Madison[5].

Pour le centième anniversaire de la Constitution des États-Unis, J. Franklin Jameson rédige un essai Essays in the Constitutional History of the United States qui est publié en 1889. Dans cet essai, il expose les débuts de l'histoire politique et constitutionnelle des États-Unis. Dans le prolongement de cet ouvrage, il tient des conférences sur l'origine des partis politiques aux États-Unis à l'université Brown en 1889, et sur l'histoire politique et constitutionnelle du Sud à l'université Johns-Hopkins au printemps 1891. Ces conférences sont restées inédites de son vivant, tout comme les conférences qu’il a données au Barnard College en 1895 sur le thème de American Revolution as a social movement (« la révolution américaine en tant que mouvement social ») qui seront publiées en 1926 par la maison d'édition Princeton University Press[1],[3].

Le professeur de l'université de Chicago[modifier | modifier le code]

William Rainey Harper.

En 1901, William Rainey Harper, le président de l'université de Chicago lui propose la direction du département d'histoire. Poste qu'il accepte et tiendra jusqu'en 1905. Département qu'il rénove en embauchant de nouveaux professeurs et de nouveaux cours sur l'histoire américaine[1],[2].

Andrew Carnegie.

Le directeur de recherche de la Carnegie Institution[modifier | modifier le code]

En , le philanthrope Andrew Carnegie décide d’établir une dotation de 10 000 000 $[note 1] pour l'établissement d'un institut de recherche scientifique à Washington (district de Columbia)[1],[2],[3].

En , J. Franklin Jameson est nommé directeur du département de la recherche historique de la Carnegie Institution. En 1913, grâce à sa direction ce département a pu collecter plus de 100 000 documents majeurs pour établir une histoire américaine[3],[10],[11].

L’entrée des États-Unis dans la Première Guerre mondiale en est l'occasion pour J. Franklin Jameson de réitérer sa demande de création du National Board for Historical Service (« Conseil national des services historiques ») au sein de la Carnegie Institution dont il serait le directeur. Pour documenter ce nouveau secteur d'activité, il établit des questionnaires qui sont soumis aux soldats dans leurs camps d'entraînement. Il reçoit le soutien des vétérans et des différents présidents des États-Unis qui se sont succédé durant l'entreprise qui s’achèvera en 1937 par l'édification d'un bâtiment spécialement destiné aux archives nationales[1],[3],[5].

Les "documents Sisson"[modifier | modifier le code]

Edgar Sisson.

En 1918, George Creel (en), directeur de la Committee on Public Information, recrute J. Franklin Jameson et le professeur de sciences politiques Samuel N. Harper pour une mission d'authentification de documents transmis par Edgar Sisson, le correspondant de la Committee on Public Information à Petrograd. Documents qui établiraient l'existence d'un complot germano-soviétique et donc justifierait l'intervention des troupes américaines en URSS. J. Franklin Jameson et Samuel N. Harper, authentifient les Sisson Documents (en). Or des enquêtes ont fait la preuve que ces documents étaient des faux, et même dénoncés comme étant un canular. Démystification qui entame la réputation professionnelle de J. Franklin Jameson[1],[12],[13].

Se relégitimer[modifier | modifier le code]

Pour effacer la tâche des « documents Sisson », J. Franklin Jameson se lance dans diverses activités. En 1919, J. Franklin Jameson participe à la fondation de l'American Council of Learned Societies (en) et y dirige l'édition du Dictionary of American Biography. Il documente les courriers des représentants du Congrès continental, les documents concernant la traite des esclaves, les statuts des esclaves, les diverses jurisprudences sur cette question et les archives d'Andrew Jackson[1],[2],[14].

J. Franklin Jameson multiplie les conférences auprès des universités et quand en 1926, le Congrès établit un budget pour la construction d'un bâtiment destiné aux archives nationales il édicte le Public Buildings Act (en), il participe à la commission qui supervise la construction du bâtiment qui s'achève en 1937[1],[3].

Herbert Putnam.

En 1927, grâce à Herbert Putnam, le bibliothécaire de la Bibliothèque du Congrès, J. Franklin Jameson y est nommé à la nouvelle chaire d'histoire américaine puis devient le responsable de la division des manuscrits de la Bibliothèque du Congrès[1],[2],[3].

Pendant sa gestion de la division des manuscrits, J. Franklin Jameson s'illustre par l'acquisition des archives d'Alexander Stephens, d'Andrew Carnegie, de Joseph Pulitzer, de John A. Dahlgren et autres figures éminentes de l'histoire américaine. Il poursuit sa carrière inlassablement jusqu'en , date de son premier infarctus[1].

L'éditeur et le rédacteur en chef[modifier | modifier le code]

En 1895, il est l'un des membres fondateurs de l’American Historical Review et y assure la fonction de rédacteur en chef de ses débuts jusqu’en 1928[2],[3],[5].

Dès son arrivée à la Carnegie Institution, J. Franklin Jameson remarque le manque de sources écrites, documentation indispensable pour mener des enquêtes historiques dignes de ce nom. Pour répondre à ce besoin, il se lance dans l'édition de l'Original Narratives of Early American History, qui est une collecte de documents dits primaires ou de première main répartis par thématiques qui comprend 18 volumes qui parait en 1906. Les recensions sont élogieuses, et recommandent que l'Original Narratives of Early American History soit présente dans toutes les bibliothèques universitaires et publiques[15],[1],[2],[16],[17].

Vie privée[modifier | modifier le code]

Mariage[modifier | modifier le code]

En , J. Franklin Jameson épouse Sara Elizabeth Elwell, une institutrice. Le couple naissance à deux enfants[1].

La fin[modifier | modifier le code]

En , J. Franklin Jameson est victime d'un infarctus qui l'oblige à ralentir ses activités professionnelles, son état se dégrade en à la suite d'un accident de la circulation, il reprend quand même le travail. Le , il quitte la bibliothèque en se plaignant de douleurs à la poitrine et décède une semaine plus tard, le dans son domicile de Washington des suites d'une défaillance cardiaque et d'une pneumopathie[1],[2].

Œuvres[modifier | modifier le code]

Quand une œuvre est suivie d'un identifiant ISBN, cela signifie qu'elle a fait l'objet de rééditions récentes sous forme de fac-similé ou non, l'identifiant est celui, en principe, de la réédition la plus récente, sans préjuger d'autres rééditions antérieures ou ultérieures. La lecture en ligne est quand cela est possible la lecture de l'édition originale.

Essais et livrets[modifier | modifier le code]

  • Record of the Town of Amherst from 1735 to 1788, Amherst, Massachusetts, Press of J.E. Williams, , 100 p. (ISBN 9781359248312),
  • Willem Usselinx, founder of the Dutch and Swedish West India companies, New York & Londres, G.P. Putnam's Sons, , 234 p. (OCLC 669192965),
  • An Introduction To The Study Of The Constitutional And Political History Of The States, Baltimore, Johns Hopkins Press, , 29 p. (ISBN 9780384267909),
  • Essays In The Constitutional History Of The United States, In The Formative Period, 1775 1789, Boston, Houghton, Mifflin & Co,, , 348 p. (ISBN 9781528354752, lire en ligne),
  • The history of historical writing in America, Boston & New York, Houghton, Mifflin and Company, , 184 p. (ISBN 9781330995426, LCCN 03018645, lire en ligne),
  • Dictionary of United States History. 1492-1895, Boston, Puritan Publishing Company, , 794 p. (OCLC 187460657, lire en ligne),
  • The Papers of Major-Gen. Nathanael Greene, , 20 p. (ISBN 9781378037515, lire en ligne),
  • The Functions of State and Local Historical Societies, , 18 p. (OCLC 1045534683, lire en ligne),
  • James Monroe in his relations to the public service during half a century, Boston & New York, Houghton, Mifflin and Company, , 287 p. (OCLC 894184953),
  • Encyclopedic Dictionary of American History, Volume 1 : A - M, Boston, nc, , 500 p. (ISBN 9781377080468, lire en ligne),
  • Encyclopedic Dictionary of American History, Volume 2 : N-Z, Boston, nc, , 484 p. (ISBN 9781377303482, lire en ligne),
  • Studies in the History of the Federal Convention of 1787, Washington (district de Columbia), Government Printing Office, , 88 p. (ISBN 9781333648626, lire en ligne),
  • Gaps in the Published Records of United States History, , 24 p. (ISBN 9781334443671, lire en ligne),
  • The Arrival of the Pilgrims, Providence, Rhodes Island, Brown University, , 44 p. (OCLC 746939017, lire en ligne),
  • The American Historian's Raw Materials,, Ann Arbor, University of Michigan, , 63 p. (OCLC 459573676),
  • Privateering and Piracy in the Colonial Period : Illustrative Documents, New York, Macmillan Company, , 619 p. (ISBN 9781406559262),
  • American Revolution Considered as a Social Movement, Princeton, Princeton University Press, , 176 p. (ISBN 9781400873227, lire en ligne),

Éditeur[modifier | modifier le code]

L'Original Narratives of Early American History de 1906 aux Éditions Charles Scribner and Son (New York)[modifier | modifier le code]

The American Historical Review[modifier | modifier le code]

Articles[modifier | modifier le code]

  • « The Origin of the Standing-Committee System in American Legislative Bodies », Political Science Quarterly, Vol. 9, No. 2,‎ , p. 246-267 (22 pages) (lire en ligne Accès libre),
  • « The Early Political Uses of the Word Convention », The American Historical Review, Vol. 3, No. 3,‎ , p. 477-487 (11 pages) (lire en ligne Accès libre)
  • « Reviewed Work: The Writings of James Madison by Gaillard Hunt », The American Historical Review, Vol. 8, No. 3,‎ , p. 559-561 (3 pages) (lire en ligne Accès libre),
  • « St. Eustatius in the American Revolution », The American Historical Review, Vol. 8, No. 4,‎ , p. 683-708 (26 pages) (lire en ligne Accès libre),
  • « Gaps in the Published Records of United States History », The American Historical Review, Vol. 11, No. 4,‎ , p. 817-831 (15 pages) (lire en ligne Accès libre),
  • « The American Acta Sanctorum », The American Historical Review, Vol. 13, No. 2,‎ , p. 286-302 (17 pages) (lire en ligne Accès libre),
  • « The American Historical Association, 1884-1909 », The American Historical Review, Vol. 15, No. 1,‎ , p. 1-20 (20 pages) (lire en ligne Accès libre),
  • « A New American Historical Journal », The Hispanic American Historical Review, Vol. 1, No. 1,‎ , p. 2-7 (6 pages) (lire en ligne Accès libre),
  • « Early Days of the American Historical Association, 1884-1895 », The American Historical Review, Vol. 40, No.,‎ , p. 1-9 (9 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « The Future Uses of History », The American Historical Review, Vol. 65, No. 1,‎ , p. 61-71 (11 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire) (article posthume),

Archives[modifier | modifier le code]

Les archives de John Franklin Jameson sont déposées et consultables auprès de la Bibliothèque du Congrès[18] et de la Louis Round Wilson Library (en) de l'université de Caroline du Nord à Chapel Hill[19].

Distinctions[modifier | modifier le code]

J. Franklin Jameson est membre de l’American Historical Association (AHA) dès sa fondation en 1884, il est élu président de l’association en 1907[2].

En 1895, J. Franklin Jameson est élu président de la Historical Manuscripts Commission (« Commission des manuscrits historiques »)[1].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h i j k l m n o p q r et s (en) John A. Garraty (dir.), American National Biography, Volume 11 : Hofstadter : Jepson, New York, Oxford University Press, USA, , 956 p. (ISBN 9780195127904, lire en ligne), p. 848-851
  2. a b c d e f g h i j k l m et n (en) Martha Mitchell, Encyclopedia Brunoniana, Providence, Rhodes Island, Brown University Library, , 629 p. (OCLC 31085279, lire en ligne), p. 307-309
  3. a b c d e f g h i et j (en-US) Morey Rothberg, « John Franklin Jameson and the International Historical Community », The History Teacher, Vol. 26, No. 4,‎ , p. 449-457 (9 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  4. (en) Victor Gondos, J. Franklin Jameson and the Birth of the National Archives, 1906-1926, Philadelphie, University of Pennsylvania Press, , 243 p. (ISBN 9780812277999, lire en ligne), p. 14
  5. a b c d e f g et h (en-US) Waldo Gifford Leland, « John Franklin Jameson », The American Archivist, Vol. 19, No. 3,‎ , p. 195-201 (7 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  6. (en-US) « Ezekiel Gilman Robinson: 1872-1889 | Office of the President | Brown University » Accès libre, sur université Brown (consulté le )
  7. (en-US) Martha Mitchell, « Encyclopedia Brunoniana | Andrews, Elisha Benjamin » Accès libre, sur Université Brown (consulté le )
  8. (en) Brian Howard Harrison, Oxford Dictionary of National Biography, volume 26 : Haycock-Hichens, Oxford, Oxford University Press, , 1002 p. (ISBN 9780198613763, lire en ligne), p. 104-105
  9. (en-US) « Letters of members of the Continental Congress / edited by Edmund C. Burnett » Accès libre, sur Smithsonian Institution (consulté le )
  10. (en-US) Morey D. Rothberg, « The Brahmin as Bureaucrat: J. Franklin Jameson at the Carnegie Institution of Washington, 1905-1928 », The Public Historian, Vol. 8, No. 4,‎ , p. 46-60 (15 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  11. (en) Victor Gondos, Op.cit. (lire en ligne), p. 13
  12. (en-US) George F. Kennan, « The Sisson Documents », The Journal of Modern History, Vol. 28, No. 2,‎ , p. 130-154 (25 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  13. (en-US) John Maxwell Hamilton & Meghan Menard McCune, « Lessons from White House disinformation a century ago: ‘It’s dangerous to believe your own propaganda » Inscription nécessaire, sur The Conversation,
  14. (en-US) M. M. Quaife, « The Dictionary of American Biography », The Mississippi Valley Historical Review, Vol. 17, No. 1,‎ , p. 116-122 (7 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  15. (en-US) H. Cabot Lodge, « Reviewed Work: Original Narratives of Early American History », The North American Review, Vol. 183, No. 605,‎ , p. 1289-1293 (5 pages) (lire en ligne Accès libre)
  16. (en-US) Rose Glass, « Reviewed Work: The Northmen, Columbus and Cabot; Original Narratives of Early American History by J. Franklin Jameson », The Washington Historical Quarterly, Vol. 1, No. 3,‎ , p. 171-174 (4 pages) (lire en ligne Accès libre)
  17. (en-US) Herman V. Ames, « Original Narratives of Early American History », The Annals of the American Academy of Political and Social Science, Vol. 30,‎ , p. 183-184 (2 pages) (lire en ligne Accès libre)
  18. (en-US) « J. Franklin Jameson papers, », sur Library of Congress, Washington, D.C. 20540 USA (consulté le )
  19. (en-US) « J. Franklin Jameson Tributes, 1940. » Accès libre, sur Université de Caroline du Sud

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Notices encyclopédiques[modifier | modifier le code]

  • (en) Martha Mitchell, Encyclopedia Brunoniana, Providence, Rhodes Island, Brown University Library, , 654 p. (OCLC 1033564859, lire en ligne), p. 307-309. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (en) John A. Garraty, American National Biography, Volume 11 : Hofstadter : Jepson, New York, Oxford University Press, USA, , 956 p. (ISBN 9780195127904, lire en ligne), p. 848-850. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Essai biographique[modifier | modifier le code]

Articles[modifier | modifier le code]

Les articles de JSTOR, sont librement accessibles à la lecture en ligne jusqu'à la concurrence de 99 articles par mois.

  • (en-US) Roscoe R. Hill, « John Franklin Jameson 1859-1937 », The Hispanic American Historical Review, Vol. 17, No. 4,‎ , p. 417-418 (2 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) « John Franklin Jameson », The American Historical Review, Vol. 43, No. 2,‎ , p. 243-252 (11 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Elizabeth Donnan & Leo F. Stock, « Senator Beveridge, J. Franklin Jameson, and John Marshall », The Mississippi Valley Historical Review, Vol. 35, No. 3,‎ , p. 463-492 (30 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Elizabeth Donnan & Leo F. Stock, « Senator Beveridge, J. Franklin Jameson, and Abraham Lincoln (suite) », The Mississippi Valley Historical Review, Vol. 35, No. 4,‎ , p. 639-673 (35 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Fred Shelley, « The Interest of J. Franklin Jameson in the National Archives: 1908-1934 », The American Archivist, Vol. 12, No. 2,‎ , p. 99-130 (33 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Charles McCarthy, Elizabeth Donnan & L. F. Stock, « Charles McCarthy to J. Franklin Jameson », The Wisconsin Magazine of History, Vol. 33, No. 1,‎ , p. 64-86 (24 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Waldo Gifford Leland, « John Franklin Jameson », The American Archivist, Vol. 19, No. 3,‎ , p. 195-201 (7 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Morey D. Rothberg, « "To Set a Standard of Workmanship and Compel Men to Conform to It": John Franklin Jameson as Editor of the American Historical Review », The American Historical Review, Vol. 89, No. 4,‎ , p. 957-975 (19 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) August Meier & Elliott Rudwick, « J. Franklin Jameson, Carter G. Woodson, and the Foundations of Black Historiography », The American Historical Review, Vol. 89, No. 4,‎ , p. 1005-1015 (11 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Morey D. Rothberg, « The Brahmin as Bureaucrat: J. Franklin Jameson at the Carnegie Institution of Washington, 1905-1928 », The Public Historian, Vol. 8, No. 4,‎ , p. 46-60 (15 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Morey Rothberg, « John Franklin Jameson and the International Historical Community », The History Teacher, Vol. 26, No. 4,‎ , p. 449-457 (9 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Liens externes[modifier | modifier le code]