Huriel

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Huriel
Huriel
Le donjon roman d'Huriel (la Toque).
Blason de Huriel
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Allier
Arrondissement Montluçon
Intercommunalité Communauté de communes du Pays d'Huriel
(siège)
Maire
Mandat
Stéphane Abranowitch
2020-2026
Code postal 03380
Code commune 03128
Démographie
Gentilé Huriélois [1]
Population
municipale
2 600 hab. (2021 en diminution de 3,06 % par rapport à 2015)
Densité 74 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 22′ 26″ nord, 2° 28′ 39″ est
Altitude Min. 210 m
Max. 418 m
Superficie 34,92 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montluçon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Huriel
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Huriel
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Huriel
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Huriel

Huriel [Latin : Uriaco] est une commune française, située dans le département de l'Allier en région d'Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont appelés Huriélois et Huriéloises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le paysage est caractérisé par à la fois par le bocage bourbonnais et se révèle être la porte de la Châtaigneraie bourbonnaise.

Localisation[modifier | modifier le code]

Selon les calculs, Huriel est considérée comme l'une des 7 communes du centre de la France.

Huriel est limitrophe avec 6 communes :

Carte de la commune de Huriel et de ses proches communes.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la Magieure, affluent de rive gauche du Cher. Le bourg d'Huriel domine le vallon de la Magieure, qui passe à quelques centaines de mètres au nord.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est située sur le sentier de grande randonnée de pays : Sur les pas des maîtres sonneurs.

Le centre-ville est traversé par la RD 916 reliant Boussac à Montluçon. La voie rapide RN 145 (RCEA) est située à proximité et est accessible par l'échangeur 41 situé sur la commune de Lamaids.

  • RD 40 : vers La Chapelaude
  • RD 71 : vers Chambérat
  • RD 114 : vers Vaux
  • RD 151 : vers Quinssaines
  • RD 916 : vers Domérat

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 830 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Montluçon à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 637,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Huriel est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montluçon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 58 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (67,7 %), zones agricoles hétérogènes (12,5 %), zones urbanisées (7,5 %), forêts (7,2 %), terres arables (3,9 %), mines, décharges et chantiers (1,1 %)[14].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Huriel est nommé Uriat en marchois, dialecte qui est traditionnellement parlé dans la région de Montluçon[15]. La commune fait, en effet, partie du Croissant, zone où se rejoignent et se mélangent la langue occitane et la langue d'oïl (ici berrichon)[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Adélaïs d’Huriel (vers 1040-après 1097), fille d’Humbaud, seigneur d’Huriel et de Dèce de Bourbon, mariée à Rainaud III d'Aubusson (vers 1025-). Rainaud III d'Aubusson restitue le monastère de Roseilles à l’église collégiale de Saint-Yrieix-la-Perche.

Huriel est une ancienne ville close et baronnie, qui fut autrefois un lieu militaire stratégique qu'utilisèrent les Bourbons. La commune conserve aujourd'hui deux vestiges de son histoire : un donjon seigneurial et une église, jadis siège d'un prieuré bénédictin. Ces édifices remarquables, tous deux des XIe et XIIe siècles, sont classés monuments historiques.

La baronnie d'Huriel fut acquise sur Anne Faure, veuve de Thomas Le Lièvre, marquis de Fourilles, ancien président au Grand Conseil, par Étienne Jehannot (1610-1701), secrétaire du roi, conseiller au Grand Conseil, garde du Trésor royal, par acte du 12 août 1673[17]. Son petit-fils, Louis-Joachim (1711-1748), fut créé marquis de Bartillat d'Huriel par lettres de mars 1744, unissant à la baronnie d'Huriel les terres de Bartillat, Treignat, etc. Le nouveau marquis de Bartillat, sgr de Laage, Villot, Maussat, gendre de M. Pouyvet de la Blinière, obtient la même année (1744) l'agrément du régiment de dragons de Nicolaï, qu'il avait acheté pour 120 000 £. Mais il mourut quatre ans plus tard à Digne le 10 sept 1748, âgé de 37 ans, faisant perdre à sa famille le prix du régiment[18]. Son fils, Louis-François-Jules, fut colonel et maréchal de camp, émigra et mourut à Trèves en 1792. Son fils Armand semble avoir résidé à Saint-Martinien et fut confirmé marquis en 1826[19].

À la Révolution, les anciennes paroisses de Neuvéglise et de Saint-Christophe ont fusionné avec Huriel.

Au siècle dernier, un grand vignoble constituait la principale richesse de la commune d'Huriel et la quasi-totalité de la population vivait de la vigne, qui couvrait alors 1 200 hectares. En 1886, le phylloxéra a ravagé la vigne et, aujourd'hui, seuls une dizaine d'hectares subsistent, qui font partie du vignoble de la région de Montluçon.

Depuis la quasi-disparition de la vigne, la population d'Huriel est devenue essentiellement ouvrière et agricole. Il ne reste qu'un seul viticulteur professionnel, au domaine du Champ de la Ronde.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1892 1908
(démission)
Charles Sauvanet[20] POF puis SFIO Négociant
Député de l'Allier (1893 → 1902)
1908 ? Pierre Sauvanet[21] SFIO  
1947 1977 Émile Chabridon[22] SFIO puis PS Professeur puis directeur de CEG
Suppléant du député Jean Nègre (1962 → 1968)
1983 1992
(décès)
Paul Micheau    
1992 juin 1995 Maurice Desgranges    
juin 1995 mai 1998 René Lambré    
mai 1998 mars 2008 Jane Galleazzi PS Directrice d'école
Conseillère régionale d'Auvergne (2004 → 2010)
mars 2008 mars 2014 Gérard Bouricat PS  
mars 2014 En cours
(au )
Stéphane Abranowitch[23] DVD Chef d'entreprise
Réélu en [24]
Conseiller départemental depuis 2021

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 2 600 habitants[Note 3], en diminution de 3,06 % par rapport à 2015 (Allier : −1,97 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3311 4281 8402 2602 4072 7302 9182 8112 842
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6992 7602 9883 0263 0203 0323 1073 1202 912
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 9212 8632 8352 4332 3742 2752 1552 2162 209
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 2542 2372 1472 3472 6062 3772 4502 4602 663
2017 2021 - - - - - - -
2 6462 600-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Au recensement de 2012, Huriel est la 20e commune du département[29] et la 84e de la région d'Auvergne[30] en nombre d'habitants. Par rapport au recensement de 2007, la commune a enregistré un gain de 203 habitants, 3e ex æquo avec Abrest[29].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population[modifier | modifier le code]

En 2011, le revenu fiscal médian par ménage s’élevait à 28 231 , ce qui plaçait Huriel au 19 151e rang des communes de plus de 49 ménages en métropole[31].

Emploi[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces : village d'artistes[modifier | modifier le code]

Depuis 2006, le village accueille des artistes et artisans d'art, sous l'impulsion de la communauté de communes[32].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Monuments et patrimoine bâti[modifier | modifier le code]

Huriel offre au visiteur un patrimoine d'un intérêt historique et architectural certain. La commune possède sur son territoire deux monuments remarquables :

  • l'église romane Notre-Dame d'Huriel[33] du XIe siècle, jadis siège d'un prieuré bénédictin. Le prieuré dépendait de la riche et puissante abbaye clunisienne de Déols, en Berry. L'architecture soignée de l'église mêle les influences berrichonnes (secretariae, passages berrichons, nef charpentée), auvergnates (clocher octogonal qui rappelle ceux des églises romanes majeures) et limousines (cordons de billettes qui courent autour des baies). Elle est classée monument historique depuis 1862 ;
Le donjon de la Toque.
  • plus connu sous le nom populaire de « la Toque »[34],[35], en raison de son ancienne toiture en forme de toque pointue, le donjon roman d'Huriel à contreforts plats de 10 × 12 m de côté et haut de 33 m[36] est l'un des donjons quadrangulaires français, au même titre que ceux de Montrichard, Beaugency ou Loches. Vestige de l'ancien château des seigneurs, entouré de fossés jusqu'au milieu du siècle dernier, il est entièrement construit en blocs de granit régional. Quatre campagnes de construction seront nécessaires pour parvenir à ce que sera le château d'Huriel au temps de sa splendeur (XVe – XVIe siècle). Les retraits qui soulignent les deux étages supérieurs correspondent peut-être à des campagnes différentes. Au XVe siècle on perce sur les faces est et sud des fenêtres à croisées. Au XIXe siècle est accolée sur la face nord une tourelle carrée d'escalier. Il subsiste deux tours d'angles du XVe siècle sur quatre, reliées entre elles par des courtines, d'une enceinte extérieure[36]. Ayant essentiellement une vocation défensive, le château est laissé à l'abandon jusqu'en 1879 quand il est racheté par la commune. Il est classé monument historique depuis 1885 et abrite aujourd'hui un musée. Le musée comprend une salle présentant l'histoire des seigneurs d'Huriel et des salles rappelant le passé viticole de la ville ;
  • le pont de Courtioux, sur le Bartillat, est un pont médiéval à deux arches et sans parapet, appelé erronément « pont romain ».

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

  • Le musée d'Huriel, dans la Toque, retrace l'histoire locale et la tradition viticole de la commune.

Maison des sciences d'Huriel[modifier | modifier le code]

La maison des sciences d'Huriel est un lieu dans lequel on peut venir réaliser des expériences et découvrir des phénomènes dans les mathématiques, l'électricité, la mécanique, l'optique, l'acoustique, l'informatique… Parmi les expériences, on peut créer des étincelles avec une lime, des images de synthèse, des ombres chinoises, réaliser un aimant avec de l'électricité…

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Huriel Blason
3 gerbes de blé ou brosses d'or liées de gueule sur fond d'azur
Détails
Ce sont celles de la famille de Brosse, seigneurs d'Huriel, armes parlantes qui représentent des fagots de broussaille, brosse désignant étymologiquement un lieu planté de broussaille. (Armorial des maisons d'Europe)

Sport[modifier | modifier le code]

La commune est balisée pour les randonnées pédestres, en VTT et avec des ânes.

Equipements sportifs[modifier | modifier le code]

  • salle des sports ;
  • stade.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Pierre Pizon, Huriel, Moulins, Crépin-Leblond, 1945, 131 p., ill.
  • Pierre Pizon, La Toque d'Huriel, Yzeure, 1984, 86 p.
  • Abbé Duteil, Huriel, pages d'histoire locale, éd. Dechaud, 2011.
  • Bernard Duplaix, Sur les chemins du pays d'Huriel, éd. La Bouinotte, 2015.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. https://www.habitants.fr/allier-03
  2. Huriel sur Lion 1906
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Huriel et Montluçon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Montluçon », sur la commune de Montluçon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Montluçon », sur la commune de Montluçon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Jeanine Berducat, Christophe Matho, Guylaine Brun-Trigaud, Jean-Pierre Baldit, Gérard Guillaume (collectif), Patois et chansons de nos grands-pères Marchois (Haute-Vienne, Creuse, pays de Montluçon), Paris, Éditions CPE, 2010.
  16. « Atlas sonore des langues régionales de France - Zone du Croissant », sur atlas.limsi.fr ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, .
  17. Acte reçu Galloys et Gigault, notaires. Jean-Pierre Babelon, Nouveaux hommages, 1982, tome 2, no 1149.
  18. Voir Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, tome XVI, p. 237-258 ; "les dix premiers degrés sont de pure fantaisie", selon Woelmont ; les états de service du marquis y sont détaillés.
  19. Lettres patentes du 26 avril 1826, avec majorat sur "la terre de Bartillat". Voir Woelmont de Brumagne, Notices généalogiques, tome 5 (1927), p. 619-623.
  20. Notice SAUVANET Charles, Pierre , version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 30 novembre 2010
  21. Notice SAUVANET Pierre , version mise en ligne le 30 mars 2010, dernière modification le 30 mars 2010
  22. Notice CHABRIDON Émile, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 13 août 2015
  23. Liste des maires de l'Allier [PDF], sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de l'Allier, 8 avril 2014 (consulté le 9 juin 2014).
  24. « Stéphane Abranowitch réélu pour un deuxième mandat de maire à Huriel (Allier) », La Montagne, (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. a et b « Recensement : quelles communes de l'Allier ont gagné le plus d'habitants ? », sur La Montagne, (consulté le ).
  30. « Recensement : quelles communes d'Auvergne ont gagné le plus d'habitants ? », sur La Montagne, (consulté le ).
  31. [zip] Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011, Insee.
  32. Pablo Aiquel, « Comment se forger une identité de village d'artistes et d'artisans d'art », La Gazette,‎ .
  33. « Église Notre-Dame », notice no PA00093123, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Yves Bruand, Le château de Bourbon-l'Archambault, dans Congrès archéologique de France. 146e session. Bourbonnais. 1988, p. 265-272, Société française d'archéologie, Paris, 1991
  35. « Ancien château fort dit « La Toque » », notice no PA00093122, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. a et b Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 46 (cf. Huriel).
  37. MémorialGenWeb.org - Huriel : monument aux morts
  38. Source :Les fusillés de la Grande Guerre et la mémoire collective (1914-1999), Nicolas Offenstadt, Odile Jacob, 1999, p. 85.