Buthiers (Seine-et-Marne)

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Buthiers
Buthiers (Seine-et-Marne)
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté de communes Pays de Nemours
Maire
Mandat
Christophe Chamoreau
2020-2026
Code postal 77760
Code commune 77060
Démographie
Gentilé Butherrois
Population
municipale
749 hab. (2021 en augmentation de 1,22 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 17′ 17″ nord, 2° 25′ 53″ est
Altitude Min. 70 m
Max. 122 m
Superficie 19,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fontainebleau
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Buthiers
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Buthiers
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Buthiers
Liens
Site web buthiers.fr

Buthiers est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

En 2021, elle compte 749 habitants.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
Localisation dans le département de Seine-et-Marne.
Localisation dans le département de Seine-et-Marne.
1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes ; 5 : localisation dans le département de Seine-et-Marne.

La commune de Buthiers se situe au sud-ouest du département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[1], à la limite du département du Loiret. Buthiers fait partie du parc naturel régional du Gâtinais français.

Elle se situe à 39,29 km par la route[Note 1] de Melun[2], préfecture du département et à 27,76 km de Fontainebleau[3], sous-préfecture. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Malesherbes[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Le Malesherbois (2,1 km), Boulancourt (3,2 km), Nanteau-sur-Essonne (3,4 km), Augerville-la-Rivière (3,9 km), Rumont (5,6 km).

Communes limitrophes de Buthiers (Seine-et-Marne)
Nanteau-sur-Essonne Boissy-aux-Cailles
Le Malesherbois
(Loiret)
Buthiers (Seine-et-Marne) Amponville
Boulancourt Rumont

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord de la région naturelle du Gâtinais.

Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)[5],[6].

Géologie de la commune de Buthiers selon l'échelle des temps géologiques[5],[6].
Ères Périodes géologiques Époques géologiques Nature des sols
Cénozoïque Quaternaire Holocène
X : Dépôts anthropiques, remblais.
CE : Colluvions polygéniques éboulis.
CF : Colluvions de versant et de fond de vallon.
LP : Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
T : Zones tourbeuses au sein des alluvions récentes.
Fz : Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement.
Pléistocène
Néogène Pliocène non présent.
Miocène
m1MG : Molasse du Gâtinais, Marnes vertes de Neuville-sur-Essonne (Loiret).
Paléogène Oligocène
g1CE : Calcaire d'Étampes, meulières, marnes, calcaires du Gâtinais.
g1GF : Grès de Fontainebleau en place ou remaniés (grésification quaternaire de sables stampiens dunaires).
g1SF : Sables de Fontainebleau, accessoirement grès en place ou peu remanié (versant).
Éocène non présent.
Paléocène non présent.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Buthiers.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :

  • la rivière Essonne, longue de 101,10 km[7], ainsi que :
    • un bras de l'Essonne de 0,53 km[8] ;
    • un bras de l'Essonne de 0,81 km[9] ;
    • un bras de l'Essonne de 1,46 km[10].

Elle marque la limite ouest de la commune.

Sa longueur totale sur la commune est de 2,72 km[11].

Gestion des cours d'eau[modifier | modifier le code]

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[12].

La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés », approuvé le . Le territoire de ce SAGE couvre deux régions, six départements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[13]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte du pays Beauce Gâtinais en Pithiverais, qualifié de « structure porteuse »[14].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[16].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 668 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boigneville à 7 km à vol d'oiseau[17], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 615,6 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[21],[22]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional du Gâtinais français, créé en 1999 et d'une superficie de 75 567 ha. D’une grande richesse en termes d’habitats naturels, de flore et de faune, il est un maillon essentiel de l’Arc sud-francilien des continuités écologiques (notamment pour les espaces naturels ouverts et la circulation de la grande faune)[23],[24].

La réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », un espace protégé créé en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha, est également présente sur la commune. Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[25],[26],[27],[28].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[29].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[30] :

  • la « Haute vallée de l'Essonne », d'une superficie de 971 ha, un ensemble écologique de grande importance à l’échelon du bassin parisien. Cette entité est constituée de milieux humides remarquables résultants de l’évolution de bas marais alcalins[31],[32] ;

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Buthiers comprend cinq ZNIEFF de type 1[Note 3],[33] :

  • les « Bois de la Fontaine Saint-Agnan, Bel-Air, la Garenne de Boucleaux et vallée Poirette » (188,79 ha), couvrant 2 communes du département[34] ;
  • le « Bois Picard » (279,91 ha)[35] ;
  • le « Marais de Buthiers » (37 ha)[36] ;
  • la « Platière de la vallée Aux Noirs » (28,67 ha)[37] ;
  • le « Pont de Roncevaux » (1,37 ha)[38] ;

et un ZNIEFF de type 2[Note 4],[33], la « vallée de l'Éssonne de Buthiers à la Seine » (5 102,19 ha), couvrant 29 communes dont 1 dans le Loiret, 4 en Seine-et-Marne et 24 dans l'Essonne[39].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Buthiers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[40],[41],[42].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[43],[44].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,7% ), forêts (38,4% ), zones agricoles hétérogènes (7,8% ), mines, décharges et chantiers (3,1% ), zones urbanisées (3 %)[45].

Occupation des sols en 1990 et 2018[45].
Type d’occupation 1990 2018 Bilan
Territoires artificialisés
(zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
83,68 ha 4,27 % 119,99 ha 6,12 % 36,31 ha en augmentation
Territoires agricoles
(terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes)
1 102,40 ha 56,22 % 1 087,29 ha 55,45 % −15,11 ha en diminution
Forêts et milieux semi-naturels
(forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation)
774,88 ha 39,52 % 753,69 ha 38,43 % −21,20 ha en diminution

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[46],[47],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

Planification[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Nemours Gâtinais, approuvé le et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Nemours-Gâtinais[48].

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[49]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Carte du cadastre de la commune de Buthiers.

Buthiers comporte trois hameaux : Herbeauvilliers (absorbé par Buthiers le ), Auxy et Roncevaux.

La commune compte 112 lieux-dits administratifs[Note 7] répertoriés consultables ici[50] (source : le fichier Fantoir) dont la Roche-aux-Loups (dolmen).

Logement[modifier | modifier le code]

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 447 dont 98,6 % de maisons et 1,1 % d'appartements[Note 8].

Parmi ces logements, 72,6 % étaient des résidences principales, 17,2 % des résidences secondaires et 10,3 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 85,7 % contre 11,8 % de locataires et 2,5 % logés gratuitement[51].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Plusieurs routes départementales relient Buthiers aux communes voisines :

  • la D 103, vers le sud-est en direction de Rumont ;
  • la D 103e, vers le nord en direction de Boissy-aux-Cailles ;
  • la D 152, vers l'ouest en direction du Malesherbois et vers l'est en direction de Boissy-aux-Cailles ;
  • la D 410, vers l'ouest en direction du Malesherbois et vers le sud en direction de Boulancourt.

Transports[modifier | modifier le code]

La gare d'Herbeauvilliers.

La commune est desservie par trois lignes d'autocars :

La ligne de Bourron-Marlotte - Grez à Malesherbes traverse la commune de Buthiers d'est en ouest. Cette ligne, non exploitée entre les gares de Bourron-Marlotte - Grez et de La Chapelle-la-Reine, reste exploitée en trafic fret entre cette gare et celle de Malesherbes pour le transport de sable en provenance de diverses carrières situées à proximité de la ligne. La gare d'Herbeauvilliers, situé sur le territoire de Buthiers, est fermée au trafic voyageurs depuis le .

Toponymie[modifier | modifier le code]

Ses habitants sont appelés les Butherrois.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Buters en 1165[52] ; Buteriae en 1220[53] ; Butiers en 1518[54] ; Buttiers en 1594[55] ; Buttier vers 1770, Buthiers vers 1828[réf. nécessaire].

Le toponyme est issu du gaulois buria, « cabane en pierre » pour protéger le bétail[56] ou du nom de personne germanique Botthar pris absolument[57].

Histoire[modifier | modifier le code]

Des polissoirs préhistoriques sur des roches sont visibles au-dessus de l'observatoire[réf. nécessaire].

En 2005, un squelette du Néolithique (5000 av. J.-C.) ayant subi une amputation (avec cicatrisation) de l'avant-bras gauche fut découvert[58]. Sur le même site, une autre sépulture datant de 4900-4600 av. J.C. (fin du Néolithique) a été découverte, accompagnée d’un dépôt funéraire comprenant une carapace de tortue et plusieurs pièces lithiques[59].

Un sarcophage en pierre avec les ossements d'un adulte et d'un enfant fut mis au jour dans une propriété de la rue des Larry, en contrebas de l'église. Il serait de la période du Moyen Âge[évasif].

La paroisse de Buthiers était du ressort de l’évêché de Sens, rattaché administrativement à l'élection de Pithiviers et à la généralité d'Orléans, et dépendait de la Seigneurie de Malesherbes, jusqu'en 1790.

Auxy et la paroisse d'Herbeauvilliers dépendaient de l'Abbaye de Montmartre.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[60]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800   Denis Chauveau    
1830   François Deneuville    
1837   Parnageon    
1840   Eugène Bizouarne    
1844   François Deneuville    
1867   Eugène Bizouarne    
1877   François Deneuville    
1878   Alexandre Henault    
1888   Étienne Douine    
1892   Pierre Bizouarne    
1895   Étienne Douine    
1900   Nestor Douine    
1905   Eugène Denis Chauveau    
1930   Chaillet    
1940   Camille Paillet (f.f.)    
1941   Émile Bougon   Exploitant agricole
1953 décès en 1954 Varennes    
1954   René Grison   Exploitant agricole
1971   Robert Debord   Instituteur
1983   Robert Benoist   Exploitant agricole
1995   Martial Bercher   Exploitant agricole
mars 2001   Sylvie Jory    
mars 2014 mai 2020 Jean-Yves Lacroix DVG Professeur de philosophie
mai 2020[61] En cours
(au 8 juillet 2020)
Christophe Chamoreau   Vice-président délégué de la CC Pays de Nemours (2020 → )

Liste des maires d'Herbeauvilliers 1789-1841[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[réf. nécessaire]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1793 1830 Antoine Duguet    
1830 1841 Philippe Adrien Chavaneau    

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [62],[63].

Assainissement des eaux usées[modifier | modifier le code]

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Buthiers est assurée par le SME de la région de Buthiers pour la collecte et le transport[64],[65],[66].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[67]. Le SME de la région de Buthiers assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[64],[68].

Eau potable[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SME de la région de Buthiers qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [64],[69].

Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. À cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Beauce[70].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[71]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[72].

En 2021, la commune comptait 749 habitants[Note 9], en augmentation de 1,22 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
204218200229287275448386444
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
460457445500448515601548534
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
516529535485501578519531525
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
547548529562668645737750757
2017 2021 - - - - - - -
730749-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[73] puis Insee à partir de 2006[74].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports[modifier | modifier le code]

L'île de loisirs de Buthiers offre de multiples activités.

Équipements culturels[modifier | modifier le code]

Une médiathèque avec bibliothèque permet l'emprunt de livres, CD, DVD. Avec l'ancien four à pain communal en état de fonctionnement.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Du 30 mars au 1er avril (compris) : grande compétition de VTT trial.

Économie[modifier | modifier le code]

  • Sablière : exploitation du sable de Fontainebleau par la SAMIN, utilisé pour la verrerie. Le sable est transporté par train.

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 328, représentant 767 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 630 euros[75].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 129, occupant 316 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 70,9 % contre un taux de chômage de 5,2 %. Les 23,9 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,1 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 10,2 % de retraités ou préretraités et 5,7 % pour les autres inactifs[76].

Secteurs d'activité[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 45 dont 3 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 8 dans la construction, 8 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans l’Information et communication, 1 dans les activités financières et d'assurance, 1 dans les activités immobilières, 12 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 3 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 7 étaient relatifs aux autres activités de services[77].

En 2020, 4 entreprises individuelles ont été créées sur le territoire de la commune.

Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[78].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Buthiers est dans la petite région agricole dénommée le « Gâtinais », à l'extrême sud-ouest du département, s'étendant sur un large territoire entre la Seine et la Loire sur les départements du Loiret, de Seine-et-Marne, de l'Essonne et de l'Yonne[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 10] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[79].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[80]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 10 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 62 ha en 1988 à 211 ha en 2010[79]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Buthiers, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Buthiers entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[79],[Note 11]
Nombre d’exploitations (u) 10 5 4
Travail (UTA) 16 7 6
Surface agricole utilisée (ha) 621 778 844
Cultures[81]
Terres labourables (ha) 618 778 844
Céréales (ha) 502 537 541
dont blé tendre (ha) 229 213 281
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 91 s
Tournesol (ha) s s s
Colza et navette (ha) 20 s 137
Élevage[79]
Cheptel (UGBTA[Note 12]) 7 1 0

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Maur-et-Sainte-Fare.
Clocheton de la Roche aux Amis, reconstruit en 2001.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Dolmen de la Roche aux Loups, classé au titre des monuments historiques depuis le 26 novembre 1973[82].
  • Église Saint-Maur-et-Sainte-Fare, XIe et XIIe siècle, située au bord du plateau, isolée du village.
  • Église Saint-Laurent, située dans le hameau d'Herbeauvilliers, XVe siècle.
  • Vallée de l'Essonne.
  • Massif de Buthiers-Malesherbes, magnifique ensemble de rochers, où l'on peut faire de l'escalade, de la varappe et de très belles promenades.
  • Abri orné de la grotte de Chateaubriand.
  • L'île de loisirs de Buthiers, hébergeant le centre d'astronomie Jean-Marc Salomon. En 2001, la base de loisirs acheva la reconstruction du clocheton de la Roche aux Amis, qui fut longtemps le symbole des bois de Buthiers[83].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Robert Doisneau (1912-1994), photographe français, a habité à Buthiers. La salle polyvalente porte son nom.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Buthiers », p. 142–143
  • Lucien Jouannon, « Monographie communale » 1889, Archive Départementale: cote 30 Z 51.
  • Jean-Luc France, « La ligne Filay-Bourron », Le Passé Présent, no 9, 10, 11 (1998, 1999, 2000), publié par l'association "Les Amis du patrimoine de La Chapelle-La-Reine".
  • Jean-Luc France, « Autour du clocheton retrouvé », Le Passé Présent, no 12 (2001), publié par l'association "Les Amis du patrimoine de La Chapelle-la-Reine".
  • Roland Garnier, « Devis, adjudication et réception de travaux publics en 1825 », Le Passé Présent, no 4 (1993), publié par l'association "Les Amis du patrimoine de La Chapelle-la-Reine".
  • Maurice Veillard, « Le Gant », Le Passé Présent, no 14 (2003), publié par l'association "Les Amis du patrimoine de La Chapelle-la-Reine".
  • Jean-Luc France, « BUTHIERS », Histoire, Mémoire et Patrimoine de Buthiers, (2022).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  8. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  10. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  12. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
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  2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
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Références[modifier | modifier le code]

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