Harponville

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Harponville
Harponville
L'église et le monument aux morts.
Blason de Harponville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC du Pays du Coquelicot
Maire
Mandat
Christophe Lemaitre
2020-2026
Code postal 80560
Code commune 80420
Démographie
Gentilé Harponvillois
Population
municipale
174 hab. (2021 en diminution de 9,37 % par rapport à 2015)
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 02′ 10″ nord, 2° 30′ 11″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 147 m
Superficie 2,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Albert
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Harponville
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Harponville
Liens
Site web https://harponville

Harponville est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce village rural picard est situé entre Amiens et Arras, sur le versant nord de la vallée de l'Hallue.

Au lieu-dit la Hayette, en 1897, se trouve le seul écart communal, à 500 mètres du chef-lieu, constitué d'une seule maison[1].

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Toutencourt Varennes Rose des vents
N
O    Harponville    E
S
Vadencourt Warloy-Baillon

Hydrographie[modifier | modifier le code]

« A Harponville, é bête et méchant, mais l'ieu ale coule in montant » (A Harponville, c’est bête et méchant mais l'eau coule en montant).

Face au village, se trouve une vallée sèche secondaire de l'Hallue. En 1897, une nappe située à 30 mètres de profondeur alimente les neuf puits du village. Les habitants recueillent l'eau de pluie dans des citernes[1].

La couche végétale est peu épaisse. Au nord et à l'est, elle est formée de terres argileuses mais se révèle plutôt calcaire au sud et à l'ouest. Le sous-sol est constitué de marnes, calcaires siliceux et terres glaises[1]. Cette devise s’explique par la présence de la mare en haut du village alors que l’ensemble du territoire est en pente du nord vers le sud.

Relief[modifier | modifier le code]

Au niveau topographique, se remarquent, au nord, une petite vallée assez encaissée appelée vallée Madame et au sud-ouest, une zone boisée appelée bois de Longue Attente.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 798 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Méaulte à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Harponville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,3 %), zones urbanisées (8,9 %), forêts (1,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Dès 1190, Arponville est relevé. Au XIVe siècle, Harmonville en est une version dérivée. Ces toponymes pourraient découler de village au pied du mont[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Des armes en pierre taillée et des monnaies gallo-romaines ont été découvertes dans le village[1].

Depuis le très haut Moyen Âge, le village d’Harponville devait être dans l'aire d'influence de l’abbaye de Saint-Riquier. À quelques centaines de mètres, se trouvait le village d’Hierville (aujourd’hui disparu) qui lui dépendait très tôt de l’abbaye de Corbie. Le « Grès bénotte » (borne de limite) semble avoir été la délimitation entre les deux zones.

Sa situation stratégique à proximité de la route Amiens - Arras a permis sa survie grâce notamment au chemin de Saint Jacques de Compostelle (Niederstrasse).

Jusqu’au XVIIe siècle, il est difficile de connaître précisément l’histoire du village. Quelques noms d'obscure noblesse apparaissent à l’occasion de l'achat de terres sur la seigneurie (de Houblières, de Rigauville).

C’est à cette époque que la famille de Raincheval achète la seigneurie en 1683. C'est aussi à partir de cette date que Harponville va être marqué par l'influence de la religion protestante ; la belle-mère de Marc François de Raincheval était protestante.

Au XVIIIe siècle, on constate des enterrements de protestants dans leur jardin. Avec l'édit de tolérance, de nombreux protestants harponvillois qui s’étaient mariés à Tournai, officialisent leur union sur l’état-civil français.

Début XIXe siècle, l'entente entre les deux religions est telle que les deux confessions décident d’un commun accord de construire un mur dans l’église pour d’un côté avoir l’église catholique et de l’autre, le temple protestant.

Il faudra l’intervention du préfet et de l'évêque en 1804 pour que ce mur soit démoli.

Le premier temple protestant du département de la Somme est construit à Harponville en 1823. Il s'agit d'un bâtiment assez sommaire en torchis.

Ce temple brûle en 1859 avec une vingtaine de maisons et un second temple (le temple actuel) est construit en 1863.

Ferdinand-François-Séraphin Hespel (1750-après 1815), écuyer, est seigneur de Wledricq puis d'Harponville à partir de 1787. Fils de Clément-Séraphin-Marie Hespel, écuyer, seigneur d'Hocron (sur Sainghin-en Weppes) , de Coisnes (sur Salomé), bourgeois de Lille, député aux États de Lille et d'Henriette-Françoise de Wazières, il est ondoyé à Lille le , baptisé le 29 septembre, effectue une carrière militaire : enseigne aux gardes wallonnes le , sous-lieutenant le , lieutenant le , chevalier de l'ordre d'Alcantara, retraité à Lille en avril 1783. Bourgeois de Lille le , reçu aux États d'Artois le , il achète cette même année le domaine, seigneurie et château d'Harponville à Charles-Michel de Vaujours de Châtillon, époux de Marie-Françoise Picquet de Dourier[15]. Il meurt à Amiens après 1815. Il a pris pour femme à Arras le , Joseph-Françoise-Hélène-Rosalie de Marbais (1760-1815), fille de Philippe-François-Eugène, écuyer, seigneur de Verval, et de Marie-Anne-Françoise de Leval. Née à Gauchin-le-Gal le , elle meurt à Amiens le [16].

Wallerand-François-Eugène Hespel (1786-1862), fils de Ferdinand-François-Séraphin, écuyer puis comte d'Hespel, est seigneur d'Harponville. Il nait à Liévin le , devient officier au service de l' Espagne et meurt à Wazemmes (Lille) le , à 76 ans. Il épouse à Lille le Émeraude-Pétronille-Méliton-Marguerite du Chastel de la Howarderie (1786-1854), (famille du Chastel de la Howarderie), fille de Ferdinand-François, comte du Chastel, et de Catherine-Adélaïde-Gille Le Brun, baptisée à Lille le , légitimée par un jugement du tribunal civil de Lille le , morte à Lille le , à 68 ans[17].

Wallerand-Ferdinand-Gustave-Eugène, comte d'Hespel d'Harponville (1813-1873), est le fils de Wallerand-François-Eugène. Il nait à Paris le , devient officier au régiment des chevau-légers de l'empereur d'Autriche François Ier en 1833, puis capitaine d'état-major au service de Don Carlos d'Espagne (Charles de Bourbon), chevalier de l'ordre de Saint Ferdinand et meurt à Paris le . Il est probablement le Gustave d'Hespel d'Harponville, vicomte, auteur en 1850 du livre La reine des Antilles; ou, Situation actuelle de l'île de Cuba[18]. Il prend pour femme à Paris le Gabrielle-Antoinette-Thécle Cortois de Charnailles, née à Paris le , fille de Didier, vicomte de Charnailles (Charnailles est un hameau de Jambles), ancien officier d'infanterie, et d'Alexandrine-Rose-Zoé de Pierrepont[17].

Ferdinand-Baudouin-Édouard, comte d'Hespel de Harponville, fils de Wallerand-Ferdinand-Gustave-Eugène, nait à Tournai le et devient militaire. Il est engagé volontaire le , effectue sa carrière en commençant en tant que soldat, devient caporal, sergent, passe par l'école militaire spéciale et devient officier. Il participe à la guerre franco-allemande de 1870 du au . Blessé légèrement par un éclat d'obus le , il est fait prisonnier le lendemain et reste en captivité jusqu'au . Il termine en tant que chef de bataillon commandant un régiment territorial d'infanterie en 1891. Il est fait chevalier de la légion d'honneur le au titre du Ministère de la Guerre. Il prend pour femme le au château de Marceley, dans le Calvados (sans doute du Marcelet sur Saint-Manvieu-Norrey) Julie-Stylite-Éveline Lebas de Courmont, née audit château en août 1856, fille de Jules-Eugène et de Styliste-Ernestine Pontas du Méril[19],[20]

Marie Hespel, comtesse d'Hespel d'Harponville, fille de Ferdinand-Baudouin-Édouard, nait au château de Marceley le . Elle y épouse le Augustin-Paul-Marie-Joseph prince de Broglie Revel (Maison de Broglie), fils du prince Raymond-Amédée-Charles et de Marie-Louise de Vidart. Né le , l'époux occupe la fonction d'officier de cavalerie[19].

En , les Prussiens tentent des réquisitions de bestiaux dans le village. Une résistance locale conduit à une intervention brutale sur la localité[1].

La guerre de 1914-1918 n’a pas trop touché le village. Un système défensif (blockhaus, tranchées) assez étendu était installé depuis le lieu-dit Bois de l’Abbaye jusqu’au Mont d’Harponville. Pour l’anecdote, on peut citer l’arrestation d'un soldat anglais pyromane qui avait provoqué l’incendie de plusieurs granges.

La Seconde Guerre mondiale est quasiment passée inaperçue. Néanmoins, il semble qu’un Harponvillois ait caché un résistant informateur pour la préparation de l’opération Jéricho sur la prison d’Amiens.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Par arrêté préfectoral du , la commune est détachée le de l'arrondissement d'Amiens pour intégrer l'arrondissement de Péronne[21].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 mai 2020[22] M. Dominique Renaud    
mai 2020[23] En cours
(au 27 mai 2020)
Christophe Lemaitre   Sapeur-pompier

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 174 habitants[Note 3], en diminution de 9,37 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
468464513538540599608574568
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
592576546479470428411373364
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
332311292245240222245201192
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
177160151150130125148155183
2018 2021 - - - - - - -
174174-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La croix à l'entrée du cimetière militaire.
  • Église de la Sainte-Trinité. Datant du XIXe siècle, ses pierres proviennent de l’ancien château d’Harponville et de l’ancienne église de l’abbaye de Clairfaye. La base de murs est constituée d'une ceinture de grès, haute d'environ un mètre.
  • Temple protestant du XIXe siècle (exposition permanente à l’intérieur).
  • École datant du XIXe siècle.
  • Ferme de l’Hayette (ancien relais de diligence de 1855).
  • Place du village, terrain de ballon au poing bordé de tilleuls avec calvaire du XIXe siècle.
  • Monument aux morts, surmonté d'une croix de guerre 1914-1918.
  • Cimetière militaire britannique[28].
  • Cimetières civils (communal et protestant).
  • Grès bénotte (au carrefour du bas du village).
  • Vue du Mont d’Harponville.
  • Granges en torchis.
  • Puits communal.
  • Chemin du Tour des Haies.
  • Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.
  • Circuit des protestants.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Tiodave Sambé Destrotilles : professeur de picard à l'université d'Amiens, chef d'entreprise en langue et culture picarde à Harponville[29] ;
  • Sam Corwynn : luthier, musicien et sorcier à Harponville[30],[31] ;
  • Véronique Vivien (1781-1869), la grognarde d'Harponville[32].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Harponville Blason
De gueules à un fer de harpon à deux crochets d'or[33].
Détails
Armes parlantes.
Quand, vers 1879, le village d'Harponville a dû reconstruire son église à la suite d'un incendie, la commune s'est dotée un blason, marquant sa participation au financement de la nouvelle construction. La commune avait choisi des armes parlantes, montrant un blason « au fer de harpon à double crochet ». Les émaux sont ceux qui colorent les armes de deux familles ayant possédé la seigneurie d'Harponville : les De Domqueur (XVIe et XVIIe siècles : d'or au chevron de gueules) et les De Raincheval (XVIIe et XVIIIe siècles : de gueules semé de billettes d'or, à un lion du même brochant)[34].

Création 1879 et projet définitif de Jacques Dulphy & Daniel Juric, adopté en .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e et f Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Choquet, 1897, archives départementales de la Somme, Amiens. Lire la notice en ligne, sur le site des archives départementales.
  2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Harponville et Méaulte », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Harponville », sur Armoiries Samariennes (consulté le )
  16. Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 7245-725, lire en ligne.
  17. a et b Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 725-726, lire en ligne.
  18. Gustave Hespel d'Harponville (vicomte d'.), La reine des Antilles; ou, Situation actuelle de l'île de Cuba: précis topographique et statistique, histoire, géographie, agriculture, commerce, administration et mœurs, Gide et Baudry, (lire en ligne)
  19. a et b Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 726-727, lire en ligne.
  20. « Recherche - Base de données Léonore » (Dossier LH//1297/97), sur www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le )
  21. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur prefectures-regions.gouv.fr, (consulté le ).
  22. « Dominique Renaud ne se représentera pas aux Municipales d’Harponville », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Dominique Renaud, maire pendant 38 ans, ne sera pas candidat à sa réélection en mars. Retraité, âgé de 72 ans, l’édile assume pleinement sa décision ».
  23. « Christophe Lemaitre nouveau maire d’Harponville », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté en ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. (en) Site avec photos et mention du nombre de combattants inhumés
  29. http://grebenote.com Chroniqueur d'actualités sur le web en langue picarde http://nomdezeu.over-blog.fr
  30. http://cor-wynn.com Jardinier en permaculture à Harponville http://cor-wynn.com/atelier/pimpmingardin/
  31. « Le luthier militant des sons picards ».
  32. Jacques Dulphy, « Véronique Vivien, la grognarde d'Harponville », Courrier picard,‎ , p. 40.
  33. « 80420 Harponville (Somme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  34. « Le village a enfin son blason », Courrier picard,‎ , p. 22D.