Hardricourt

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Hardricourt
Hardricourt
Le château des Tourelles.
Blason de Hardricourt
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Yann Scotte
2020-2026
Code postal 78250
Code commune 78299
Démographie
Gentilé Hardricourtois
Population
municipale
2 480 hab. (2021 en augmentation de 16,76 % par rapport à 2015)
Densité 756 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 00′ 32″ nord, 1° 53′ 40″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 118 m
Superficie 3,28 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Mureaux
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Liens
Site web hardricourt.fr

Hardricourt est une commune française du département des Yvelines en région Île-de-France, située sur la rive droite de la Seine à 15 km à l'est de Mantes-la-Jolie et à 20 km à l'ouest de Poissy.

Ses habitants sont les Hardricourtois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation d'Hardricourt dans les Yvelines.

Situation[modifier | modifier le code]

Hardricourt est une commune bordée par la Seine d'une part, riveraine du parc naturel régional du Vexin français d'autre part. Située sur la rive droite du fleuve, dans le nord du département des Yvelines, au cœur de la seine aval en limite du Val-d'Oise, à 15 km environ à l'est de Mantes-la-Jolie, sous-préfecture, et à 32 km environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département.

La commune est limitrophe de Meulan-en-Yvelines à l'est, de Mézy-sur-Seine à l'ouest, de Gaillon-sur-Montcient au nord-est et de Seraincourt (Val-d'Oise) au nord-ouest. Au sud, elle est séparée des Mureaux par la Seine (toutefois l'île séparant la Seine en deux bras à cet endroit est rattachée à la commune de Meulan-en-Yvelines).


Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal longe la rive droite de la Seine sur environ 1 km, le long du bras de Mézy[1], qui sépare la rive nord de l'île Belle.

La commune est également irriguée par l'Aubette[2], petite rivière de 20 km de long, grossie de la Montcient[3], ruisseau de 11 km, prenant tous deux leur source dans le Vexin français.

La commune est concernée par les risques d'inondations liés aux crues de la Seine dans la frange sud du territoire, le long de la Seine, et dans la frange est, le long du cours de l'Aubette et de la Montcient. Dans le cadre du « plan de prévention des risques d’inondation (PPRI) de la vallée de la Seine et de l'Oise, les zones inondables ont été classées en zone verte, rouge clair ou bleue selon l'importance de l'exposition aux risques d'inondation. Les zones vertes, très exposées et peu urbanisées ou restées à l'état naturel voient leur urbanisation interdite pour préserver le champ d’expansion de crue de la Seine, dans les zones rouge clair également exposées mais déjà urbanisées, toute nouvelle urbanisation est interdite, mais l'entretien et le renouvellement des installations existantes sont autorisés. Les zones bleues moins exposées mais également urbanisées sont soumises à des restrictions d'urbanisation, de nouvelles constructions pouvant être autorisées sous conditions[4].

Territoire[modifier | modifier le code]

Occupation des sols en 2008.
Type d'occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 24,9 % 83,63
Espace urbain non construit 16,4 % 55,12
Espace rural 58,8 % 197,68
Source : Iaurif

Le territoire communal est resté majoritairement rural, à près de 60 %, tandis que l'espace urbain construit représente un peu un quart de la superficie totale. L'espace urbain non construit qui recouvre surtout des espaces verts publics ou privés représente 16,4 % du total, proportion relativement importante qui inclut, dans le nord-ouest de la commune, environ 23 ha occupés par le terrain de golf de Seraincourt[5].

Infrastructures[modifier | modifier le code]

Hardricourt est desservie par la ligne ferroviaire Paris-Saint-Lazare-Mantes-la-Jolie via Conflans-Sainte-Honorine (gare de Meulan - Hardricourt).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 678 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maule à 11 km à vol d'oiseau[8], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Hardricourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[15] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18],[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Hartdicurt en 1164, Hadricuria en 1249 [20], il dériverait de Hardrich ou Halidrich et du latin cortem (domaine) : « domaine de Hardri »[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

Marie-Bernardine Hennot du Rozel, dame de Barneville, d'Ecausseville et du Rozel épouse le Jérôme (alias Jean)-Frédéric Bignon (1747-1784), seigneur d'Hardricourt, et du Rozel, avocat, conseiller au Parlement (2e chambre des enquêtes), bibliothécaire du roi en 1770 à la suite de la démission de son père. Il fait achever le salon où sont exposés les globes de Vincenzo Coronelli. Membre de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres en 1781, et acquéreur du château du Plessis-Piquet en 1776[22].

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

  • Construction de la ligne de chemin de fer et de la gare de Meulan-Hardricourt en 1892.

XXe siècle[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 mars 2014 André Cassagne[24] RPR puis UMP Ingénieur retraité
Conseiller général du canton de Meulan (1994 → 2008)
mars 2014 En cours Yann Scotte LR Cadre supérieur
Conseiller départemental du canton des Mureaux (2015 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026

Instances administratives et judiciaires[modifier | modifier le code]

La commune d'Hardricourt appartient au canton de Meulan-en-Yvelines et est rattachée à la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise. Elle est aussi incluse dans le territoire de l'opération d'intérêt national Seine-Aval[25].

Sur le plan électoral, la commune est rattachée à la septième circonscription des Yvelines (UMP), circonscription à dominante rurale du nord-ouest des Yvelines,

Sur le plan judiciaire, Hardricourt fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que du tribunal de commerce sis à Versailles[26],[27].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 2 480 habitants[Note 3], en augmentation de 16,76 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
266270247220243226218240211
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
236225252239232234255290434
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
5606586836788559221 0491 2311 327
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 4021 4311 6361 5681 9891 9181 9351 9262 090
2014 2019 2021 - - - - - -
2 0592 4952 480------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,6 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 147 hommes pour 1 245 femmes, soit un taux de 52,05 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,0 
4,8 
75-89 ans
6,4 
14,4 
60-74 ans
15,8 
21,6 
45-59 ans
18,9 
19,2 
30-44 ans
19,0 
18,6 
15-29 ans
18,7 
20,7 
0-14 ans
20,2 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Économie[modifier | modifier le code]

  • Agriculture
  • Industrie (notamment chocolaterie Cacao Barry, filiale de Barry Callebaut, qui produisait annuellement 60 000 tonnes de chocolat) : l'entreprise Barry Callebaut est le 1er groupe mondial dans ce domaine[34],[35].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monument historique[modifier | modifier le code]

Église Saint-Germain-de-Paris.

Hardricourt ne compte qu’un seul monument historique sur son territoire.

  • Église Saint-Germain-de-Paris, rue de la Chesnaye (classée monument historique par liste de 1875[36]) : C'est un édifice de dimensions restreintes, qui s'organise autour d'un noyau de deux travées de style roman tardif du second quart du XIIe siècle, non visibles depuis l'extérieur. L'une est la base du clocher, l'autre la première travée du chœur. Elles possèdent deux parmi les voûtes d'ogives les plus anciennes du Vexin français, qui affichent déjà un tracé en tiers-point assez prononcé. Les deux chapelles latérales et l'abside au chevet en hémicycle ont perdu tout caractère depuis leur reconstruction à l'époque moderne. La nef unique est également de faible intérêt, mais possède néanmoins une belle charpente lambrissée, et quatre grandes arcades bouchées au nord, qui datent également du second quart du XIIe siècle, et constituent les derniers vestiges de l'ancien bas-côté nord. Leur valeur archéologique réside dans le fait qu'elles représentent l'une des premières occurrences de grandes arcades retombant sur des piliers monocylindriques isolés, qui deviendront caractéristiques de très nombreuses églises gothiques de la région. L'élément le plus remarquable de l'église est toutefois son clocher roman, qui est une construction élégante et soignée, coiffée d'une flèche de pierre élancée un peu plus tardif[37].

Autres éléments du patrimoine[modifier | modifier le code]

  • Le château d'Hardricourt, construit au XIXe siècle, est entouré d'un parc d'un hectare.
  • Le château des Tourelles, entouré d'un parc de quatre hectares contigu au précédent, abritait autrefois la mairie.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes d'Hardricourt

Les armes d'Hardricourt se blasonnent ainsi :

D'argent au chevron de sable, entouré de trois canettes du même, à la bordure de gueules chargée de huit fleurs de lys d'argent.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Marcel Lachiver, Vivre à Hardricourt il y a trois siècles : 1651-1800, Hardricourt, mairie d'Hardricourt, 2004

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche cours d'eau - Bras de Mézy (H30-4601) », Sandre (consulté le ).
  2. « Fiche cours d'eau - L'Aubette (H3010600) », Sandre (consulté le ).
  3. « Fiche cours d'eau - La Montcient (H3018000) », Sandre (consulté le ).
  4. « Plan de Prévention des Risques d’Inondation de la vallée de la Seine et de l'Oise - Département des Yvelines -Notice de présentation », Préfecture des Yvelines, (consulté le ).
  5. « Occupation du sol détaillée en 2008 - Hardricourt », Iaurif (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Hardricourt et Maule », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  21. Pierre-Henri Billy - Origine des noms des villes et des villages de France - Page 142.[réf. incomplète].
  22. Généalogie des Bignon, Racines histoire, p. 7
  23. Virginie Wéber, Le Parisien, Hardricourt : Barry Callebaut, c’est 175 ans d’histoire du chocolat, 4 juin 2017
  24. « La liste des maires - "Troisième tour" des municipales », Le Courrier de Mantes,‎ .
  25. « Les communes et les intercommunalités du territoire de l’OIN Seine Aval », Epamsa (consulté le ).
  26. « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  27. « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Hardricourt (78299) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  34. Le site de Barry Callebaut.
  35. « Cacao Barry ne connaît pas la crise », Le Parisien,‎ (lire en ligne).
  36. « Église Saint-Germain-de-Paris », notice no PA00087451, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Eugène Lefèvre-Pontalis, « Notice archéologique sur l'église de Hardricourt », Commission des antiquités et des arts du département de Seine-et-Oise, Versailles, vol. 5,‎ , p. 103-107 (lire en ligne).
  38. https://www.lefigaro.fr/sports/football/le-gardien-de-but-du-psg-alexandre-letellier-sequestre-et-cambriole-chez-lui-avec-sa-famille-20231219