Ham (Somme)
Ham | |
Hôtel de ville de Ham avec statue du Général Foy | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Hauts-de-France |
Département | Somme |
Arrondissement | Péronne |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays Hamois |
Maire Mandat |
Grégory Labille 2014-2020 |
Code postal | 80400 |
Code commune | 80410 |
Démographie | |
Gentilé | Hamois |
Population municipale |
4 717 hab. (2014) |
Densité | 497 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 44′ 50″ nord, 3° 04′ 25″ est |
Altitude | Min. 57 m Max. 84 m |
Superficie | 9,5 km2 |
Élections | |
Départementales | Ham (chef-lieu) |
Localisation | |
Liens | |
Site web | ville-ham.fr |
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Ham est une commune française située dans le département de la Somme, en région Picardie.
Ses habitants s'appellent les Hamois[1]. Ham est le siège de la Communauté de communes du Pays Hamois.
Géographie
Localisation
Ham est située aux confins du Vermandois, du Santerre et du Noyonnais, à la limite est du département de la Somme avec celui de l'Aisne et sud-est avec celui de l'Oise. La ville est située à 20 km au sud-ouest de Saint-Quentin, à 20 km au nord de Noyon, à 25 km au sud de Péronne.
Géographie physique
Nature du sol et du sous-sol
Le sol de la commune est tourbeux en fond de vallée et loessique sur les flancs.
Relief, paysage, végétation
La ville occupe un site de fond de vallée marécageuse en amont de la courbure de la Somme vers le nord.
Hydrographie
Ham est située au confluent de la Somme et de la Beine.
Climat
Le climat de Ham est le climat tempéré océanique.
Géographie humaine
Voies de communication et transports
Ham occupe une position de carrefour. Elle est reliée à Paris (autoroute A1) par la route de Nesle et Roye, à Lille et Valenciennes (autoroute A1) par la route de Péronne, à Reims et Strasbourg (Autoroute A26) par la route de Saint-Quentin. Par la route de Péronne, elle est reliée via les autoroutes A29 et A16 à la Côte picarde, la Normandie et Boulogne-Calais.
Sur le plan ferroviaire, Ham est située sur la ligne Amiens-Tergnier-Laon et Amiens-Ham-Saint-Quentin.
Sur le plan fluvial, le canal de la Somme, par lequel on atteint le canal du Nord par l'ouest, n'offre plus qu'un attrait touristique.
Urbanisme
La ville de Ham a été reconstruite en quasi-totalité après la Grande Guerre. Le tracé des rues du centre ville a été remodelé et les monuments et bâtiments publics restaurés (église, hôtel de ville...), rasés (beffroi...) ou reconstruits (hôpital...). Certains immeubles ont été construits dans le style Art déco.
Dans les années 1960-1970, l'urbanisme a connu un nouvel essor: construction de lotissements et d'immeubles HLM à la périphérie de la ville (quartiers de la Plaine-Saint-Martin et de Saint-Sulpice).
Politique environnementale
Communes limitrophes
Toponymie
Selon toute vraisemblance, Ham est un nom d'origine germanique. Ham, en francique, signifie courbure dans une rive.
En 932, le lieu est nommé Hammus, puis Hamus en 986, Hamo en 1142[2].
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Sparte[3].
Histoire
Moyen Âge
- La cité est mentionnée pour la première fois en 932 comme une possession du seigneur Erard, cadet d'un comte de Ponthieu. La ville est alors conquise par le comte Herbert II de Vermandois.
- En 1108, est fondée, à Ham, une abbaye de chanoines réguliers qui conserve les reliques de Saint Waneng.
- Du XIIe au XIVe siècle, le fief est tenu par une famille qui passe pour descendre des comtes de Vermandois. La dernière descendante de cette famille, Marie de Ham, vend la seigneurie de Ham à Enguerrand VII, sire de Coucy. Des Coucy, la seigneurie de Ham passe aux maisons d'Orléans, de Bar, de Luxembourg.
- Au XVe siècle, Louis de Luxembourg-Saint-Pol, plus connu sous le nom de connétable de Saint-Pol, dont la devise était "mon mieux", transforme la forteresse de Ham pour qu'elle puisse résister aux tirs d'artillerie. Ayant joué double jeu entre le roi d'Angleterre et Louis XI, il est arrêté, jugé, condamné à mort et décapité en place de Grève à Paris. Ses biens sont confisqués par la couronne. La seigneurie de Ham passe par la volonté royale aux Boubon-Vendôme, jusqu'à Henri IV qui la réunit une nouvelle fois à la Couronne.
Époque moderne
- 7 mai 1635, passage à Ham de Louis XIII et d'Anne d'Autriche. Richelieu devient abbé commendataire de Ham.
- Louis XIV séjourne à l'abbaye de Ham y faisant étape en allant en Flandre en 1663 et 1676. En 1692, se rendant au siège de Namur, il passe une nuit à l'abbaye, en compagnie du Dauphin.
- 1676 : incendie de 250 maisons à Ham, principalement dans la paroisse Saint-Martin.
- En 1678, Jeanne Malin, religieuse de Port-Royal fonde, dans sa ville natale, la Maison de la Providence pour l'éducation des filles.
- À partir de 1711, l'hôpital fondé au XIIIe siècle est reconstruit et dirigé par les Filles de la Charité.
- En 1723, Jean Cordelle, doyen de la faculté de médecine de Paris, fonde, à Ham, une école latine.
- En 1789, le duc d'Orléans, le futur Philippe-Égalité, cousin du roi, est le dernier seigneur de Ham.
Époque contemporaine
- En 1840, Louis-Napoléon Bonaparte tente de soulever la garnison de Boulogne-sur-Mer pour renverser Louis-Philippe. Arrêté, il est emprisonné à la forteresse de Ham. Il y reçoit de nombreuses visites dont celles de Chateaubriand, d’Alexandre Dumas et du socialiste Louis Blanc. Il rédige dans sa prison l'ouvrage : De l'Extinction du paupérisme, publié en 1844. Le , il s'évade en empruntant les vêtements et les papiers d'un peintre en bâtiment qui, selon certains, s'appelle Badinguet.
- Durant la Guerre franco-allemande de 1870, la deuxième armée du Nord française encercle la ville occupée par les Prussiens et les oblige à signer une capitulation.
- À la fin du XIXe siècle, la ville se développe grâce à l'industrie favorisée par la récente ouverture de la ligne de chemin de fer d'Amiens à Laon[N 1] et du canal de la Somme. Sont présentes dans la ville l'industrie sucrière et l'industrie mécanique.
- Pendant la Grande Guerre, après la bataille de la Somme, l'Armée allemande se replie sur la ligne Hindenburg, ligne fortifiée de Lens à Soissons, pratiquant, sur les territoires abandonnés, la tactique de la "terre brûlée". C'est ainsi que la forteresse et l'ensemble de la ville de Ham sont dynamitées par les Allemands le . Il ne reste aujourd'hui du bel édifice que des ruines pittoresques dominant le cours paisible du canal de la Somme.
- Du 18 mai au 6 juin 1940, le 140e régiment d'infanterie alpine résiste aux assauts allemands dans des combats acharnés sur la Somme à Eppeville et Ham notamment, avant de décrocher devant la vague déferlante des Panzerdivisionen.
- Pendant l'Occupation, la Résistance s'organise. Des actions de sabotage ont lieu comme celle qui touche, le 5 décembre 1943, à Ham, l'usine « Cuivre et Alliage », sans faire de victime. Cette usine, qui employait 500 personnes, était classée "Rüstung" (armement) par les Allemands ; elle a été paralysée aux deux tiers pendant trois semaines.
- La ville de Ham est libérée par l'Armée américaine le .
Politique et administration
Administration municipale
La commune d'Estouilly a fusionné avec Ham en 1965 et celle de Saint-Sulpice a fusionné avec Ham en 1966.
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Depuis 1945, sept maires se sont succédé à Ham :
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[5]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[6],[Note 1].
En 2014, la commune comptait 4 717 habitants, en diminution de −7,24 % par rapport à 2009 (Somme : 0,32 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (25,5 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53,2 %) est supérieur au taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 46,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 19,4 %, 15 à 29 ans = 19,8 %, 30 à 44 ans = 18,8 %, 45 à 59 ans = 20,4 %, plus de 60 ans = 21,6 %) ;
- 53,2 % de femmes (0 à 14 ans = 18,1 %, 15 à 29 ans = 17,9 %, 30 à 44 ans = 16,6 %, 45 à 59 ans = 18,5 %, plus de 60 ans = 29 %).
Économie
Enseignement
Ham est située dans l'Académie d'Amiens.
La ville finance le fonctionnement de trois écoles maternelles et deux écoles élémentaires communales[10]. Le département finance l'équipement et le fonctionnement technique du collège Victor-Hugo[11] et la région : le lycée professionnel Jean-Charles Peltier[12].
Les Hamois disposent également d'un établissement d'enseignement privé (école et collège Notre-Dame)[13].
Santé
- Centre hospitalier et une Maison de retraite.
- Centre socio-culturel, centre de planification (C.A.F. service P.M.I.)
Sports
Culture, fêtes, sports et loisirs
Manifestations culturelles et festivités
La vie locale a renoué avec la tradition des géants. Les trois silhouettes de Tchout Jaques, Armandine et Dudule animent épisodiquement la cité — comme en mai 2007, par exemple, avec « El cavalcade ed Tchout Jaques[14],[15] » — et assurent des prestations dans d'autres villes organisant des parades.
L'édition 2009 a eu lieu le dimanche 19 avril[16] et a donné lieu peu après, dès le 22 avril, à l'annonce de l'ouverture du site dédié à l'association[17].
Jumelages
Au 4 juillet 2012, Ham est jumelée avec[18] :
Patrimoine culturel
L'ancien théâtre a été transformé en cinéma dans les années 1970. Après plusieurs années de fermeture, il a été rebaptisé Le Méliès et rouvert au milieu des années 1980 grâce à l'action de l'association Ciném'Ham.
Héraldique, logotype et devise
Les armes utilisées par la commune depuis le XVIIIe siècle se blasonnent ainsi :
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Lieux et monuments
Château-fort
- La ville de Ham possède des vestiges d'un château fort dont les premiers remparts élevés en pierre datent du XIIIe siècle sous le règne du seigneur des lieux : Odon IV. Dès le XVe siècle, sous l'influence de Jean II de Luxembourg-Ligny, puis de son neveu Louis de Luxembourg-Saint-Pol, le château se transforme en une véritable forteresse féodale qui est très convoitée. Louis de Luxembourg, comte de Saint-Pol et connétable de Louis XI en 1465, fait édifier un donjon monumental : 33 m de hauteur, 33 m de diamètre, 11 m d'épaisseur de murs[21].
- En 1840, ce château devient la prison du prince Louis-Napoléon Bonaparte. Il s'en évade six ans plus tard, déguisé en maçon, et sous l'identité de Badinguet.
- En mars 1917, l'occupant allemand fait sauter en grande partie ce château dont il ne reste aujourd'hui que la tour d'entrée et quelques vestiges du donjon et des remparts.
- Les vestiges du château de Ham sont Inscrit MH (1965).
Édifices religieux
- Église Notre-Dame : ancienne église abbatiale d'un monastère de chanoines génovéfains fondé en 1108. Le chœur, le transept et surtout la crypte sont les parties les plus intéressantes ; leur construction remonte à la fin du XIIe siècle et au début du XIIIe siècle. De la période romane subsistent les trois baies de la façade occidentale et la crypte. Classé MH (1888)[22].
- La crypte: c'est la partie la plus intéressante de l'édifice ; elle a été construite entre 1180 et 1220. Les voûtes sur croisées d'ogives reposent sur de massives colonnes. On peut y voir deux gisants du XIIIe siècle.
- Les bâtiments abbatiaux qui subsistent dont le logis abbatial reconstruit en 1701, abritent aujourd'hui un collège privé catholique.
Monuments civils
Hôtel de ville
Construit à la fin du XIXe siècle, l'hôtel de ville a été détruit au cours de la Grande Guerre. Seule la façade a subsisté. L'édifice a été reconstruit dans l'entre-deux-guerres. Dans la salle des délibérations, buste du général Foy.
Monument du Général Foy
- Sur la place de l'hôtel de ville, se dresse le monument à la mémoire du général Foy, né dans une maison de la place. Une statue en bronze du sculpteur Ernest-Eugène Hiolle est posée sur un piédestal sur lequel sont reproduits les bas-reliefs du tombeau du général au cimetière du Père-Lachaise à Paris, dus à David d'Angers. Ce monument a été érigé en 1879, à la suite d'une souscription publique, à l'initiative de la municipalité.
Monument de la Guerre de 1870
- Dans le cimetière de Ham, a été érigé un monument commémorant les combats du 9 décembre 1870 qui ont vu la capitulation de la garnison prussienne assiégée dans Ham. Il est dédié à la mémoire des soldats de l'armée du Nord morts pour la Défense nationale.
Parc Delicourt
Dessiné par un paysagiste de Paris, à la fin du XIXe siècle, ce parc est agrémenté d'une pièce d'eau, de hautes futaies et de massifs de fleurs.
Personnalités liées à la commune
- Odon IV, seigneur de Ham qui fit bâtir le château-fort au XIIIe siècle.
- Louis de Luxembourg-Saint-Pol (1418-1475) plus connu sous le nom de Connétable de Saint-Pol. Il modifia l'architecture du château de Ham pour lui permettre de résister aux attaques d'artillerie. Il fit construire un donjon formidable dit "tour du connétable" dynamité par les Allemands en 1917.
- François Ier de Saint-Pol (1491-1545), duc d'Estouteville et gouverneur du Dauphiné, est né à Ham.
- Jacques Cassard (1679-1740), marin et corsaire, a été enfermé au château de Ham entre 1726 et 1740.
- Jean-Joseph Vadé (1720-1757) né à Ham, chansonnier et dramaturge, créateur du genre poissard.
- François Charles Absolut de La Gastine (1751-1814), né à Ham, officier du génie ; il servit dans les armées de la Révolution et de l'Empire.
- Maximilien Sébastien Foy (1775-1825), né à Ham, général et comte d'Empire, député de l'Aisne, brillant orateur de l'opposition libérale sous la Restauration.
- Jean-Charles Peltier (1785-1845), physicien, né à Ham.
- Louis-Napoléon Bonaparte (1808-1873), condamné pour complot contre l'État après l'échec du soulèvement de la garnison de Boulogne-sur-Mer, a été enfermé au château de Ham entre 1840 et 1846, date à laquelle il s'en est évadé.
- Léon Accambray (1868-1934), né à Ham. Député radical-socialiste de l'Aisne de 1914 à 1932.
- Émile Luciani (1913-1983), né à Paris et mort à Caen, député de la Somme de 1956 à 1973, élu sous l'étiquette poujadiste, il rallie le général de Gaulle en 1958 ; conseiller général du canton de Ham de 1956 à 1970 ; maire de Ham de 1965 à 1970.
Pour approfondir
Bibliographie
- Louis Blanc, « Visite au fort de Ham », chapitre XXV de Révélations historiques en réponse au livre de lord Normamby, intitulé "A year of Revolution in Paris", volume 2, Méline, Cans et compagnie, Bruxelles, 1859.
- E. Bocquet, Ham, une visite en 1912, La Vague verte, Inval-Boiron, 2010 (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 025 - 9).
- Charles Calippe, La Somme sous l'occupation allemande - 27 août 1914-19 mars 1917, 1994, livre III, chapitre III, Paris, Office de diffusion et d'édition du livre d'histoire, 1994, 310 pages (ISBN 978 - 2 - 84 126 - 047 - 8).
- J.-G. Capo de Feuillide, Le Château de Ham, son histoire, ses seigneurs et ses prisonniers , 1842, réédition, Paris, Le Livre d'histoire Lorisse, 2008 (ISBN 978 - 2 - 7 586 - 0245 - 3)
- Cercle cartophile de Ham, Balade dans le Pays hamois, C.C.H., Ham, 1992.
- Comité d'organisation pour la commémoration du cinquantenaire de la Bataille de la Somme dans le secteur de Ham, Ham: mai-juin 1940, 20 Jours contre les Panzer, 1990, Conseil général de la Somme.
- Paul Decagny (abbé), Ham et ses environs : l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, Office d'édition du livre d'histoire, 1996, 293 pages, (ISBN 2-841-78073-2)
- André Démotier, Des événements et des hommes, le demi-siècle du général Foy, Association philatélique de Ham, Ham, 1992 (ISBN 2 - 9 506 704)[à vérifier : La longueur du numéro ISBN devrait être 10 ou 13 et non 8, demandé le 28 juillet 2014)].
- Élie Fleury et Ernest Danicourt, Histoire populaire de la ville de Ham, Ham, 1881 réédition, Paris, SEDOPOLS, 1984 (ISBN 2 - 904 177 - 02 - 7) lire en ligne sur Gallica
- Juliette Glikman, Louis-Napoléon prisonnier, du Fort de Ham aux ors des Tuileries, Aubier collection historique, Paris, Flammarion, 2011 (ISBN 978 - 2 - 7 007 - 0 404 - 4).
- Charles Gomart, Ham, son château et ses prisonniers, Paris, 1864, 372 pages (ISBN 2 - 913 924 - 04 - 2), [lire en ligne]
- Robert Lamouche, 1840-1846, Le Prisonnier du Fort de Ham, Woignarue, La Vague verte, 2000 (ISBN 2 - 913 924 - 10 - 7).
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Insee
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Notes
- Qui passe par le nœud ferroviaire de Tergnier.
Références
- « Nom des habitants des communes françaises », sur le site habitants.fr de la SA. Patagos (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations dialectales (suite) et françaises : étymologie de 35000 noms de lieux, tome 3, p. 1410, [lire en ligne]
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Premier vrai conseil pour le nouveau maire », Journal de Ham, no 15, , p. 6 (ISSN 0755-1398)
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- « Évolution et structure de la population à Ham en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population de la Somme en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Annuaire des établissements scolaires en France », sur le site du ministère de l'éducation nationale (consulté le ).
- « Page d'accueil », sur le site du collège Victor-Hugo de Ham (consulté le ).
- « Page d'accueil », sur le site du lycée professionnel Jean-Charles Peltier (consulté le ).
- « Page d'accueil », sur le site de l'établissement Notre-Dame (consulté le ).
- Transcription du programme
- Diaporama mis en ligne par l'association « D'Anatole à Guernouillard » de Flers-Bourg.
- Courrier Picard du 18 avril 2009
- Annonce de l'ouverture du site Tchoutjaques.org
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- Jacques Estienne et Mireille Louis, Armorial du Département et des Communes de la Somme, préface de Pierre-Marcel Wiltzer, Préfet de la région Picardie, Préfet de la Somme, Abbeville, 1972, Imprimerie F. Paillart pp. 43-44
- Jacques Estienne et Mireille Louis, Armorial du Département et des Communes de la Somme, préface de Pierre-Marcel Wiltzer, Préfet de la régopn Picardie, Préfet de la Somme, Abbeville, 1972, Imprimerie F. Paillart p. 43
- Ham, son château et ses prisonniers, Charles Gomart, 1864, réédition "La Vague Verte" en 2000.
- Philippe Des Forts, Médiathèque de l'architecture et du patrimoine, Ministère de la Culture