Buzançais

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Buzançais
Buzançais
L'hôtel de ville en 2012.
Blason de Buzançais
Blason
Buzançais
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Châteauroux
Intercommunalité Communauté de communes Val de l'Indre - Brenne
Maire
Mandat
Régis Blanchet
2020-2026
Code postal 36500
Code commune 36031
Démographie
Gentilé Buzancéens ou Buzancaïens
Population
municipale
4 504 hab. (2021 en augmentation de 0,69 % par rapport à 2015)
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 53′ 27″ nord, 1° 25′ 24″ est
Altitude Min. 102 m
Max. 155 m
Superficie 58,64 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Buzançais
(ville isolée)
Aire d'attraction Châteauroux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Buzançais
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Buzançais
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Buzançais
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Liens
Site web buzancais.fr

Buzançais (Écouter; en occitan : Buzancei; en latin : Busentiacum ou Busenciacum) est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

La commune est située dans le centre-ouest[1] du département de l'Indre.

Les communes limitrophes[1] sont : Saint-Lactencin (5 km), Argy (6 km), La Chapelle-Orthemale (6 km), Saint-Genou (8 km), Sainte-Gemme (8 km), Villegouin (9 km), Villedieu-sur-Indre (10 km) et Vendœuvres (11 km).

Les services préfectoraux[1] sont situés à Châteauroux (23 km), Le Blanc (39 km), Issoudun (43 km) et La Châtre (55 km).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : Heurtebise, la Croix Rouge, Habilly, Bonneau, la Paudière, Maisons Neuves, la Maison Bodier, Launay, Saint-Étienne et la Coudre[2].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est arrosé par les rivières Indre[2] et Cité[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 730 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Pellevoisin à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 798,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Paysages[modifier | modifier le code]

Elle est située dans la région naturelle du Boischaut Nord.

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Buzançais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Buzançais, une unité urbaine monocommunale[12] de 4 505 habitants en 2017, constituant une ville isolée[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteauroux dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Zonages d'études[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans l'unité urbaine de Buzançais, dans l’aire urbaine de Buzançais, dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie de Buzançais[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Logement[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[18] de la commune :

Date du relevé 2013 2015
Nombre total de logements 2 466 2 494
Résidences principales 83,8 % 83,8 %
Résidences secondaires 3,8 % 3,8 %
Logements vacants 12,4 % 12,4 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 67,5 % 67,4 %

Planification de l'aménagement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 1, 11, 63, 63D, 64, 64D, 112, 138, 926 et 943[19].

Transports[modifier | modifier le code]

La ligne de Joué-lès-Tours à Châteauroux passe par le territoire communal, une gare (Buzançais) desservait la commune. De plus, la ligne de Salbris au Blanc passait par le territoire communal, trois gares (Chaventon, Bonneau-Habilly et Buzançais) desservaient la commune. La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Châteauroux[19], à 24 km.

Buzançais est desservie par la ligne S du Réseau de mobilité interurbaine[20] et par la ligne 2.4 du réseau d'autocars TER Centre-Val de Loire[21].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[19], à 26 km.

Énergie[modifier | modifier le code]

La commune possède un poste source[22] sur son territoire.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[23].

Qualité de l'environnement[modifier | modifier le code]

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Buzançais est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Cité et l'Indre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2014, 2015 et 2016[26],[24].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans les massifs de Brenne et d'Argy, est classée au niveau de risque 1, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[27].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Buzançais.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[28].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 66,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 258 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1627 sont en aléa moyen ou fort, soit 72 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[30].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 2006 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[31].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du 16 octobre (25 vendémiaire) 1793 (an II) invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour La Fraternité-sur-Indre[32].

Ses habitants sont appelés les Castrais[33].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 866, Charles l'Enfant, fils de Charles II le Chauve, meurt dans un village proche de Buzançais.

La paroisse était située à l’origine à Saint-Étienne, jusqu’à la construction du château à Buzançais. Le château a créé un pôle d’attraction, et le village s’est petit à petit presque entièrement déplacé, jusqu’à ce que le village originel ne soit qu’un simple hameau[34]. La résistance des autorités religieuses au changement fit que la paroisse ne fut déplacée au nouveau village qu’au XVIe siècle[35].

Au IXe siècle, le comte Foulque, beau-frère de l'évêque Adalard de Tours et de l'évêque Regino/Rainon d'Angers (probablement des Girardides), sans doute beau-père d'Ingelger d'Anjou — donc ancêtre maternel des Ingelgériens — par sa fille Adèle/Aelendis, possède ou du moins domine Amboise, Châtillon-sur-Indre, Buzançais. Dès cette époque, on trouve également d'autres sires de Buzançais et d'Amboise, aussi maîtres de Verneuil et de Châtillon-sur-Indre, peut-être apparentés aux précédents et en tout cas aux d'Amboise (Lisois épouse l'héritière Hersende de Buzançais d'Amboise) : ils se nomment Haimon, Sulpice, Archambaud ou souvent Robert, et courent du IXe siècle au début du XIIIe siècle. Puis la seigneurie est détenue par une maison féodale d'origine nivernaise, les de Prie, aussi maîtres de Montpoupon, jusqu'au Grand-maître de l'Artillerie Aymar de Prie (1453-1527).

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Sous l'autorité de François Ier, la seigneurie de Buzançais est attribuée vers 1530 (1531) à l'amiral de Brion, Philippe de Chabot (1492-1543)[36], neveu par alliance du roi ; de plus, Buzançais est élevé trois ans plus tard au rang de comté en novembre 1533 ; la petite-fille de l'amiral, Catherine Chabot, transmit le comté de Buzançais aux Saulx-Tavannes jusqu'en 1638 par son mariage en 1576 avec Guillaume de Saulx (1553-1633) ; puis le comté échut ensuite au duc d'Elbeuf (1596-1657), dont la mère était Marguerite de Chabot-Charny, autre petite-fille de l'amiral.

Se met en place un bailliage seigneurial, qui appliquera la justice du duché de Touraine[36]. Le seigneur de Buzançais désigne des officiers de justice pour déléguer son droits de justice aux personnes qu'il choisit ou qui offrent leur service[37]. Le seigneur s'entoure de nombreux officiers de justice pour assurer le bon déroulement des procédures judiciaires. Pour ce faire, les procès et sentences sont prononcés dans l'auditoire situé dans le couvent de Sainte-Croix en 1789[38]. Le bailliage de Buzançais comprend néanmoins une particularité dans les fonctions du personnel judiciaire. En effet, du fait d'une criminalité faible en terme d'homicides dans le comté[39], il semble que le rôle du bailli ne se concentre que sur les délits mineurs[40] mais l'officier conserve certaines prérogatives : présider les séances, garantir la sécurité ou fixer le prix de denrées par l'émission d’ordonnances. Le procureur fiscal n'est pas un contrôleur fiscal, il est le premier maillon de la chaîne permettant de lancer une procédure judiciaire en recueillant les plaintes et les délits au début des enquêtes[41]. On peut également relever que les procureurs remplissaient plutôt un rôle d'aide juridique pour les plaignants[42].

Charles II duc d'Elbeuf vendit Buzançais à Jean Phélypeaux de La Vrillière de Villesavin, sire d'Argy en 1636, auquel succèda son gendre Léon Bouthillier de Chavigny (1608-1652 ; il hérita aussi d'Argy).

Enfin, acquisition de Buzançais en 1699 (et du comté de Montrésor en 1697, et d'Argy en 1699) par Paul de Beauvilliers (1648-1714), duc de Saint-Aignan, gendre de Colbert : les descendants de son demi-frère Paul-Hippolyte gardèrent Buzançais jusqu'en 1828 avec Charles-Paul-François (1745-1828).

De la Révolution française au Second Empire[modifier | modifier le code]

Malgré le passage de la Révolution française, le système juridique du bailliage fut gardé jusqu'en décembre 1790[43] puis laissa la place à une nouvelle juridiction naissante.

Le a lieu à Buzançais un épisode dans lequel Victor Hugo voit les prémices des événements de . Le , en des temps de disette, un chargement de blé y est accaparé par le peuple qui souffre de la faim. Les grands propriétaires, mais pas les petits[44], sont menacés et deux d'entre eux sont tués[44]. L'intervention du préfet est un échec[45]. La répression orchestrée par Louis-Philippe et Guizot est exemplaire : vingt-six villageois sont arrêtés, trois sont condamnés à mort et guillotinés en , quatre sont envoyés aux travaux forcés à perpétuité, douze reçoivent une peine de prison de cinq à dix ans[44], ils seront libérés pendant la Révolution de 1848[46]. Victor Hugo mentionne cet épisode dans son discours aux députés sur les caves de Lille. Gustave Flaubert évoque lui aussi l'épisode dans l'Éducation sentimentale[47]

L'épisode est reporté dans par François Furet dans "La Révolution Française- La Monarchie de Juillet.": " La plus violente émeute a lieu à Buzançais, au début de l'année, dans cette bourgade de l'Indre, aux confins du Berry, dominée par une centaine de propriétaires et de négociants, le petit peuple rural -journaliers, valets de ferme, tisserands,artisans- fait régner pendants trois jours l'ordre insurrectionnel de la taxation et de la réquisition, après avoir assassiné un riche bourgeois. Puis c'est l'arrivée de la troupe, les arrestations, quelques dizaines de malheureux traduits à Châteauroux devant un jury de propriétaires, de lourdes peines de prison et trois exécutions le 16 avril, jour du marché, sur la grande place du bourg, au milieu d'un concours de peuple silencieux".

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Entre le 29 janvier et le , plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la République espagnole devant les troupes de Franco, arrivent dans l’Indre. Contrairement aux départements voisins qui font appel aux communes, l’Indre réussit à les regrouper dans seulement trois, puis sept centres, ce qui permet un meilleur contrôle de cette population considérée comme dangereuse (notamment sur le plan sanitaire). Le Blanc est un des trois premiers centres[48]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants, sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[49]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui en facilite les conditions, mais une grande partie préfèrent rester. La fermeture du camp, prévue pour le 10 mars, est repoussée au 1er juin. L’exode de juin 1940 concerne aussi ces réfugiés, qui une fois la campagne de France passée, reviennent. Le régime de Vichy les rassemble alors au camp de Douadic, surveillé par la police[50].

De 1940 à 1942, le 32e régiment de cuirassiers, régiment de Lorraine, est cantonné à Buzançais[51].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

Buzançais[17] est membre :

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Résultats pour la commune des scrutins français depuis 2000.
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours.
Année Élu Battu Participation
2002 83.10 % Jacques Chirac RPR 16.90 % Jean-Marie Le Pen FN 83.93 % [52]
2007 52.81 % Nicolas Sarkozy UMP 47.19 % Ségolène Royal PS 86.33 % [53]
2012 51.19 % François Hollande PS 48.81 % Nicolas Sarkozy UMP 81.28 % [54]
2017 51.98 % Emmanuel Macron EM 48.02 % Marine Le Pen FN 76.36 % [55]
2022 % Emmanuel Macron LREM % Marine Le Pen RN % [56]
Élections législatives, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
Année Élu Battu Participation
Buzançais est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des .
Avant 2010, Buzançais est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des .
2002 52.82 % Gilles Peyrot-des-Gachons UMP 47.18 % Jean-Paul Chanteguet PS 65.40 % [57]
2007 52.30 % Jean-Paul Chanteguet PS 47.70 % Bernard Pousset UMP 66.54 % [58]
Après 2010, Buzançais est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats de .
2012 54.95 % Jean-Paul Chanteguet PS 45.05 % François Jolivet UMP 60.97 % [59]
2017 66.37 % François Jolivet UMP 33.63 % Mylène Wunsch FN 44.59 % [60]
2022 % % % [61]
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores.
Année Liste 1re Liste 2e Participation
2004 29.41 % Catherine Guy-Quint PS 15.33 % Brice Hortefeux UMP 46.81 % [62]
2009 29.69 % Jean-Pierre Audy UMP 14.26 % Henri Weber PS 43.57 % [63]
2014 30.45 % Bernard Monot FN 23.66 % Brice Hortefeux UMP 43.30 % [64]
2019 33.29 % Jordan Bardella FN 18.53 % Nathalie Loiseau LREM 54.36 % [65]
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores.
Année Liste 1re Liste 2e Participation
2004 49.20 % Michel Sapin PS 31.48 % Serge Vinçon UMP 69.04 % [66]
2010 49.75 % François Bonneau PS 35.37 % Hervé Novelli UMP 56.29 % [67]
2015 38.35 % Philippe Vigier UDI 35.10 % Philippe Loiseau FN 61.56 % [68]
2021 % % % [69]
Élections cantonales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
Année Élu Battu Participation
Buzançais est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de .
2001 ? % ? ? ? % ? ? ? % [70]
2004 % % indisponible %
2008 72.40 % Régis Blanchet MNC 27.60 % Jean-Paul Thibault PS 69.93 % [71]
2011 % % indisponible %
Élections départementales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
Année Élus Battus Participation
Buzançais est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de .
2015 62.88 % Régis Blanchet
Frédérique Meriaudeau
UD 25.32 % Raymond Alberola
Patricia Chalamet
FN 55.86 % [72]
2021 % % % [73]
Référendums.
Année Oui (national) Non (national) Participation
1992 43.56 % (51,04 %) 56.44 % (48,96 %) 78.19 % [74]
2000 72.21 % (73,21 %) 27.79 % (26,79 %) 36.15 % [75]
2005 36.00 % (45,33 %) 64.00 % (54,67 %) 73.99 % [76]


Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1er Empire Restauration Charles Paul François de Beauvilliers ? Grand d'Espagne
Pair de France
mai 1945 juin 1995 Jean Bénard-Mousseaux CNIP Agriculteur
Conseiller général de l'Indre de 1955 à 1982
Député de l'Indre de l'Indre de 1958 à 1968
Sénateur de l'Indre de 1971 à 1989
juin 1995 En cours Régis Blanchet PR puis UDI
puis MRSL[77]
Economiste
Conseiller général puis départemental de l'Indre depuis 2001
Les données manquantes sont à compléter.

Instances de démocratie participative[modifier | modifier le code]

Finances communales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune[78] est jumelée avec :

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Eau et déchets[modifier | modifier le code]

Espaces publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dépend de la circonscription académique du Blanc.

Postes et télécommunications[modifier | modifier le code]

Buzançais compte un bureau de poste[81].

Santé[modifier | modifier le code]

La commune possède un centre hospitalier[82].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[87]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[88].

En 2021, la commune comptait 4 504 habitants[Note 3], en augmentation de 0,69 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 1993 1993 5784 2184 4164 5874 4304 8574 979
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
5 0505 0165 1454 9865 1095 1895 1495 0274 916
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 8714 8434 6384 2434 3494 1374 1344 5114 585
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
4 7835 1405 2144 9724 7494 5814 5354 5254 468
2018 2021 - - - - - - -
4 5284 504-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[89] puis Insee à partir de 2006[90].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête de la chanson française.

Sports[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée 46[2].

Le stade de la Tête Noire a accueilli la finale du Challenge de France féminin 2004-2005, le entre le FCF Juvisy et Lyon.

Médias[modifier | modifier le code]

La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

Cultes[modifier | modifier le code]

Culte catholique[modifier | modifier le code]

La commune de Buzançais dépend de l'archidiocèse de Bourges, du doyenné de Brenne-Touraine et de la paroisse de Buzançais. Le lieu de culte est l'église du Sacré-Cœur[91].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Le revenu net déclaré moyen par foyer fiscal et le pourcentage de foyers fiscaux imposables sont présentés dans les tableaux ci-dessous[92],[18] :

Revenu net déclaré moyen par foyer fiscal
2009 2015
Buzançais ? 18 631 
Indre 19 310  19 175 
Centre-Val de Loire 22 400  20 494 
France 23 433  20 566 
Pourcentage de foyers fiscaux imposables
2009 2015
Buzançais ?% 44 %
Indre 47,9 % 48,7 %
Centre-Val de Loire 55,1 % 55,5 %
France 54,3 % 55,4 %

Emploi[modifier | modifier le code]

Beirens est une des principales entreprises de Buzançais.

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[93].

Tourisme et hébergement[modifier | modifier le code]

Un camping est présent dans la commune. Il s'agit du camping de la Tête Noire qui dispose de 91 emplacements[94].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Ville et Pays d'art et d'histoire[modifier | modifier le code]

Elle a obtenu au concours des villes et villages fleuris :

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Château de Boisrenault[modifier | modifier le code]

Construit par un aristocrate du XIXe siècle comme cadeau de mariage pour sa fille. C'est actuellement un hôtel

Église du Sacré-Cœur[modifier | modifier le code]

Chapelle Saint-Lazare[modifier | modifier le code]

La chapelle est le seul vestige d’une léproserie mentionnée dans la bulle du pape Alexandre III de 1175. Elle possède une porte en plein cintre et une abside voûtée en demi-coupole. Durant plusieurs siècles, la chapelle Saint-Lazare fut ornée de plusieurs statues peintes en bois[101].

Pavillon des Ducs[modifier | modifier le code]

Le pavillon des Ducs est l'unique vestige du château construit dans les années 1530 par Philippe Chabot de Brion, comte de Buzançais et amiral de France. Le pavillon des Ducs est un bâtiment carré possédant une toiture à quatre versants et une élégante tour polygonale. Les portes et les fenêtres sont décorées de motifs Renaissance[101]. Le château fut incendié par les Allemands en août 1944[102].

Monument aux morts de la guerre de 1870[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de la guerre de 1870, carte postale, 1905.

Il est souvent appelé « la Pleureuse » et représente une femme, pleurant de douleur, la tête enfouie dans son bras appuyé sur une stèle et tenant dans l'autre main une couronne mortuaire. Cette œuvre fréquemment vandalisée[103] du sculpteur Ernest Nivet est érigée sur la place des Jeux (actuelle place Balanant). Elle a été inaugurée le [104]. Le poème La Berrichonne, composé en berrichon par le poète Gabriel Nigond, en est la transcription littéraire.

Prieuré Sainte-Croix[modifier | modifier le code]

Le prieuré est fondé entre 1419 et 1421, probablement par filiation du prieuré Sainte-Croix de Caen. La création du prieuré buzancéen est uniquement évoquée dans une charte du . Cette charte mentionne des lettres patentes de Charles VII de 1433 indiquant que, 12 à 14 années auparavant, le roi de France a concédé aux Croisiers une maison et ses appartenances à Buzançais. En 1779, l’archevêque de Bourges ordonne la suppression du prieuré. Devenu un bien national au cours de la Révolution française, le prieuré est acheté par la municipalité, en 1791, pour devenir le premier Hôtel de Ville de Buzançais. Aux XIXe et XXe siècles, l’église du prieuré est utilisée comme halle aux blés, poste aux chevaux, atelier de lingerie et de confection. Depuis 1985, le prieuré appartient à une association de sauvegarde qui a partiellement restauré l’église[101].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de Buzançais Blason
De gueules aux trois trèfles d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Logotype de la commune de Buzançais :

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

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  • Jeanine Sodigné-Loustau, Matériaux pour l'histoire de notre temps : L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940, , 44e éd. (lire en ligne), p. 43

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

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