Hélène et les Garçons

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Hélène et les Garçons
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Logo original de la série
Type de série Sitcom
Genre Comédie sentimentale
Création Jean-François Porry
Acteurs principaux Hélène Rollès
Patrick Puydebat
Nb. d'épisodes 280

Production

Durée 26 minutes
Production AB Productions

Diffusion

Pays d'origine Drapeau de la France France
Chaîne d'origine TF1
Diff. originale

Hélène et les Garçons est une série télévisée française en 280 épisodes de 26 minutes, créée par Jean-François Porry, produite par AB Productions et diffusée du au sur TF1. Il s'agit d'une série dérivée de Premiers Baisers, centrée sur le personnage d'Hélène Girard, interprété dans les deux séries par l'actrice Hélène Rollès.

À son tour, Hélène et les Garçons a fait l'objet de plusieurs séries dérivées mettant en scène les mêmes personnages principaux, à savoir Le Miracle de l'amour, Les Vacances de l'amour et Les Mystères de l'amour.

Depuis l'arrêt de ses tournages, la série a été rediffusée notamment sur les antennes d'AB1, NT1, Filles TV et NRJ 12[1]. La série a aussi sa propre chaîne 24/24H sur la plateforme gratuite Pluto TV depuis le .

Synopsis[modifier | modifier le code]

Cette sitcom met en scène les aventures, principalement sentimentales, d'un groupe d'étudiants, en abordant des sujets récurrents tels que la musique, les flirts, les disputes et les réconciliations entre les personnages.

Hélène Girard (la grande sœur de Justine Girard, l'héroïne de Premiers Baisers) vient d'entrer en deuxième année de sociologie à la fac de Paris-XIV. Elle vit dans la résidence universitaire, où elle partage une chambre avec deux de ses camarades d'amphithéâtre, Cathy et Johanna. Dans le premier épisode, les trois jeunes femmes rencontrent trois étudiants en lettres, musiciens à leurs heures perdues : Nicolas, Étienne et Christian. Rapidement, les couples se forment : Hélène avec Nicolas, Cathy avec Étienne, Johanna avec celui qu'elle surnomme son « Cri-Cri d'amour ». Au fil des épisodes, ces couples se défont et, éventuellement, se reforment, au gré des rencontres, des tromperies et de l'apparition de nouveaux venus au sein de leur bande d'amis.

Distribution[modifier | modifier le code]

Acteurs principaux[modifier | modifier le code]

À noter que les images du générique du début ont été changées plusieurs fois en fonction du départ et de l'arrivée de certains comédiens. Ainsi, le générique de l'épisode 46 voit l'arrivée de Philippe Vasseur. Pour les épisodes 68 à 70, David Proux est remplacé par Karine Lollichon, puis Laure Guibert est ajoutée au générique à l'épisode 71 à la place de Cathy Andrieu. Les images du générique du début sont entièrement changées à partir de l'épisode 98 : Laly Meignan et Sébastien Courivaud sont intégrés tandis que Karine Lollichon n'y figure plus, bien qu'elle continue de jouer dans la série. Manuela Lopez et Nicolas Bikialo sont crédités à la place de Rochelle Redfield et de Sébastien Roch (qui viennent alors de quitter la série) à partir de l'épisode 193. La plupart des autres images du générique changent également [2].

Acteurs secondaires[modifier | modifier le code]

Épisodes[modifier | modifier le code]

La série est diffusée quotidiennement par TF1, en quatre « saisons » : du au (épisodes 1 à 28), du au (épisodes 29 à 97), du au (épisodes 98 à 177) et du au (épisodes 178 à 227 puis 234 à 278). Plusieurs épisodes, notamment les deux derniers, resteront longtemps inédits en France.

Commentaires[modifier | modifier le code]

La série est dérivée de Premiers Baisers (Hélène Girard étant à l'origine un des personnages secondaires de Premiers Baisers, dont l'héroïne est sa sœur cadette Justine), elle-même étant dérivée de Salut les Musclés. L'idée de cette série serait venue au producteur Jean-Luc Azoulay, alias Jean-François Porry, en constatant la grande popularité du personnage d'Hélène (et de son interprète, l'actrice Hélène Rollès) dans Premiers Baisers.

En France, la série lance une mode des séries sur la vie de collège, la même année que Lycée alpin dans l'émission Giga, après les productions nord-américaines comme Beverly Hills, Les Années collège, Sois prof et tais-toi![3].

Comme pour les autres sitcoms d'AB Productions, les tournages d'Hélène et les Garçons se font à la chaîne, dans le but de produire environ un épisode par jour. Toutes ces sitcoms, filmées en studio et sans public, ont recours à des rires enregistrés en fond sonore (ou « rires en boîte ») lors des passages humoristiques. Le tournage a été principalement réalisé dans des studios de la Plaine Saint-Denis (144, avenue du président Wilson) durant toute la durée de la série.

Critiques[modifier | modifier le code]

Dès son apparition à l'écran, Hélène et les Garçons est cible de violentes critiques dans la presse.

Elles visent le manque de réalisme de la série, en s'attardant notamment sur l'image, jugée peu crédible, qu'elle donne de la vie estudiantine. En effet, au cours des 280 épisodes de la sitcom, les personnages ne sont jamais filmés en cours[4] et on les voit assez peu réviser leurs examens. Ils sont plus souvent montrés en train de discuter autour d'un jus de fruits à la « cafète », ou encore dans le garage où les garçons répètent leurs morceaux musicaux. Ainsi, un journaliste de Globe Hebdo écrira : « Tout comme Dallas fit croire aux Albanais que l'Occident c'était les filles et les bagnoles, Hélène fait croire aux recalés de la réussite scolaire que l'université ce sont les filles (ou les garçons) et la cafétéria »[5].

Les critiques reprochent à la série de mettre en scène un univers mièvre et aseptisé, qui ne reflèterait ni la réalité sociale ni la complexité des rapports humains. Un article de L'Événement du jeudi décrit la série en ces termes : « C'est une sorte de conte de fées moderne : des petits jeunes gens vivent sans angoisse du chômage, ça doit reposer les téléspectateurs de voir des enfants qui n'ont pas de problème avec des parents ex-soixante-huitards, divorcés... On a les Tristan et Yseult qu'on mérite. »[5] Selon la revue Les Lettres françaises, les personnages de la série « vont tout droit vers la réussite individuelle dans un monde sans guerre, sans parents emmerdeurs, sans drogue, sans sida, sans chômeurs, sans immigrés, sans profs, sans extérieurs, sans banlieue, sans voyages, sans avenir »[5].

Les détracteurs de la série estiment aussi qu'elle aborde avec une pudeur excessive les relations amoureuses et la sexualité (José et Bénédicte, les seuls personnages partageant momentanément une vie commune, ne sont d'ailleurs jamais mis en scène à leur domicile). Télérama résume : « Ici, même à 20 ans passés, on se contente de flirter. »[5] Certains critiques estiment que la série défend une vision réactionnaire de la société : « Rapports hommes-femmes, la ségrégation est de mise et les échanges sont d'une consternante pauvreté : chambres séparées, rencontres qui ne tournent qu'autour de l'amour, rôles traditionnels revendiqués jusqu'à la caricature... (...) Les héros d'Hélène et les Garçons marchent à grands pas vers toutes les normalisations de l'âge adulte, mais avec une imagination lobotomisée » (Le Monde diplomatique)[5].

Le jeu des acteurs est également dénigré. La sociologue des médias Dominique Pasquier résume : « Les comédiens d'Hélène jouent le moins possible. Entendons par là qu'ils travaillent le style amateur comme d'autres comédiens travaillent leur professionnalisme »[6]. Des critiques similaires sont faites à propos des autres séries d'AB Productions qui envahissent l'antenne de TF1 les mois suivants (Le Miel et les Abeilles, Les Filles d'à côté, etc.), galvaudant l'image des sitcoms en général[7], avant la diffusion française de Friends.

Introduction de faits de société et censure[modifier | modifier le code]

Conséquence possible des accusations d'« irréalisme » portées à l'encontre de la série, des faits de société seront évoqués dans certaines intrigues, notamment sous l'impulsion de la scénariste Emmanuelle Mottaz. Ainsi, au fil des épisodes, Christian sombre dans l'alcool (épisodes 55/56), Johanna et Christian se rapprochent d'une secte New Age (épisode 83), Laly est dépitée d'apprendre l'homosexualité d'un garçon qu'elle convoite (épisode 133), Linda puis Nathalie tentent de se suicider en avalant un tube de somnifères (épisodes 147 et 198) puis Linda fait une fausse couche (épisode 203), Thérèse est victime de harcèlement sexuel (épisode 155), Nathalie échappe à un viol collectif (épisode 188) puis craint d'avoir été contaminée par le sida après une relation non protégée avec Thomas Fava (épisode 208), Taxi souffre de kleptomanie (épisode 262)... Tant de rebondissements qui rapprochent la série d'un soap opera.

Le problème de la drogue sera quant à lui évoqué à deux reprises. Tout d'abord, dans les épisodes 105 à 109, Christian sombre au point d'être retrouvé dans le caniveau les bras pleins de traces de piqûres, avant de s'en sortir grâce au soutien de ses amis. Plus tard, alors qu'elle enregistre un disque avec le producteur Thomas Fava, Hélène est droguée à son insu, en mangeant un space cake. Pour ne pas risquer de voir l'image de son héroïne ternie, TF1 choisit de ne pas diffuser les épisodes évoquant cette mésaventure (du 228 au 233)[8], épisodes pourtant diffusés sur les télévisions suisse et belge.

Au cours des deux derniers épisodes de la série, le personnage de Taxi est victime d'une tentative de viol en sortant de discothèque. Les garçons décident alors de la venger en allant tabasser les coupables eux-mêmes[9]. La violence du propos incite TF1 à déprogrammer en dernière minute ces deux épisodes et à stopper la série à l'épisode 278.

Un phénomène de société[modifier | modifier le code]

Lors de sa première diffusion française, la série bénéficie d'une promotion assurée en grande partie par le Club Dorothée (autre émission d'AB Productions), où ses acteurs, à commencer par Hélène Rollès, sont invités à plusieurs reprises. Hélène et les Garçons attire alors chaque jour 4 à 6 millions de téléspectateurs, soit jusqu'à 52 % de parts de marché, permettant à TF1 de rajeunir son public. Certains épisodes sont suivis par 90 % des filles et des femmes de 4 à 24 ans[10]. Hélène et les Garçons remplace ainsi avec succès le feuilleton Santa Barbara. La série est également diffusée en Belgique, en Suisse, en Espagne, en Norvège, en Grèce, en Russie et dans de nombreux pays de l'Est. Une version germanophone (pour la RTL+) et une version anglophone sont également un temps annoncées, avant d'être abandonnées, tout comme un projet de film.

Cette opposition entre des critiques virulentes et un succès indiscutable fait d'Hélène et les Garçons un phénomène de société, présent en une de nombreux journaux à l'époque. En 1999, la sociologue Dominique Pasquier a consacré un ouvrage au succès de la série, en se basant sur l'étude du courrier adressé à ses acteurs.

Depuis la fin du Club Dorothée, la série a été rediffusée sans cesse en France, sur les chaînes du groupe AB (AB1 et NT1), mais aussi sur Filles TV ou NRJ 12. Dans chaque cas, les épisodes autrefois censurés par TF1 ont été diffusés. Hélène et les Garçons a également été au centre d'un « buzz », courant 2008, quand les images de la bagarre du dernier épisode ont circulé sur internet sur la musique du titre Stress de Justice (dont le clip original mettait en scène la violence urbaine).

Un outil promotionnel pour AB Productions[modifier | modifier le code]

Le succès de la série permet aussi à AB Productions d'assurer à moindre coût la promotion de sa filiale AB Disques. La chanson du générique (Pour l'amour d'un garçon), interprétée par Hélène Rollès elle-même, atteint la quatrième place du Top 50 en France et reste classée dix semaines dans les dix meilleures ventes, lançant ainsi la carrière de chanteuse d'Hélène, dont le premier album, sorti en 1989, n'avait pas connu le succès. De plus, à partir de Peut-être qu'en septembre, chaque nouveau single d'Hélène sert de générique de fin à la série, tout comme les chansons de Christophe Rippert dans Premiers Baisers ou celles de Mallaury Nataf dans Le Miel et les Abeilles.

Certaines chansons sont même incluses dans la trame de la série, qui joue sur l'identification entre l'actrice-chanteuse Hélène Rollès et son personnage. Ainsi, on voit l'héroïne enregistrer en studio la chanson Pour l'amour d'un garçon, dont il est expliqué qu'elle a été composée par son petit ami Nicolas pendant son service militaire, ou encore Peut-être qu'en septembre, dont Christian a signé le texte et Nicolas la musique. Généralement, c'est l'une de ces chansons qui illustre les scènes, constituées de flashbacks, où les personnages repensent au passé. Plus tard, Adeline écrit les paroles d'un titre composé par les garçons, qu'elle interprète avec eux sur scène : Parce que c'était écrit comme ça, qui lance au même moment la carrière musicale de l'actrice Manuela Lopez.

Enfin, surfant sur la popularité du personnage de « Cri-Cri d'amour », AB Productions va assurer la distribution du premier album de l'acteur Sébastien Roch, Silences[11], dont le premier extrait, Au bar de Jess, reste 16 semaines au Top 50[12].

La série sur Internet[modifier | modifier le code]

Avec Internet, la série est immortalisée grâce à d'innombrables sites créés par des fans. De nombreuses vidéos également (clips, montages photos ou vidéos mettant en scène les personnages) sont publiées sur Internet, si bien que le réalisateur Morgan Delaunay a décidé de réaliser un documentaire, Une étoile pas comme les autres, entièrement consacré à Hélène Rollès et au succès d'Hélène et les Garçons[13].

En 2016, le Groupe TF1 rediffuse les épisodes de la série via sa chaîne XTRA[14]. À la fin de la même année, le groupe AB la met progressivement à disposition sur sa chaîne YouTube consacrée aux sitcoms[15].

La série a sa propre chaîne 24/24H sur la plateforme gratuite en ligne Pluto TV depuis le [16].

Génériques[modifier | modifier le code]

Générique début[modifier | modifier le code]

Le générique reprend un extrait de la chanson Pour l'amour d'un garçon, interprété par Hélène (et dont les paroles sont écrites par Jean-François Porry).

Génériques fin[modifier | modifier le code]

Le générique fin reprend initialement la version instrumentale du titre Pour l'amour d'un garçon. À partir de la rentrée 1993, ce générique est modifié pour accompagner la sortie des nouveaux singles d'Hélène, y compris lors de rediffusions. Ainsi, les titres suivants sont utilisés à tour de rôle :

La chanson Parce que c'était écrit comme ça de Manuela est exceptionnellement utilisée pour l'épisode 250, qui se clôt par un concert de son personnage qui interprète cette chanson.

Diffusions internationales[modifier | modifier le code]

La série a été diffusée dans différents pays dans le monde, parfois de façon partielle. Elle a, en particulier, connu des diffusions régulières en Russie.

  • Hongrie : Hélène és a fiúk sur Duna Televízió et RTL Klub
  • Italie : Hélène e i suoi amici sur Italia 1
  • Norvège : Helene og gutta sur TV 2 (rediffusion en 2006 sur TV2 Zebra[17])
  • Pologne : Helena i chłopcy sur Polonia 1
  • République tchèque: Helena a její chlapci sur TV Nova
  • Russie : Элен и ребята sur 1-й канал Останкино ; Le miracle de l'amour a également été diffusé, sous le même titre
  • Ukraine : Елен і друзі sur ORT

En 1994, AB a également tenté d’exporter la série, en produisant des versions en langue étrangère, tournées dans les mêmes studios que les épisodes français, avec les mêmes décors.

  • en langue allemande : Alle lieben Julia (26 épisodes diffusés par RTL Television[10])
  • en langue anglaise : Helen and the boys (non diffusée)[18]

On peut souligner que, dans cette adaptation en anglais, le rôle d'Helen est interprété par Lynda Lacoste, tandis que Rochelle Redfield reprend son rôle de Johanna.

Dans la version en allemand, on peut retrouver Babsie Steger (Hilguegue dans Salut les Musclés, une autre série AB Productions), dans un rôle équivalent à celui de Nathalie dans la version française.

Produits dérivés[modifier | modifier le code]

Sorties vidéo[modifier | modifier le code]

  • La série est sortie en DVD chez France Loisirs en 17 volumes (2008-2010).
  • La série est ressortie en 5 coffrets 10 DVD le chez Fnac et Amazon.

Livres[modifier | modifier le code]

Une collection « roman-clip » est éditée par ABH (filiale du groupe AB) en 1994. Chaque volume contient la novélisation d’un épisode, avec quelques pages de photos incluses[19]

  1. Première rencontre (ISBN 978-2-01-512002-7)
  2. Le nouveau garçon (ISBN 978-2-01-512003-4)
  3. Lettres d’amour (ISBN 978-2-01-512001-0)
  4. Une nuit ensemble (ISBN 978-2-01-512000-3)
  5. Mon cœur balance (ISBN 978-2-01-512008-9)
  6. Jeux dangereux (ISBN 978-2-01-512009-6)
  7. Panne de garçons (ISBN 978-2-01-512010-2)
  8. Missions impossibles (ISBN 978-2-01-512020-1)
  9. Un bébé sur les bras (ISBN 978-2-01-512021-8)
  10. Une étoile est née (ISBN 978-2-01-512022-5)
  11. Faute de conduite (ISBN 978-2-01-512039-3)
  12. Les rois de la drague (ISBN 978-2-01-512038-6)
  13. Folie romantique (ISBN 978-2-01-512037-9)
  14. Nuits blanches (ISBN 978-2-01-512040-9)
  15. L'avenir en rock (ISBN 978-2-01-512041-6)
  16. Liaison fatale (ISBN 978-2-01-512042-3)

En 1994, les éditions Montjoie (également liées au groupe AB) publient un livre reprenant l'histoire de quelques épisodes, ainsi que la présentation des comédiens : La saga Hélène et les Garçons (ISBN 978-2-908248-61-6).

Séries dérivées[modifier | modifier le code]

Depuis l'arrêt de ses tournages, Hélène et les Garçons a fait l'objet de trois séries dérivées, réunissant plusieurs de ses personnages importants (dont Hélène Girard), dans différentes étapes de leur vie :

Notes[modifier | modifier le code]

  1. « Hélène et les garçons - L'Encyclopédie des Séries TV », sur Toutelatele.com (consulté le )
  2. Les génériques successifs, sur heleneetlesgarçons.wifeo.com.
  3. Le Monde, « GIGA : FRANCE 2, 17 h 10 Au lycée Arthur-Rimbaud », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  4. Notez l'absence des salles de cours parmi les lieux récurrents de la série.
  5. a b c d et e Critiques répertoriées dans l'ouvrage de Dominique Pasquier, La Culture des sentiments, l'expérience télévisuelle des adolescents, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, p. 4-5.
  6. Dominique Pasquier, La Culture des sentiments, l'expérience télévisuelle des adolescents, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, p. 72.
  7. Ainsi, un article de L'Expansion consacré à Hélène et les Garçons, datant du 21 octobre 1993, donne une définition inexacte et péjorative du terme sitcom : « feuilleton modeste par le coût et léger de ton, dont il n'est pas mortel de manquer un épisode ».
  8. Article de Télé Poche évoquant la censure de ces épisodes.
  9. Voir l'extrait vidéo.
  10. a et b « Hélène et son business », sur l'Expansion.com, .
  11. Sébastien Roch, l'artiste maudit d'AB, sur Sitcomologie.com
  12. Les Charts.com
  13. « Hélène et les garçons - Bande Annonce » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).
  14. TF1.fr La série revient sur XTRA !
  15. « HÉLÈNE ET LES GARÇONS - L’intégralité de la série (Sitcom AB) », sur YouTube (consulté le )
  16. « Pluto TV s’offre les séries d’AB Productions », sur Franceinfo, (consulté le )
  17. (no) TV 2 AS, « Romantikk, vennskap og intriger », sur TV 2 (consulté le )
  18. « Helen and the Boys (Hélène et les garçons USA) », sur youtube.com (consulté le )
  19. Leslibraires.fr, « www.leslibraires.fr », sur www.leslibraires.fr (consulté le )
  20. Info2télé.com

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Dominique Pasquier, La Culture des sentiments, l'expérience télévisuelle des adolescents, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, 1999

Liens externes[modifier | modifier le code]