Guémar

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Guémar
Guémar
L'hôtel de ville de Guémar.
Blason de Guémar
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Colmar-Ribeauvillé
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Ribeauvillé
Maire
Mandat
Umberto Stamile
2020-2026
Code postal 68970
Code commune 68113
Démographie
Gentilé Guémariens
Population
municipale
1 438 hab. (2021 en augmentation de 8,12 % par rapport à 2015)
Densité 79 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 11′ 22″ nord, 7° 23′ 51″ est
Altitude Min. 172 m
Max. 193 m
Superficie 18,22 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Colmar
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sainte-Marie-aux-Mines
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Guémar
Liens
Site web http://www.ville-guemar.fr/

Guémar est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le 1er janvier 2021, dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est. Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace. Ses habitants sont appelés les Guémariens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Guémar fait partie du canton de Sainte-Marie-aux-Mines et de l'arrondissement de Colmar-Ribeauvillé. Les habitants sont connus sous le nom de Guémariens. Guémar est située à 14 km au nord de Colmar, 10 km au sud de Sélestat en venant de Strasbourg et à 6 km à l'est de Ribeauvillé. On peut accéder à Guémar en prenant la sortie 20 de l'autoroute A35 puis en accédant à la route départementale D 106.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Zellenberg, Illhaeusern, Colmar, Ostheim, Ohnenheim, Sélestat, Bergheim, Ribeauvillé et Saint-Hippolyte.

Cours d'eau[modifier | modifier le code]

Les cours d'eau traversant le village sont :


Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Alsace, caractérisée par une pluviométrie faible, particulièrement en automne et en hiver, un été chaud et bien ensoleillé, une humidité de l’air basse au printemps et en été, des vents faibles et des brouillards fréquents en automne (25 à 30 jours)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 542 mm, avec 7,8 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergheim-Inra », sur la commune de Bergheim à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 664,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,9 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Guémar est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,8 %), forêts (18,3 %), zones urbanisées (4,9 %), prairies (4,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Anciens noms[14] : Ghermari, Ghosmari (768) ; Gasmaringa (776) ; Guirmari (777) ; Germeri (777) ; Garmaringam (854) ; Kermere (885) ; Gemare (953) ; Gemirre (1278-1493) ; Gemer (1350) ; Geremer (XIIe siècle) ; Gemer (1278) ; Gemer (1354) ; Guémar (1793).

Histoire[modifier | modifier le code]

Guémar (Ghermari) est déjà mentionné en 768 par Pépin le Bref. Il fut donné par Widon à l'abbé Fulrad, abbé de Saint-Denis, qui le donna au prieuré de Lièpvre[15]. Le village appartenait au VIIIe siècle à Widon. Le comte Widon (Widonides), de la dynastie franque, futur marquis de Bretagne a cédé également à l'abbé Fulrad des comtés en Alsace et dans le Saulnois. Outre Guémar, le comte Widon possédait aussi des terres à Orschwiller (Andaldoville), Ribeauvillé (Ratbertovillare) et d'autres villages proches de Colmar. La pêche est une activité principale, un port et un bac sont mentionnés dès 1298. En 1340, Guémar fut entourée par des remparts, et elle obtient le statut de ville en 1369.

Au XIVe siècle, le bourg se compose de deux villages, Ober-Guémar et Nieder-Guémar, qui se développent autour de deux cours domaniales.

La Seconde Guerre mondiale

La commune a été décorée, le , de la croix de guerre 1939-1945[16].

Une chapelle[modifier | modifier le code]

Ulric de Ribeaupierre fonda près de Guémar en 1262, une chapelle dédiée à saint Maximin[17], évêque de Trèves[18],[19]. Elle devint au Moyen Âge un pèlerinage très fréquenté, mais fut détruite pendant la Révolution. Après rétablissement du culte, le pèlerinage fut transféré dans l'église paroissiale de Guémar. Celle-ci fut construite en 1741 et on y conserve encore une statue de saint Maximin remontant au début du XVIe siècle[20].

Un château[modifier | modifier le code]

Le château appelé Molckenbourg, fut construit en bois en 1287 par Rodolphe de Habsbourg, pour tenir en respect Anselme de Ribeaupierre. Quelques années plus tard il fut fortifié, ce qui ne l'empêcha pas d'être pris et détruit en 1293 par Cuno de Berckheim[21]. Relevé la même année par Anselme, il fut à nouveau ravagé par un incendie deux ans plus tard, et en 1396, Guémar fut assiégé par les Strasbourgeois. Maximin de Ribeaupierre y ayant accueilli plusieurs gentilshommes qui faisaient le métier de brigands. Situé dans l'évêché de Bâle, le château fut assiégé auparavant en 1396 par les Bâlois[22] puis des assaillants venu de Strasbourg, de Colmar et de Sélestat. En 1403, le château est donné en fief au Margrave Bernard de Baden et devient objet de convoitise. En 1406, les copropriétaires du château se mettent d'accord sur le nombre de soldats à envoyer et sur le coût de l'opération[23]. Il servit de résidence d'été aux seigneurs de Ribeauvillé, et ne fut démoli qu'en 1783[24].

Héraldique[modifier | modifier le code]


Blason de Guémar

Les armes de Guémar se blasonnent ainsi :
« De sinople à une herse sommée d'une croix pattée d'or et soutenue d'un poisson contourné d'argent, le tout accompagné de trois écussons d'or, deux en chef et un en pointe. »[25]

Ayant le statut de ville, Guémar possède des armoiries depuis très tôt, mais faute d'archives, leur représentation n'est connu que depuis le XVIe siècle. Leur signification serait la suivante :

  • le fond vert, pour les grands pâturages guémariens ;
  • la herse et le poisson, pour les deux principales corporations de la cité, les agriculteurs et pêcheurs ;
  • la croix rappelle les premiers propriétaires, les abbayes de Saint-Denis et de Murbach ;
  • les trois écussons, ceux des Ribeaupierre auxquels Guémar appartenait de 1471 jusqu'à la Révolution.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2008 François Haas    
mars 2008 En cours
(au 31 mai 2020)
Umberto Stamile [26]
Réélu pour le mandat 2020-2026
UMP-LR Artisan carreleur
Président de la Communauté de communes
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Drapeau de la France Gardonne (France)

Finances locales[modifier | modifier le code]

En 2015, les finances communales était constituées ainsi[27] :

  • total des produits de fonctionnement : 1 321 000 , soit 950  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 1 026 000 , soit 738  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 306 000 , soit 220  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 787 000 , soit 566  par habitant ;
  • endettement : 8 000 , soit 6  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 11,27 % ;
  • taxe foncière sur le bâti : 4,50 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 23,07 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 50,60 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 15,64 %.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 1 438 habitants[Note 4], en augmentation de 8,12 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9078151 0311 2801 4881 4941 4681 5741 546
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
1 3841 4241 4041 3501 3011 3361 2891 2191 208
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1831 1011 013960981974951878801
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
8418471 0021 0511 1621 3141 3511 3621 337
2018 2021 - - - - - - -
1 4111 438-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique
Le début du village, près de la porte haute.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Guémar et les communes environnantes.

[33]

Église Saint-Léger[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Léger[35] fut construite en 1741 sur un terre-plein à l'extrémité est de l'agglomération fortifiée. Elle a été construite dans un style baroque. Le clocher remonte au XIVe siècle et reste le seul témoignage des édifices antérieurs. Vers le VIIIe siècle, l'abbaye de Murbach possède des biens dans le village et y fonde une église. En 1278 et 1302, une église et son cimetière fortifié sont mentionnés dans le village. Des travaux et des transformations se sont succédé depuis 1742. La toiture du clocher est refaite en 1772 et la nef est réparée et blanchie en 1774. On y conserve une statue de saint Maximin depuis 1807 dans la chapelle nord.

Le grand orgue à positif est l'œuvre des frères Callinet de Rouffach, en 1843[36],[37].

Presbytère catholique[modifier | modifier le code]

L'ancien presbytère fut construit en 1723 et 1724 au no 1 impasse du Cercle. Aujourd'hui, il se situe à l'emplacement d'une ancienne prison. La date gravée sur le linteau de la porte d'entrée indique qu'il fut construit en 1831. Depuis la Révolution, le curé résidait à la mairie, l'actuel périscolaire. Ce bâtiment s'appuie contre une tour du mur d'enceinte dont ne subsiste que la base, remployée comme terrasse[38],[39],[40],[41].

La porte haute ou Obertor (1400)[modifier | modifier le code]

La porte haute date de l'année 1400 et était l'une des portes d'entrée du village qui était cerné par un mur d'enceinte fortifié. Des travaux de rénovation ont été nécessaires pour réparer l'érosion subie à travers les siècles. Depuis début août 2009, les travaux de restauration sont achevés. L'entrée du village trouve ainsi son lustre d'autan et un blason tout neuf[42].

Séchoirs à tabac[modifier | modifier le code]

Cinq séchoirs à tabac furent construits par l’État en 1950 pour permettre aux planteurs de reprendre leurs activités après la destruction des séchoirs-hangars d'avant-guerre. Entièrement fabriqués en bois, ils possèdent de grands volets à claire-voie, ce qui permet une bonne circulation de l'air. Les terrains sur lesquels ils furent bâtis appartenaient à la commune, mais les tabaculteurs étaient copropriétaires ou locataires. Il ne reste actuellement que trois des cinq séchoirs d'origine[43].

Tours d'enceinte du XIVe et XVIe siècles[modifier | modifier le code]

Il existe deux tours d'enceinte, l'une située 5, rue du Château qui était commune aux remparts du XVIe siècle. La tour est couverte par un toit octogonal qui comporte quatre niveaux d'ouverture: des archères oblongues aux premiers et deuxième niveaux, des meurtrières au troisième et des jours au quatrième. Situé à l'angle ouest des fortifications de la ville, le château fort est restauré en 1580 par Egenolphe III de Ribeaupierre. À partir du XVIe siècle la tour est dénommée Molckenbourg, et sert de résidence d'été aux Sires de Ribeaupierre. Le corps de logis formait un quadrilatère flanqué de deux grosses tours rondes. Un double fossé, séparé par une cour, défendait le château du côté du village. L'enceinte qui entourait la ville protégeait sur ses flancs extérieurs. Durant la guerre de Cent Ans, il subit deux sièges consécutifs et il est incendié en 1675. En ruine, le logis principal est rasé entre 1785 et 1788 et ses matériaux de construction sont récupérés. Les dépendances et la basse-cour ont été détruites lors des combats de , et seules demeurent encore les tours, désormais restaurées, correspondant au raccord des enceintes de la ville et du château.

Tour Rousseau[modifier | modifier le code]

La tour Rousseau, récemment acquise par la commune, vestige des anciennes fortifications de Guémar, a été mise en valeur tout récemment à la suite du défrichement du terrain mitoyen avec celui de la ville. Les ouvriers communaux ont défriché l'endroit, ce qui a eu pour effet de mettre l'ensemble en valeur. La commune va faire des travaux sur la toiture de la tour pour empêcher des infiltrations d'eau à l'intérieur. Cette tour enceinte comporte un encadrement de porte de style gothique en grès, surmonté d'un linteau daté de 1572. Les murs ont près de deux mètres d'épaisseur. Laissé à l'abandon pendant plusieurs décennies, l'ensemble (tour, et mur d'enceinte attenant) a été entièrement remonté pierre par pierre avec beaucoup de patience par un particulier, Gérard Rousseau, un mordu des vieilles pierres entre 1976 et 1981, d'où le nom de tour Rousseau donnée à cette vieille bâtisse entièrement remontée. Située sur le flanc sud-est des anciennes fortifications de la ville, au confluent du Muehlbach et de la Fecht, cette tour d'enceinte (Tour D, selon la nomenclature historique) faisait partie intégrante du dispositif de la cité depuis le XVIe siècle. À proximité de cette tour s'élevait une seconde enceinte dénommée "Fischertor" ou porte des pêcheurs, en référence aux pêcheurs établis sur le confluent (Ladhof)[44],[45].

Une canardière[modifier | modifier le code]

Près de Guémar existe une canardière, où l'on attrapait autrefois chaque hiver, une grande quantité de canards sauvages (entre 7000 et 8000) dans les bonnes années. Cette canardière est située à mi-chemin de Guémar et d'Illhaeusern et a été créée par les seigneurs de Ribeaupierre, chasseurs et pécheurs passionnés. La Canardière est devenue un lieu de pêche depuis 1967. L'étang peu profond, s'étend sur un hectare au centre d'un terrain rectangulaire de quatre hectares de prés, plantés d'ormes, de chênes et de frênes, où peuvent se promener paons et canards. Il y existe un espace de jeux pour enfants constitué d'un toboggan et d'une balançoire. Le site est géré par l'Association pour la Restauration et la Conservation de la Canardière (ARCC)[46].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Guémar et Bergheim », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Bergheim-Inra », sur la commune de Bergheim - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Bergheim-Inra », sur la commune de Bergheim - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Colmar », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Georges Stoffel - Dictionnaire topographique du département du Haut-Rhin (1868)
  15. Le prieuré de Lièpvre fondé en 760-770 était à l'époque le monastère le plus important de la région. Il avait reçu des legs importants de plusieurs seigneurs, de Pépin le Bref, de Carloman et de Charlemagne
  16. Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
  17. Dictionnaire géographique, historique et statistique du Haut et du Bas-Rhin, par Jacques Baquol, 1851, page 146
  18. « Chapelle Saint-Maximin », notice no IA68006085, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  19. La chapelle Saint-Maximin
  20. Notice no IM68009257, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Statue : Saint Maximin
  21. L'Alsace ancienne et moderne, ou Dictionnaire géographique, historique et statistique du Haut et du Bas-Rhin.
  22. Chronik von Basel, Dr. Josef Rosen, 1971.
  23. Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 172.
  24. « Château-fort de Molkenbourg », notice no IA68006070, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. Archives Départementales du Haut-Rhin
  26. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  27. « Les comptes de la commune », sur alize2.finances.gouv.fr (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « École primaire », notice no IA68006066, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Hôtel de ville (maison du greffier), actuellement école », notice no IA68006067, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Fontaine », notice no IA68006086, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Eglise paroissiale Saint-Léger », notice no IA68006064, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Notice no IM68009264, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue de l'église paroissiale Saint-Léger
  37. Inventaire de l'orgue
  38. « Presbytère, actuellement maison », notice no IA68006071, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Presbytère », notice no IA68006069, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=IA68006069 », sur www.culture.gouv.fr (consulté le ).
  41. Jean-Luc Flohic, Le Patrimoine des Communes du Haut-Rhin, , 1405 p., p. 959.
  42. « Restes des anciennes fortifications », notice no PA00085451, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. Guémar Regards sur le XXe siècle, Strasbourg, Commune de Guémar / Carré blanc éd., , 224 p. (ISBN 978-2-84488-128-1 et 2-84488-128-9), p.21.
  44. « Fortification d'agglomération », notice no IA68006068, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. « Ancienne enceinte », notice no PA00085450, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « Site de la Canardière - Guémar - Site officiel de la commune », sur www.ville-guemar.fr (consulté le ).
  47. Fiche biographique sur le site de l'Ordre de la Libération