Guitinières

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Guitinières
Guitinières
L'église fortifiée de Guitinières.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Jonzac
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute Saintonge
Maire
Mandat
Jean-Philippe Potier
2020-2026
Code postal 17500
Code commune 17187
Démographie
Gentilé Guitiniérois
Population
municipale
485 hab. (2021 en diminution de 6,01 % par rapport à 2015)
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 26′ 32″ nord, 0° 30′ 33″ ouest
Altitude Min. 27 m
Max. 66 m
Superficie 9,18 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Jonzac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Jonzac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Guitinières
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Guitinières
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Guitinières

Guitinières est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Guitiniérois et les Guitiniéroises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Relief[modifier | modifier le code]

Le relief est légèrement vallonné avec des altitudes qui varient de 27 à 66 m.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée, à l'ouest du bourg par la Maine (ou Rochette), affluent de la Seugne, sur une longueur de 5 km. La Maine définit au nord-ouest la limite avec la commune de Saint-Sigismond-de-Clermont. Au sud, le confluent du Tarnac (ou Font-Maigret[2] ou ruisseau de Fanioux) et de la Maine dessine la limite avec Nieul-le-Virouil.

La commune est rattachée à la circonscription du bassin Adour-Garonne suivant les lignes de partage des eaux[3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Les terres agricoles occupent 86,5 % du sol, les forêts et les milieux semi-naturels en représentent 12,4 %[3]. Le sud et l'ouest de la commune sont dans le périmètre de la forêt de la Lande. Les terres viticoles sont situées en zone d'appellation « Fins Bois » des crus de Cognac[4].

Une déchetterie gérée par l'ADEME a été aménagée dans le sud de la commune[5].

Climat[modifier | modifier le code]

La zone est soumise à un climat océanique aquitain avec des hivers doux, des étés tempérés et des précipitations élevées en automne et en hiver.

Hameaux et lieux-dits d'habitation[modifier | modifier le code]

Outre le bourg, le territoire de la commune compte plusieurs hameaux et lieux-dits : la Rochette, Chez Blandin, Chez Durandet, Charpreau, le Clône, la Picoulade, les Maisons Neuves.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée d'est en ouest par la route départementale 148 (RD 148) qui relie Celles à Port-Vitrezay.

La route nationale 137 (RN 137) reliant Saint-Malo à Bordeaux passe à 6 km du bourg. Elle est accessible en suivant la RD 148 jusqu'au lieu-dit de la Bergerie, sur la commune de Nieul-le-Virouil. La sortie « Mirambeau » (no 37) de l'autoroute A10 qui relie Paris à Bordeaux est à 10 km.

De 1896 à 1938, Guitinières fut desservie par la ligne de tramway Saintes-Saint-Fort-sur-Gironde-Jonzac de la compagnie des Chemins de Fer Économiques des Charentes (CFEC)[6]. Les rails ont été déposés par les troupes allemandes pendant la Seconde Guerre mondiale pour être utilisés comme matériaux de construction du mur de l'Atlantique.

La gare de Clion-sur-Seugne est à 5 km au nord de Guitinières.

La gare de Jonzac est à 7 km à l'est : elle est située sur la voie ferrée Nantes-Bordeaux où circulent les Intercités Nantes-Bordeaux-Toulouse. Une navette d'autocars Pons -Jonzac-Meux-Barbezieux-Angoulême assure la liaison avec la ligne de TGV Paris-Bordeaux.

L'aérodrome de Jonzac - Neulles est à 10 km.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Guitinières est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Jonzac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,5 %), zones agricoles hétérogènes (18,8 %), forêts (12,5 %), prairies (11 %), cultures permanentes (9,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Guitinières est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Rochette et le ruisseau Tarnac. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2010[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Guitinières.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[16]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 18,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 253 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 28 sont en aléa moyen ou fort, soit 11 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[13].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de Guitinières serait apparu vers le XIIIe siècle comme la plupart des noms de lieux se terminant par le suffixe « -ière » qui dérive du bas latin aria (lui-même dérivé du latin classique area) et signifie «terre à bâtir, domaine», en particulier dans l'ouest de la France[20],[21]. Le préfixe Guitin-, dont on peut supposer qu'il s'agissait du propriétaire du lieu, vient peut-être d'Aquitanus (d'Aquitaine) par affaiblissement du q intervocalique en g[22], comme dans aequalem qui a donné égal ou Aquistriae qui a donné Guîtres[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ce qui est aujourd'hui la commune de Guitinières se trouvait à proximité de la voie romaine de Saintes à Blaye passant par Pons et Plassac, trajet qui fut ensuite emprunté par les pèlerins vers Saint-Jacques de Compostelle[24].

À partir de 1152, la Saintonge devient une possession d'Henri II Plantegenêt, duc d'Anjou et d'Aquitaine, roi d'Angleterre. Les seigneurs de Pons, vassaux des Lusignan, comtes de Poitou, prêtent allégeance à son fils Richard Cœur de Lion.

Vers 1200, Renaud II de Pons (en), aîné du second mariage d'Agnès d'Angoulême avec Geoffroy III de Pons (en), aurait eu en partage le château du Viroul (aujourd'hui sur la commune de Nieul-le-Virouil) ainsi que la Châtellenie de Plassac[25], qui contrôlait entre autres le territoire sur lequel s'étend aujourd'hui la commune de Guitinières[24].

Un vase en argile à anse double contenant près de 2 000 pièces de monnaie féodale fut découvert en 1939 dans les soubassements d'une maison de Guitinières[24]. L'analyse des pièces a suggéré que le trésor avait été enfoui entre 1223 et 1242[24]. Plus de 80 % étaient des deniers d'Aquitaine frappés du sceau de Richard Cœur de Lion[24]. Ce trésor appartenait probablement à un commerçant ou paysan aisé, soucieux de préserver son avoir. Dans la première moitié du XIIIe siècle, la région fut en effet le lieu d'affrontements itératifs entre le parti du roi de France et celui du roi d'Angleterre, duc d'Aquitaine. À la guerre s'ajoutaient les attaques de bandits. Ainsi en 1236 des bandes armées ont pillé la région, se réclamant au service de la Maison de Lusignan, sous le prétexte de préparer une nouvelle croisade.

Ce fut Renaud VI (vers 1343-1426), seigneur de Pons et de Viroul qui par une action déterminée en faveur du roi de France renversa définitivement les alliances et concourut au ralliement de l'Aquitaine au royaume de France, qui mit finalement un terme à la guerre de Cent Ans.

Geoffroy d'Aydie, vicomte de Castillon fut le fondateur de la branche des Guitinières[26],[27],[28]. Il était le troisième fils d'Odet d'Aydie (1455-1534) et d'Anne de Pons, fille cadette de Guy de Pons (1431-1510) et d'Isabel de Foix. Antoine d'Aydie (décédé en 1627), petit-fils de Geoffroy d'Aydie, épousa en 1589 Jeanne Eyquem de Montaigne (décédée en 1614), fille de Geoffroy Eyquem de Montaigne (1547-1613)[29], conseiller au Parlement de Bordeaux[26]. Elle était la cousine germaine de Michel Eyquem de Montaigne.

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2014 Jacqueline Goyeau    
2014 En cours Jean-Philippe Potier   Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Région[modifier | modifier le code]

À la suite de la mise en application de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont le chef-lieu est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

Population et Société[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 485 habitants[Note 3], en diminution de 6,01 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
524507540534507488480503484
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
490471470459477470439445417
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
394387383381353403366368380
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
371371378327343371392400419
2015 2020 2021 - - - - - -
516495485------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34 % la même année, alors qu'il est de 34,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 268 hommes pour 262 femmes, soit un taux de 50,57 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (47,85 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,6 
90 ou +
0,8 
7,6 
75-89 ans
7,4 
27,2 
60-74 ans
23,3 
22,8 
45-59 ans
26,2 
13,2 
30-44 ans
15,1 
12,0 
15-29 ans
13,0 
15,5 
0-14 ans
14,2 
Pyramide des âges du département de la Charente-Maritime en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,6 
9,7 
75-89 ans
12,4 
21,9 
60-74 ans
23,1 
20,2 
45-59 ans
19,8 
16,2 
30-44 ans
15,7 
15,2 
15-29 ans
12,8 
15,6 
0-14 ans
13,7 

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2012, le taux de chômage (9,7 %)[36] est un peu inférieur à la moyenne nationale (10,6 %)[37]. Parmi les personnes de plus de 15 ans ayant un emploi (49,3 % des habitants de la commune), 79,1 % sont des salariés (67,5 % sont fonctionnaires ou en CDI). Les non-salariés sont soit des indépendants (9,3 % des actifs ayant un emploi), soit des employeurs (11,4 %). Les actifs sont 80,8 % à travailler dans une autre commune[36].

Logement[modifier | modifier le code]

La grande majorité des logements sont des maisons individuelles (94,2 %), comportant 4 pièces ou plus (78,3 %). Ces maisons sont le plus souvent des résidences principales (78,2 %), dont 46,6 % ont été construites depuis 1946. Les occupants sont propriétaires dans 74,3 % des cas. Les résidences secondaires et logements occasionnels représentent 15,1 % de l'ensemble des logements, ce qui est inférieur à la moyenne en Charente-Maritime (21 % en 2007) mais supérieur à la moyenne des communes hors littoral (8,3 %)[38].

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'académie de Poitiers, en Zone A du calendrier scolaire ; elle administre une école élémentaire d'une quarantaine d'élèves[39].

Les établissements d'enseignement secondaire les plus proches se situent à Jonzac (7 km), Saint-Genis-de-Saintonge (8 km) et Mirambeau (10 km) : il s'agit des collèges Léopold Dussaigne à Jonzac, Maurice Chastang à Saint-Genis-de-Saintonge, Didier Daurat à Mirambeau, et des lycées Jean Hyppolite à Jonzac, du lycée professionnel agro-viticole Le Renaudin à Jonzac et du lycée agricole privé Saint-Antoine à Saint-Genis-de-Saintonge.

Les universités les plus proches sont l'université de Bordeaux (83 km) et l'université de La Rochelle (113 km).

Sport et culture[modifier | modifier le code]

La commune de Guitinières partage avec celle de Nieul-le-Virouil une association sportive, l'ASGN (Association sportive de Guitinières et Nieul), qui propose un club de football et diverses autres activités telles que des randonnées pédestres[40]. Les Hirondelles Guitinières, club affilié à la Fédération française d'éducation physique et de gymnastique volontaire (FFEPGV) propose des activités physiques et sportives[41]. La commune dispose en outre d'une ACCA (Association Communale de Chasse Agréée).

La bibliothèque de Guitinières, en cours d'informatisation, fait partie du réseau des Médiathèques de Haute-Saintonge[42].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Romain, Guitinières.

L'église Saint-Romain, édifiée au XIIe siècle dans le style roman, a été fortifiée au XVIIe siècle. Elle a fait l'objet d'inscriptions au titre des monuments historiques en 1925 et 2000[43].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Les gentilés de Charente-Maritime
  2. Victor Belliard, Nieuil-le-Virouil : souvenirs du temps passé / par V. Belliard,..., (lire en ligne)
  3. a et b « Guitinières - Mon Environnement en Poitou-Charentes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur macommune.observatoire-environnement.org (consulté le ).
  4. « Communes ayant pour spécialité Cognac%20Fins%20Bois », sur ville-infos.com (consulté le ).
  5. « Déchetterie de Guitinières : horaires et accès », sur horaires-dechetteries.fr (consulté le ).
  6. « Réseau des Economiques des Charentes », sur rue_du_petit_train.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
  7. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Guitinières », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  17. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Guitinières », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  20. François de Beaurepaire, « Les finales en — ière et — (e)rie dans les noms de lieux habités de Basse-Normandie », Cahier des Annales de Normandie, vol. 26,‎ , p. 277–281 (DOI 10.3406/annor.1995.2271, lire en ligne, consulté le )
  21. Eusebe Salverte, Essai Historique sur Les Noms D'Hommes, de Peuples, et de Lieux, (lire en ligne)
  22. Joseph Anglade, Grammaire élémentaire de l'ancien français, Armand Colin, (lire sur Wikisource), chap. 2, pp. 33-73
  23. Annuaire historique pour l'année, J. Renouard, (lire en ligne)
  24. a b c d et e Albert Bronfenbrener, « Le trésor de Guitinières », Revue numismatique, vol. 6, no 11,‎ , p. 271-288 (lire en ligne)
  25. Jean-Baptiste-François-Auguste La Châtaigneraye, Lettre macédoinique à MM. les co-opérateurs de l'omnisana intitulé :, (lire en ligne)
  26. a b et c François-Alexandre Aubert de la Chesnaye des Bois, Dictionnaire généalogique, héraldique, chronologique et historique, contenant l'origine et l'état actuel des premières maisons de France, des maisons souveraines et principales de l'Europe.., Duchesne, (lire en ligne)
  27. a et b Scevole et Louis de Sainte-Marthe, Histoire genealogique de la maison, de France. Rev. et augm. en cette edition des deux precedentes maisons royales. - Paris, Buon 1628, Buon, (lire en ligne)
  28. a et b Michel de Castelnau, Jean Godefroy d'Aumont, Jean Le Laboureur et Norbert Heylbrouck, Les mémoires de messire Michel de Castelnau seigneur de Mauvissière: illustrez et augmentez de plusieurs commentaires et manuscrits ; servans à donner la vérité de lʹhistoire des règnes de François II, Charles IX et Henry III et de la régence et du gouvernement de Catherine de Médicis ; avec les eloges des rois, reines princes ..., Jean Léonard, (lire en ligne)
  29. « Informations généalogiques »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur genealogie33.org (consulté le ).
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  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Guitinières (17187) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente-Maritime (17) », (consulté le ).
  36. a et b « Insee - Commune de Guitinières (17187) - Dossier complet », sur insee.fr (consulté le ).
  37. « Insee - Indicateur - La hausse du taux de chômage se poursuit au quatrième trimestre 2012 », sur insee.fr (consulté le ).
  38. Olivier Aguer, Eric Vergeau, « Les résidences secondaires : une composante du développement et de l'attractivité de la région. », Décimal, Insee Poitou-Charentes, no 288,‎ (lire en ligne)
  39. « Annuaire : présentation des écoles, collèges, lycées, etc. », sur Ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (consulté le ).
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  41. ex-alto.com, « Trouver un club ffepgv », sur sport-sante.fr (consulté le ).
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  43. « Eglise Saint-Romain », sur Base Mérimée, (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]

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