Guipry

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Guipry
Guipry
La mairie.
Blason de Guipry
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Redon
Intercommunalité Vallons de Haute-Bretagne communauté
Statut Commune déléguée
Code postal 35480
Code commune 35129
Démographie
Gentilé Guipryen
Population 3 744 hab. (2013)
Densité 74 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 49′ 32″ nord, 1° 50′ 29″ ouest
Altitude 39 m
Min. 3 m
Max. 115 m
Superficie 50,35 km2
Élections
Départementales Redon
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Guipry-Messac
Localisation
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Guipry

Guipry est une ancienne commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne. Elle a fusionné le avec Messac pour former la commune de Guipry-Messac.

Ses habitants, qui étaient 3744 en 2013, sont appelés les Guipryens et les Guipryennes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Guipry se situe au nord de Redon sur la rive droite de la Vilaine. Elle fait face à la ville de Messac située sur la rive gauche.
Les deux bourgs sont reliés par les ports de Guipry et de Messac. La Vilaine qui borde le territoire a été un important moyen de communication et une route commerciale qui acheminait des marchandises. Aujourd'hui, le port de Guipry est resté actif par le tourisme fluvial.

Superficie[modifier | modifier le code]

Avec ses 50,35 km2, Guipry est la quinzième plus grande commune du département. Juste derrière Rennes avec 50,39 km2, et devant Plélan-le-Grand avec 49,74 km2.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Guipry est mentionné pour la première fois au VIIe siècle sous les formes Wicbry vers 710, Uuiperiaca [Vicaria] en 834 dans le cartulaire de l'Abbaye Saint-Maur de Glanfeuil à Saint-Maur-sur-Loire, aujourd'hui Le Thoureil[1], Wipperica [Vicaria] en 843[2], Guicbri en 913[3], Guipri en 1101, Guipreio en 1163, Guipre en 1330, Guipri en 1351, Guibry au XVIe siècle[4].

D'après les formes les plus anciennes, le premier élément Gui- représente le vieux breton guic (prononcer [gwic]) qui signifie « bourg, agglomération ». Il est lui-même issu du latin vicus de même sens. Le second élément -bri est peut-être un nom de personne breton, ce qui confèrerait à Guicbri la signification suivante : « le bourg (le vicus) de Bri (du nommé Bri) ».
Cette hypothèse est renforcée par la présence de plusieurs colonies ou paroisses bretonnes qui s'étaient fixées à l'ouest de la Vilaine. Ces colons, vraisemblablement d'origine domnonéenne avaient pour nom : Anast (Maure-de-Bretagne; Plebs Anast en 832, Anast en 867 - 871, Ec. de Maura en 1152), Winnon (> Guignen; Vicaria Winnona en 843, Guinnon en 1108) ou encore Bri (> Guipry)[5].

La ville est aussi appelée Gwipri en breton[6], et Gipri en gallo[6].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Plusieurs alignements et menhirs dressés sur le territoire de la commune attestent d'une présence humaine dès le Néolithique. Certains sites, désormais complètement disparus, ont ainsi fait l'objet de descriptions assez précises au XIXe siècle : alignement de sept menhirs à Mâlon-Fougères, menhir du Petit-Laval, ensemble mégalithique du Rocher de la Coudrais. Aujourd’hui, il ne subsiste plus qu'un seul menhir de l'alignement de la Beaucelaie et que sept blocs épars de celui de la Chevallerie[7].

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

Le site de Baron est une motte féodale. Située désormais en pleine forêt, cette butte de terre était le socle d'une forteresse en bois ayant servi au début du Moyen Âge. Il permettait de surveiller le passage fluvial et ainsi de prévenir un éventuel danger[8]. Elle fut détruite par les Anglais en 1345.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Le port de Guipry a connu un vif succès économique avec le commerce du sel. Avec son moulin, aujourd'hui restauré, ce monument possède un véritable moulin à eau, construit en plusieurs parties.

Révolution française[modifier | modifier le code]

La population de la commune est favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795[9].

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

L'instituteur Julien Richard, issu de l'École normale de Rennes, est surpris en arrivant à Guipry vers 1850 de trouver les gens « prévenus contre lui » ; le curé et les vicaires lui disent qu'ils feront ce qu'ils pourront pour lui nuire et favoriser l'école des Frères dans laquelle ils donnent des leçons. Ils lui conseillent même de quitter Guipry[10].

Dans la campagne guipryenne, se situe le site de Corbinières et ses nombreux chemins de randonnée. Le viaduc de Corbinières, se situe lui sur les communes de Messac et de Langon. Ce viaduc a été réalisé au XIXe siècle lors de la construction de la ligne Rennes - Redon et a la particularité de posséder des arches obliques, pour lui permettre de soutenir un poids énorme.

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

La Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Guipry porte les noms de 145 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[11].

Louis Bellamy, né en 1894 à Guipry, soldat au 47e régiment d'infanterie, fut fusillé pour l'exemple le à Sainte-Catherine (Pas-de-Calais) pour « abandon de poste suite à mutilation volontaire »[12].

La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Guipry porte les noms de 24 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[11].

L'après-Seconde-Guerre-mondiale[modifier | modifier le code]

Un soldat originaire de Guipry, René Letertre, est mort pendant la guerre d'Algérie[13].

Fusion avec Messac[modifier | modifier le code]

Au , la commune a fusionné avec la commune voisine de Messac, pour former la commune nouvelle de Guipry-Messac.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Guipry

Les armes de Guipry se blasonnent ainsi :

Écartelé : au 1) d’azur au chef coupé de sinople et d’argent, à la nef aussi d’argent voguant sur une mer du même et brochant sur l'argent du chef, aux 2) et 3) d’or au filet en sautoir de gueules cantonné de quatre étoiles de sable, au 4) d’azur au chef coupé de sinople et d’argent, à la tente adextrée d'un feu brochant sur une nuée, le tout aussi d'argent, brochant sur l'argent du chef.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs de Guipry[14]
Période Identité Étiquette Qualité
10 décembre 1944 30 juin 1948 Joseph Havard   Agent d'assurances
Réélu en 1945 et 1947, démissionnaire
11 juillet 1948 22 mars 1959 Joseph Lemoine
(1888-1970)
  Réélu en 1953
Chevalier du Mérite agricole
22 mars 1959 5 janvier 1966 Joseph Daniel   Entrepreneur
Réélu en 1965, démissionnaire
28 janvier 1966 24 mars 2001 Emmanuel Chérel
(1928-2020)
  Retraité de la Défense nationale, maire honoraire
Président de la CC du canton de Pipriac (1995 → 2001)
Réélu en 1971, 1977, 1983, 1989 et 1995
24 mars 2001 21 mars 2008 Louis Janvier DVD Agent général d'assurances retraité
21 mars 2008 31 décembre 2015 Bernard Boulais DVD Entrepreneur agricole, adjoint au maire (2001 → 2008)
Réélu en 2014

Résultats politiques[modifier | modifier le code]

Élection présidentielle de 2007[modifier | modifier le code]

Au premier tour de l'élection présidentielle de 2007, on remarque que les résultats restent proches de la moyenne nationale.
Ségolène Royal totalisant 25,77 % des suffrages, se place derrière Nicolas Sarkozy, qui rassemble 27,94 % des électeurs.

Résultats de l'élection au premier tour :

Candidat Nicolas Sarkozy Ségolène Royal François Bayrou Jean-Marie Le Pen Olivier Besancenot Philippe de Villiers Arlette Laguiller Frédéric Nihous Dominique Voynet José Bové Marie-George Buffet Gérard Schivardi
À Guipry : % 27,94 25,77 20,67 10,76 5,57 3,40 1,51 1,32 1,18 0,80 0,76 0,33
Moyenne nationale : % 31,18 25,87 18,57 10,44 4,08 2,23 1,33 1,15 1,57 1,32 1,93 0,34
Source : ministère de l'Intérieur

Résultats au second tour : 50,10 % pour Nicolas Sarkozy, 49,90 % pour Ségolène Royal, 86,67 % de participation.

Élections cantonales de 2011[modifier | modifier le code]

La ville de Guipry participe aux élections cantonales de 2011, faisant partie du canton de Pipriac.

Résultats des élections au premier tour :
Lors du premier tour de ces élections cantonales, le taux d'abstention était de 58,24 % soit 1421 inscrits sur 2440.
Enfin 3,14 % des suffrages étaient blancs.

Candidat Alain-François Lesacher Franck Pichot Cédric Abdilla Jean Mauvoisin Vincent Haloua
Étiquette Alliance centriste PS FN Europe Écologie Les Verts PCF
A Guipry : % 35,06 30,40 20,36 10,94 3,24
Voix 346 300 201 108 32
Canton : % 35,33 33,73 16,64 11,80 2,50
Source : Ministère de l'Intérieur

À la fin du premier tour les candidats, Alain-François Lesacher avec 35,33 % des votes du canton et Franck Pichot 33,73 %, se retrouvent en ballottage pour le second tour.

Résultats des élections au second tour :
Lors du premier tour de ces élections cantonales, le taux d'abstention était à Guipry de 56,35 % soit 1375 inscrits sur 2440.
Enfin 5,73 % des suffrages étaient blancs.

Candidat Franck Pichot Alain-François Lesacher
Étiquette PS Alliance centriste
A Guipry : % 55,38 44,62
Voix 556 448
Canton : % 58.89 41.11
Source : Ministère de l'Intérieur

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[16],[Note 1].

En 2013, la commune comptait 3 744 habitants, en augmentation de 6,42 % par rapport à 2008 (Ille-et-Vilaine : 5,31 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 5602 6672 9552 9883 2123 2513 2723 2083 270
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 2063 1883 3813 2363 2113 3233 3083 3563 366
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 4033 4003 2362 8862 8002 7792 8012 6532 565
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2013
2 4702 5302 4822 5252 5782 9913 2273 6233 744
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
Histogramme de l'évolution démographique

Structures de la population[modifier | modifier le code]

Pyramide des âges, du dernier recensement de 2007[19], de la population de Guipry.

Pyramide des âges en 2007 en nombre d’individus.
HommesClasse d’âgeFemmes
90 à plus
10 
109 
75 à 89
162 
216 
60 à 74
219 
352 
45 à 59
324 
381 
30 à 44
363 
270 
15 à 29
250 
397 
0 à 14
355 

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune compte un monument historique :

  • le château des Champs, construit au XVIIe siècle et considérablement agrandi au XVIIIe siècle en utilisant notamment des matériaux provenant du château de Lohéac. Le château et ses dépendances, pour leurs façades et toitures, ainsi que sa chapelle, son four et ses douves, ont été inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du [20].

Autres monuments et sites :

  • L'église Saint-Pierre, (XIe ou XIIe siècle - XXe siècle). L’existence de l’église est attestée dès 1152. Si l’église a globalement gardé sa structure romane (trois vaisseaux, plan en croix latine à chevet plat), elle a subi de nombreuses modifications depuis. Le clocher-porche fut construit au XVIIIe siècle. En 1929, l’architecte Depais fait modifier les baies et reprend totalement l’intérieur jusqu’à en rendre les dispositions d'origine difficilement lisibles. Les chapiteaux corinthiens de la nef sont sculptés à cette époque par Bouvier[21]. Les parties romanes les mieux préservées sont le porche sud à trois voussures, en réemploi, et l’extérieur du chevet plat, soutenu par trois et percé de deux étroites fenêtres de plein cintre qu’on discerne bien qu’elles aient été rebouchées (la baie murée qu'on devine au pignon fut percée ultérieurement)[22].
  • Le site de Baron, possession des comtes de Laval. En 1513, le comte de Laval déclare posséder « un lieu où il y a murailles et apparences de maison antique, qu'on appelle Baron, des dépendances de sa seigneurie de Lohéac »[23].
  • Le site de Corbinières
  • Le château de la Provostière avec sa forêt
  • Le site de Chaumeray
  • L'écluse de Mâlon
  • L'ancienne minoterie sur la Vilaine

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Liste des établissements scolaires
Écoles maternelles Écoles primaires


La ville ne possédant pas de collège, les établissements les plus proches pour les écoliers sont à Bain-de-Bretagne avec les collèges, du Chêne-Vert et Saint-Joseph (privé).
À Maure-de-Bretagne avec le collège du Querpon, et à Pipriac avec le collège Saint-Joseph (privé).

Pour le lycée, c'est la même situation, les collégiens peuvent poursuivre leur scolarité à Bain-de-Bretagne, au lycée Jean-Brito ou au lycée Saint-Yves (privé).
À Bruz au lycée Anita-Conti ou dans les villes de Rennes et Redon grâce à la ligne SNCF Rennes - Redon.

Service de secours[modifier | modifier le code]

  • La ville possède un nouveau centre de secours, situé au nord de la ville, dans la zone industrielle de Pelouaille.
  • Elle possède aussi une antenne de la protection civile d'Ille-et-Vilaine, située dans l'ancien bâtiment du centre de secours.

Vie quotidienne[modifier | modifier le code]

De nombreux commerces se trouvent sur la commune.

Le sport[modifier | modifier le code]

Pour la pratique du sport, les Guipryens et Guipryennes disposent d'une multitude d'activités sportives :

La commune dispose d'un parcours santé, d'une piscine municipale de plein air et d'un terrain de beach-volley

La culture[modifier | modifier le code]

  • Cinéma associatif de la commune, L'Alliance.
  • Tous les deux ans, au mois de septembre, a lieu, avec l'association des communes de Messac-Guipry, le festival Riv' en Zic.

Transports[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

En ce qui a trait aux transports routiers, la ville est traversée par :

La ville est également desservie par une route structurante en cours de mise à 2×2 voies :

Réseau ferroviaire[modifier | modifier le code]

Avec la gare de Messac - Guipry, la ville est à équidistance des gares de Rennes et Redon.
Cette dernière met la ville de Guipry à seulement 20 minutes des deux villes.
Guipry est desservie par des trains TER Bretagne circulant sur les lignes no 04 Rennes - Nantes, no 08 Rennes - Messac-Guipry et no 15 Rennes - Redon.

Réseau fluvial[modifier | modifier le code]

Avec la Vilaine, le port de Guipry est resté actif de façon touristique, surtout durant la période estivale.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Cartulaire de l'abbaye de Saint-Maur-sur-Loire. Archives d'Anjou, I,362. Cité par La Borderie, II,176 et Erwan Vallerie - Communes bretonnes et paroisses d'Armorique, éditions Beltan, 1986, p. 106
  2. " Language monographs", William Edward Collinson, Waverly Press, incorporated, 1937, page 61
  3. "Language monographs", William Edward Collinson, Waverly Press, incorporated, 1937, page 61
  4. Site de KerOfis - Office de la langue bretonne : formes anciennes (+) de Guipry [1]
  5. Pierre Lebreton, Guipry, Histoire d'un Pays breton, Le Groupement breton des Pays de Vilaine, 1995
  6. a et b « L'actualité dans sa globalité », sur Geobreizh (consulté le ).
  7. Jacques Briard, Loïc Langouët et Yvan Onnée, Les mégalithes du département d'Ille-et-Vilaine, Rennes, Institut culturel de Bretagne et Centre régional d'archéologie d'Alet, coll. « Patrimoine archéologique de Bretagne », , 122 p. (ISBN 9782868220929), p36
  8. Source : guipry-ma-ville.over-blog.com
  9. Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399
  10. Gilbert Nicolas, "Instituteurs entre politique et religion", éditions Apogée, 1993, (ISBN 2-909275-11-6)
  11. a et b Memorialgenweb.org - Guipry : monument aux morts
  12. Anne Lessard, « 14-18. 51 fusillés bretons et toujours pas de réhabilitation », sur Le Telegramme, (consulté le ).
  13. Memorialgenweb.org - René LETERTRE
  14. Liste des maires successifs de Guipry, archives municipales.
  15. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  16. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
  19. recensement insee
  20. Notice no PA00090598, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  21. « Église paroissiale Saint-Pierre (Guipry fusionnée en Guipry-Messac en 2016) », sur patrimoine.bzh.
  22. « Guipry », sur infobretagne.com.
  23. Christel Douard et Jean Kerhervé, Manoirs : Une histoire en Bretagne, Châteaulin, Locus Solus, , 215 p. (ISBN 978-2-36833-338-9), p. 32.
  24. Journal Ouest-France du 28 janvier 2015 Texte en ligne

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]