Guingamp
Guingamp | |||||
L'Hôtel de Ville de Guingamp. | |||||
Blason |
Guingamp | ||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Côtes-d'Armor (sous-préfecture) | ||||
Arrondissement | Guingamp (chef-lieu) | ||||
Intercommunalité | Guingamp Communauté | ||||
Maire Mandat |
Philippe Le Goff 2014-2020 |
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Code postal | 22200 | ||||
Code commune | 22070 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Guingampais | ||||
Population municipale |
7 003 hab. (2014) | ||||
Densité | 2 054 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
21 572 hab. (2008) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 33′ 48″ nord, 3° 09′ 00″ ouest | ||||
Altitude | Min. 62 m Max. 126 m |
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Superficie | 3,41 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Guingamp (chef-lieu) | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
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Liens | |||||
Site web | ville-guingamp.fr | ||||
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Guingamp [gɛ̃gɑ̃] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne.
Géographie
Localisation
Située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne, la ville se situe à 110 km de Brest et 130 km de Rennes. La Préfecture, Saint-Brieuc est distante de 32 km à l'est. Historiquement, Guingamp (Gwengamp en breton) appartient au Tregor (Bro Dreger).
Guingamp est traversée par le Trieux.
Communes limitrophes
Plouisy | Pabu | |||
N | Saint-Agathon | |||
O Guingamp E | ||||
S | ||||
Grâces | Ploumagoar |
Géologie et relief
La région de Guingamp est marquée géologiquement par la chaîne cadomienne : au sud-ouest, le complexe de Belle-Isle-en-Terre (gabbros et péridotites) caractérise le bassin arrière-arc de cette chaîne. Guingamp est marquée par le métamorphisme intense de roches sédimentaires en migmatites et granitoïdes.
Voies de communication et transports
Voies routières
Transport ferroviaire
La gare de Guingamp se situe sur la ligne Paris-Montparnasse - Brest, qui la relie à la capitale en 3 h 20.
Deux lignes de réseaux secondaires, les ligne de Guingamp à Carhaix et ligne de Guingamp à Paimpol, permettent de joindre Carhaix et Paimpol.
Toponymie
Le nom en breton de la ville est Gwengamp, sans doute issu de gwenn “blanc”, et kamp (latin campus) “champ”. Le sens étymologique serait donc “champ blanc”, peut-être “champ laissé en friche”[1].
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Moyen-Âge
Le Penthièvre fut un temps réduit à un petit comté dit « de Guingamp ».
Les trois châteaux successifs
Les fouilles menées par Laurent Beuchet dans le château de Guingamp ont mis en évidence les trois châteaux construits successivement sur le même site. Un premier château, construit vers 1030, situé sur une motte féodale, entouré d'un fossé circulaire d'une profondeur de 5 m creusé dans le rocher ; les bâtiments étaient en bois, de même que la tour-porte rectangulaire reposant sur six poteaux qui en défendait l'entrée. Un second château, construit en pierre, est édifié au XIIe siècle ; son enceinte fortifiée est polygonale, les angles étant renforcés de contreforts, selon un modèle alors très courant dans le domaine des Plantagenêt. Un troisième château, de plan carré, avec d'imposantes tours circulaires aux quatre angles, adaptées à l'artillerie de l'époque, est construit au milieu du XVe siècle ; ce troisième château est resté inachevé, en raison des tensions existant alors entre le duché de Bretagne et le royaume de France, qui obligent le duc François II à privilégier les châteaux situés à l'est, aux marges de son duché, comme Dinan, Fougères ou Nantes[2].
Époque moderne
Guingamp est citée pour avoir participé à la Révolte des Bonnets rouges ou Révolte du papier timbré survenue en 1675. Trois émeutiers y furent pendus.
Révolution française
La ville de Guingamp prit activement part à la Révolution de 1789. Fin 1792, Pierre Boullon, notable, révolutionnaire montagnard, fut élu maire, en remplacement de Pierre Guyomar parti siéger à la Convention. À partir de mai 1793, deux comités de surveillance se mettent en place en ville. Le fait que deux comités soient mis en place dans une ville aussi modeste atteste d'une opinion très favorable au pouvoir Jacobin et à la nouvelle République, mise en place en septembre 1792. Guingamp, est également chef-lieu de district depuis 1790. Présidé par Vistorte, ce district comportait 38 communes autour de la ville. Dans chacune fut mis en place un comité de surveillance, mais les archives départementales conservent les documents d'une vingtaine seulement.
Les personnages principaux de l'époque de la « Terreur » furent des modérés tels que Charles Hello, Yves-Marie Salpin avocat, membre du district et du comité dit « De la Délivrance », ainsi qu'un « Enragé », Olivier Rupérou. L'historien Hervé le Goff détaille ces faits avec précision dans son ouvrage « Les riches heures de Guingamp, des origines à nos jours ». Les archives sont consultables aux Archives Départementales de Saint-Brieuc, dans la section 100L.
À Guingamp, sous la Révolution, aucune exécution n'est à noter. Par contre, les récoltes sont catastrophiques et l'approvisionnement des marchés s'avère souvent maigre. Pas de guillotine, et aucune chouannerie. En revanche, la participation active des Guingampais dans les guerres de Vendée, du côté républicain. Quelques troubles en 1794, avec la menace de chouans venus de l'est du département.
Le XIXe siècle
Le XXe siècle
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Administration municipale
Voici ci-dessous le partage des sièges au sein du Conseil municipal de Guingamp :
Listes candidates aux élections municipales de mars 2014 | Tête de liste | Effectif | Statut | |
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Guingamp, Construisons l'avenir ! | Philippe Le Goff | 21 | Majorité | |
Guingamp Autrement | Yannick Kerlogot | 5 | Minorité | |
Guingamp Ensemble | Pierre Pasquiou | 3 | Minorité |
Liste des maires
Jumelages
Population et société
Démographie
L’aire urbaine de Guingamp regroupe six communes qui totalisent 23 000 habitants[3], Guingamp, Plouisy, Ploumagoar, Grâces, Pabu et Saint-Agathon.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[4]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[5],[Note 1].
En 2014, la commune comptait 7 003 habitants, en diminution de −5,08 % par rapport à 2009 (Côtes-d'Armor : 1,65 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Enseignement
Établissements éducatifs
Guingamp relève de l'académie de Rennes. Voici ci-dessous la liste des principaux établissements scolaires de la commune : Guingamp a la chance de pouvoir compter de nombreuses écoles, collèges et lycées publics et également privés. Sa population en saisons scolaires est ainsi très jeune.
Listes des écoles
Écoles primaires (maternelles et élémentaires)
Collèges
Lycées
Formations post bac :
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Langue bretonne
L’adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le Conseil municipal le 8 juillet 2008.
À la rentrée 2013, 197 élèves étaient scolarisés à Diwan et dans les classes bilingues (soit 17,4 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[8].
Manifestations culturelles et festivités
Festival de la Saint-Loup
Le Festival de la Saint-Loup - Concours national de la danse bretonne et Festival international, sous la direction de Jean-Pierre Ellien, se tient tous les ans vers la mi-août. Il se termine toujours par la traditionnelle danse : la Dérobée de Guingamp. Les principaux invités sont l’Écosse, l’Irlande, la Galice, les Asturies, le Pays de Galles, et autres artistes du monde entier. Guingamp est la capitale de la danse bretonne.
La danse est très présente dans les activités culturelles de la ville et l’office culturel organise une semaine de la danse créative contemporaine.
La ville du camellia
La ville est en outre connue pour la promotion de la culture du camellia à l'initiative de Fanch Ar Moal, grand spécialiste breton et international du camellia qui est maintenant soutenu par une nouvelle association dévouée à cette cause.
Santé
La ville dispose d'une clinique, ainsi que d'un hôpital.
Sports
En Avant de Guingamp
La ville abrite un club de football professionnel En Avant de Guingamp. Ce club ayant joué en Ligue 1 entre 1995 et 1998 puis de 2000 a 2004 et depuis août 2013. Il est souvent lié à des investissements très conséquents, par rapport à la petite population de la ville. Le stade du Roudourou compte ainsi 18 256 places pour une population de Guingamp sous les 8 000 habitants. C'est l'une des plus petites agglomérations à être à ce niveau dans le monde[9]. Parmi les clubs de supporters, on compte: le Kop rouge, les Red boys.
Le Stade du Roudourou a accueilli la rencontre France-Iles Féroé, comptant pour les éliminatoires de la Coupe du monde de football de 2010 (groupe 7), qui a eu lieu le 10 octobre 2009.
Début septembre 2012, l'équipe de France Féminine a joué à Guigamp, contre l'Irlande; match gagné 4 à 0, par les bleues, tout justes revenues des Jeux olympiques de Londres, où elles avaient fini quatrièmes. Match qualificatif de l'Euro 2013.
L'En Avant de Guingamp a remporté la Coupe de France de football 2008-2009 en battant le Stade Rennais 2-1, devenant ainsi le deuxième club de deuxième division à remporter la compétition et devenant la plus petite ville à gagner celle-ci.
Le 18 mai 2013, à l'issue de la 37ème journée du championnat de Ligue 2, grâce à sa victoire sur le GFC Ajaccio (1-0), l' En Avant de Guingamp rejoint de nouveau à la Ligue 1 qu'il avait dû quitter 9 ans auparavant.
L'En Avant se qualifie pour un remake de la finale remporté en 2009, à l'issue d'une victoire contre l'AS Monaco au prolongation 3 - 1 grâce à un doublé de Yatabaré et un but de Atik sur des passes de Giresse et de Langil contre un but de Berbatov pour Monaco.
Le 3 Mai 2014, l'En Avant Guingamp retrouve donc le Stade Rennais FC pour cette finale de la Coupe de France. Une nouvelle fois l'EAG s'impose au Stade de France, 2 à 0, et ramène un second trophée dans les Côtes d'Armor. Le club est ainsi qualifié pour la ligue Europa.
Le 11 décembre 2014, l'En Avant Guingamp se qualifie pour les 16es de finale de la ligue Europa après avoir terminé 2e de sa poule derrière la Fiorentina.
Roller
Guingamp Roller Skating est une association sportive principalement axée sur la course.
Handball
Canoë-Kayak
Les Guingampais disposent d'un club, situé au moulin de la ville. La navigation se fait sur le Trieux.
Médias
L'hebdomadaire du pays de Guingamp est L'Écho de l'Armor et de l'Argoat.
Économie
Emploi
À l'identique de la population totale de la ville, la population active décroit entre 1999 et 2007.
En 1999, la population des 15 à 64 ans est de 5 190, contre 4 976 en 2007.
Les actifs (2 995 hab.) représentent 60,2 % de la population, et le nombre de chômeurs (530) fait ressortir un taux de chômage de 17,7 %.
Revenus de la population et fiscalité
En 2007, le revenu net imposable moyen par foyer fiscal est de 15 712 €.
38,5 % des foyers fiscaux sont imposés.
Entreprises de l'agglomération
- Dolmen SA : entreprise de confection textile
Commerce
La ville possède une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie des Côtes-d'Armor et fait partie de la technopole Anticipa gérée par l'Agence de développement industriel du Trégor.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Pierre II[10].
- Basilique Notre-Dame de Bon Secours (XIe-XVIe siècle) Classé MH (1914)
- Abbaye Sainte-Croix de Guingamp fondée vers 1135
- Fontaine de la Plomée Classé MH (1902)
- Stade du Roudourou
- Château des Salles
Vie militaire
Unité militaire ayant été en garnison à Guingamp :
Lieux culturels
La ville possède :
- une médiathèque moderne, située en plein centre ville à l’emplacement des anciens remparts de la vieille ville ;
- un Centre culturel de culture bretonne et celtique ;
- un théâtre municipal où l’Office culturel organise de nombreux spectacles issus des scènes nationales françaises ;
- une salle consacrée aux expositions de photographies et d’art contemporain dans l’ancienne chapelle de la mairie ;
- un Centre social et un Foyer de jeunes travailleurs qui ont une activité culturelle soutenue qui se poursuit dans quelques bars dynamiques de la ville dans lesquels se produisent des orchestres de différents courants musicaux.
Personnalités liées à la commune
- Havoise de Guingamp[11]
- Pierre II de Bretagne (1418-1457), duc de Bretagne et fils de Jean V.
- Roland de Coatgoureden (XIVe siècle), chevalier du Moyen Âge, sénéchal du duc Charles de Blois, dont l'enfeu surmonté d'un tableau polychrome en relief est placé dans la Basilique Notre Dame de Bon Secours de Guingamp. (Sur le tableau de pierre du tombeau figure la scène médiévale où le bienheureux Charles de Blois présente à la Sainte Vierge et à l'enfant Jésus, le chevalier de Coatgoureden en armure, accompagné de son fidèle destrier armorié).
- François Valentin (1738-1805), peintre.
- Pierre Guyomar (1757-1826), maire de la ville 1790-1792, député à la Convention nationale 1792-1795, député au Conseil des Cinq-Cents 1795-1797, député au Conseil des Anciens 1798-1799, conseiller général du département 1800-1809, maire de la ville 1813-1814 et durant les Cent-Jours en 1815.
- Jean Conan' (1765-1834), né au faubourg de Sainte-Croix, soldat des armées de la Révolution et de l'Empire.
- Yves Marie Pastol (1770-1813), général
- François Valentin, peintre
- Alphonse François Le Hénaff (1821-1884), artiste peintre et fresquiste, né dans la ville.
- L'Abbé Urbain Onfray désigné aussi sous le nom de Onfray-Kermoalquin, ainsi que sous celui de Onfroy-Kermoalquin (1803-1871). Auteur de "Études sur les villes bretonnes : Guingamp, éditions Benjamin Jollivet, 1846.Lors de la guerre de 1870, il rejoint l'armée du général de Kératry en tant qu'aumonier militaire et meurt au camp de Conlie.
- Pierre Thielemans(1825-1898), organiste d'origine belge de la basilique Notre-Dame après 1865 et compositeur de musique, compositeur de nombreuses pièces sur le thème de Bretagne, certaines étant jouées dans les manifestations régionalistes.
- Auguste Ollivier (1828-1916), député et sénateur. fiche
- Théodule Ribot(1839-1914), le père de la psychologie française.
- Auguste Pavie,(1847-1925), explorateur, diplomate et haut fonctionnaire français.
- Louis Ollivier (1853-1931), député. http://www.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche.asp?num_dept=5602
- Guy Ropartz' (1864-1955), compositeur, directeur des Conservatoires à rayonnement régional de Nancy puis de Strasbourg
- Erwan ar Moal (1874-1957), écrivain de langue bretonne, journaliste, humaniste, philosophe et militant chrétien autonomiste breton. Il décida de cesser d'éditer et de publier ses éditions en langue bretonne (Journal « Breiz ») dès le début de l'Occupation allemande en juin 1940
- Théophile Marie Brébant (1889-1965), officier français des Première et Seconde guerres mondiales
- Louis Nicol (1892-1947), général.
- Pierre Loyer (1894-1983), directeur du Service de l'artisanat du régime de Vichy, à l'origine notamment de la Charte de l'artisanat (Vichy).
- Goulven Mazéas (1895-1981), militant autonomiste de la gauche bretonne démocratique, républicaine, fédéraliste et girondine. Il fut aussi un écrivain dont l'œuvre singulière, celtique, poétique et philosophique mérite d’être redécouverte[pourquoi ?].
- Gilbert Renault (1904-1984), héros de la Résistance (le « Colonel Rémy » dans la clandestinité) et écrivain
- Per Even (1919-2002), latiniste et celtisant, écrivain et philosophe chrétien de langue bretonne qui traduisit en breton Le Discours de la méthode'’ de Descartes et les œuvres de Saint Augustin dont les travaux ont été édités par les éditions Imbourc'h'’(Recherche en breton) de Rennes dirigées par Youenn Olier
- Édouard Ollivro (1921-1982), écrivain, ancien maire et député de la ville.
- Georges Voisin, instituteur, humaniste, premier secrétaire de l'Union locale CGT, créée en 1936, créateur et animateur de la colonie de vacances « Les P'tits gars d'En Avant » (de Guingamp) (Brehec en Plouha), mort dans les camps nazis.
- Jacques Trébouta, réalisateur né le .
- Francis Favereau, lexicographe de langue bretonne, professeur et écrivain de langue bretonne né le .
- ' Fanch Ar Moal, grand spécialiste breton et international du camélia
- Cyril Gautier, coureur cycliste chez Europcar.
- Jean-Pierre Elien (14/11/1943, Bourbriac - 18/10/2013 Saint-Brieuc), fondateur du Bagad Gwengamp en décembre 1972, adjoint au maire chargé de la culture de 1998 à 1995, président du festival de la Saint-Loup de 1984 à 2013.
- Yann Andréa (1952-2014), écrivain et dernier compagnon de Marguerite Duras.
Héraldique
Blasonnement :
Fascé d'argent et d'azur de quatre pièces.
Commentaires : Les armes sont celles de la Frérie Blanche. Elles sont incrustées depuis le XIVe siècle au fronton d’une fenêtre de la basilique Notre-Dame de Bon-Secours, au-dessus et à gauche de la Porte-au-Duc. Le même blason figure sur les véhicules municipaux ainsi que sur les plaques indiquant le nom des rues. Mais il existerait une variante hypothétique remontant à l’année 1447 décrivant le blason d’argent à une fasce d’azur et un chef de même[12].
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Voir aussi
Bibliographie
- Le Boulanger (J.-M.), En Avant de Guingamp, 1912-1995 : l'aventure, Éd. A. Bargain, Quimper, 1995, 223 p.
- Rebille (A.), Guingamp et l'Argoat, Éd. Ouest-France, Rennes, 1989, 32 p.
- Soulabaille (A.), Guingamp sous l'Ancien Régime, Presses universitaires de Rennes, Rennes, 1999, 331 p.
- Toulet (S.), Vivre à Guingamp au XIXe siècle, Association des Amis du Pays de Guingamp, Les Presses bretonnes, Saint-Brieuc, 1991, 318 p.
- Le Bulletin des Amis du Pays de Guingamp, devenu aujourd'hui Les Amis du patrimoine de Guingamp (de nombreux articles, réalisés notamment par Simonne Toulet) et Le Pays d'Argoat
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- Regard sur le patrimoine architectural de la ville de Guingamp.
- Laurent Beuchet, in Yves Menez et Stéphane Hingant, "Fouilles et découvertes en Bretagne", éditions Ouest-France, INRAP, 2010 [ISBN 978-2-7373-5074-0]
- site de la ville de Guingamp
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm
- (en) « Which stadiums have a capacity greater than their location's populations? »
- Une notice historique et descriptive du château Pierre II
- Histoire de Guingamp dans la "Revue de Bretagne et de Vendée", Volume 8 de J. Forest, 1860
- Bulletin de l’office de tourisme de Guingamp et de sa région