Guillaume Meurice

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Guillaume Meurice
Guillaume Meurice en .
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ChenôveVoir et modifier les données sur Wikidata
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Rennes (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
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Cours Florent (-)
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France Inter (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
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Guillaume Meurice, né le à Chenôve en Côte-d'Or, est un humoriste et chroniqueur de radio français. Connu pour ses micro-trottoirs et ses chroniques satiriques sur France Inter, il a fondé un groupe de rock humoristique, The Disruptives, dont il écrit les textes, et a publié divers ouvrages littéraires.

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse et formation[modifier | modifier le code]

Guillaume Meurice naît à Chenôve (Côte-d'Or) dans une famille modeste, d'un père cheminot et d'une mère femme au foyer[1],[2],[3].

Alors qu'il est âgé d'environ six ans, la famille emménage à Jussey (Haute-Saône), où ses parents ouvrent une maison de la presse. Adulte, il déclare que cet environnement lui a permis de baigner dans une culture politique et de développer son sens de la répartie et de l'humour[4].

Il obtient un diplôme universitaire de technologie en « gestion d'entreprise et des administrations » à Besançon[3], que par la suite il revendique avoir eu en trichant [3],[5], puis change de voie et commence une carrière artistique au théâtre[6],[7]. Il part pour Paris à vingt-et-un ans et suit des cours de théâtre, notamment le cours Florent. En parallèle, il occupe divers petits emplois qui lui permettent de vivre alors que sa carrière n'est pas encore lancée[7].

Carrière[modifier | modifier le code]

En , Guillaume Meurice crée son premier one-man-show[6]. Initialement intitulé Annulé, le spectacle ne rencontre pas un grand succès les premières années et changera de titre par la suite[7]. Il réalise également quelques caméras cachées dans les rues durant cette période et tient un blog humoristique.

En , son travail est repéré et il est engagé à France Inter au sein de l'émission animée par Frédéric Lopez, On va tous y passer. Il y tient pendant près de trois ans une chronique caustique et se construit un personnage de « comique d'investigation » réalisant des micro-trottoirs[7],[6].

Guillaume Meurice lors de l'enregistrement public de l'émission Si tu écoutes, j'annule tout à Dijon en .

Fort de sa notoriété radiophonique grandissante, il monte un nouveau spectacle en , Que demande le peuple ?[3]. Surtout, il rejoint Alex Vizorek et Charline Vanhoenacker à la fin de l'année pour une nouvelle émission sur France Inter, intitulée Si tu écoutes, j'annule tout (rebaptisée par la suite Par Jupiter ! et, en , C'est encore nous !)[8],[4],[7], avec sa chronique humoristique « Le Moment Meurice », composée de micro-trottoirs caustiques. Poursuivant ses interventions humoristiques ainsi que ses micro-trottoirs, il rencontre le succès auprès du public[9],[10].

À côté de ses activités à la radio et au théâtre, il commence à travailler avec la chaîne télévisuelle Canal+ en , dans La Nouvelle Édition. Cette collaboration s'interrompt toutefois brutalement après une unique chronique lorsque les dirigeants de la chaîne lui interdisent, pour des raisons de sécurité, à la suite de l'attaque terroriste de Charlie Hebdo, de présenter à l'antenne un dessin de Charb montrant des fesses, avec comme légende : « Et le cul de Mahomet, on a le droit ? »[11],[12].

En (il a alors trente-six ans), il publie avec son ami le caricaturiste Marc Large une bande dessinée, On n'est pas sérieux quand on a 2017 ans[13],[14]. L'album, qui recycle quelques-unes des meilleures chroniques de Meurice, présente le quinquennat finissant du président François Hollande[13].

En , à la suite du départ de Mathieu Gallet, démis de ses fonctions de président de Radio France, Guillaume Meurice dépose, avec Charline Vanhoenacker et Alex Vizorek, une candidature humoristique à la présidence du groupe, laquelle sera écartée quelques jours plus tard[15],[16].

La même année, l'humoriste publie son premier roman, Cosme[17],[18], qui raconte la vie de son ami régisseur Cosme Olvera, amateur de poésie, et s'achève sur une exégèse du sonnet des Voyelles d'Arthur Rimbaud[19].

Toujours en , il fonde un groupe de rock humoristique, The Disruptives, et monte un spectacle musical[20],[21]. Se présentant comme un groupe « macroniste », l'ensemble parodie les éléments de langage du président Emmanuel Macron et de son mouvement La République en marche, en appuyant ses musiques sur des textes satiriques de Meurice[20].

En , il publie son deuxième roman, Le roi n'avait pas ri, roman historique où il fait revivre une version de Triboulet, bouffon du roi François Ier[22].

En à La Cigale[23], il lance son spectacle Meurice , dans lequel il se met en scène dans un meeting politique comme candidat à l'élection présidentielle de [24]. En , il lance le podcast Meurice recrute sur Spotify, série d'entretiens avec des personnalités, présentés comme des entretiens d'embauche pour son gouvernement imaginaire lorsqu'il sera élu président l'année suivante. Le , lors de l'officialisation des nouveaux parrainages des candidats à la présidentielle, le Conseil constitutionnel annonce que Guillaume Meurice a obtenu un premier parrainage d'élu, par le maire délégué de Jobourg[25]. Au total, au , six parrainages sont validés par le Conseil constitutionnel[26],[27].

Engagements[modifier | modifier le code]

Guillaume Meurice se définit lui-même comme écologiste, mais rejette toute forme de militantisme ou d'engagement politicien[28],[19] et n'a jamais été militant au sein d'un parti politique, car il revendique une liberté et une indépendance de paroles.

Selon L'Humanité, l'humoriste vise de nombreuses personnalités de tous bords, y compris au sein de son employeur, France Inter[29].

Il insiste sur l'importance de la caricature dans l'humour et du retournement de certains rapports de forces sociaux[19].

Adepte des interviews sur des terrains variés, souvent d'anonymes, il parvient avec des questions simples et spontanées, ainsi que par son audace, à mettre en évidence les incohérences de ses interlocuteurs et à susciter des réponses comiques, qu'elles soient farfelues ou paradoxales. Il souligne qu'il ne sélectionne pas les gens qu'il accoste et qu'il retient un témoignage sur trois, mettant en valeur les bulles de filtres que peuvent avoir les auditeurs de la chronique[30],[7].

Adulte, Guillaume Meurice devient végétarien[28]. Ce choix se traduit par certaines chroniques engagées pour la cause animale et la participation à une vidéo militante de l'association L214[31],[32]. Il soutient également d'autres causes écologistes, en demandant par exemple en , l'arrêt des travaux de l'autoroute A69 reliant Castres à Toulouse, jugé anachronique[33].

Il participe à des initiatives d'ONG comme la fondation Abbé-Pierre, Greenpeace ou Emmaüs[11]. Il s'est également engagé pour l'accueil des immigrés en France[30],[19],[34].

Le style humoristique et les engagements personnels de Guillaume Meurice sont indissociables[29],[3]. Il défend des idées de gauche, voire de gauche radicale ou pour certains, d'extrême gauche. En , Libération lui donne le qualificatif humoristique d'« extrême gausse », dans l'un des jeux de mots qu'affectionne ce journal dans ses titres, et note qu'il est « porté aux nues par la gauche de la gauche », sans forcément en avoir conscience[3].

Livre Le Fin Mot de l'histoire de France[modifier | modifier le code]

La publication de son ouvrage Le Fin Mot de l'histoire de France en 200 expressions, écrit avec Nathalie Gendrot, est suspendue juste avant sa sortie prévue en , par l'éditeur Editis considérant que des passages du livre, notamment l'un consacré à Vincent Bolloré (premier actionnaire de Vivendi, maison mère d'Editis), pourraient donner lieu à un procès de Bolloré[35],[36]. Vincent Bolloré est en effet cité dans la définition[35],[37]:

« Faire long feu : Expression remplacée aujourd'hui par : révéler sur Canal+ les malversations de Vincent Bolloré. »

L'ouvrage est publié par Flammarion sous le titre Le Fin Mot de l'histoire : 201 expressions pour épater la galerie[38] ; dans sa nouvelle préface, Guillaume Meurice remercie Vincent Bolloré « pour la publicité gratuite »[39]. Nathalie Gendrot et lui assignent les éditions Le Robert pour avoir cédé à la pression de Vincent Bolloré, estimant que « la motivation réelle de cette résiliation se trouve dans l'intervention d'un actionnaire qui ne supporte pas la critique », à savoir Bolloré, qui est selon eux « publiquement connu pour être le censeur de toutes les idées et opinions qui le dérangent »[30],[40].

Critiques et polémiques[modifier | modifier le code]

Critiques[modifier | modifier le code]

Dans un article de Libération en , Jérôme Lefilliâtre reconnaît à Guillaume Meurice une maîtrise de l'actualité et de la rhétorique, mais remarque qu'il cède parfois à la facilité[3].

S'ils sont appréciés par de nombreux auditeurs[3], son style et ses engagements provoquent toutefois diverses critiques. Des auditeurs de France Inter ont par exemple regretté son caractère partisan et sa supposée complaisance à l'égard de l'extrême gauche dans certaines de ses chroniques, ce à quoi l'intéressé répond dans un entretien avec le médiateur de France Inter en qu'il n'a « jamais caché ses valeurs », affirmant essayer chaque jour de donner son avis de manière humoristique comme dans un édito et qu'il « ne roule pour personne »[41]. L'humoriste précise d'ailleurs lors de cet entretien être parfois critique envers Jean-Luc Mélenchon, ce qui lui attire les foudres de certains partisans de la France insoumise[41].

Propos sur la jeunesse des sportifs de haut niveau en [modifier | modifier le code]

Le , lors d'une intervention dans C à vous sur France 5, Guillaume Meurice déclare trouver « tragique » l'investissement des sportifs de haut niveau, notamment pendant leur jeunesse qu'il juge « sacrifiée », propos auxquels plusieurs sportifs de haut niveau répondent en affirmant que leur jeunesse leur appartient[42].

Caricature de Netanyahou en 2023[modifier | modifier le code]

En , pendant la guerre Israël-Hamas, il suscite la polémique en qualifiant Benyamin Netanyahou d'« une sorte de nazi, mais sans prépuce » lors d'une chronique humoristique. Gilles-William Goldnadel, un avocat régulièrement présent sur les plateaux de CNews où il partage des « positions proches de l'extrême droite »[43], annonce porter plainte sur la chaîne télévisée[43],[44]. Meyer Habib, député des Français établis hors de France, ainsi que de nombreux internautes accusent alors l'humoriste d'antisémitisme[45]. Selon Le Monde, il est la « cible des habituels détracteurs de l'audiovisuel public »[43], avant que le cercle ne s'élargisse : la rabbine Delphine Horvilleur appelle à l'écarter de l'antenne : « Prépuce ou pas : moi je serais plutôt en faveur de circoncire le temps d'antenne de Guillaume Meurice. » L'humoriste Bruno Gaccio quant à lui affirme, en soutien à Guillaume Meurice : « L'humour, la blague ça pique toujours un peu. C'est pour ça que c'est bon », et le journaliste Daniel Schneidermann relève l'amalgame qui est fait entre une blague sur le « suprémaciste Netanyahou » et une attaque contre le peuple Juif[46],[47].

Adèle Van Reeth, la directrice de France Inter, se désolidarise des propos de son chroniqueur. Selon elle, dans un contexte de « recrudescence des actes antisémites au sein de notre pays, ce choix des mots semble particulièrement malvenu ». L'Arcom est saisie et Meurice reçoit un avertissement de la part de son employeur Radio France qu'il conteste avec une procédure judiciaire[48]. Riss, lui, estime que « l'esprit Charlie, ce n'est pas une poubelle qu'on sort du placard quand ça vous arrange, pour y jeter ses propres cochonneries »[49]. Radio France annonce par la suite que l'émission suivante doit être enregistrée exceptionnellement sans public en raison des menaces de mort visant Guillaume Meurice[50].

Le , il est convoqué par la Brigade de répression de la délinquance contre les personnes (BRDP) de la DRPJ de Paris[51],[52], dans le cadre d'une audition libre, après une plainte de l'Organisation juive européenne (OJE) pour « provocation à la haine »[53] et « injure publique aggravée » déposée début [54]. Il communique le procès verbal de cette convocation via le réseau Twitter avec le message : « C'est l'histoire d'un mec… qui fait des blagues en  », et annonce la publication d'un livre consacré à ce sujet[55]. L'avocate pénaliste Muriel Ouaknine-Melki, présidente de l'OJE répond : « Non Guillaume Meurice, c'est l'histoire d'un citoyen français, professionnel de la communication, qui à une heure de grande écoute tient des propos susceptibles de provoquer à la haine d'autres citoyens en raison de leur appartenance à la religion juive »[53].

Publications[modifier | modifier le code]

Participations :

Préface :

Filmographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Nicolas Durdilly, « Dijon : Guillaume Meurice (France Inter), un envoyé “un peu” spécial », Le Bien public, .
  2. Guillaume Meurice, « Biographie », sur guillaumemeurice.fr.
  3. a b c d e f g et h Lefilliâtre 2016.
  4. a et b Clémence Olivier et Guillaume Meurice, « Radio. Guillaume Meurice, le “comique d'investigation” », Ouest-France, .
  5. Romane Pellen, « Guillaume Meurice, humoriste : « Le pouvoir installe un cadre, le rire est là pour le péter » » Accès payant, J'avais 20 ans, Le Monde Campus, (consulté le ).
  6. a b et c Rossana di Vincenzo, « Charlie Hebdo, Restos du cœur... Avec Guillaume Meurice, on peut rire de tout sur France Inter », Télérama, .
  7. a b c d e et f Sandrine Blanchard, « Guillaume Meurice, comique d'investigation », Le Monde, .
  8. Nicolas Goinard, Pauline Darvey et Bartolomé Simon, « On a testé “Scandale à l'Élysée”, l'escape game politique de Guillaume Meurice », Le Parisien, .
  9. Anne-Sophie Novel (préf. Stéphane Paoli), Les médias, le monde et nous, Arles et Paris, Actes Sud et Colibris, coll. « Domaine du possible », , 386 p. (ISBN 978-2-330-12631-5).
  10. Thierry Richard, « Guillaume Meurice : « Nous sommes tous des médiocres » », Ouest-France, .
  11. a et b Adrien Franque, « Guillaume Meurice, pousser le bouchon très loin », Libération, (consulté le ).
  12. Lauren Provost, « Guillaume Meurice renonce à sa chronique dans “La Nouvelle Édition” de Canal+ après le refus de diffuser un dessin de Charb », sur Huffington Post, .
  13. a b et c Marion Gadea, « “On n'est pas sérieux quand on a 2017 ans” : Large et Meurice croquent le quinquennat Hollande », sur France TV Info, .
  14. Maxime Bacquié, « L'humour grinçant du dessinateur Marc Large s'expose à la médiathèque de Mont-de-Marsan », France Bleu, .
  15. Mariel Bluteau, « “Les Belges” candidats à la présidence de Radio France : candidature véritable ou canular ? », France Inter, .
  16. Lauren Provost, « Les humoristes de France Inter ne seront pas présidents de Radio France: “C'est la stupeur et l'incompréhension” », sur Huffington Post, .
  17. Marianne Payot, « Guillaume Meurice et Cosme, le jongleur de voyelles », L'Express, .
  18. a et b Sorya Khaldoun, « L'humoriste Guillaume Meurice s'attaque à Rimbaud dans son premier roman », sur France TV Info, .
  19. a b c et d Catherine Calvet, Thibaut Fardier et Guillaume Meurice, « Guillaume Meurice : “Comment justifieront-ils dans vingt ans le non-accueil des migrants ? Si je suis encore là, je le leur rappellerai !” », Libération, .
  20. a et b Sandrine Blanchard, « L'humoriste Guillaume Meurice en marche vers le rock », Le Monde, .
  21. Jessica Saval et Guillaume Meurice, « Guillaume Meurice : avec The Disruptives, “on a une chanson qui s'appelle ‘Raffarin président'” », Rolling Stone, .
  22. Laurence Le Saux, « Guillaume Meurice, le trublion d'Inter : “Je dis ce que je pense, comme quand j'étais gamin” », Télérama, (consulté le ).
  23. [vidéo] Les Goguettes, Meurice - Les Goguettes (en trio mais à quatre) & Guillaume Meurice sur YouTube, .
  24. Camille Bigot, « Votez Guillaume Meurice ! Pour son nouveau spectacle “Meurice ”, l'humoriste se transforme en candidat farfelu à l'élection présidentielle », sur France TV Info, .
  25. Liza Marie-Magdeleine, « Présidentielle. Pourquoi ce maire a eu la drôle d'idée de parrainer l'humoriste Guillaume Meurice », Ouest-France, (consulté le ).
  26. « Tous les parrainages validés », sur presidentielle2022.conseil-constitutionnel.fr, Conseil constitutionnel (consulté le ).
  27. Théo Uhart, « Présidentielle : homonymes, soutien à des candidats qui ne l'étaient pas... Quatre faits insolites sur les parrainages », sur France TV Info, .
  28. a et b Audrey Kucinskas, « France Inter : Guillaume Meurice, le “Bisounours” de l'humour noir », L'Express, .
  29. a et b Caroline Constant et Audrey Loussouarn, « France Inter. “L'humour est la vaseline du débat” », L'Humanité, (version du sur Internet Archive).
  30. a b et c « Guillaume Meurice, “Rennes c'est un peu la gauchistan” », Le Mensuel de Rennes,‎ , p. 60–63.
  31. Élise Racque, « “Les dernières fois” sur France Inter, une vie sans filet mignon », Télérama, .
  32. Enzo Conticello, « L214 publie une nouvelle vidéo-choc qui accable un abattoir de cochons », Le Point, .
  33. Un collectif de citoyen·nes, élu·es, militant·es, associatifs, professionnel·les et, « Chantier de l'A69 Toulouse-Castres : pour un arrêt d'urgence », Libération, (consulté le ).
  34. Michel Bernouin, « A Breil-sur-Roya, Meurice et ses complices font salle comble pour les migrants », France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur, .
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  39. Richard Sénéjoux, « Trappé par Editis, le livre de Guillaume Meurice et Nathalie Gendrot sort aujourd'hui chez Flammarion », Télérama, (consulté le ).
  40. « Guillaume Meurice et Nathalie Gendrot assignent les éditions Le Robert pour un livre non publié », Le Monde, (consulté le ).
  41. a et b Bruno Denaes (intervieweur) et Guillaume Meurice (interviewé), « Invités politiques “coupés” et humour “sélectif” ? », Le Rendez-Vous du médiateur, France Inter,  : à partir de min 30 s.
  42. Gilles Festor, « «Votre médiocrité sera également classée !» : la réponse cinglante d'une ex-médaillée olympique aux propos de Guillaume Meurice », Le Figaro, .
  43. a b et c Aude Dassonville, « Un sketch de Guillaume Meurice met Radio France dans l'embarras », Le Monde, (consulté le ).
  44. Sophie Gindensperger, « Avec les propos de Guillaume Meurice sur Netanyahou, l'humour sur Inter a-t-il franchi une limite ? », Télérama, .
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  46. « « Netanyahou, sorte de nazi sans prépuce » : France Inter recadre Guillaume Meurice après sa chronique polémique », Le Parisien, (consulté le ).
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  49. François Rousseaux et Sophie Gindensperger, « Le duel entre Guillaume Meurice et la direction de Radio France crée le malaise », Télérama, (consulté le ).
  50. « Menaces de mort envers Guillaume Meurice : la prochaine émission du « Grand Dimanche soir » sera enregistrée sans public », L'Obs, (consulté le ).
  51. Justine Chevalier, « Sketch sur Netanyahu: Guillaume Meurice entendu ce mardi en audition libre à la Police judiciaire de Paris », BFM TV, .
  52. Joanna Wadel, « Sketch sur Netanyahou : Guillaume Meurice entendu par la police judiciaire de Paris », Le Point, (consulté le ).
  53. a et b Caroline Sallé, « Guillaume Meurice convoqué par la police dans le cadre d'une plainte pour «provocation à la haine» », Le Figaro, .
  54. AFP, « Guillaume Meurice entendu en audition libre par la police à la suite de son sketch polémique sur Benyamin Nétanyahou », Le Monde, (consulté le ).
  55. Simon Pierre et AFP, « Guillaume Meurice va publier un livre après sa blague polémique sur Benyamin Netanyahou », Le Figaro, (consulté le ).
  56. Amélie Quentel, « On a testé pour vous le “cahier de vacances” de Guillaume Meurice et Charline Vanhoenacker », Les Inrockuptibles, (consulté le ).
  57. Simon Barthélémy, « Le cahier de vacances de Macron, pour ne pas redoubler l'Acte II du quinquennat », sur Rue89 Bordeaux, (consulté le ).
  58. Sandrine Bajos, « Livre : au royaume des bouffons, Guillaume Meurice est roi », Le Parisien, (consulté le ).
  59. « Guillaume Meurice face aux auditeurs, pour “Le roi n'avait pas ri” », Le téléphone sonne, sur radiofrance.fr, France Inter, (consulté le ).
  60. David Dufresne, « Guillaume Meurice convoqué au poste », interview-vidéo de Guillaume Meurice à la suite de la sortie de son livre Les Vraies Gens : Sociologie de trottoir () [vidéo], sur Blast, .
  61. Nadine Wergifosse, « 'Médiocres mais heureux' : l'humoriste Guillaume Meurice fait l'éloge de la médiocratie », sur rtbf.be, La Première, (consulté le ).
  62. Pascale Fautrier, « “Les cheminots font grève pour moi, pour nous tous” », BibliObs, L'Obs, .
  63. Guillemette Faure, « Toutes les voix mènent à « 50 nuances de Grecs » », M Le Mag, Le Monde, .
  64. J.L. avec AFP, « Ni salle, ni plateforme: Un film va chercher directement son public en ligne », BFM TV, .
  65. Tangi Kermarrec, « Guillaume Meurice lance la saison 4 de Space Game ! », sur francetvinfo.fr, .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]