Grosley-sur-Risle

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Grosley-sur-Risle
Grosley-sur-Risle
La mairie.
Blason de Grosley-sur-Risle
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes Intercom Bernay Terres de Normandie
Maire
Mandat
Dominique Civel
2020-2026
Code postal 27170
Code commune 27300
Démographie
Gentilé Grosleyen
Population
municipale
528 hab. (2021 en augmentation de 0,57 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 48″ nord, 0° 48′ 14″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 162 m
Superficie 13,18 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Évreux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brionne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Grosley-sur-Risle est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Grosley-sur-Risle est une commune du pays d'Ouche[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la Risle[3]. Celle-ci disparait momentanément depuis plusieurs siècles, au moins depuis le cadastre napoléonien, dans une bétoire, à Châtel-la-Lune, non loin du Moulin Chapelle, et qui, après un cours souterrain de 5,5 kilomètres passe sous la forêt de Beaumont-le-Roger (Eure), réapparaît près de l'ancien château de Grosley-sur-Risle, à la Fontaine-Roger, que la tradition a surnommée la Fontaine Enragée. Celle-ci ne fait que partir et revenir, notamment en 2012, une nouvelle bétoire s'est formée, faisant un trou de 4 puis 8 mètres de diamètre. La rivière a repris son cours durant l'hiver, une fois la bétoire pleine. Cet événement ne s'était pas produit depuis plus de trente ans[4].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La ligne de Mantes-la-Jolie à Cherbourg traverse la Risle sur un viaduc de 61 mètres de long et 13 mètres de hauteur construit en 1855 sur le territoire communal, au point kilométrique (P) 137,900. La gare de Beaumont-le-Roger en est distante de moins de 5 kilomètres.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 717 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bernay à 16 km à vol d'oiseau[8], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 666,9 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Grosley-sur-Risle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Évreux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 108 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (61,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,8 %), prairies (20,1 %), terres arables (15,3 %), zones urbanisées (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Grolei en 1155[18],[19] (cartulaire du prieuré de la Sainte-Trinité de Beaumont-le-Roger), Grolaium vers 1199 (charte du comte Robert de Meulan), Groolaium en 1204 (charte de Lambert Cadoc), Groulayum en 1303 (cartulaire de la Sainte-Trinité de Beaumont), Grollay en 1413, Grolay en 1644 (Coulon, les Riv. de France)[20].

Peut-être du latin graulus « corbeau »[21] ou gracula « corneille » et du suffixe collectif –etum, d'où le sens global de « lieu fréquenté par les corbeaux »[21] ou « ensemble de corneilles »[19], explications douteuses[18]. L’origine est obscure[18].

La Risle est une rivière de Normandie qui s'écoule dans les départements de l'Orne et de l'Eure.

Remarque : Le latin gracula est en fait un néolatin datant de la fin de la période médiévale, le latin ne connaissant que graculus « choucas » (gracula s'appliquant à la rigueur à sa femelle), or le toponyme est attesté dès le XIIe siècle et la forme la plus ancienne de son homonyme Groslay (Val-d'Oise) est Graulido au IXe siècle. De graculus procède le bas latin graulus « corbeau freux, choucas » à l'origine de l'ancien français grolle « corbeau »

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs de Grosley-sur-Risle
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1791 Jean Duval    
1791 1792 Jean-Baptiste Tienterre    
1792 1798 Pierre Lesage    
1798 1800 Jacques Rouzée    
1800 1820 Jean-Baptiste Tienterre    
1820 1826 Jean Léonard Baudry    
1826 1832 Eustache Duval    
1832 1837 Charles François Lothon    
1837 1854 Pierre Noël Gatine    
1854 1868 Jean Hippolyte Barbey    
1868 1870 Gerasime Lenfant    
1870 1870 Bruno Houdière    
1870 1892 Alexis Taillefer    
1892 1901 Ambroise Leguet    
1901 1905 Hippolyte Lamare    
1905 1924 Éloi Marvin    
1924 1935 Fernand Crouy    
1935 1940 René Alexandre   Acteur
1940 1944 Alphonse Combes    
1944 1945 Émile Hamelet    
1945 1946 René Alexandre   Acteur
1946 1948 Émile Cornu    
1948 1951 Edmond Delin    
1951 1977 Gaston Descamps    
1977 1983 Yves Ethes    
1983 1990 Édouard Albertine    
1990 2010 Jacques Delaporte    
2010 janvier 2016 Pascale Perraudin DVG Fonctionnaire
30 janvier 2016 mai 2016 Evelyne Duval    
15 juillet 2016 En cours Dominique Civel    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

En 2021, la commune comptait 528 habitants[Note 3], en augmentation de 0,57 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
469494511578614623600588561
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
600550560513552467469454400
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
540385393379352398330403301
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
366417524502507493550557537
2017 2021 - - - - - - -
523528-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune de Grosley-sur-Risle compte un édifice inscrit au titre des monuments historiques :

  • l'église Saint-Léger (XIe, XVe, XVIe et XVIIe siècles) Logo monument historique Inscrit MH (1954)[26]. L'église a été construite au XIIe siècle (mur sud) ; le mur nord a été reconstruit au XVe siècle ; la façade, le chevet et la charpente datent du XVIe siècle et la sacristie du XVIIIe siècle.

Par ailleurs, plusieurs autres édifices sont inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel :

  • motte castrale dite de la Chapelle du Pin, au lieu-dit le Pin[27], possession probable des seigneurs du Pin[28],[Note 4].
  • un château fort des XIVe et XVe siècles (?) au lieu-dit le Vieux-Château[29] ;
  • une ferme des XVIIIe et XXe siècles au lieu-dit le Val-Gallerand[30]. Il s'agit d'une ancienne ferme du XVIIIe siècle (four à pain). Le logis, la grange et le silo ont été construits en style néo-normand entre 1930 et 1940. Il est dit que le corps principal serait constitué d'éléments de la première gare de Deauville (renouvelée en 1930 par l'architecte Jean Philippot) transportés et remodelés sur place.

Autre point d'attrait :

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Natura 2000[modifier | modifier le code]

  • "Risle, Guiel, Charentonne"[31].

ZNIEFF de type 1[modifier | modifier le code]

  • Le bois de Grammont et les prairies du val Gallerand[32] ;
  • Le bois et les prairies du Hom[33].

ZNIEFF de type 2[modifier | modifier le code]

  • La vallée de la Risle de la Ferrière-sur-Risle à Brionne, la forêt de Beaumont, la basse vallée de la Charentonne[34].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • René Alexandre (1885-1946). Sociétaire de la Comédie Française, il épousa Gabrielle Robinne, elle aussi sociétaire de la Comédie Française, en 1912. Il fonda, à Grosley, la maison de repos des acteurs anciens combattants. Lui-même fut ancien combattant de la Première Guerre mondiale.
  • Gabrielle Robinne (1886-1980). Actrice de cinéma, dès l'époque du « muet » au début du XXe siècle, jusqu'à la seconde moitié du siècle. Elle fut aussi une actrice de théâtre de renom. La ville de Montluçon, où elle est née, l'a honorée en baptisant son théâtre de son nom. Tous deux vécurent à La Coletterie, chaumière au bord de la Risle à Grosley. Celle-ci existe encore.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
De sinople au chevron ondé brisé d'argent, accompagné en chef d'une feuille accostée de deux biches passantes affrontées et en pointe d'une roue de moulin le tout d'or

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Les seigneurs du Pin apparaissent fréquemment dans les sources écrites médiévales et notamment dans l'Historia ecclesiastica d'Orderic Vital, qui sont certainement des seigneurs du Pin, commune actuelle du département du Calvados (Le Pin), plutôt que du Pin-au-Haras, département de l'Orne.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le pays d'Ouche », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Risle (H6--0200) ».
  4. De nombreux auteurs signalent cette particularité, notamment : Auguste Le Prevost, dans ses Notes pour servir à la topographie et à l'histoire des communes du département de l'Eure, 1849, Jean François Gabriel Vaugeois, dans son Histoire des antiquités de la ville de Laigle et de ses environs, 1841, CH. Piquet, géographe du Roi et S.A.R. Mgr le Duc d'Orléans, dans leurs Notes pour servir à la topographie et à l'histoire des communes du département de l'Eure par Dictionnaire géographique universel contenant la description de tous les lieux du globe intéressants sous le rapport de la géographie physique et politique, de l'histoire, de la statistique, du commerce et de l'industrie, par une société de géographes, tome huitième, à Paris chez les éditeurs A.J. Killian, libraire, rue de Choiseul no 3, quai de Conti no 17".
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  8. « Orthodromie entre Grosley-sur-Risle et Bernay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Bernay » (commune de Bernay) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Bernay » (commune de Bernay) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  18. a b et c François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 120
  19. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France - Page 343.
  20. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 104.
  21. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 333b
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « Église », notice no PA00099439, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. « Château fort », notice no IA00018813, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 31.
  29. « Château fort », notice no IA00018811, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Ferme », notice no IA00018812, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Risle, Guiel, Charentonne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  32. « Le bois de Grammont et les prairies du val Gallerand », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  33. « Le bois et les prairies du Hom », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  34. « La vallée de la Risle de la Ferrière-sur-Risle à Brionne, la forêt de Beaumont, la basse vallée de la Charentonne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).