Goutrens

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Goutrens
Goutrens
Village de Cassagnes-Comtaux
(commune de Goutrens).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Villefranche-de-Rouergue
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Rignacois
Maire
Mandat
Alain Laporte
2020-2026
Code postal 12390
Code commune 12111
Démographie
Population
municipale
482 hab. (2021 en diminution de 5,49 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 26′ 38″ nord, 2° 22′ 13″ est
Altitude Min. 331 m
Max. 725 m
Superficie 25,99 km2
Élections
Départementales Canton d'Enne et Alzou
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Goutrens
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Goutrens

Goutrens est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le dolmen de la Serre, inscrit en 1994.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Belcastel, Bournazel, Clairvaux-d'Aveyron, Escandolières, Rignac, Saint-Christophe-Vallon, Valady et Mayran.

Site[modifier | modifier le code]

L’ancien chef-lieu de la commune était Cassagnes-Comtaux. À la suite d’une longue dispute entre ce village et celui de Goutrens, la commune fut appelée Cassagnes-Goutrens, puis le Goutrens (nom de type germanique : goth peuple et en occitan Gotrens).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 112 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Colombiès à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 989,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Prieuré de Saint-Amans[modifier | modifier le code]

Le prieuré de Saint-Amans dépendait du chapitre de la cathédrale de Rodez. Il fut d’abord annexe de celui de Cassagnes-Comtaux, mais depuis la situation s'est inversée et il est devenu une église succursale. L’église a été construite vers 1890. La flèche de son clocher supporte une splendide et non moins originale croix occitane. À l’extérieur du bras droit du transept, du côté de la sacristie, une pierre taillée en forme d’écusson, posée renversée, provient dit-on, de l’ancienne église où elle formait la clé de voûte d’un arceau. Elle porte une inscription, de lecture assez difficile qui pourrait être le nom du massonnier (maçon) ayant construit le premier édifice vers le XVe siècle.

Cimetière de Goutrens[modifier | modifier le code]

Le cimetière de Goutrens renfermait autrefois le tombeau des Mancip, seigneurs de Flars (à Cassagnes-Comtaux) et de Bournazel (XVe siècle). Il y avait un oratoire.

Cassagnes-Comtaux[modifier | modifier le code]

Cassagnes-Comtaux, était autrefois appelé Cassagnes-de-Panadès (XIIIe siècle) du nom du château de Panat qui se dresse sur un piton de l’autre côté de la vallée, au-dessus de Clairvaux-d'Aveyron. Cassagnes est cité depuis l’an 1000. Le village qui est perché sur une butte comprenait trois châteaux reliés par une enceinte :

  • le Castelviel ou château du comte de Rodez qui y entretenait un capitaine (d’où le nom du village), près de l’église actuelle,
  • le château de Saint-Félix au-dessus du village, occupé par la famille de Saint-Félix puis celle d’Hebrard (XVIe siècle),
  • le château de Flars, au fond du village (famille Mancip, seigneur de Bournazel ; par mariage, passage aux Cassagnes).

Capitoul[modifier | modifier le code]

Le chapitre de Rodez y avait une maison dite le Capitoul, qui servit de maison de détention en 1793.

Notabilités[modifier | modifier le code]

Les comtes de Rodez avaient un capitaine à Cassagnes. Le village eut un notaire jusqu’à la fin du XIXe siècle et une école dès le XVIIe siècle. Il y eut donc des activités et notabilités que la situation actuelle de la commune ne laisse pas soupçonner.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 1989 Léon Laporte DVG  
1989 2001 Gilbert Rouquier    
mars 2001 2008 René Garabuau    
mars 2008 En cours Alain Laporte DVG Commerçant
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[7]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[8].

En 2021, la commune comptait 482 habitants[Note 1], en diminution de 5,49 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1571931 0621 034967987926820748
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
717531473441411407395471510
2019 2021 - - - - - - -
495482-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[9] puis Insee à partir de 2006[10].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 209 ménages fiscaux[Note 2], regroupant 521 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 340 [I 1] (20 640  dans le département[I 2]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 3] 3,3 % 4 % 6 %
Département[I 4] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 5] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 303 personnes, parmi lesquelles on compte 80,9 % d'actifs (74,9 % ayant un emploi et 6 % de chômeurs) et 19,1 % d'inactifs[Note 3],[I 3]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Rodez, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 6]. Elle compte 81 emplois en 2018, contre 98 en 2013 et 92 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 227, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,7 %[I 7].

Sur ces 227 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 53 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants[I 8]. Pour se rendre au travail, 87,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,9 % les transports en commun, 4,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 9].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

44 établissements[Note 4] sont implantés à Goutrens au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 5],[I 10].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 44
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
22 50 % (17,7 %)
Construction 4 9,1 % (13 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
11 25 % (27,5 %)
Activités immobilières 1 2,3 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
3 6,8 % (12,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
2 4,5 % (12,7 %)
Autres activités de services 1 2,3 % (7,8 %)

Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 50 % du nombre total d'établissements de la commune (22 sur les 44 entreprises implantées à Goutrens), contre 17,7 % au niveau départemental[I 11].

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans le Segala, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aveyron[11]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 6] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 2].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 86 52 39 34
SAU[Note 7] (ha) 1 884 1 789 2 005 1 917

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 86 lors du recensement agricole de 1988[Note 8] à 52 en 2000 puis à 39 en 2010[13] et enfin à 34 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 60 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[14],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 884 ha en 1988 à 1 917 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 22 à 56 ha[13].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine historique[modifier | modifier le code]

Dolmen de la Serre[modifier | modifier le code]

Logo monument historique Inscrit MH (1994)[15]

À proximité du village de Cassagnes-Comtaux faisant partie de la commune, se trouve le site archéologique du dolmen de la Serre.

Trésor de Goutrens[modifier | modifier le code]

En 1867, un trésor monétaire gaulois a été trouvé près de Goutrens. Un agriculteur de La Sancie qui piochait sa vigne déterre quelques bizarres piécettes en argent : alléché par sa trouvaille, il poursuit sa recherche et rassemble un véritable trésor de plus de 20 000 de ces monnaies auxquelles viennent s’ajouter 4 kg du même métal en petits lingots de 50 à 100 g. Ces monnaies du type « à la croix » et du « sanglier », épaisses et de forme irrégulière, pèsent uniformément 2,20 g et sont d’un métal très épuré. Sur leur surface, est imprimé la tête stylisée d’un homme aux cheveux bouclés, tandis que les revers portent tantôt un sanglier, tantôt une croix aux angles garnis de divers symboles : hache, soleil, collier…
C’est là un véritable trésor, non seulement par sa valeur marchande, mais aussi par la richesse qu’il représentait lors de son enfouissement et, plus encore, par l’importance des renseignements historiques et scientifiques qu’il nous a transmis. L’intérêt d’une telle découverte s’exprime à travers les très nombreuses études que les archéologues et les numismates lui ont consacrées de 1868 à nos jours. Que reste-t-il aujourd’hui de ce fabuleux trésor ? Quelques échantillons dans divers musées : Rodez (collection de la Société des Lettres), Toulouse, Paris, …Tout le reste a été fondu, faute de trouver acquéreur.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Église Saint-Vincent[modifier | modifier le code]

L’église Saint-Vincent de Cassagnes (patron des vignerons) relevait du chapitre de Rodez au (XVe siècle).

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Du village de Cassagnes-Comtaux s'offre aussi une vue imprenable sur la vallée de Clairvaux.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel, Rinhac : Anglars, Ausits, Bèl Castèl, Bornasèl, Gotrens,Las Candolièiras, Mairanh / Christian-Pierre Bedel et los estatjants del Rinhagués, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 230 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-04-1, ISSN 1151-8375, BNF 36652250)

Filmographie[modifier | modifier le code]

Le village de Goutrens est situé près du hameau de Farrebique dont le nom est rentré dans l'histoire du cinéma grâce à Georges Rouquier qui y tourna pendant plus d'une année ce documentaire-fiction (le mot n'était pas encore à la mode) qui porte le titre de Farrebique (1943/1945, sorti en 1947) film qui a obtenu de nombreux prix, à Cannes notamment, celui de la Critique internationale en 1946. Ce film est une chronique de la vie quotidienne dans une ferme du Rouergue. L'expérience ne s'arrêtera pas là, puisque le même réalisateur tournera une suite intitulée Biquefarre (1982/1983, sorti en 1984), reprenant la même famille 37 ans plus tard. Le diptyque ainsi obtenu constitue un témoignage précieux et unique de la vie paysanne dans la deuxième partie du XXe siècle.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  2. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  3. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  4. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  5. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  6. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  7. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  8. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[12].
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Goutrens et Colombiès », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Colombies » (commune de Colombiès) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Colombies » (commune de Colombiès) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  8. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  9. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  10. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  11. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  12. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  13. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Goutrens - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aveyron » (consulté le ).
  15. Notice no PA00132660, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  16. Notice no PM12000305, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture