Gizeux

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Gizeux
Gizeux
Le lavoir de Gizeux
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité Communauté de communes Touraine Ouest Val de Loire
Maire
Mandat
Thierry Beaupied
2020-2026
Code postal 37340
Code commune 37112
Démographie
Gentilé Gizellois
Population
municipale
373 hab. (2021 en diminution de 8,8 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 23′ 36″ nord, 0° 11′ 46″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 108 m
Superficie 21,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Langeais
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Gizeux
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Gizeux
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Gizeux
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Gizeux
Liens
Site web mairie-gizeux.fr/

Gizeux est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Elle fut autrefois située dans l'ancienne province d'Anjou.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Situation géographique de Gizeux

La commune de Gizeux se situe à l'ouest du département d'Indre-et-Loire, près du département voisin du Maine-et-Loire. Gizeux est à 15 kilomètres au nord de Bourgueil, à 35 kilomètres de Saumur, à 21 kilomètres de Château-la-Vallière et à un peu plus d'une quarantaine de kilomètres de Tours.

Gizeux se situe dans la Touraine angevine, anciennement l'Anjou jusqu'à la Révolution française.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique de Gizeux.

Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 19,39 km, comprend un cours d'eau notable, l'Authion (7,737 km), qui prend localement le nom de Changeon, et cinq petits cours d'eau dont la Branne (0,613 km) et le Graffin (3,124 km)[1],[2].

L'Authion, d'une longueur totale de 99,8 km, prend sa source à 86 m d'altitude près de Bourgueil, à Hommes, à la fontaine de la Favrie[3]. et se jette dans la Loire près d'Angers à Sainte-Gemmes-sur-Loire, à 15 m d'altitude[4], après avoir traversé 29 communes[5]. Sur le plan piscicole, l'Authion est classé en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[6].

Sept zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée du Changeon du Moulin Foulon au Moulin Boutard », « la prairies humides de Gizeux », « la prairies humides du Changeon », « la vallée de l'étang de Chaumont », « l'étang du Mur », « la tourbière de Gizeux » et « la vallée du Changeon de la Besselière à Gravoteau »[7],[8].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 691 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Channay-sur-Lathan à 11 km à vol d'oiseau[11], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 708,7 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gizeux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (45,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,3 %), terres arables (33,7 %), zones agricoles hétérogènes (8,1 %), prairies (7,3 %), zones urbanisées (2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Gizeux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le risque nucléaire[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Bourgueil, est classée au niveau de risque 1, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[23].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gizeux.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 64,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 284 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 75 sont en aléa moyen ou fort, soit 26 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[25].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre immédiat de 5 km autour de la centrale nucléaire de Chinon, elle est exposée au risque nucléaire. À ce titre les habitants de la commune ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Histoire de la commune[modifier | modifier le code]

Partie intégrante de la province d'Anjou et de son histoire, Gizeux et la région de Bourgueil (y compris le domaine du château de Gizeux et jusqu'à Château-la-Vallière) furent rattachées en 1790 au tout nouveau département d'Indre-et-Loire.

En 1343, le sel devient un monopole d'État par une ordonnance du roi Philippe VI de Valois, qui institue la gabelle, la taxe sur le sel. L'Anjou fait partie des pays de « grande gabelle » et comprend seize tribunaux spéciaux ou « greniers à sel », dont celui de Bourgueil.

Le , Duplessis-Mornay gouverneur de Saumur (1589-1621) ne commande pas seulement la ville de Saumur, il prend la tête d'un gouvernement spécial qui est détaché de l'Anjou. Cette sénéchaussée de Saumur, englobe au nord de la Loire le pays de Bourgueil.

Gizeux et le pays bourgueillois (s'étendant jusqu'à Ingrandes vers l'est et jusqu'au château de Gizeux au nord) dépendra de la sénéchaussée de Saumur jusqu'à la Révolution française. Le château de Gizeux se situe à une quinzaine de kilomètres au nord de Bourgueil (département d'Indre-et-Loire) dans une région verdoyante et boisée faisant partie de l'ancienne province d'Anjou. Il a été construit à l'emplacement d'un ancien château fort du XIVe siècle. (47° 23′ 27″ N, 0° 12′ 21″ E)

Le château fait l'objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [27].

Histoire du château[modifier | modifier le code]

La seigneurie de Gizeux a appartenu à la famille du poète Joachim du Bellay de 1315 à 1660.

Après avoir été la possession de différents personnages il devient la propriété de la famille de Contades (1786 - XXe siècle). Depuis le XXe siècle, il est la propriété de la famille de Laffon.

En 1790, cette partie de l'Anjou s'étirant de Bourgueil au sud jusqu'à Château-la-Vallière au nord et englobant Gizeux fut rattachée au département d'Indre-et-Loire.

En 1817, Gizeux a annexé la commune de Saint-Philibert-de-la-Pelouse.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Louis-Gabriel de Contades-Gizeux    
    Arthur-Louis de Contades-Gizeux    
         
mars 2001 mars 2008 Odette Renoux    
mars 2008 En cours Thierry Beaupied DVG Employé
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 373 habitants[Note 3], en diminution de 8,8 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
562456519761821839759814817
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
871881920863827855869814811
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
801775817747729706685713638
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
624606643536510427445451408
2018 2021 - - - - - - -
381373-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Plusieurs étés, des spectacles ont été organisés au sein du château par la compagnie de « La Pastière », dont des représentations théâtrales de Cyrano de Bergerac avec un spectacle itinérant à travers les différents lieux du château (logis, écuries, douves, jardins).

D'autres animations viennent dynamiser Gizeux, tels que des soirées Patrimoine et Gourmandise (sur réservation), ainsi qu'une grande fête chaque (depuis 2018), animée par des bénévoles costumés comme à l'époque des Lumières, proposant des stands de producteurs locaux, d'artisans d'art et des animations diverses (combats d'épée, démonstrations de tir à la poudre, équipages de chasse à courre avec chiens de meute, initiation aux danses Renaissance, …).

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château des XVe, XVIe et XVIIIe siècles[32].
  • Église : non loin du château, l'église renferme de splendides tombeaux de membres de la famille du Bellay. De rarissimes orants du XVIIe siècle furent réalisés en marbre blanc par Nicolas Guillain dit Cambrai ou Nicolas de Cambrai, directeur de l'Académie royale de sculpture de Paris.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Le poète Joachim du Bellay.
  • L'écrivain et poète français Joachim du Bellay né au château de la Turmelière, commune de Liré en Maine-et-Loire en 1522 et mort à Paris le .
  • La famille de Contades : Louis Georges Érasme de Contades né le , « marquis » de Contades et seigneur de Montgeoffroi, mort le . Il fut promu maréchal de camp en 1740, lieutenant-général en 1745 enfin maréchal de France le . Il eut deux enfants : Françoise-Gertrude et Georges-Gaspard. Celui-ci, né le , devint « marquis » de Contades et seigneur de Montgeoffroi, et est tué en 1794. Il eut 4 enfants dont Louis-Gabriel, « marquis » de Gizeux, né le , mort le . Il a été promu maréchal de camp en 1814. Louis-Gabriel eut trois enfants dont Camille-Auguste né le , qui devint à son tour « marquis » de Gizeux. Son frère, Érasme-Gaspard, né le , « marquis » de Contades et seigneur de Montgeoffroi, devint en 1815 pair de France, lieutenant général et meurt le .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Gizeux », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Source de l'Authion » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
  4. « Confluence de l'Authion dans la Loire » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
  5. « Fiche Sandre - l'Authion », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  6. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  7. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  8. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  11. « Orthodromie entre Gizeux et Channay-sur-Lathan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Channay-sur-Lathan », sur la commune de Channay-sur-Lathan - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Station Météo-France « Channay-sur-Lathan », sur la commune de Channay-sur-Lathan - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Gizeux », sur Géorisques (consulté le ).
  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  23. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  26. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  27. Notice no PA00097766, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Château », notice no PA00097766, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.