Georges d'Amboise

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Georges d'Amboise
Image illustrative de l’article Georges d'Amboise
Le cardinal Georges d'Amboise.
Portrait au crayon, Paris, BnF, département des estampes, XVIe siècle.
Biographie
Naissance
Chaumont-sur-Loire
Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Ordre religieux Ordre de Saint-Benoît
Ordination sacerdotale 1484/1485
Décès (à 50 ans)
Lyon
Cardinal de l'Église catholique
Créé
cardinal

Par S.S. le pape Alexandre VI
Titre cardinalice S. Sisto
Évêque de l'Église catholique
Ordination épiscopale
Archevêque de Rouen
Archevêque de Narbonne
Évêque de Montauban

Blason
« Non confundas me, Domine, ab expectatione mea »[1]
(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org

Georges d'Amboise, dit le cardinal d'Amboise, né en 1460 au château de Chaumont-sur-Loire, près d'Amboise, et mort le à Lyon, cardinal et archevêque de Rouen à partir de 1498, fut le principal conseiller du roi Louis XII et un mécène français.

Sa famille[modifier | modifier le code]

Né en 1460 au château de Chaumont-sur-Loire, près d'Amboise, c'est un membre de la Maison d'Amboise. Il est le fils de Pierre d'Amboise et d'Anne de Bueil[1].

Biographie[modifier | modifier le code]

Protonotaire apostolique et docteur en droit canon, il reçoit les bénéfices de Saint-Paul de Narbonne () et de l'abbaye de Grandselve ()[1],[2]. Aumônier du roi, il est confirmé à la mort de Louis XI[1].

En 1482, il est élu archevêque de Narbonne mais le roi et le pape désignent à sa place François Hallé. Le , les bulles le désigne évêque de Montauban malgré l'élection de Jean de Brugères par le chapitre[3]. Il est ordonné prêtre en 1484/1485[2].

Il parla avec Nicolas Machiavel[4].

Il s'attache à la fortune du duc d'Orléans (roi depuis sous le nom de Louis XII). Compromis dans la révolte du duc contre la régence en 1487, il est arrêté et enfermé à Corbeil avec l'évêque du Puy[2] Geoffroy de Pompadour. Il est libéré en février 1489[2]. Il jure serment de loyauté au roi Charles VIII le , qu'il renouvelle le [2]. En 1491, il négocie le mariage de Charles VIII et d'Anne de Bretagne. À la mort de François Hallé le , il lui succède à Narbonne. Il fait son entrée solennelle en décembre 1492[1].

L'archevêque de Rouen[modifier | modifier le code]

En 1492, à la suite des pressions du roi Charles VIII et du duc, il est élu le à Rouen par le chapitre. Son élection est difficilement acceptée par le pape qui souhaitait donner le siège au cardinal Frédéric Borgia. Confirmé le [2], il prend possession par procureur le 7 août et fait son entrée solennelle le 21 septembre[1],[2]. Lieutenant de Normandie en l'absence du duc Louis d'Orléans qu'il rejoint en avril 1495 en Italie, il le reçoit à Rouen en janvier 1498[2].

Principal conseiller de Louis XII[modifier | modifier le code]

Le cardinal Georges d'Amboise, représenté derrière Louis XII,
miniature des Remèdes de l'une et l'autre fortunes de Pétrarque par Jean Pichore (BnF Ms Fr 225, fo 165).

Lorsque Louis XII monte sur le trône en 1498, il le choisit comme principal conseiller[1]. Il assiste à la consécration du roi à Reims le [2]. Georges d'Amboise remplit avec habileté et intégrité ces fonctions, qu'il conserva jusqu'à sa mort en 1510. Dès le début de son administration il se concilie les faveurs populaires en supprimant la taxe extraordinaire qu'on avait coutume de lever à l'avènement du roi, n'augmente jamais les impôts malgré les guerres conduites par Louis XII. Il fait des règlements utiles, abrège la durée des procès et cherche à mettre un terme à la corruption des juges.

Il obtient en décembre 1498 l'annulation du mariage « pour raison d'État » entre le roi de France et Jeanne de Valois, qui se remarie avec Anne de Bretagne en janvier 1499[2]. Il signe le un traité avec Venise auquel le pape adhère[2]. Il participe activement aux guerres d'Italie, et plus particulièrement à la conquête du duché de Milan, à la tête duquel il fait nommer son neveu Charles II d'Amboise de Chaumont comme gouverneur. Dans l'entourage du roi de France lors de la conquête du Milanais, avec qui il fait son entrée dans Milan le , il est chargé de l'organisation de la province. Retourné en France, Milan est occupé par Ludovico Sforza. Georges d'Amboise, nommé lieutenant général, reprend le duché et fait prisonnier Sforza qu'il ramène en France[2]. De retour à Lyon le , il reçoit du roi le comté de Lomello. Au début de 1501, il est de retour en Italie pour la conquête de Naples. Il est ambassadeur en octobre 1501 à Trente[2].

Il couronne le Anne de Bretagne reine de France à Saint-Denis. Il préside en mai 1506 les États généraux tenus au château de Plessis-lès-Tours[2]. Il signe le le traité de la ligue de Cambrai[2].

Cardinalat[modifier | modifier le code]

Créé cardinal lors du consistoire tenu le par Alexandre VI, il reçoit le titre de S. Sisto[2].

Il devient sur instance du roi de France le légat de France pour une année[2]. Souhaitant l'observance et le retour aux règles, il réforme en 1502 les couvents franciscains et dominicains[1]. Il fonde l'ordre des Annonciades[2]. Il est renouvelé légat à Lyon le et le sera de nouveau en 1503. Il donne commission en exécution des bulles d'Alexandre VI du 16 des Calendes de juin aux évêques de Grasse: Jean-André Grimaldi et de Digne: Antoine Guiramand de nommer l'abbé de l'Abbaye Notre-Dame de Valsaintes: Seris Maurin pour réformer les Monastères de Provence[5].

Georges d'Amboise aspire un temps à se faire élire pape. À la mort du pape Alexandre VI, il participe au premier conclave de 1503 qui élit Pie III. Il reçoit du pape en commende les abbayes de Saint-Évroult et de Saint-Pierre de Lagny. Il participe au deuxième conclave de 1503 mais ses ambitions se heurtent à l'opposition de Jules II[2]. Le , le pape le nomme légat à vie d'Avignon et légat de France[2]. En décembre 1506, le pape le confirme dans sa légation[2].

Mécène[modifier | modifier le code]

Château de Gaillon

Le château de Gaillon[modifier | modifier le code]

Il est le deuxième archevêque de Rouen après Guillaume d'Estouteville à faire réaliser d'importants travaux sur le château de Gaillon, propriété et résidence d'été de l'archevêché de Rouen. Il contribue à transformer le site en un château Renaissance complet (logis et jardins).

De 1456 à 1463, Guillaume d'Estouteville avait fait complètement transformer l'ancien château féodal, mais Georges d'Amboise poursuit et amplifie les travaux : il transforme le logis archiépiscopal en une somptueuse demeure. Trois chantiers successifs, de 1502 à 1509, sont nécessaires pour que Georges d'Amboise puisse donner une forme concrète à l'éblouissement artistique qu'il avait ressenti lors de ses séjours en Italie.

S'il fait appel à des architectes français pour la conception de l'ensemble, la quasi-totalité des sculptures et décorations sont en effet réalisés par des artistes italiens : Guido Mazzoni qui exécute les décors de médaillons, Jérôme « Pacherot » (nom francisé), auteur des marbres de la chapelle et de la fontaine centrale, Fra Giovanni Giocondo, responsable des décors sculptés. C'est également à un Italien, Pacello da Mercogliano, qu'il confie la réalisation du Lydieu, un vaste et harmonieux jardin aujourd'hui disparu [6]. On cite aussi les représentants de la famille Juste.

Il est à peu près établi que les ateliers italiens qui travaillèrent à Gaillon intervinrent également à Rouen (Parlement de Normandie, sans doute l'hôtel de Bourgtheroulde). Le château de Gaillon devient le premier château de la Renaissance en France. En ce sens, Georges d'Amboise peut être considéré comme l'un des introducteurs de la Renaissance artistique non seulement en Normandie, mais en France[6].

Le château fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1862[7].

Archevêché avec le manoir d'Amboise au premier plan

L'archevêché de Rouen[modifier | modifier le code]

Georges d'Amboise reprend les travaux dès son arrivée en 1495. Il l'embellit jusqu'en 1507[8] pour près de 2 000 000 livres[9]. Il fait démolir l'ancien logement des archevêques et construire le bâtiment actuel pour abriter la « cour d'Église »[10]. Elle abrite la conciergerie et les prisons au rez-de-chaussée, des locaux de bureaux au premier et une salle d'audience au deuxième[10]. Il double le manoir d'Estouteville en édifiant un corps de logis sur les mêmes proportions et érige une nouvelle vis d'escaliers qui fait pendant à celle érigée par Guillaume d'Estouteville[11]. Il édifie également le pavillon Saint-Romain au nord-est et le pavillon Notre-Dame au sud-est[11].Vers 1501-1502, le jardinier Guillaume Cornehaut conçoit le « plaisant jardin » agrémenté de statues de Pierre de Vallence[10]. Une fontaine composée de deux bassins de marbre est réalisée en 1501-1507[10]. Celle-ci a pu être réalisée par l'organisation d'un réseau de fontaines, avec le concours de la ville de Rouen[1].

L'archevêché fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par arrêté du [12].

Château de Vigny

Le château de Vigny[modifier | modifier le code]

En 1504, il achète la seigneurie et de château de Vigny et entreprend la reconstruction du château sur l'emplacement de l'ancien manoir seigneurial. Cerné par des douves transformées en pièce d’eau plus large au XIXe siècle, il présente une façade nord d’une composition remarquable avec son pavillon d’entrée cantonné par deux tours flanquantes répondant elles-mêmes à deux autres tours d’angle. Les courtines reliant ces tours sont largement ouvertes par des baies à meneaux. Des mâchicoulis ceinturent le tout et viennent en support des toitures en tabatière et croupes. Ce souci de symétrie et d’ordonnancement est typique de la première renaissance française.

Il est inscrit à l'inventaire des Monuments historiques[13].

Un collectionneur et bibliophile[modifier | modifier le code]

Le cardinal a collectionné un très grand nombre d'œuvres d'art venues d'Italie. Il a contribué à faire venir en France les premières œuvres de la Renaissance de ce pays : il a commandé un tableau de retable à Andrea Mantegna et il a possédé un tableau du Pérugin. Il fait aussi venir des artistes italiens comme Andrea Solari. Il collectionne par ailleurs un grand nombre de manuscrits enluminés anciens, mais aussi contemporains, provenant notamment de l'ancienne bibliothèque royale de Naples, après l'avoir acquise auprès de Frédéric d'Aragon. Son inventaire après-décès décompte ainsi 58 manuscrits dans son palais de Rouen et 195 au château de Gaillon. Enfin, il fait travailler plusieurs enlumineurs venus de Paris et de Rouen pour réaliser des ouvrages : traductions d'auteurs latins ou italiens notamment. Il fait appel à Jean Pichore, mais aussi au Maître de Philippe de Gueldre, le Maître des Triomphes de Pétrarque ou Robert Boyvin[14].

Héritage[modifier | modifier le code]

Mausolée des cardinaux d'Amboise.
Orant du cardinal d'Amboise, mausolée des cardinaux d'Amboise, chapelle de la Vierge de la cathédrale de Rouen.

Il rédige son testament le à Gaillon dans lequel il déclare vouloir être enterré « devant Notre-Dame en la grande chapelle sous une tombe de marbre » et donne à cet effet 2 000 écus d'or au soleil[15]. Il meurt à Lyon le au couvent des Célestins. Son corps est ramené et inhumé le 20 juin[15] dans le tombeau destiné à son usage dans la chapelle de la Vierge de la cathédrale de Rouen[1] tandis que son cœur reste à Lyon[2]. Il possédait à la fin de sa vie une bibliothèque constituée de plus de 250 manuscrits[1].

Le mausolée monumental des cardinaux d'Amboise, en marbre noir et blanc, représente les orants de Georges d'Amboise et son neveu Georges II d'Amboise, œuvre de Roulland Le Roux et Pierre des Aubeaux, chef-d'œuvre de la sculpture du début du XVIe siècle[16].

Une épitaphe est présente concernant uniquement Georges d'Amboise: « PASTOR . ERAM . CLERI . POPULI . PATER . AUREA . SESE . LILIA . SUBDEBANT . QUERCUS . ET . IPSA . MICHI . MORTUUS . EN . JACEO . EXTINGUNTUR . HONORES . AT . VIRTUS . MORTIS . NESCIA . MORTE . VIRET. »[17],[18]

Il fut le grand inspirateur d'Anthoine Du Prat, chancelier de François Ier (1515-1535), plus long chancelier de France.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Ses armes sont : palé d'or et de gueules de six pièces (d'Amboise)[1]. Georges d'Amboise avait pour devise: Non confundas me, Domine, ab expectatione mea[1].

Généalogie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h i j k l et m Vincent Tabbagh (préf. Hélène Millet), Fasti Ecclesiae Gallicanae 2 Diocèse de Rouen : Répertoire prosopographique des évêques, dignitaires et chanoines des diocèses de France de 1200 à 1500, Turnhout, Brepols, , 447 p. (ISBN 2-503-50638-0), p. 139-141.
  2. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u et v The Cardinals of the Holy Roman Church: Consistory of September 17, 1498 (VII).
  3. Il occupera le siège jusqu'au .
  4. TV5MONDE, Bibliothèque Numérique TV5MONDE - Le Prince (lire en ligne).
  5. Hugues Du Tems, Le Clergé de France, ou tableau historique et chronologique des archevêques, ..., chez Delalain, Paris, 1774, p. 56.
  6. a et b Gilles Rossignol, Eure. Le Guide, Tournai, La Renaissance du livre, 2001, p. 123-124.
  7. Notice no PA00099427, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  8. Yves Bottineau-Fuchs, Haute-Normandie gothique : architecture religieuse, Paris, Éditions A. et J. Picard, , 403 p. (ISBN 2-7084-0617-5), « Cathédrale Notre-Dame », p. 286-322.
  9. François Lemoine et Jacques Tanguy, Rouen aux 100 clochers : Dictionnaire des églises et chapelles de Rouen (avant 1789), Rouen, PTC, , 200 p. (ISBN 2-906258-84-9, OCLC 496646300, lire en ligne), p. 24.
  10. a b c et d Lucien-René Delsalle, Rouen à la Renaissance : Sur les pas de Jacques Le Lieur, Rouen, L'Armitière, , 591 p. (ISBN 978-2-9528314-1-3), « L'archevêché au temps de Jacques Le Lieur », p. 238-256.
  11. a et b Lescroart 2000, p. 39.
  12. « Ensemble archiépiscopal », notice no PA00100800, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  13. Notice no PA00080229, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  14. Gennaro Toscano, « Le cardinal Georges d’Amboise (1460-1510) collectionneur et bibliophile », in Frédérique Lemerle, Yves Pauwels et Gennaro Toscano (dir.), Les Cardinaux de la Renaissance et la modernité artistique, Villeneuve d'Ascq, IRHiS-Institut de Recherches Historiques du Septentrion (« Histoire et littérature de l'Europe du Nord-Ouest », no 40), 2009, p. 51-88. [lire en ligne].
  15. a et b Léon Alfred Jouen (chanoine) (préf. André du Bois de La Villerabel), La cathédrale de Rouen, Rouen et Paris, Defontaine / Aug. Picard, , LXXIV Pl. - 166, p. 87.
  16. Notice no PM76002029, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  17. Carment-Lanfry et Le Maho 2010, p. 176.
  18. traduction du chanoine Derivière: Je fus le pasteur du clergé, le père du peuple. Les lys d'or, le chêne d'or lui-même m'étaient soumis. Et me voici étendu sans vie: mais les honneurs passent, et dans la mort fleurit la vertu qui ne connaît pas la mort. Le lys d'or représente le roi de France Louis XII et le chêne d'or, le pape Jules II, dont le nom de famille Rovere signifie chêne.

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Léonce de Bellesrives, Le Cardinal Georges d'Amboise : ministre de Louis XII, Limoges, Barbou Frères, 1853, lire en ligne.
  • Funérailles de Georges d'Amboise, archevêque de Rouen, cardinal célébrées à Lyon et à Rouen, du 25 mai au 20 juin 1510 : relation publiée d'après deux documents imprimés au commencement du XVIe siècle avec une introduction par Edouard Frère, Rouen, imprimerie de Henry Boissel, (lire en ligne).
  • Yves Lescroart, La Cathédrale Notre-Dame de Rouen, Paris, Éditions du Patrimoine, coll. « Cathédrales de France », , 96 p. (ISBN 978-2-85822-152-3).
  • Anne-Marie Carment-Lanfry et Jacques Le Maho (préf. Jacques Le Maho), La cathédrale Notre-Dame de Rouen : édition revue et complétée par Jacques Le Maho, Mont-Saint-Aignan, Publications des Universités de Rouen et du Havre, (1re éd. 1977), 312 p. (ISBN 978-2-87775-477-4).
  • Yves Bottineau-Fuchs, « Georges Ier d'Amboise et les artistes italiens », Cahier des Annales de Normandie, Caen, Musée de Normandie, no 29 « Les Italiens en Normandie, de l'étranger à l'immigré : Actes du colloque de Cerisy-la-Salle (8-11 octobre 1998) »,‎ , p. 143-162 (lire en ligne).
  • Yves Bottineau-Fuchs, Georges Ier d'Amboise, 1460-1510 : un prélat normand de la Renaissance, Rouen, Éditions PTC, , 158 p. (ISBN 2-906258-90-3).
  • Jean-Pierre Chaline (dir.), Au seuil de la Renaissance, le cardinal Georges d'Amboise (1460-1510) : actes du colloque Georges d'Amboise, l'homme et son oeuvre, Rouen, 8-9 octobre 2010 / organisé par le GRHIS, Université de Rouen, et la Société de l'histoire de Normandie, Rouen, Société d'histoire de Normandie, , 224 p. (ISBN 978-2-85351-016-5 et 2-85351-016-6).
  • Maxence Hermant et Gennaro Toscano (dir.), Une renaissance en Normandie. Le Cardinal Georges d’Amboise bibliophile et mécène, Montreuil, Gourcuff-Gradenigo, , 256 p. (ISBN 978-2-35340-261-8).
  • Laure Fagnart (dir.) et Jonathan Dumont (dir.), Georges Ier d'Amboise, 1460-1510 : une figure plurielle de la Renaissance, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, coll. « Histoire. L'univers de la cour », , 272 p. (ISBN 978-2-7535-2772-0, présentation en ligne, lire en ligne).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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