Genouilly (Cher)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Genouilly
Genouilly (Cher)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Vierzon
Intercommunalité Communauté de communes Vierzon-Sologne-Berry et Villages de la Forêt
Maire
Mandat
Michel Legendre
2020-2026
Code postal 18310
Code commune 18100
Démographie
Gentilé Genouillois
Population
municipale
676 hab. (2021 en diminution de 2,31 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 11′ 31″ nord, 1° 53′ 10″ est
Altitude Min. 99 m
Max. 176 m
Superficie 34,66 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Vierzon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vierzon-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Genouilly
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Genouilly
Géolocalisation sur la carte : Cher
Voir sur la carte topographique du Cher
Genouilly
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Genouilly

Genouilly est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Prée, La Molène et Le Perry arrosent Genouilly. L'étang des Sceps est formé par les eaux qui sourdent dans un vaste terrain communal et qui sont retenues par une longue digue.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 732 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Graçay à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 741,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Genouilly est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vierzon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81 %), zones agricoles hétérogènes (9,4 %), forêts (6,2 %), prairies (1,8 %), zones urbanisées (1,5 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Genouilly est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Genouilly.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[15]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 60,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 455 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 269 sont en aléa moyen ou fort, soit 59 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2002, 2011, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[17].

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité a été désignée comme Geniulacum ou Genoliacum à l'époque gallo-romaine, Genoili en 1264, Genoilhi en - 1371)[réf. nécessaire].

Histoire[modifier | modifier le code]

On trouve à Genouilly des traces d’une prospérité très ancienne.

Les Montrées plantées de pins maritimes sur une quarantaine d'hectares, ont fait l’objet de fouilles : de nombreuses haches de silex taillé ou poli ainsi que des pointes de lances ont été exhumées. À 100 m d’une butte de terre appelée le Mouton (vraisemblablement déformation de Motton), il a été découvert deux stèles de pierre, l’une en latin, l’autre en grec à la mémoire de Oclos notamment. Ces stèles sont exposées au musée de Bourges.

Le Mouton aurait été aménagé au Moyen Âge en forteresse pour observer le mouvement des Normands qui envahissaient la France (à la fin du IXe siècle, pillages de l'abbaye Saint-Pierre de Dèvres à Saint-Georges-sur-la-Prée et de abbaye Saint-Martin de Massay).

Dès le Moyen Âge, le minerai de fer est extrait à ciel ouvert et fondu et façonné à Genouilly (lieu-dit les Forges). Des quantités énormes de mâchefer ont servi à la réfection des routes, chemins et cours de ferme de la commune. Dans les champs apparaissent des emplacements circulaires où s’étend une épaisse couche de mâchefer. Sur la place de la Trancherie ainsi qu’au Chézeau, la couche est évaluée à 2 mètres. À Maurepas, on observe des carrières à ciel ouvert. Près de la Coudre, des champs sont dénommés le Minerai.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie de Genouilly

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans le département du Cher et, depuis 1984, dans l'arrondissement de Vierzon. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription du Cher.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Graçay[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Vierzon-2[20].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est devenue membre en 2000 de la communauté de communes de Graçay Saint-Outrille créée fin 1993, et qui a alors pris la dénomination de communauté de communes des Vallées vertes du Cher Ouest.

Cette intercommunalité fusionne avec la communauté de communes Vierzon Pays des Cinq rivières, la nouvelle intercommunalité créée le portant le nom de communauté de communes Vierzon Sologne Berry.

Le , celle-ci a fusionné avec la communauté de communes les Villages de la Forêt pour former la communauté de communes Vierzon-Sologne-Berry et Villages de la Forêt, dont la commune est désormais membre.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1988 1995 Stéphanie de Jouvencel[21]    
1995 2001 Jean-Claude Marais    
2001 2008 Christian Huet    
2008 En cours Michel Legendre[22],[23]   Ancienne profession intermédiaire

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 676 habitants[Note 3], en diminution de 2,31 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2091 0601 1541 1931 2041 2611 1941 3181 454
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4561 4641 4961 4671 3861 4071 3901 4161 400
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3421 3411 2641 1441 0621 0031 001924911
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
821722705721762755727719695
2018 2021 - - - - - - -
674676-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

La communauté est en crise démographique au début du XVIIIe siècle, puisqu’elle passe de 239 feux en 1709 à 163 en 1726[27]. L’hiver de 1709-1710 notamment cause de nombreuses pertes, ainsi que la grande canicule de 1719 (qui tua beaucoup par dysenterie)[28].

Économie[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[29].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Église Saint-Symphorien de Genouilly
Cour intérieure du prieuré de Fontblanche.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Symphorien

L'église Saint-Symphorien de Genouilly initiée au XIIe siècle est inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques par arrêté du 26 janvier 1927. L'édifice présente un style en transition entre roman et gothique.

  • Prieuré de Fontblanche

Situé à 2km au nord du bourg de Genouilly, le prieuré, datant du XIIe siècle était rattaché à l'ordre de Grandmont. Partiellement classé au titre des monuments historiques en 1980, il se trouve en partie sur la limite sud de la commune de Maray dans le Loir-et-Cher.

  • La salle : propriété du duc Jean Ier de Berry depuis 1371 et lieu de résidence habituel de la duchesse. Ce manoir (Ostel de Genoilhi) dont il ne reste aujourd'hui que des traces était spacieux et ses annexes comportaient les chambres des serviteurs, les écuries, les chenils ainsi qu'une chapelle de style roman.
  • Le château de la Maisonfort, propriété privée partiellement protégée au titre de Monument historique[30], est un édifice de briques et de pierres, de style Renaissance, construit de 1586 à 1595 à l'initiative du maréchal Claude II de la Châtre, baron de la Maisonfort, à la place de l'ancienne forteresse féodale, dite maison forte où il était né et dont subsistent quelques éléments. Promu maréchal de France en 1594, Claude de La Châtre fut l'un des plus valeureux chevaliers de son époque, dont la forte personnalité et la légende ont illustré l’histoire de la commune. Le fief de La Maisonfort venait des Graçay ; Olive de Graçay, fille de Jacques de Graçay et de Jeanne de Roüy/de Rouhy de Menetou, l'apporte à son mari Jean de Menou du Mée(z) (épousé en 1455 et † en 1496 sans postérité)[31], et teste en 1498 en faveur de sa parentèle : Claude de La Châtre de Nançay (fils de Pierre de La Châtre et de Marie de Roüy de Menetou) et sa femme Catherine de Menou de Villegongis de Boussay (une parente de Jean de Menou du Méez. Claude de La Châtre-Nançay et Catherine de Menou sont les parents de Gabriel de La Châtre, rencontré plus haut, et donc les arrière-grands-parents du maréchal Claude).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Genouilly et Graçay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Graçay » (commune de Graçay) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Graçay » (commune de Graçay) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Genouilly », sur Géorisques (consulté le )
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  15. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  17. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Décret no 2014-206 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Cher
  21. indiquée en fonctions en 1988, Brigitte Coulon, Gérard Coulon, « Les femmes à la conquête de leurs droits : autour d'une polémique dans la presse locale en 1913 », Berry no 7, automne 1988, ISSN 0985-1569, p. 8
  22. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  23. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Olivier Zeller, « Changement agraire et récession démographique : la première enquête Orry (1730). L'exemple de l'élection d'Issoudun », Annales de démographie historique 2/2007 (n° 114), p. 168
  28. Zeller, op. cit., p. 145 et 153
  29. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
  30. Base Mérimée PA00096802
  31. « Famille de Menou, p. 6 et 16 », sur Racines & Histoire.