Gaieté

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Couramment, le terme gaieté, gaîté ou gaité (cette dernière forme est propre aux rectifications de 1990) désigne le fait d'être joyeux, gai.

À Paris[modifier | modifier le code]

À Rennes[modifier | modifier le code]

Aux îles Marquises[modifier | modifier le code]

À Bruxelles[modifier | modifier le code]

À Budapest[modifier | modifier le code]

À Manchester[modifier | modifier le code]

Quelques titres d’œuvres[modifier | modifier le code]


Orthotypographie[modifier | modifier le code]

La graphie académique du mot a varié[1] :

Ayant supprimé la graphie « gaîté » en 1935 (année de parution du dernier tome de la 8e édition), l’Académie a rétabli cette variante en 2005, mais de façon maladroite[6]. Jean-Pierre Colignon préconise (en 2006) la seule graphie « gaieté » mais demande de conserver la graphie « gaîté » non seulement pour la rue et les établissements de Paris (des toponymes) mais aussi dans le titre d’œuvre Les Gaîtés de l’escadron (œuvre de Courteline)[7].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Dictionnaire historique de l'orthographe française, Nina Catach (dir.), coll. « Trésors du français », Paris, Larousse, 1994 (ISBN 2-03-340330-0), p. 506-507 sub verbo « gaieté ».
  2. « Gaieté », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales.
  3. « Gaieté », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales.
  4. « Gaieté », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales.
  5. « Gaîté », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales.
  6. Dictionnaire de l’Académie française (9e édition), t. 2 (de Éocène à Mappemonde), Imprimerie nationale/Fayard, 2005 (ISBN 2-213-62143-8) : il existe un renvoi « gaîté » (p. 203) vers « gaieté », renvoi précédé du signe * (« le signe * indique les entrées nouvelles », comme dit en page V du début du tome) ; l’entrée « gaieté » (p. 202) mentionne in fine la variante gaîté ; le signe ♢ (qui « renvoie aux recommandations de 1990 », comme dit en p. V du début du tome) ne figure ni dans l’entrée « gaieté » ni dans l’entrée « gaîté » ; gaité n’apparaît pas dans la liste des recommandations de 1990 figurant in fine (pages vertes).
  7. Jean-Pierre Colignon, Difficultés du français, Librio, 2004, 94 p. (ISBN 2-290-34094-4) , sub verbo « gaieté » p. 40.