Frédégonde

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Frédégonde
Chilpéric Ier et Frédégonde dans le Recueil des rois de France de Jean du Tillet (vers 1550).
Fonction
Reine des Francs
Titre de noblesse
Reine des Francs
Biographie
Naissance
Entre et Voir et modifier les données sur Wikidata
MontdidierVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Sépulture
Activité
ConsortVoir et modifier les données sur Wikidata
Famille
Conjoint
Chilpéric Ier (de 568 à 584)
Enfants
Rigonde
Samson (d)
Dagobert (d)
Theoderic (d)
Clotaire II
Chlodebert (d)

Frédégonde, née vers 545 à Montdidier et morte en 597 à Paris[1], est reine de Neustrie après son mariage avec le roi mérovingien Chilpéric Ier.

Avec la reine Brunehaut, elle compte parmi les femmes ayant joué un rôle de premier plan dans la longue période de guerres entre rois francs, commencée en 570 et achevée en 613 par la victoire de son fils Clotaire II.

Introduction[modifier | modifier le code]

Le royaume des Francs en 561 après sa division en sous-royaumes.

Le contexte historique : les territoires francs au VIe siècle[modifier | modifier le code]

La vie de Frédégonde se déroule dans le cadre territorial et politique issu du partage du royaume franc effectué en 561 à la mort de Clotaire, fils de Clovis et père de Chilpéric.

À la mort de Clovis, en 511, quatre royaumes avaient été créés avec pour capitales : Reims, Soissons, Paris et Orléans, l'Aquitaine étant répartie séparément. Dans les années 550, Clotaire, dernier survivant des quatre frères reconstitue l'unité du royaume franc, augmenté du territoire burgonde (Burgundia, Burgondie, Bourgogne) conquis entretemps.

En 561, les quatre fils de Clotaire effectuent un partage analogue à celui de 511 : Sigebert à Reims (puis Metz), Chilpéric à Soissons, Caribert à Paris, Gontran à Orléans (puis Chalon), ce dernier royaume incluant maintenant le territoire burgonde. Ils se répartissent de nouveau l'Aquitaine séparément.

À la mort de Caribert en 567, sa part est partagée entre les trois survivants : en particulier, Chilpéric (Soissons) reçoit Rouen et Sigebert (Metz) reçoit Paris.

Les sources[modifier | modifier le code]

Les principales sources d'époque sont la chronique de Grégoire de Tours, Histoire des Francs, qui s'arrête en 591, celle de Frédégaire ainsi que la vie en prose de Radegonde de Poitiers et les poèmes de Venance Fortunat.

Grégoire de Tours décrit Frédégonde comme une femme cruelle bien qu'elle apparaisse également donnant asile à une jeune fille bannie de sa ville[2] ou cherchant à apaiser une querelle entre Francs[3].

Il faut savoir que leurs auteurs sont de parti pris. Grégoire, évêque de Tours, est même un acteur des conflits de l'époque et un partisan du roi d'Austrasie, Sigebert Ier[4].

Par contre, Venance Fortunat la décrit comme une reine avisée et d'une aide précieuse pour le roi[5].

Il est à noter que ses contemporains n'hésitent pas également à user du meurtre et de la torture.

La chronique de Frédégaire, du VIIe siècle, commence en 584, est en revanche hostile à Brunehaut.

Biographie[modifier | modifier le code]

L'ascension de Frédégonde[modifier | modifier le code]

Frédégonde est probablement une suivante de la reine Audevère, première épouse de Chilpéric. Elle serait née à Angicourt (actuelle Oise)[6], dans une famille de serfs.

Le roi en fait rapidement sa concubine[7].

Mais, désirant une aussi noble alliance que celle de Sigebert, qui a épousé la princesse wisigothe Brunehaut, fille d'Athanagild, Chilpéric épouse, en 566, Galswinthe, sœur aînée de Brunehaut.

Déçue par son mariage, Galswinthe exige le départ de Frédégonde, mais menacée de répudiation, elle demande alors à retourner en Espagne. En 568, elle est trouvée étranglée dans son lit.

Après quelques jours de veuvage, Chilpéric reprit Frédégonde, qu'il épousa[7].

La faide royale jusqu'en 584[modifier | modifier le code]

Gravure du tombeau de Frédégonde dans l’Histoire populaire contemporaine de la France, tome 1 de Charles Lahure.

Pour apaiser la colère de la reine Brunehaut, Sigebert convoque Chilpéric à une assemblée présidée par leur frère Gontran. Celui-ci décide qu'à titre de compensation (wergeld), les cités[8] reçues par Galswinthe à titre de douaire[9] (Bordeaux, Limoges, Cahors, Béarn, Bigorre), deviendraient immédiatement la propriété de Brunehaut et de ses héritiers. Chilpéric semble se soumettre à la décision de ses frères pour gagner du temps, mais il ne tient pas son engagement et se lance au contraire dans une guerre contre Sigebert, d'abord en Aquitaine, puis dans le royaume de Metz.

En 575, Sigebert réplique en lançant à partir de Paris deux attaques, l'une vers Rouen, l'autre vers la Picardie. Chilpéric, après que son armée a fait défection, s'enferme dans Tournai, tandis que Sigebert obtient le ralliement d'une partie de son armée à Vitry, près d'Arras : il est même « hissé sur le pavois », c'est-à-dire reconnu comme roi. Mais il est assassiné juste après par deux leudes[10] envoyés de Chilpéric et de Frédégonde[11],[12].

La situation de la Neustrie se rétablit alors. Chilpéric s'empare de Paris ; le successeur de Sigebert, Childebert II, lui échappe, mais Brunehaut est faite prisonnière et emmenée à Rouen, dont l'évêque est Prétextat.

L'année suivante, Brunehaut réussit à séduire et à épouser le fils de Chilpéric, Mérovée, fils d'une première épouse, Audovère. Mérovée est par ailleurs le filleul de Prétextat. Chilpéric réagit à cet acte de rébellion en faisant déposer Prétextat par une assemblée d'évêques ; il fait aussi tonsurer Mérovée, qui est ensuite assassiné (577), peut-être à l'instigation de Frédégonde. Brunehaut réussit à s'échapper et rejoint Childebert II, devenant régente du royaume de Metz. En 580, disparaît aussi un autre fils d'Audovère et Chilpéric, Clovis[13], puis Audovère (580) ; Basine subit de mauvais traitements[14]. Frédégonde est de nouveau soupçonnée d'être responsable de ces événements ; elle veut assurer à sa propre descendance la succession de Chilpéric. Mais ses propres enfants meurent en bas âge : le petit Samson, né pendant le siège de Tournai fin 575[15], mort avant 5 ans, ses frères Dagobert (580 – 580) et Chlodebert (565/570 – 580)[16] en septembre – octobre 580 ; Thierry (582 – 584)[17].

L'année 584 : naissance de Clotaire et mort de Chilpéric[modifier | modifier le code]

Au printemps 584, naît un fils de Chilpéric et Frédégonde : le futur Clotaire, dont la naissance n'est pas annoncée pour protéger le seul héritier vivant, et qui est d'abord placé à l'abri dans la villa de Vitry, en Artois.

Un soir de septembre 584, Chilpéric Ier est assassiné près de sa villa de Chelles, après une partie de chasse ; peut-être sur ordre de la reine Brunehaut par vengeance[18], ou de sa propre femme, accusée d'adultère et dont le fils Clotaire non reconnu officiellement serait un bâtard[12]. Cet événement produit un désordre général dans le royaume de Neustrie et dans ses dépendances.

Désordres dans le royaume[modifier | modifier le code]

Les Grands de Neustrie pillent les trésors de Chilpéric, notamment son missorium d'or[19] et s'emparent de tous les documents importants, pour se réfugier en Austrasie. La princesse Rigonde, en chemin vers l'Espagne en vue d'épouser le prince Recarède, est attaquée à Toulouse par le duc Didier, lié à la conspiration de Gondovald, qui lui vole tout ce qui reste de sa dot, de sorte qu'elle est obligée de renoncer à son mariage avec Recarède[20]. Des guerres éclatent entre des cités rivales : ainsi, Orléans et Blois se dressent contre Chartres et Châteaudun[21].

Rapprochement de Frédégonde avec Gontran[modifier | modifier le code]

Frédégonde réussit à conserver ses trésors personnels et quelques officiers, comme Ansoald et Audon[22], alors que d'autres l'abandonnent, comme le chambrier Eberulf[23]. Elle fait emmener son fils de Vitry à Paris et envoie un message à Gontran, roi de Bourgogne, pour qu'il accepte d'adopter l'enfant[24] et d'exercer la régence jusqu'à sa majorité.

Des pourparlers s'engagent entre Childebert II et Brunehaut d'une part, qui envisagent de s'installer à Paris, Gontran d'autre part : celui-ci refuse qu'ils entrent dans la ville. Il refuse également[25] de leur livrer Frédégonde, que Brunehaut réclame en invoquant le régicide de Sigebert Ier, des princes Mérovée et Clovis et même de Chilpéric.

L'assemblée de Neustrie et la reconnaissance de Clotaire[modifier | modifier le code]

Gontran convoque ensuite une assemblée des Grands de Neustrie, au cours de laquelle l'enfant de Frédégonde est reconnu comme fils de Chilpéric Ier, bien que des doutes sur sa paternité aient été évoqués[25],[26]. Ils décident de lui donner le nom de Clotaire[25], nom du grand-père du nouveau-né. Celui-ci est alors adopté par Gontran.

Le gouvernement de Gontran (584 – 586)[modifier | modifier le code]

Frédégonde écartée du pouvoir par Gontran[modifier | modifier le code]

L'ordre est progressivement rétabli dans les cités, qui font alors serment de fidélité à Gontran et à Clotaire[27]. Contre l'avis de Frédégonde et peut-être pour montrer son autorité[28], Gontran démet Melantius du siège épiscopal de Rouen, qui est rendu à Prétextat.

Frédégonde est même envoyée dans la villa de Vaudreuil, située dans le diocèse de Rouen[29], où elle est sous la surveillance de Prétextat.

Le baptême de Clotaire[modifier | modifier le code]

Durant l'été 585, Gontran revient à Paris pour être le parrain de Clotaire lors du baptême de l'enfant ; il fait jurer à Frédégonde, trois évêques et trois cents aristocrates de Neustrie, que Clotaire II est bien fils de Chilpéric Ier. Mais le baptême est annulé[réf. nécessaire]. Un concile était à ce moment prévu à Troyes, mais les évêques austrasiens refusent d'y participer si Gontran ne déshérite pas Clotaire. Le concile est donc déplacé à Mâcon (en Bourgogne) où il se tient le . Quant au baptême, il aura finalement lieu à Rueil en 591[30].

Frédégonde visite Prétextat sur son lit de mort par Lawrence Alma-Tadema.

Le rétablissement de Frédégonde (586) et le conflit avec Gontran (587-592)[modifier | modifier le code]

Alors que Gontran est occupé au loin en Septimanie wisigothique, Frédégonde tente d'échapper à la surveillance de l'évêque Prétextat pour fuir Rouen. Durant une messe dominicale, Prétextat est poignardé. Comme il ne meurt pas tout de suite, Frédégonde va se recueillir auprès de lui et lui demande s'il a besoin de ses médecins. L'évêque l'accuse ouvertement d'être à l'origine de ce meurtre et de celui des autres rois et il jette une malédiction sur elle. Il meurt peu après.

La reine utilise alors sa liberté pour rallier à son fils et à elle le plus possible de nobles et d'évêques. Elle réinstalle Melantius à Rouen malgré l'interdiction de Gontran[31].

Gontran s'efforce alors d'affaiblir Frédégonde en débauchant une partie de l'aristocratie neustrienne, afin d'au moins conserver les terres qu'il a accaparées entre Loire et Seine grâce au ralliement du duc Beppolène[32]. En 587, il réussit à reprendre les villes d'Angers, Saintes et Nantes[33].

Frédégonde propose alors de négocier la paix et envoie à Gontran des ambassadeurs, en réalité chargés de le tuer. Mais ils sont arrêtés et Gontran rompt ses relations avec Frédégonde[34], se rapprochant alors de Brunehaut et de Childebert II, avec lesquels il conclut le pacte d'Andelot : à la mort d'un des deux rois, l'autre héritera de son royaume. C'est effectivement ce qui survient en 592 : Gontran meurt et Childebert devient roi des deux royaumes d'Austrasie et de Bourgogne.

Le conflit avec l'Austrasie et la Bourgogne (592 – 597)[modifier | modifier le code]

Frédégonde et son fils Clotaire II à la tête de l'armée contre Childebert. Grandes chroniques de France. Bibliothèque municipale de Lyon.

L'union Austrasie-Bourgogne ne dure que jusqu'en 595 ; à la mort de Childebert II, l'Austrasie est attribuée à son fils Thibert et la Bourgogne à Thierry ; Brunehaut est toujours présente, mais son pouvoir et son rôle de régente ne sont pas toujours acceptés, et les deux frères sont loin d'être toujours en accord.

Clotaire II commence à jouer un rôle plus ou moins symbolique. En 593, il apparaît à la tête de ses armées qui mettent en déroute le duc austrasien Wintrio qui cherche à envahir la Neustrie. En 596, il ravage les environs de Paris.

Frédégonde meurt en 597, laissant Clotaire gouverner désormais seul.

Elle est inhumée auprès de Chilpéric dans l'église Saint-Vincent, rebaptisée depuis Saint-Germain-des-Prés[1].

La dalle funéraire, faite de pierre de liais, mosaïque de marbre, porphyre et serpentine et filets de cuivre, qui recouvrait sa tombe, a été par la suite transportée à Saint-Denis[35].

Meurtres attribués à Frédégonde[modifier | modifier le code]

L'image de Frédégonde dans la littérature et l'art[modifier | modifier le code]

Frédégonde manque de tuer Rigonde en 589. Illustration tirée des Vieilles Histoires de la Patrie, 1887.

Anecdotes[modifier | modifier le code]

L'auteur du Liber historiæ francorum (écrit au VIIIe siècle) raconte que Frédégonde, profitant que le roi soit parti se battre en Saxe contre son frère Sigebert Ier, et espérant devenir reine à la place d'Audevère, ait abusé de la naïveté de la reine en lui faisant tenir elle-même son sixième enfant Chilsinde sur les fonts baptismaux. La reine ignorait qu'en agissant de la sorte, elle commettait une lourde faute aux yeux de l'Église. Devenue marraine de son propre enfant et donc la commère de son mari, elle ne pouvait plus partager sa couche avec le roi, sous peine d'être accusée d'inceste[37].

Opéra[modifier | modifier le code]

Romans historiques[modifier | modifier le code]

Bande dessinée historique[modifier | modifier le code]

  • Sirius, Timor, Tome 9 : "Le cachot sous la Seine", Edition Dupuis, 1960.
  • Patrick Cothias et Bernard Dufossé, Les sanguinaires, Tomes 1 : "Frédégonde" et Tome 2 : "Le grand partage", dans la collection Vécu, Edition Glénat, 1997 - 1999.
  • Olivier Petit, Rouen Tome 1 : De Rotomagus à Rollon, Éditions Petit à Petit, 2015.
  • Virginie Greiner et Alessia De Vincenzi, Frédégonde la sanguinaire, Tomes 1 et 2, dans la collection Reines de sang, aux Éditions Delcourt, 2014 – 2016.

Télévision[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Sources primaires[modifier | modifier le code]

Études contemporaines[modifier | modifier le code]

Ouvrages généraux[modifier | modifier le code]

  • Stéphane Lebecq, Les Origines franques, Points/Seuil, 1990, pages 105-119 (première partie, chapitre 5 : « La faide royale (561-603) »).
  • Noëlle Deflou-Leca, Alain Dubreucq (dir.), Sociétés en Europe mi VIe - fin IXe siècle, Atlande, coll. Clefs Concours, 2003 (fiches biographiques : « Frédégonde », « Chilpéric », « Brunehaut »).

Sur Chilpéric[modifier | modifier le code]

Sur Frédégonde[modifier | modifier le code]

  • Jean Cassou, Frédégonde, Paris, M.-P. Trémois, coll. « Galerie des grandes courtisanes », , 81 p. (BNF 35283789).
  • Marcel Brion, Frédégonde et Brunehaut, Paris, Éditions de France, , 295 p. (BNF 31874092).
  • Claude Farnoux, Ravissante Frédégonde : Reine de fer, Paris, Amalthee, , 110 p. (ISBN 978-2-310-01393-2).
  • Colette Beaune, « La mauvaise reine des origines. Frédégonde aux XIVe et XVe siècles », Mélanges de l’école française de Rome, Italie et Méditerranée, vol. 113, 2001, p. 29-44.

Sur Brunehaut[modifier | modifier le code]

Sur Clotaire II[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Christian Bouyer, Dictionnaire des Reines de France, Librairie Académique Perrin, 1992 (ISBN 2-262-00789-6), p. 78-79.
  2. Histoire des Francs, vol. VII, chap. 44.
  3. Histoire des Francs, vol. X, chap. 26.
  4. Bruno Dumézil, La reine Brunehaut, Paris, Éditions Fayard, , p. 158 et 171.
  5. Venance Fortunat, Poèmes (carmina), vol. 9, chap. 1.
  6. Frédéric Armand, Chilpéric Ier, Pages 278-279, La Louve, , 350 p. (ISBN 978-2-916488-20-2), « La chronique de Saint Vaast d Arras composée au début du XIe siècle se veut plus précise lorsqu elle assure que Frédégonde est la fille d'un couple de serf d'origine franque, appartenant à cette abbaye et qu elle est née dans le village d'Angicourt ».
  7. a et b Grégoire de Tours, Historia Francorum, IV, 28.
  8. Le mot « cité » ne correspond pas à une ville, mais à l'ancienne civitas gallo-romaine, devenue diocèse épiscopal.
  9. Douaire : Morgengabe, don du lendemain (de la nuit de noces). L'épouse apporte une dot fournie par ses parents, mais reçoit de l'époux un douaire, qui devient effectif en cas de décès de l'époux. Le douaire de Galswinthe est le seul dont le contenu soit indiqué par les sources.
  10. Grégoire de Tours considère qu'il s'agit de pages de Frédégonde : Histoire des Francs, livre V, 51.
  11. Il n'y a pas a priori de raison de penser que Frédégonde ait seule décidé cet assassinat.
  12. a et b Anne Bernet, « Ces drôles de Mérovingiens avec leur reine Frédégonde », Au cœur de l'histoire, 15 février 2012.
  13. Histoire des Francs, Livre V chap. 39.
  14. Basine est violée par les soldats de Frédégonde avant d'être recluse à l'abbaye Sainte-Croix de Poitiers[réf. nécessaire].
  15. Histoire des Francs, Livre V chap. 12.
  16. Histoire des Francs, Livre V chap. 34.
  17. Histoire des Francs, Livre VI chap. 27.
  18. Frédégaire, Chronique, III, 93.
  19. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 4.
  20. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 9.
  21. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 2.
  22. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 15.
  23. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 21.
  24. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 5.
  25. a b et c Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 7.
  26. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VIII, 9.
  27. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 8.
  28. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 16.
  29. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VII, 19.
  30. Histoire des francs, Livre X chap. 28.
  31. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VIII, 31.
  32. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VIII, 42.
  33. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VIII, 43.
  34. Grégoire de Tours, Historia Francorum, VIII, 44.
  35. « dalle funéraire (gisant) de Frédégonde, épouse de Chilpéric Ier, roi de France et mère de Clotaire II », notice no PM93000111, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  36. Liber historiæ Francorum, p. 35
  37. (la) Liber historiæ francorum (trad. du latin), Chap. 31, Éd. Paléo, , 291 p. (ISBN 978-2-84909-240-8 et 2-84909-240-1).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :