Front pour la libération des prisonniers politiques bretons

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Le Front pour la libération des prisonniers politiques bretons (FLPPB) a vu le jour pour sa première action le , en réponse à la prolongation de la détention provisoire de militants politiques bretons présumés appartenir à l'ARB. Ce groupe souhaitait soulever ce problème d'emprisonnement par des actions non-violentes (à l'image des DEMOS au Pays basque).

Revendications[modifier | modifier le code]

La principale revendication était la libération immédiate des prisonniers politiques bretons.

Actions[modifier | modifier le code]

Elles s'étendaient sur tout le territoire breton (5 départements) avec des actions également hors-Bretagne, comme dans les villes ou étaient maires Jean-Pierre Raffarin ou Roselyne Bachelot-Narquin. Leurs actions allaient du cadenassage de gendarmeries, aux taguages de permanences de partis politiques français, en passant par le dérobage de panneaux signalétiques ou le déversement de fumier.

  • 2001
    • , Première action du FLPPB, 40 bâtiments officiels enchaînés.
    • , 15 locaux tagués, le FLPPB revendique.
  • 2002
    • , 8 permanences parisiennes ainsi que enchaînées, revendication FLPPB.
    • , FLPPB revendique le déversement de dizaines de kilos de fumier pendant l'inauguration du local de soutien à Jean-Pierre Chevènement.
    • , Action à Fougères, FLPPB.
    • , Des militants bretons « visitent » la ville de JP Raffarin, revendication FLPPB.
    • , le FLPPB visite la ville de R. Bachelot.
  • 2003
    • , Le FLPPB rend les panneaux.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]