Frédéric-Fontaine

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Frederic-Fontaine)

Frédéric-Fontaine
Frédéric-Fontaine
Vue générale avec la colline d'Étobon émergent en arrière-plan.
Blason de Frédéric-Fontaine
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité Communauté de communes Rahin et Chérimont
Maire
Mandat
Vincent Schiessel
2020-2026
Code postal 70200
Code commune 70254
Démographie
Gentilé Frasnois
Population
municipale
266 hab. (2021 en augmentation de 2,31 % par rapport à 2015)
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 39′ 27″ nord, 6° 37′ 49″ est
Altitude Min. 334 m
Max. 498 m
Superficie 3,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montbéliard
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Héricourt-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Frédéric-Fontaine
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Frédéric-Fontaine
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Voir sur la carte topographique de la Haute-Saône
Frédéric-Fontaine
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Frédéric-Fontaine
Liens
Site web fredericfontaine.ccrc70.fr

Frédéric-Fontaine est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Frédéric-Fontaine a été marquée par le protestantisme.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Frédéric-Fontaine est située dans le nord-est de la Bourgogne-Franche-Comté, dans le département de la Haute-Saône, non loin du Territoire de Belfort et du Doubs[1].

La localité fait partie du canton de Champagney, mais est limitrophe du canton de Lure-Sud et de celui d'Héricourt-Ouest, et appartient à la communauté de communes Rahin et Chérimont.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Clairegoutte Clairegoutte Rose des vents
N
O    Frédéric-Fontaine    E
S
Magny-Jobert Lomont Clairegoutte

Topographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal dans son contexte local.

Frédéric-Fontaine est située au cœur du Chérimont, un massif de collines boisées. Le village occupe la partie occidentale du territoire communal, caractérisé par une zone défichée en pente douce descendante dans le sens est – ouest. La partie est du territoire et marqué par une vallée boisée aux pentes marquées orientée nord-est – sud-ouest[1].

Géologie[modifier | modifier le code]

Frédéric-Fontaine est construite sur le plateau de Haute-Saône, elle est limitrophe de la dépression sous-vosgienne[2] et s'appuie sur le versant méridional du massif des Vosges[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Un étang de Frédéric-Fontaine.

Des étangs sont situés à l'ouest du village. Le ruisseau des Battants s'écoule dans le fond de la vallée boisée occupant l'est du territoire communal[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 290 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 10,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Étobon », sur la commune d'Étobon à 4 km à vol d'oiseau[6], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 272,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Frédéric-Fontaine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montbéliard, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 137 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,6 %), zones agricoles hétérogènes (37,5 %), zones urbanisées (7,9 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Frédéric-Fontaine est un village rural, ce qui implique une faible connexion aux réseaux de transport. Cependant, la proximité de Lure, et de la conurbation de Belfort-Montbéliard permet une offre de transport hors de la commune plutôt bonne.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Friderichsbron (1588), Friderich Fontaine (1600), Frédéric Fontaine (1791).

Frédéric de Montbéliard a fondé ce village en 1588 et lui a donné son nom germanique, -bron a été traduit par fontaine.

Histoire[modifier | modifier le code]

Frédéric Ier de Wurtemberg.
Frédéric-Fontaine sur l'atlas cantonal des communes de Haute-Saône.

C'est lors d'une partie de chasse pendant laquelle le comte de Montbéliard s'était égaré dans la forêt de Chérimont qu'il s'arrêta à une source avant d'être rejoint par ses gens. Frédéric de Wurtemberg décida de faire défricher cette terre et d'y fonder un village et pour ce faire il fit venir des colons d'Alsace, de Lorraine et de Bourgogne. Il lui donna le nom de « Friedrichs-Brunn » ou « Frédéric-Fontaine », en souvenir de sa partie de chasse, le 16 juillet 1588. Le village à l'origine se composait de seize familles (Ablond, Bailly, Challey, Croissant, Cueursey, Du Rupt, Henzelin, Lejeune, Linnon, Masson, Othlin, Paris, Regnault, Souret, Thomas) qui furent déclarées « de condition libre en leur personne et en leurs biens » et pourvues de terres, la plus grande partie formait un domaine rural au bénéfice du comte de Montbéliard. La cérémonie du 16 juillet eut lieu en pleine forêt, devant une source (la « fontaine du Prince ») où Frédéric de Wurtemberg avait retrouvé sa suite après s'être égaré lors d'une partie de chasse. Le 14 mars 1590, onze autres familles rejoignaient les premières, ce qui porta le nombre d'habitants à 140, la plus ancienne est celle de Rémy Croissant, originaire de Brémoncourt. En 1647, après des années de guerre, il ne restait que sept familles toutes très pauvres[17].

En juillet 1619, Zacharie Thérion, accusé de sorcellerie après avoir été torturé, était décapité sur le "grand pont" de Montbéliard et son corps incinéré[17].

Frédéric-Fontaine se convertit au protestantisme en même temps que le reste de la principauté de Montbéliard, au cours du XVIe siècle, conversion imposée par le prince. Pour enseigner la foi selon la formule de concorde de Wittemberg relevant du luthéranisme, le village est doté d’une école dès la fin du XVIe siècle. La scolarisation est alors obligatoire de 6 à 12 ou 13 ans (et l’absentéisme puni d’amende à partir de 1724)[18].

Le village compte de nombreux mineurs travaillant aux houillères de Ronchamp entre le XIXe siècle et le XXe siècle. Il fait alors partie du territoire du bassin minier[19]. Les mineurs du village travaillent essentiellement au puits Arthur-de-Buyer et au puits du Magny[20]. Dans les années 1930, la commune comporte 23 mineurs pour 220 habitants[21],[22].

La concession de Lomont d'une superficie de 2 336 ha est accordée en juillet 1904 pour l'exploitation de la houille du Stéphanien. Mais il n'y a aucune extraction de charbon en raison du manque de moyens techniques pour l'extraction du gisement situé à plus d'un kilomètre sous terre[23],[24].

Lors de la campagne de libération de la France en 1944, un groupe de Français libres du 1er régiment de fusiliers marins emmenés notamment par Marcel Guaffi, Édouard Przybylski et Julien Roger libèrent la commune et font 140 prisonniers[25].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

Écartelé au 1) d’or aux trois demi-ramures de sable posées en fasce et rangées en pal, au 2) d’or à l’ancre de sable, au 3) d’azur à la bannière d’or chargée d’une aigle de sable et emmanchée du même, posée en bande, au 4) de gueules aux deux bars adossés d’or.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Carte départementale représentant en rouge la communauté de communes Rahin et Chérimont.
La mairie.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Frédéric-Fontaine se trouve dans l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Elle faisait historiquement partie du canton de Champagney[26],[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton d'Héricourt-1.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre depuis son origine de la communauté de communes Rahin et Chérimont, intercommunalité créée en 2003[28], et qui se trouve dans le pays des Vosges Saônoises[29].

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (loi NOTRe) du 7 août 2015 prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, sauf si la plupart des communes qui la constitue sont situées en zone de montagne et pour lesquelles le seuil est abaissé à 5 000 habitants, le schéma départemental de coopération intercommunale prévoit le rattachement de la commune à la communauté de communes du pays de Lure[30]. Ce changement d'intercommunalité est prévu le .

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Gaston Pernol DVG  
mars 2001 mars 2014[31] Joël Templier[32] DVG  
mars 2014[33],[34] En cours
(au 24 mai 2020)
Vincent Schiessel DVG[35] Cadre dans le secteur privé
Vice-président de la CC Rahin et Chérimont (2014 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[36]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

La communauté de communes Rahin et Chérimont, à laquelle appartient Frédéric-Fontaine, est membre du syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères (SICTOM) de la zone sous-vosgienne, basé à Étueffont. La communauté de communes Rahin et Chérimont assure la gestion de la politique environnementale de Ronchamp, dont entre autres la mise en place et le suivi d’un service public d’assainissement non collectif[28].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

En 2021, la commune de Frédéric-Fontaine comptait 266 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres « recensements » sont des estimations.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
321358404404459466524485474
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
424400428384379408408326299
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
266261248203253223185149157
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
163162183188190182231264260
2021 - - - - - - - -
266--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Le pôle éducatif des Vosges saônoises.

De manière générale, Frédéric-Fontaine dépend de l'académie de Besançon. À proximité se trouve le Pôle Éducatif des Vosges Saônoises, co-géré par la communauté de communes Rahin et Chérimont et la communauté de communes du pays de Lure[39]. Cette école primaire publique accueille 160 élèves, mais ne dispose pas de cantine[40],[41].

Pour les niveaux de scolarisation des collégiens et des lycéens, le collège Victor-Schœlcher de Champagney et le lycée G.-Colomb de Lure seront les établissements privilégiés.

Santé[modifier | modifier le code]

Il n'existe aucune infrastructure de santé ou de médecins au sein du village, ni dans les communes limitrophes. L'hôpital le plus proche étant celui de Lure, de plus en plus désinvesti par les services publics au profit de celui de Vesoul, il n'est pas exclu qu'à moyen terme, Frédéric-Fontaine se trouve dans un désert médical, contraignant à la fréquentation de l'hôpital Nord Franche-Comté situé à Trévenans, dans le sud du Territoire de Belfort (département voisin)[42],[43].

Services[modifier | modifier le code]

Hormis les services assurés par la mairie, la commune n'a aucun service public sur son territoire. L'ensemble des services publics sont disponibles à Lure, qui concentre le Pôle emploi, EDF, les impôts, la justice ou la bibliothèque, médiathèque et espace culturels.

Instances administratives et judiciaires[modifier | modifier le code]

La commune de Frédéric-Fontaine dépend du tribunal de grande instance de Vesoul, du tribunal d'instance de Lure, du tribunal de commerce de Vesoul, du tribunal paritaire des baux ruraux de Lure, du tribunal des affaires de Sécurité sociale du Territoire de Belfort, du conseil de prud'hommes de Lure et de la cour d'assises de Vesoul. De plus, la commune est dépendante du tribunal administratif et de la cour d'appel de Besançon ainsi que de la cour administrative d'appel de Nancy[44],[45].

Cultes[modifier | modifier le code]

Le clocher du temple.

Le village a connu une activité protestante plutôt marquée dans son passé. En effet, un presbytère existe depuis bien longtemps dans le centre historique du village.

Économie[modifier | modifier le code]

Le village dépendant économiquement des deux centres urbains de Lure et de l'agglomération d'Héricourt-Montbéliard. Ces deux pôles offrent de nombreux emplois et sont rapidement accessibles par une voie express passant dans ces axes à proximité de Frédéric-Fontaine. L'INSEE rattache le village au bassin de vie de Champagney - Ronchamp[46].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église et les fontaines. Un même corps de bâtiment comprend la mairie, l’école et le temple protestant.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Carte IGN de Frédéric-Fontaine » sur Géoportail.
  2. « La dépression sous-vosgienne », sur caue-franche-comte.fr.
  3. [PDF] « Carte du massif des Vosges », sur massif-des-vosges.com.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Frédéric-Fontaine et Étobon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Étobon », sur la commune d'Étobon - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Étobon », sur la commune d'Étobon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montbéliard », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b Charles Duvernoy 1847, p. 42 à 46.
  18. Élisabeth Berlioz, « Enseignement, protestantisme et modernité. Les écoles du pays de Montbéliard (1724-1833) », Histoire de l’éducation, 110 | 2006, mis en ligne le 01 janvier 2011, consulté le 03 novembre 2013.
  19. Jean-Jacques Parietti 2010, p. 14.
  20. Jean-Jacques Parietti 2010, p. 15.
  21. Jean-Jacques Parietti 2010, p. 16.
  22. Jean-Jacques Parietti, Les dossiers de la Houillère 2 : Le puits Arthur de Buyer (1999), p. 21.
  23. Carilian-Goeury et Vor Dalmont, Annales des mines, partie administrative, ou Recueil de lois, décrets, arrêtés et autres actes concernant les mines et usines, vol. 3, (lire en ligne), p. 162-165.
  24. Jean-Jacques Parietti, Les dossiers de la Houillère 2 : Le puits Arthur de Buyer, Association des amis du musée de la mine, (présentation en ligne), p. 4.
  25. « Marcel Guaffi », sur ordredelaliberation.fr, Ordre de la Libération (consulté le ).
  26. [PDF] « Populations légales en vigueur à compter du 1er janvier 2013 (Arrondissements - cantons - communes) » (consulté le ).
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Ronchamp », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  28. a et b « Communauté de communes Rahin et Chérimont », sur ccrc70.fr (consulté le ).
  29. « Présentation du pays des Vosges Saônoises », sur pays-vosges-saonoises.fr (consulté le ).
  30. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2016 portant définition du schéma départemental de coopération intercommunale du département de la Haute-Saône » [PDF], Intercommunalité, Préfecture de la Haute-Saône (consulté le ), p. 3.
  31. Préfecture de Haute-Saône, « Liste des communes de Haute-Saône » (consulté le ).
  32. EIP, Annuaire des Mairies de Haute Saône (70), (lire en ligne), p. 88.
  33. « Vincent Schiessel succède à Joël Templier », L'Est républicain,‎ (lire en ligne).
  34. « Départementales 2015: Frédéric-Fontaine 702254 », sur Le Monde.
  35. « Extrait de la fiche de M. Vincent Schiessel », sur lesbiographies.com, (consulté le ).
  36. « Un 2e mandat pour Vincent Schiessel », sur L'Est républicain, (consulté le ).
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. « Peri- et extrascolaire », sur communauté de communes Rahin et Chérimont.
  40. « Ecole primaire publique », sur education.gouv.fr.
  41. « Ecole primaire publique », sur journaldesfemmes.com.
  42. Hôpital Nord Franche-Comté sur le site de la commune de Trévenans.
  43. Site officiel de l'HNFC.
  44. « Juridictions de Vesoul », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  45. « Carte judiciaire » [PDF], sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  46. « Bassin de vie 2012 de Champagney - Ronchamp (70120) », sur INSEE.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • L. Suchaux, Annuaire du département de la Haute-Saône, (lire en ligne)
  • Charles Duvernoy, Les villages ruinés du comté de Montbéliard, avec quelques autres d'origine moderne, (lire en ligne), p.  42 à 46. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Jean-Jacques Parietti, Les Houillères de Ronchamp vol. II : Les mineurs, Noidans-lès-Vesoul, fc culture & patrimoine, , 115 p. (ISBN 978-2-36230-001-1). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article