Francières (Oise)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Francières
Francières (Oise)
La sucrerie-distillerie.
Blason de Francières
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC de la Plaine d'Estrées
Maire
Mandat
Jean-Marie Soen
2020-2026
Code postal 60190
Code commune 60254
Démographie
Gentilé Francisiens, Francisiennes
Population
municipale
547 hab. (2021 en diminution de 0,36 % par rapport à 2015)
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 26′ 56″ nord, 2° 40′ 49″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 94 m
Superficie 8,23 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 5e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Francières
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Francières
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Francières
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Francières
Liens
Site web https://www.mairie-francieres.fr/

Francières est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Francières est située à 12 kilomètres de Compiègne et à 75 km de Paris. Elle borde l'ancienne voie romaine qui reliait Lutèce à Lille, remplacée depuis par la RD 1017 (ex-RN 17).

En 1832, Louis Graves indiquait que « le territoire de Francières est formé d'un plateau élevé sur lequel le chef-lieu est placé, et d'une plaine légèrement inclinée vers le midi ; il n'y a pas d'eau courante dans son étendue, mais on rencontre à peu de profondeur, des sources dans le village même. Ce village est assez bien bâti; ses rues sont larges et pavées[1] ».

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Francières
Hémévillers Montmartin
Rouvillers Francières
Estrées-Saint-Denis Remy

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 678 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Francières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,6 %), zones urbanisées (4 %), forêts (2,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune comprend le hameau de la Sucrerie traversé par la RD 1017. L'ancienne sucrerie-distillerie de Francières y est implantée.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 253, alors qu'il était de 237 en 2014 et de 215 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 90,9 % étaient des résidences principales, 1,6 % des résidences secondaires et 7,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,8 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Francières en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,6 %) inférieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 70 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (69,7 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Francières en 2019.
Typologie Francières[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 90,9 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,6 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 7,5 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 663, 6301 et 6343 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité a été désignée sous le noms de Francière, Froncières (Franceriæ)[1].

Le nom de Francières semble indiquer un alleu, une terre noble, exempte de toute charge, soit réelle, soit personnelle[15]. Peut-être équivalent oïl de l'occitan franqueria « terre libre d'impôt »[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Un prieuré de l'ordre de Cluny est mentionné dès 1162 à Francières[1],[17].

Une chapelle est fondée en 1331 par Jacques de Francières dans le château de Francières[1].

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Le château de Francières, qui tombait en ruine, est démoli durant la Révolution française[1].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1829 est construite la sucrerie de betteraves Thirial Bertin et Compagnie sur la route nationale, à l'écart du village et près de la ferme de Fresnel qui lui assure un domaine de terres cultivables de 200 ha. L'entreprise est contrôlée par un important propriétaire de l´Eure, le général Pierre Alexandre Dauger, son fermier César Auguste Thirial. le maître de la poste aux chevaux de Roye, Édouard Bertin, ainsi que plusieurs aristocrates, Louis-Fortuné, vicomte de Riencourt, Barthélemy-Léonard de Talloubre et Hector Ledru. L'exploitation est suspendue en 1830 au départ de Thirial et ne reprend qu'en 1832, sous la direction de Jean-François-Xavier Crespel, dit Crespel-Delisse[18], l'un des pionniers de l´industrie sucrière en France, à partir de 1833. Sa notoriété permet à la sucrerie d'être soutenue financièrement par les banques[19].

En 1832, la commune est propriétaire du presbytère, d'une école, et d'une place garnie de plantations près de l'église. La population vit de l'agriculture[1].

Au milieu du XIXe siècle, Crepel-Delisse s´adjoint des compétences de Claude Leyvraz, qui prend la tête de la société de la sucrerie en 1854, lorsque le premier, ruiné par d´autres investissements, est contraint de se retirer des affaires. Leyvraz poursuit seul la direction de la sucrerie de Francières qu´il complète, en 1855, d´une distillerie d´alcool de betteraves, l'une des toutes premières de l'Oise, et l´ensemble sucrier de Francières devient l´un des plus modernes de la région, permettant de multiplier par cinq sa production en une dizaine d'années. La sucrerie est rachetée en 1859 par Grieninger et Bachoux qui poursuivent le développement des installations avec le concours technique technique du chimiste Charles Gallois, nommé à Francières à partir de 1861. Vers 1880, une nouvelle distillerie est construite, ainsi qu´un four à potasse et deux entrepôts industriels.
Grieninger quitte la sucrerie en 1884 et l´entreprise, dirigée par Bachoux, change de raison et de statut social, en devenant la S.A. Sucrerie Distillerie de Francières. Bachoux remplace Charles Gallois par Prudent Druelle à la direction technique de l´usine, mais il est contraint en 1884, à son tour, de se retirer des affaires pour faire face à la faillite de son fils. Druelle devient en 1888 le directeur en titre de l'entreprise et fait raccorder en 1890 l´usine à la gare d'Estrées-Saint-Denis par un embranchement particulier et modernise l'usine. À sa mort, en 1906, on petit-gendre, Gaston Benoit, assure la poursuite de l´entreprise et de sa modernisation. Lui et son épouse Marguerite s´investissent dans l´encadrement social du personnel de la sucrerie et de leur famille et font aménager une école dans une partie des premiers logements, évitant ainsi aux enfants de rejoindre l´école du village distante de plus de trois kilomètres[19].

Première Guerre Mondiale[modifier | modifier le code]

La sucrerie poursuit son exploitation sous la direction de Marguerite Benoit, qui supplée son mari mobilisé. En 1918, le matériel et les machines sont démontés et l´usine est contrainte de s´arrêter[19].

L'Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

L´entre-deux-guerres ouvre une nouvelle période de modernisation et de reconstruction de la sucrerie, sous la direction de Gaston Benoit. En 1933, une nouvelle distillerie d´alcool est construite. Gaston et Marguerite Benoit, animés d´un véritable esprit paternaliste envers le personnel de leur sucrerie, font construire une nouvelle série de logements de l´autre côté de la route, pour une partie du personnel et font aménager une chapelle dans la continuité immédiate du côté nord des ateliers[20]. L´école de la sucrerie, fondée en 1907, devient une école publique, et un bunker de protection de la population du hameau est construit. Le logement de direction est modernisé dans un style art-déco, et agrémenté d´un jardin redessiné avec rocaille et tonnelle[19].

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

L'après guerre[modifier | modifier le code]

En 1947, Gaston Benoit meurt et l'entreprise est reprise par son gendre, Jean Valette, qui ne peut mettre en œuvre son projet de refonte totale du site industriel et meurt en 1951. Marguerite Benoit, reprend à nouveau la direction de l'entreprise mais ne dispose pas des moyens de rivaliser avec les grands groupes sucriers qui se sont formés, et l'usine ferme en 1969[19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton d'Estrées-Saint-Denis[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton d'Estrées-Saint-Denis

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Francières est membre de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours
(au 13 septembre 2022)
Jean-Marie Soen   Réélu pour le mandat 2020-2026[22],[23]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Hémévillers et Montmartin dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI). L'école de Francières compte deux classes de maternelle, dispose d'un accueil périscolaire et assure un service de cantine pour l'ensemble du RPI[24].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

En 2021, la commune comptait 547 habitants[Note 3], en diminution de 0,36 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
398381397412436435432444480
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
488525538490539521527520543
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
506486461462560559543491491
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
452431307362440476505521509
2014 2019 2021 - - - - - -
549549547------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 16,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 266 hommes pour 282 femmes, soit un taux de 51,46 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,7 
4,1 
75-89 ans
4,6 
11,7 
60-74 ans
12,4 
24,4 
45-59 ans
24,7 
22,6 
30-44 ans
22,3 
15,8 
15-29 ans
17,7 
21,4 
0-14 ans
17,7 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune de Francières compte un grand nombre de sites et monuments étant donné sa superficie.

Chronologiquement, il y a[30] :

  • Une villa gallo-romaine, dont il ne reste que les fondations enterrées. Elle s'étend tout de même sur une surface longue de 340 m sur 160 m de large.
  • Une motte féodale sur laquelle fut construit le premier château (en bois) de Francières.
  • Un château, dont on ne connaît que très peu de choses si ce n'est qu'il possédait au moins deux tours.
  • Un autre château, en grande partie détruit et orné à l'époque de jardins, le tout aménagé en pleine forêt. Seule une aile réduite est encore debout.
  • Église Saint-Michel, prieuré-cure bâti en 1607[31]. En 1832, Louis Graves indiquait que son chœur est vouté, « ses croisées sont en plein-ceintre du genre qui a immédiatement succédé à l'ogive; la nef est lambrissée; le clocher, garni d'une flèche en charpente, est sur le portail[1] ».
  • Une fontaine fut un lieu de pèlerinage et de processions jusqu'à ce que le temps et les dégradations aient raison d'elle.
  • La sucrerie-distillerie de Francières, fabrique de sucre de betteraves, construite en 1829 sur la route nationale et désaffectée en 1969. Elle est inscrite à l'inventaire des monuments historiques entre autres grâce au fait qu'elle soit la dernière représentante en Europe de ce qu'était l'industrie du sucre de betteraves à ses débuts[32],[33],[34].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Francières Blason
D'argent à la bande de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Abbé Émile Morel, La seigneurie de Francières, Amiens, Delattre-Lenoel, , 48 p. (lire en ligne), sur Gallica.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Francières » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Francières - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Francières - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f et g Louis Graves, Précis statistique sur le canton d'Estrées-Saint-Denis, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 106 p. (lire en ligne), p. 40-41.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Francières et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Francières », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. La Picardie, revue historique : archéologique & littéraire, vol. 2 et 6, Amiens, , p. 164.
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations dialectales (suite) et françaises, Genève, Droz, , p. 1491.
  17. Philippe Racinet, « Trois prieurés clunisiens au Moyen Âge : Cressonsacq, Francières et Vignemont (XIIe – XVIe siècles) », Bulletin de la société historique de Compiègne, t. XXIX,‎ , p. 47-63 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
  18. « Monument à Louis Crespel Delisse – Arras », Monument aux grands hommes, sur e-monumen.net, (consulté le ).
  19. a b c d et e Benoît Dufournier, PascaleTouzet, Bertrand Fournier, « Sucrerie de betteraves Thirial Bertin et Compagnie, puis Sucrerie et Distillerie de Francières : Dossier IA60001080 », sur Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  20. Benoît Dufournier, « Photo : Sucrerie de betteraves Thirial Bertin et Compagnie, puis Sucrerie et Distillerie de Francières : Chapelle : vue intérieure (cliché IVR22_19946001353Z) », Région Hauts-de-France - Inventaire général (consulté le ).
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Francières », Cartes de France (consulté le ).
  23. « Répertoire national des maires » [csv], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  24. « Vivre à Francières », sur mairie-francieres.fr (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Francières (60254) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  30. « Historique », Accueil, sur mairie-francieres.fr (consulté le ).
  31. Dominique Vermand, « Francières, prieuré-cure Saint-Michel : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique (consulté le ).
  32. Site de l'association pour la sauvegarde de la sucrerie de Francières.
  33. « La Sucrerie de Francières », sur oisetourisme.com (consulté le ).
  34. Alexandra Gressier, « La Sucrerie de Francières : La Sucrerie de Francières, une des plus anciennes sucreries de Picardie, a été construite en 1829 et a fais du sucre à partir de betteraves pendant 140 ans », Oise > Histoire, sur picardistoire.fr, (consulté le ).
  35. Vincent Melosci, « Voile : Romain Attanasio, de Francières dans l’Oise à la Route du Rhum : À 41 ans, Romain Attanasio, qui a vécu dix ans dans l’Oise, se lancera à l’assaut de sa première transatlantique Saint-Malo - Pointe-à-Pitre », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).