François Villeroy de Galhau

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François Villeroy de Galhau, né le à Strasbourg, est un haut fonctionnaire français. Il est directeur général délégué de BNP Paribas de 2011 à 2015, gouverneur de la Banque de France depuis le et président du conseil d'administration de la Banque des règlements internationaux depuis le .

Biographie[modifier | modifier le code]

Famille[modifier | modifier le code]

François Villeroy de Galhau naît dans une famille d'ancienne bourgeoisie originaire de Lorraine[1], issue de Simon Villeroy (mort v. 1675), bourgeois de Saint-Avold.

Parmi ses ancêtres, figurent Claude Villeroy (1726-1800), directeur général des hôpitaux militaires, et Nicolas Villeroy (1759-1843), receveur de la vente étrangère des sels, capitaine dans la Garde nationale et fondateur de l'entreprise Villeroy & Boch.

La famille Villeroy est historiquement implantée entre la Lorraine et la Sarre, et François Villeroy de Galhau parle un allemand courant[2]. Il est le fils de Claude Villeroy de Galhau[3] et d'Odile de La Lande de Calan (fille de Pierre de La Lande de Calan)[4].

Il est marié à Florence Gilbert de Vautibault, avec laquelle il a cinq enfants[4].

Jeunesse et études[modifier | modifier le code]

François Villeroy de Galhau suit ses études secondaires au lycée Saint-Louis-de-Gonzague. Il intègre l'École polytechnique (promotion 1978), puis l’École nationale d'administration (promotion Louise-Michel 1984). Major de la voie économique, il sort de l'ENA inspecteur des finances[5].

Carrière avant la Banque de France[modifier | modifier le code]

En 1988, François Villeroy de Galhau entre à la direction du Trésor où il est chargé de mission (bureau Afrique, puis bureau Europe)[6],[4].

De 1990 à 1993, il est conseiller européen du ministre des Finances puis du Premier ministre Pierre Bérégovoy, et occupe ensuite diverses responsabilités à la direction du Trésor à Bercy, puis à Bruxelles comme conseiller financier à la représentation permanente de la France[4].

Sous le gouvernement Jospin, il est directeur de cabinet de Dominique Strauss-Kahn de 1997 à 1999, de Christian Sautter de 1999 à 2000 au ministère de l'Économie et des Finances, puis directeur général des Impôts de 2000 à 2003[4].

En 2003, il passe dans le privé et devient président-directeur général de Cetelem, société de crédit à la consommation du groupe BNP Paribas, puis responsable de la banque de détail du groupe en France (2008). François Villeroy de Galhau est ensuite directeur général délégué du groupe BNP Paribas, chargé des Marchés domestiques et de la RSE du au . À l'été 2014, il est sollicité par Emmanuel Macron, alors ministre de l'économie, de l'industrie et du numérique (gouvernement Valls 2), pour devenir son directeur de cabinet[7], qu'il refuse[8].

Il est promu officier de la Légion d'honneur le [9].

Il est plus tard chargé, par le gouvernement Valls I, de s'occuper d'une mission sur le financement de l'investissement des entreprises[10]. Cette mission fait l’objet d’un rapport remis au Premier ministre Manuel Valls le 26 septembre 2015[11].

Gouverneur de la Banque de France[modifier | modifier le code]

Nomination[modifier | modifier le code]

En septembre 2015, il est proposé au poste de gouverneur de la Banque de France[12]. Cette situation engendre des réactions contrastées : un collectif de 150 économistes estime que cette situation provoque un risque de conflits d’intérêt et demande aux parlementaires de s'y opposer[13]. À l'inverse, trois anciens gouverneurs de la Banque de France défendent sa candidature[14].

Lors de son audition devant la Commission des finances de l’Assemblée nationale, il prend des engagements pour « garantir qu’il n’y aurait jamais de situation de conflit d’intérêts »[15]. Il reçoit l'avis favorable des commissions parlementaires compétentes, qui participaient pour la première fois à la procédure de nomination[16].

Il est nommé gouverneur de la Banque de France par le président de la République et prend ses fonctions le 1er novembre[17]. Il en préside le conseil général, qui délibère sur les questions relatives à la gestion des activités autres que celles relevant de l’Eurosystème, et pilote les trois missions de la Banque de France : la stratégie monétaire, la stabilité financière et les services économiques vers les ménages et les TPE et PME[18].

Il préside aussi, au titre de gouverneur de la Banque de France, l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution[19].

Il siège au conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne à Francfort, aux côtés des six membres du directoire et des gouverneurs des banques centrales nationales des dix-huit autres pays de la zone euro.

Action à la tête de la Banque de France[modifier | modifier le code]

François Villeroy de Galhau au cours d'une conférence à l'École polytechnique en 2017.

À son arrivée, il amplifie le plan de transformation initié par son prédécesseur Christian Noyer, qu'il intitule « Ambition 2020 »[20],[21].

En 2018, Villeroy de Galhau prend l'initiative de lancer le Network for Greening the Financial System (NGFS)[22],[23], un réseau de banques centrales qui compte une cinquantaine de membres, visant à explorer le rôle des banques centrales dans la promotion de la finance verte[24]. La Banque de France assure aujourd'hui le secrétariat permanent du NGFS, dont la présidence est assurée par l'allemande Sabine Mauderer. Villeroy de Galhau se prononce à de nombreuses reprises en faveur d'une intégration des risques financiers liés au climat dans la politique monétaire de la BCE[25].

En décembre 2019, il plaide pour l'émergence de l'euro numérique, une monnaie numérique de banque centrale qui permettrait au niveau européen de « disposer d'un puissant levier d'affirmation de notre souveraineté face aux initiatives privées du type Libra »[26].

Crise du Covid-19[modifier | modifier le code]

À l'occasion de la crise liée à la pandémie de Covid-19, il annonce une décroissance de 6 % de l’économie française au 1er trimestre 2020, et estime le coût de la crise à 1,5 point de croissance annuelle par quinzaine de confinement[27],[28].

Il juge néanmoins que l'État joue un rôle d'amortisseur majeur face à la crise : « L’intervention publique massive a absorbé au moins les deux tiers du choc, et réduit d’autant son impact pour les ménages et les entreprises[28]. » Il relève également le grand consensus des économistes sur les mesures à prendre pour sortir de la crise et faire redémarrer l’économie au plus tôt et dans les meilleures conditions : la création d’un bouclier de trésorerie pour toutes les entreprises[27].

Concernant l'activité des banques, il annonce le que les banques françaises ont reçu 290 000 demandes de prêts garantis par l'État, pour un montant total de 55 milliards d'euros[28].

Agression à Bâle[modifier | modifier le code]

En juin 2022, Villeroy de Galhau est frappé d'un coup de marteau à la tête à Bâle, en Suisse, après avoir dirigé une réunion du conseil d'administration de la Banque des règlements internationaux. Après que des passants ont maîtrisé l'assaillant (dont l'identité n'a pas été révélée), Villeroy de Galhau est hospitalisé. Les autorités suisses considèrent qu'un motif politique est possible. L'agresseur est en détention provisoire et ses motivations restent floues, selon le journal suisse Le Nouvelliste[29],[30],[31].

Rémunération[modifier | modifier le code]

Par souci de transparence, la Banque de France a rendu public pour la première fois en 2016 le salaire annuel de son gouverneur, qui s'élève à 283 129 euros brut[32]. À cette rémunération s'ajoutent une indemnité de logement de 5 653 euros par mois et une enveloppe annuelle de 46 500 euros qui lui est versée en tant qu’administrateur de la Banque des règlements internationaux (BRI)[33].

Autres mandats[modifier | modifier le code]

En tant que gouverneur de la Banque de France[modifier | modifier le code]

François Villeroy de Galhau exerce en qualité de gouverneur de la Banque de France des mandats qui lui sont confiés dans le cadre du Code monétaire et financier, parmi lesquels :

Fonctions passées[modifier | modifier le code]

Prises de position[modifier | modifier le code]

Avant 2015[modifier | modifier le code]

François Villeroy a longtemps été membre du conseil d'administration des Semaines sociales de France, aux côtés de Michel Camdessus, de Jean Boissonnat et d'autres personnalités du monde de la finance et de l'économie préoccupées par l'action sociale de l'Église catholique.

Plus médiatisé depuis 2003, il intervient régulièrement dans la presse, à la radio voire à la télévision, à titre professionnel comme à titre personnel, sur l'Europe et la relation franco-allemande, sa vision du management, ou les réformes économiques[37].

Sa réflexion éthique est au cœur de son action économique et sociale, notamment à propos de la finance. Dans son dernier livre, L'Espérance d'un Européen, il prend parti clairement pour le modèle social européen, et propose un programme pour l'emploi des jeunes à travers un grand « Erasmus pro »[38].

Catholique engagé, il a publié dans le passé des tribunes dans le journal La Croix.

Depuis sa nomination à la Banque de France[modifier | modifier le code]

En tant que Gouverneur de la Banque de France, il prend de nombreuses positions publiques sur des sujets monétaires et financiers, comme le bitcoin, dont il rappelle qu’il n’est pas une monnaie[39], ou encore la double circulation de monnaies, qu’il estime être un danger pour l’euro[40].

François Villeroy de Galhau prend régulièrement la parole sur les enjeux économiques de la France, comme le chômage qu’il estime être “la situation la plus urgente que connaît actuellement la France”,  les dépenses sociales, la masse salariale de la fonction publique, l’union bancaire, le surendettement ou le paiement sans contact[41],[42],[43].

Il plaide régulièrement en faveur de la baisse des dépenses publiques, jugeant le modèle social français « trop coûteux »[44].

Il se conduit à la Banque de France, selon le magazine Marianne, en gardien de l’orthodoxie néolibérale. Il s'élève ainsi, dans le contexte de pandémie de Covid-19, contre l'idée d'annuler la dette détenue par la Banque centrale européenne, ou contre l’assouplissement des ratios de Maastricht[45].

Lettre au président de la République[modifier | modifier le code]

Depuis 1945, la tradition veut que le gouverneur de la Banque de France remette au président de la République française une lettre faisant part de ses réflexions et recommandations sur la situation économique et financière de la France. Cette lettre est publique et abondamment commentée dans les médias et milieux économiques.

En 2016, François Villeroy de Galhau alerte sur les faiblesses économiques et sociales de la France et en particulier le chômage des jeunes[46]. En 2018, il alerte sur l'urgence de contenir la dépense publique[47].

En 2019, il centre sa lettre sur l'euro à l'occasion des 20 ans de la monnaie unique, évoquant son succès incontestable, ses promesses tenues, le fort soutien populaire dont elle bénéficie et le rôle qu'elle a joué dans l'augmentation du pouvoir d'achat moyen des Français[48]. Il appelle à renforcer l'union monétaire pour maintenir la souveraineté de l'Europe[49].  

En 2020, la lettre au président de la République est centrée sur la crise économique liée à la pandémie de Covid-19. Dans ce contexte particulier, François Villeroy de Galhau invite le président à privilégier la stabilité fiscale (ni hausse, ni baisse d'impôts)[50].

En 2023, sa lettre donne la priorité à la lutte contre l’inflation[51].

Publications[modifier | modifier le code]

Livres[modifier | modifier le code]

  • Développement des activités financières au regard des exigences éthiques du christianisme, éd. Librairie Vaticane, 1994
  • Dix-huit leçons sur la politique économique : à la recherche de la régulation, avec Jean-Claude Prager, préface de Michel Pébereau, Le Seuil, 2003, 2e édition 2006
  • avec Luc Champagne, Jérôme Vignon et Michel Camdessus, Chrétiens face à la crise, Paris, Bayard, , 78 p. (ISBN 978-2-227-47883-1)
  • L'Espérance d'un Européen, éd. Odile Jacob, 2014 (ISBN 978-2738130914)
  • Retrouver confiance en l'économie, éd. Odile Jacob, 2021 (ISBN 9782738153838)

Tribunes[modifier | modifier le code]

Articles[modifier | modifier le code]

  • « Le changement dans l'État, c'est possible », Sociétal, 2002, no 35, p. 26-30[52]
  • « Bercy : la réforme sans le grand soir ? », En temps réel, cahier 13, mars 2004[53]
  • « Ces entreprises qui font l'Europe », La Croix, 22 mars 2006[54]
  • « La pression et le bénédictin », La Croix, 28 décembre 2006[55]
  • « Justice et fiscalité », Études, no 4064, avril 2007, p. 463-474
  • « Voyage dans le cerveau du monde », La Croix, 13 juin 2007[56]
  • « Un trésor trop discret », La Croix, 24 octobre 2007[57]
  • « La vocation d'un dirigeant est aussi d'être un serviteur à l'écoute », in La Vie, no 3260 du 21 au 27 février 2008, p. 18-19
  • « Y a-t-il un pilote dans l'avion ? », La Croix, 26 septembre 2008
  • « Rome, Wall Street et nous », Études, 2009, tome 411, p. 112
  • « Sagesses de mon village allemand », La Croix, 17 septembre 2012[58]
  • « De Rome à Maastricht et au-delà, des principes pour consolider et faire progresser le projet européen », Revue d’économie financière, 2017, no  125, p. 336
  • « L’euro : un succès encore inachevé », Réalités industrielles, 2018, p. 104

Références[modifier | modifier le code]

  1. Pierre-Marie Dioudonnat, Le simili-nobiliaire-Français, ed. Sedopols, 2012, p.788
  2. (de) Christian Schubert, « François Villeroy de Galhau: Ein Deutschland-Kenner für die EZB », Frankfurter Allgemeine Zeitung,‎ (ISSN 0174-4909, lire en ligne, consulté le )
  3. « Décès de Claude Villeroy de Galhau, un passionné de l'Histoire et de l'amitié Franco-Allemande », France 3 Grand Est,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. a b c d et e « Pouvoirs et synthèse des intérêts: les puissants défendent leur caste », L'Humanité,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. Ghislain de Montalembert, « François Villeroy de Galhau, l’homme qui voit l’avenir en rose », Le Figaro Magazine,‎ , p. 22-23 (lire en ligne).
  6. « François Villeroy de Galhau », Banque de France,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. « F. Villeroy de Galhau : le retour aux sources d’un grand commis de l’Etat », sur Les Echos, (consulté le )
  8. « INFO OBS. Alexis Kohler, nommé directeur de cabinet d'Emmanuel Macron », sur L'Obs, (consulté le )
  9. Décret du 11 juillet 2014 portant promotion et nomination (lire en ligne)
  10. « François Villeroy de Galhau, prochain gouverneur de la Banque de France? », La Tribune,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. « Rapport sur le financement de l’investissement des entreprises », sur Gouvernement.fr (consulté le ).
  12. « Biographies des membres du conseil général », Banque de France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. « Banque de France : « François Villeroy de Galhau est exposé à un grave conflit d’intérêts » », .
  14. « Banque de France : trois ex-gouverneurs soutiennent Villeroy de Galhau », sur www.liberation.fr, .
  15. « Assemblée nationale ~ Compte rendu de réunion de la commission des finances, de l'économie générale et du plan », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  16. LOI n° 2010-838 du 23 juillet 2010 relative à l'application du cinquième alinéa de l'article 13 de la Constitution, (lire en ligne)
  17. Décret du 30 septembre 2015 portant nomination du gouverneur de la Banque de France - M. VILLEROY de GALHAU (François)
  18. « Interview de François Villeroy de Galhau, Gouverneur de la Banque de France », sur Paris Normandie (publié sur le site de la Banque de France),
  19. « Collège de supervision », Banque de France,‎ (lire en ligne, consulté le )
  20. « Ce que va faire Villeroy de Galhau à la Banque de France », Challenges,‎ (lire en ligne, consulté le )
  21. « « La priorité de la Banque de France, c'est le financement de l'économie réelle » », La Tribune,‎ (lire en ligne, consulté le )
  22. « « La stabilité climatique fait partie, à long terme, des déterminants de la stabilité financière. » - One Planet Summit – Paris », sur Banque de France, (consulté le )
  23. « Risque climat, finance verte : les banques centrales s’y mettent aussi ! », sur La Tribune (consulté le )
  24. (en-GB) « Membership », sur Banque de France, (consulté le )
  25. (en) « ECB should take climate change into account - Villeroy », Reuters,‎ (lire en ligne, consulté le )
  26. « Blockchain : la Banque de France avance dans ses tests d'« euro digital » », sur LEFIGARO (consulté le )
  27. a et b « Coronavirus : le PIB plonge d'environ 6% au 1er trimestre », sur RTL.fr (consulté le )
  28. a b et c « Une chute du PIB d’« au moins 8 % » cette année, pronostique le gouverneur de la Banque de France », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  29. « Le patron de la Banque de France attaqué au marteau à Bâle », sur Le patron de la Banque de France attaqué au marteau à Bâle (consulté le )
  30. (de) Thomas Knellwolf, Mirjam Kohler et Hans Ulrich Schaad, « Hammer-Attacke auf offener Strasse – Attentat auf französischen Zentralbank-Chef in Basel », sur Der Bund, (consulté le )
  31. « Le patron de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, attaqué au marteau à Bâle: un possible «attentat politique» », sur LEFIGARO, (consulté le )
  32. BFM BUSINESS, « La Banque de France dévoile le salaire de son gouverneur », sur BFM BUSINESS (consulté le )
  33. « Hauts salaires », sur Libération,
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  35. « Équipe | En Temps Réel », (version du sur Internet Archive)
  36. « Site Bayard - Présentation et histoire > Organigramme », (version du sur Internet Archive)
  37. « Actualités », Banque de France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  39. BFM BUSINESS, « François Villeroy de Galhau: « Le bitcoin n'est en rien une monnaie, ou même une crypto-monnaie » », sur BFM BUSINESS (consulté le )
  40. « Banque de France : la double circulation de monnaies proposée par Le Pen serait un danger », cBanque Actu,‎ (lire en ligne, consulté le )
  41. (en) « François Villeroy de Galhau : "Je crois à l’Europe, ce modèle de diversité, de solidarité, de paix” », sur www.escpeurope.eu (consulté le )
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  43. « Comment Villeroy de Galhau veut muscler l’union bancaire », Challenges,‎ (lire en ligne, consulté le )
  44. Sébastien Grob, « Dépenses publiques : le réquisitoire bancal du gouverneur de la Banque de France contre "notre modèle trop coûteux" », sur www.marianne.net,
  45. Franck Dedieu, « Austérité, néolibéralisme… Ils ne vont pas disparaître après le Covid », sur www.marianne.net,
  46. « Les 4 axes de réformes du gouverneur de la Banque de France », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  47. Marc Vignaud, « Les conseils du gouverneur de la Banque de France à Emmanuel Macron », sur Le Point, (consulté le )
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  50. « François Villeroy de Galhau : « Il faut ni hausse d’impôts, ni baisse » », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  51. « François Villeroy de Galhau: «L’inflation deviendrait une maladie grave si elle s’installait» », sur LEFIGARO, (consulté le )
  52. « Le changement dans l’Etat, c’est possible », Sociétal,‎ 1er trimestre 2002 (ISSN 1274-3356, lire en ligne, consulté le )
  53. Texte en ligne (pdf, 36 p.)
  54. « Ces entreprises qui font l'Europe », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  55. « La pression et le bénédictin.François Villeroy de Galhau. reperes. Des cadres de plus en plus stressés. », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  56. « Voyage dans le cerveau du monde par François Villeroy de Galhau,dirigeant d'entreprise », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  57. « Un trésor trop discret. », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  58. « Sagesses de mon village allemand. François VILLEROY de GALHAU, dirigeant d'entreprise », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Apolline de Malherbe, « François Villeroy de Galhau : l'Europe chevillée au corps », in La Tribune, 25 juillet 2008

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]