Fourrure

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Peau dont la fourrure présente des nuances de brun sur le dos, avec les pattes plus foncées
Fourrure de Glouton, appelé aussi carcajou au Canada.
Jeune yupik portant un vêtement fait d'un assemblage de fourrures de mammifères et d'oiseaux.

La fourrure est la peau de tout animal, garnie de ses poils ou, plus rarement, de duvet ou de plumes, parfois utilisée par l’Homme comme vêtement, garniture ou accessoire de décoration. Les fourrures commercialisées proviennent le plus souvent de mammifères sauvages ou d'élevage, et ont été traitées pour assurer leur souplesse et leur conservation[1].

Utilisée par les hommes depuis la préhistoire, avant l'invention de tout textile, comme protection contre le froid et les intempéries, comme signe de prestige ou objet de luxe, elle a été recherchée dans de multiples déclinaisons dans la mode. La traite des fourrures fut pendant deux siècles la principale ressource de l'Amérique du Nord, avant que la chasse intensive provoque, à partir du XIXe siècle, un épuisement de la ressource et, progressivement, le développement de l'élevage des animaux auparavant chassés.

Des associations ont pour vocation la dénonciation des conditions de détention et d'abattage des animaux élevés pour leur fourrure ; certaines allant jusqu'à dissuader de l'utilisation de la fourrure synthétique qui est d'origine industrielle et a été créée comme produit de substitution. En réaction, de nombreux éleveurs veillent davantage aux conditions de vie des animaux, en même temps qu'augmente le nombre de pays interdisant les pratiques jugées cruelles.

Malgré les aléas, le commerce de la fourrure et des vêtements de fourrure reste important au XXIe siècle. Celle-ci étant à la fois le symbole de la réussite sociale, de l'élégance, de l'animalité et de la sensualité, elle est souvent présente dans la culture comme symbole, dans les traditions ou les tendances, sans oublier les œuvres de fiction.

Description

Peau

Fourrure d'opossum.

La fourrure est constituée habituellement de deux couches principales :

  • la peau
  • le poil
    • le duvet proche du corps, dense et court ;
    • le poil de garde ou jarre qui dépasse du duvet et qui donne la couleur.

Mais la fourrure de cygne, par exemple, est faite de peau garnie non pas de poils mais de duvet de petites plumes légères.

Textile

Étole de fourrure, 1914

Les hommes primitifs portaient de la fourrure pour se vêtir durant la préhistoire. L'époque moderne a créé de nombreuses matières synthétiques ou naturelles de substitution.

Tonte des moutons au XIXe siècle

La création de vêtements en fourrure implique de laisser le poil de l'animal sur la peau traitée. Par contraste le cuir implique de retirer la fourrure de la peau. La fourrure tondue d'un mouton est appelée la laine[2]. Elle s'obtient par tissage des poils tondus qui repoussent ensuite et peut être facilement filée et tissée pour créer des textiles chauds et doux en fibres naturelles.

D'autres animaux ont un pelage qu'il est possible de tisser[3].

Plusieurs espèces de chèvres à poil long donnent une fibre recherchée comme la chèvre du Tibet (ou chèvre angora) qui fournit le mohair ou le tibet, la chèvre Pashmînâ ou chèvre de Kaschmir (Capra Hircus) qui fournit le Pashmînâ[4] ou le cachemire quand il ne s'agit pas des poils issus des parties les plus douces du cou et du torse[5], et la chèvre de Mongolie[3].

On tisse aussi le poil du lapin angora qui fournit l'angora après épilation[6], le mouflon, le chameau, le paco[7] qui fournit l'alpaga, le lama, la vigogne[3] et même parfois le poil de chien[8].

Au cours du tissage du Vaðmál, un tissu traditionnel scandinave, une imitation de la fourrure peut être obtenue en incorporant de la toison de mouton non traitée.

De la fourrure artificielle en fibres synthétiques, ou fausse fourrure, est aussi utilisée comme produit de substitution.

Fourrure naturelle

Écorchage d'un phoque
Décoration de maison Robert Schütz et C. Wöbke, à Leipzig (1904)
Dépôt de fourrures, Alberta 1890
Marché aux fourrures, Irbit, vers 1900
Assemblage de peaux de hamster d'Europe. En 2009 l'un des mammifères les plus menacés d'Europe.

La fourrure proprement dite est obtenue par écorchage, ou dépeçage, des animaux, nettoyage puis tannage de leur peau. Différentes opérations effectuées dans des tanneries permettent de conserver la peau souple et de la rendre imputrescible.

La procédure habituelle comporte de nombreuses étapes[9] :

  • La conservation de la peau crue par salage et séchage sur un cadre,
  • Le décharnage pour enlever les résidus de chair,
  • Un trempage plus au moins long selon que l'on désire conserver le poil ou non,
  • Le dégraissage suivi d'un rinçage,
  • Le pickelage avec un mélange de vinaigre et d'eau pour préparer au tannage,
  • Le tannage, imprégnation chimique (chrome, aluminium (alun)) ou naturel (écorces d'arbres ou graisses animales), suivi d'un nouveau rinçage,
  • Le raccommodage, pour réparer les trous et déchirures éventuelles
  • Graissage pour assouplir avec une graisse qui ne rancit pas
  • Assouplissement de la peau encore humide en l'étirant
  • Le séchage
  • La finition : ponçage, égalisation des bords, graissage à l'huile de pied de bœuf, etc.
  • La confection d'objets et vêtements

Histoire

Bien avant la découverte du textile, et surtout dans les régions froides du monde, les hommes et les femmes utilisaient des peaux de bêtes pour se vêtir, et comme couverture et tapis de sol. Les hommes préhistoriques découvrirent très tôt comment conserver les fourrures en les préparant au moyen de grattoirs de silex, de dents, etc. puis avec un tannage végétal à base d'écorces d'arbres riches en tanins (chêne, bouleau, etc…) et un graissage aux graisses animales (à base de cervelle ou de suif)[10].

Au Moyen Âge et sous l'Ancien Régime, une communauté d'artisans spécialisés s'occupe du travail des fourrures : les pelletiers (terme logiquement devenu un nom de famille courant sous diverses déclinaisons). La fourrure du castor est particulièrement appréciée, dont pour les chapeaux car résistante aux pluies ; Girart de Ross au XIVe s vante la fourrure du castor « Il n'y ot vars ne gris ne drap fourré de bievre » (bièvre est l'ancien mot désignant le Castor européen). De Laborde au XVe s.évoque un chapeau de castor fourré d'hermine (« chappel de bievre, fourré d'armines ») et Jean de Saintré (capitaine et page du roi Jean le Bon dit « Arriva Saintré, qui couvert estoit d'un très bel chapel de bievre » (arriva Saintré qui était couvert d'un très beau chapeau de Castor)[11].

Avant l'apparition des tissus synthétiques, la traite des fourrures a longtemps joué un rôle économique très important. Les trappeurs explorèrent et ouvrirent aux colons de grandes parties de l'Amérique du Nord, d'abord pour y trouver des fourrures ; et la mode pour les chapeaux en feutre de castor a conduit à une compétition intense entre trappeurs, entre les colons et les Amérindiens et entre pays pour la matière première qui a localement rapidement régressé ou disparu. Pendant environ 200 ans, la fourrure a été la ressource la plus importante de la Nouvelle-France et ensuite de la province de Québec. Mais, au tournant des années 1800 le commerce des fourrures connait un déclin progressif.

Animaux à fourrure

Élevage

Animaux élevés pour leur fourrure, par ordre d'importance[12] :

Piégeage

Animaux piégés pour leur fourrure[13] :

Le commerce des peaux

Travail de la fourrure en 1568
Manteau de renard teinté
Installation anti-fourrure en Allemagne

Le marché de la fourrure, qui était très fort dans les années 1970 et 1980, a connu une forte chute après le krach boursier de 1987[14].

En février 2007 la fourrure d'élevage représente 85 % du commerce mondial de la fourrure[15].

En Europe

La fourrure d'élevage est majoritairement produite en Europe qui fournit 70 % des visons et 63 % des renards qui sont les espèces les plus répandues avec le chinchilla. L'Union européenne compte 6000 fermes familiales qui sont réparties dans 16 pays différents, essentiellement au Danemark, en Finlande, Norvège et aux Pays-Bas[15].

Le Danemark est le premier pays producteur de vison d'élevage avec 32 % de la production mondiale[16].

Reste du monde

L’Argentine, la Chine, l’Amérique du Nord et la Russie sont d'autres grands pays d'élevages destinés à la production des fourrures[15].

La Chine en 2005 est le premier pays producteur au monde de renards d'élevage et deuxième producteur de fourrure (8 000 000 à l'exportation), derrière le Danemark (12 900 000)[16].

Le volume des ventes de peaux étant dépendant des températures hivernales, les hivers doux et la crainte du réchauffement climatique préoccupent les professionnels. En effet après un hiver 2006-2007 particulièrement clément les ventes ont chuté de 50 % en volume et de 20 % en prix d'après la principale société de ventes aux enchères[15].

Les produits finis

La fourrure est utilisée par l'industrie du luxe pour confectionner des manteaux, des garnitures vestimentaires et des accessoires de décoration.

La fourrure est aussi utilisée en taxidermie pour la création d'animaux naturalisés.

Des leurres pour la pêche des poissons carnassiers (mouches a brochet et bien d'autres) sont aussi fabriqués à partir de différents types de fourrures[17].

Ennemis

Le papillon de nuit (hétérocère) suivant se nourrit de fourrures  :

Controverses autour de la vraie fourrure

Depuis plusieurs années des associations militent pour l'interdiction de l'exploitation et contre la maltraitance des animaux pour prendre leur fourrure. Elles encouragent les commerces qui renoncent à vendre de la fourrure[18] et organisent des campagnes médiatiques pour sensibiliser l'opinion publique[19], parfois en utilisant des images choc[20].

Le problème concerne en particulier le piégeage[21] et l'écorchement puis le dépeçage des animaux encore vivants[réf. nécessaire]. En Chine, certains animaux survivent 10 minutes après avoir été entièrement dépecés. Les organisations qui s'opposent à ce commerce diffusent souvent des images pour alerter l'opinion publique[22].[source insuffisante]

Les conditions de détention des animaux sont elles aussi pointées du doigt. Ainsi des images ont été tournées en Norvège, montrant des animaux estropiés, sous-alimentés ou devenus fous dans leurs cages[12]. En France des experts vétérinaires dénoncent aussi certains élevages qui élèvent des animaux en surnombre, dans des conditions déplorables, en complète opposition avec les besoins physiologiques de l'espèce[23].

Les professionnels de la fourrure canadienne font des efforts de communication pour expliquer qu'un élevage raisonné, avec des règles strictes, pouvait être considéré comme aussi écologique que la production de fourrures synthétiques à base de produits pétroliers non renouvelables[14]. Ils disent contribuer également au maintien de l’équilibre écologique par la récupération des différents sous-produits animaux impropres à la consommation humaine[24] et soutenir les peuples autochtones et les personnes qui vivent de la nature et la protègent[14].

Les associations de protection de l'animal déplorent de leur côté l'instrumentalisation de l'écologie au profit d'une industrie qui tue des animaux et reste extrêmement polluante de par les masses de déjections rejetées par les animaux et les émissions de CO2[25].

Des recherches scientifiques tentent par ailleurs de concilier fourrure naturelle et éthique en développant des races nouvelles comme l'orylag, un lapin domestique exploitable pour sa chair appréciée des gastronomes aussi bien que pour sa fourrure proche de celle du chinchilla[26]. Mais ce type d'arguments ne convainc pas encore les militants anti-fourrure[27].

Législation

La législation impose désormais que les pièges ne soient pas inutilement cruels. Ainsi, en France, l'homologation des pièges tient compte des risques de blessure ou de souffrance occasionnés[28]. Au Canada il est théoriquement considéré comme une infraction criminelle de causer à un animal « une douleur, souffrance ou blessure, sans nécessité »[29].

D'autre part, de nombreux pays d'Europe adoptent peu à peu une législation qui tend à interdire les fermes d'élevage[12].

Dans la Communauté européenne, à compter du 31 décembre 2008, sauf dérogation exceptionnelle, « la mise sur le marché, l'importation dans la Communauté et l'exportation depuis cette dernière de fourrure de chat (tout animal de l'espèce Felis silvestris) et de chien (tout animal de la sous-espèce Canis lupus familiaris) et de produits en contenant sont interdites. »[30].

Le 22 juin 2009 le Conseil de l'Europe a trouvé un accord politique sur un nouveau règlement concernant la protection des animaux au moment de leur mise à mort[31].

Fausse fourrure

Fourrure synthétique
Ours en peluche en fausse fourrure

Imitation de la fourrure naturelle, la fausse fourrure appelée à tort "fourrure synthétique"[pourquoi ?] est composée de fibres synthétiques (obtenues à partir du pétrole).

Production

La fabrication de fausse fourrure à un coût de production économique et une fabrication à grande échelle est possible grâce à une machine de traitement à écoulement liquide. La fabrication part d'un « tissu de base au travers duquel des fibres de formation de la fourrure sont inclinées dans le sens longitudinal de manière que ces fibres soient parallèles au sens longitudinal autour de la partie centrale et suivant un angle compris entre 10 et 80 degrés par rapport au sens longitudinal »[32].

En 2004, la société Tissavel devient le numéro un mondial de la fourrure synthétique. Toute la production de fourrures tissées est faite en France à Neuville-en-Ferrain[33].

Utilisation

L'utilisation de la fourrure synthétique ne se limite pas au marché du vêtement et de la décoration d'intérieur. La fausse fourrure sert aussi à fabriquer des tissus techniques : des rouleaux à peindre, des articles de nettoyage ou encore des tissus double parois en trois dimensions[33], des filtres, anti-escarres, anti-bactériens, etc. Les produits synthétiques servent aussi à faire des fourrures pour les peluches, des tapis fantaisies et des tapis pour salle de bain...

Controverses autour de la fausse fourrure

Certains organismes de protection de la nature encouragent le port de la fausse fourrure comme substitut à la vraie, épargnant ainsi des vies animales et des tortures inutiles[34].

Les producteurs de vraie fourrure estiment de leur côté que leur production est moins nocive pour l'environnement, argüant que la fourrure naturelle est durable, recyclable et 100 % biodégradable[35],[36] et que les procédés de tannage et teinture utilisent principalement des composants chimiques non toxiques (sel, eau, alun, carbonate de sodium, sciure, amidon de maïs et lanoline) avec des règlements locaux rigoureux qui surveillent la protection de l’environnement. À l'inverse, la production de fausse fourrure consomme une ressource naturelle non renouvelable, le pétrole[37] et des procédés chimiques qui dégagent des substances potentiellement nuisibles pour l'environnement comme de l'oxyde d'azote ou autres composés polluants[38]. Les objets en fausse fourrure, généralement moins durables, génèrent aussi plus de déchets non biodégradables à éliminer[36].

D'autres organismes, encore plus radicaux, pensent qu'encourager l'usage de la fausse fourrure fait perdurer l'envie de fourrure dans l'esprit des consommateurs. Ils sont favorables à une interdiction totale de la fourrure, qu'elle soit vraie ou fausse[39].

La fourrure dans la culture

Vocabulaire

  • Astrakan, fourrure bouclée de jeune agneau karakul tués dans le ventre de leurs mère[réf. nécessaire].
  • Doraphilie, paraphilie lié au plaisir sensuel procuré par le contact de la fourrure sur le corps humain.
  • Pelletier, artisan qui pratique le travail de diverses peaux d’animaux, pour le cuir ou la fourrure.
  • Petit-gris, une fourrure gise, faite de dos d'écureuils nordiques
  • Vair, une fourrure blanche et grise faite des dos et ventres alternés d'écureuils nordiques

Symbolisme et imaginaires

Habit de l'homme primitif, c'est pour l'homme moderne un symbole de luxe. La fourrure est par extension un signe de réussite sociale.

La texture douce et chaude de la fourrure plaît à beaucoup de gens et pour certains l'attraction devient un fétichisme sexuel.

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Héraldique

Des blasons diversement ornés de figures géométriques
Les fourrures en héraldique

En héraldique, une fourrure, ou panne, est un motif rappelant les ornements vestimentaires faits de fourrures animales réservées aux notables : hermine, vair ou zibeline.

Traditions vestimentaires

Costume de Père Noël bordé de fourrure blanche

Le costume rouge du Père Noël est traditionnellement bordé de fourrure blanche.

L'hermine sur l'épitoge est le symbole du grade universitaire de celui qui la porte.

Excentricités

L'actrice Raquel Welch adopta le bikini de fourrure qui fut décrit comme le « look définitif des années 1960 ».

Fiction

Contes

Le personnage de Cendrillon doit ses retrouvailles avec le prince qu'elle aime à une pantoufle de vair et non de verre selon certaines controverses.

La princesse Peau d'âne fuit son père pour éviter l'inceste et se cache sous une fourrure d'âne non tannée et repoussante qui symbolise la salissure subie.

Illustrations

Le Français Ferdinand-Léon Ménétrier illustra de nombreux catalogues de boutiques parisiennes de fourrures au début du XXe siècle.

Littérature

Dans La Curée, un roman d'Émile Zola, Renée Saccard commet l'inceste avec son beau fils Maxime sur une fourrure d'ours.

La Vénus à la fourrure est un roman érotique masochiste de Leopold von Sacher-Masoch.

Vidéo et cinéma

Mouvement culturel

Le mouvement furry (de l'anglais furry, « poilu ») ou fandom furry est défini comme étant l’attrait pour les animaux imaginaires, mythologiques ou anthropomorphes[40], c’est-à-dire pour des animaux possédant des caractéristiques humaines : usage de la parole, port d’habits, utilisation d’un style de vie humain, etc. Les personnes qui appartiennent au fandom furry sont appelées furs. Les personnages sont incarnés par des costumes en fourrure synthétique appelés fursuits (costumes de fourrure en anglais).

Notes et références

  1. Informations lexicographiques et étymologiques de « fourrure » dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales
  2. la laine
  3. a b et c Poils
  4. la laine Pashmina
  5. Différences entre Pashmina et Cachemire
  6. LE LAPIN ET L'ÉPILATION
  7. Paco, définition sur answers.com
  8. La passion du filage au rouet, laine en poil de chien ou le filage de laine canine
  9. Tannage d'une peau avec poils
  10. Le tannage
  11. Émile Littré: Dictionnaire de la langue française (1872-77), Université de Chicago
  12. a b et c Fourrure - La mort sur les épaules sur 30 millions d'amis, consulté en octobre 2010.
  13. Règlement sur les activités de piégeage et le commerce des fourrures au Québec. Loi 2010 sur la conservation et la mise en valeur de la faune.
  14. a b et c État de la situation de l’élevage des animaux à fourrure au Québec, Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2006, p6. Lire le document PDF
  15. a b c et d [1] Le réchauffement climatique pourrait avoir la peau du marché de la fourrure, par Elisabeth Studer le 8 février 2007
  16. a et b État de la situation de l’élevage des animaux à fourrure au Québec, Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2006, p8.Lire le document PDF
  17. Les poils Lire le document pdf
  18. Jacob fait un cadeau de Noël aux animaux
  19. Mode anti-fourrure 2006
  20. CONTRE LA FOURRURE, signe extérieur de cruauté, sur le site de la Fondation Brigitte Bardot
  21. Les animaux : La trappe de la fourrure
  22. Par exemple l'association PETA France : Le terrible commerce de la fourrure de chiens et de chats en Chine, consulté en octobre 2010
  23. [le vrai prix de la fourrure|http://www.30millionsdamis.fr/acces-special/actualites/detail/article/2669-30-millions-damis-revele-le-vrai-prix-de-la-fourrure.html Le vrai prix de la fourrure] par 30 millions d'amis
  24. État de la situation de l’élevage des animaux à fourrure au Québec, Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2006, p25.Lire le document PDF
  25. http://vegeweb.org/vegmag-nouvelle-revue-nouveau-blog-t4311-15.html l'écologie tourne-t-elle le dos à la cause animale?. article de la revue Vegmag du 1er juillet 2009
  26. INRA, 2006. Lire le document Pdf
  27. Peau de lapin-Orylag, les bonnes œuvres de l’INRA
  28.  : « Le refus d'homologation peut être fondé notamment sur les risques de blessures ou souffrances susceptibles d'être infligées aux animaux. » et « Le retrait de l'homologation de tout modèle peut être prononcé par arrêté ministériel, en fonction de l'évolution des techniques ou de la fréquence et de la gravité des souffrances et des blessures infligées aux animaux telles qu'elles sont constatées à l'usage. » Arrêté du 29 janvier 2007 fixant les dispositions relatives au piégeage des animaux classés nuisibles en application de l'article L. 427-8 du code de l'environnement
  29. Le Code criminel du Canada (par. 402(1)a) stipule que : « Commet une infraction quiconque volontairement cause ou, s'il en est propriétaire, volontairement permet que soit causée à un animal ou un oiseau, une douleur, souffrance ou blessure, sans nécessité » Fourrure, trappage d'animaux à sur L'encyclopédie Canadienne, consultée en octobre 2010.
  30. Texte de la loi
  31. « Bien-être des animaux au moment de leur abattage ou de leur mise à mort » (consulté le )
  32. Yamashita et all.,1984,Artificial fur and process for its production
  33. a et b Tissavel devient le numéro un mondial de la fourrure synthétique, Communiqué de Europefa, adhérent Fusacq
  34. Elevage, Piégeage, Chasse sur le site de la Fondation 30 Millions d’amis
  35. La fourrure est biodégradable sur écofourrure, consulté en décembre 2010.
  36. a et b La fourrure est une matière durable et recyclable sur écofourrure, consulté en décembre 2010.
  37. La production d’un seul manteau en fausse fourrure peut nécessiter jusqu’à 19 litres de pétrole, d'après écofourrure
  38. L'apprêtage de la fourrure et l'environnement sur écofourrure, consulté en décembre 2010.
  39. Non à la fourrure sur le site de l'association loi de 1901, Le parti pris du Respect
  40. (en) Daveen Rae Kurutz, « It's a furry weekend », sur Pittsburgh Tribune-Review,

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

Liens externes

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