Fortune (roman)
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| Fortune | ||||||||
| Auteur | Joseph Conrad | |||||||
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| Pays | .svg){kind=small} Royaume-Uni
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| Genre | Roman | |||||||
| Version originale | ||||||||
| Langue | Anglais britannique | |||||||
| Titre | Chance | |||||||
| Éditeur | Methuen | |||||||
| Date de parution | 1913 | |||||||
| Version française | ||||||||
| Traducteur | Philippe Néel | |||||||
| Éditeur | Éditions de la Nouvelle Revue française | |||||||
| Lieu de parution | Paris | |||||||
| Nombre de pages | 398 | |||||||
| Chronologie | ||||||||
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Fortune (Chance) est un roman de Joseph Conrad paru en feuilleton de janvier à juin 1912 dans le New York Herald et publié en volume chez Methuen en 1913[1].
Résumé[modifier | modifier le code]
Flora est la fille du financier De Barral jeté en prison pour escroquerie. Réduite à la pauvreté et sur le point de se suicider, elle rencontre chez son amie, Mme Fyne, le frère de celle-ci, le capitaine Anthony. La prenant en pitié, il l'épouse et l'embarque sur son navire, le Ferndale. Cette histoire est racontée par le capitaine au long cours à la retraite Marlow, voisin de campagne des Fyne.
Éditions en anglais[modifier | modifier le code]
- Joseph Conrad, Chance, New York : Doubleday, Page and Company
- Joseph Conrad, Chance, Londres : Methuen
Traduction en français[modifier | modifier le code]
- Fortune (trad. Philippe Néel), Paris : Éditions de la Nouvelle Revue française, 1933.
- Fortune (trad. Roger Hibon), dans Conrad (dir. Sylvère Monod), Œuvres – IV, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, 1989.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Sylvère Monod, Fortune - Notice, in Conrad, Œuvres – IV, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade (1989), pp. 1081-1106 (ISBN 978-2070111671)
